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Hébreux 1.1

Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes,
Après avoir autrefois, à de nombreuses reprises et de bien des manières, parlé à nos ancêtres par les prophètes,
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      Genèse 3

      Genèse 6

      22 La foi de Noé a triomphé des corruptions présentes à cette époque. Le fait de bâtir un tel ouvrage, sans avoir de réel modèle, et d'avoir procuré toutes les provisions destinées à nourrir les créatures embarquées, ont nécessité de sa part de sérieuses qualités d'application, de travail et de moyens. Ses voisins ont dû rire de son projet. Mais malgré toutes ces critiques, Noé, par la foi, a persévéré ; son obéissance était franche et déterminée. Une fois la tâche commencée, il ne l'a pas interrompue, et ce, jusqu'à la fin : telle fut sa conduite et telle devrait être la nôtre. Il craignait le déluge, il a donc préparé l'arche. À côté de l'avertissement donné à Noé, il y en a un autre, plus solennel, qui nous est adressé : celui de fuir la colère à venir, qui va balayer le monde des incroyants vers l'abîme de la destruction. Christ, à l'image de Noé, est à même de pouvoir nous consoler ; Il a, par Ses souffrances, déjà préparé l'arche et nous invite, avec tendresse, à y entrer. Alors que nous sommes toujours au bénéfice de Sa patience, écoutons et obéissons à Sa voix !

      Genèse 8

      Genèse 9

      1

      Dieu bénit Noé, et accorde la chair comme nourriture. (Genèse 9:1-3)
      Le sang et le meurtre sont interdits. (Genèse 9:4-7)
      L'alliance divine : l'arc en ciel. (Genèse 9:8-17)
      Noé plante une vigne, son ébriété et sa honte devant Cham. (Genèse 9:18-23)
      Noé maudit Canaan, Il bénit Sem, Il prie pour Japhet, Sa mort. (Genèse 9:24-29)

      La bénédiction divine est la cause de notre prospérité. C'est de l'Éternel que nous dépendons et c'est à Lui que nous devrions être reconnaissants. N'oublions pas les avantages et les plaisirs que nous tirons des tâches accomplies par le bétail et de la chair que nous pouvons consommer.

      Soyons également reconnaissants pour la sécurité que nous avons vis-à-vis des bêtes sauvages, malgré la crainte que nous éprouvons. Nous voyons l'accomplissement de cette promesse chaque jour, en tout lieu. Cette disponibilité des animaux nous permet de nous en servir en tant que nourriture, sans toutefois en abuser, par de gloutonnerie et encore moins par cruauté. Nous devrions ne pas leur faire de mal tant qu'ils sont en vie, ni d'ailleurs les faire mourir inutilement.

      4 La principale raison de s'abstenir de manger de la chair « avec son âme » était sans doute due au sang répandu lors des sacrifices, en vue de préserver chez les pécheurs le sentiment d'un précieux pardon ; bien qu'il puisse sembler cruel de répandre le sang des animaux, les hommes devraient être néanmoins choqués à l'idée que certains puissent tuer leurs semblables.

      L'homme ne doit pas se donner la mort. Nos vies appartiennent à Dieu et nous sommes appelés à ne quitter ce monde que lorsque notre heure survient, ordonnée par Dieu. Si nous anticipons volontairement l'heure de notre mort, nous sommes alors redevables à Dieu.

      Quand l'Éternel reprend la vie d'un homme, par l'acte d'un meurtrier, cela peut nous paraître injuste ; ce dernier est incapable de réparer le méfait, sinon seulement par sa vie. Tôt ou tard, quel que soit l'endroit au monde où se trouvent les meurtriers, Dieu les découvrira et les punira. Il y a cependant ceux, qui au nom du service divin, protègent les innocents en répandant la terreur parmi les méchants ; ils ne porteront pas l'épée en vain, Romains 13:4.

      Les meurtres prémédités devraient toujours être punis de mort. Il y a une raison à cela : l'homme, créé à l'image de Dieu, est néanmoins mauvais et est toujours capable de tuer son prochain. Quelle dégradation il apporte à cette image, quel déshonneur !

      8 Le monde précédant le déluge ayant été détruit, le suivant se devait d'être une référence de justice et de grâce. Hélas, le péché, qui a mené cette ancienne période, jusqu'au déluge, finira par faire brûler la suivante. Les grandes alliances humaines sont souvent officialisées et les traités solennels rassurent avec satisfaction les différents partis engagés. Le signe de l'alliance divine a été l'arc en ciel ; ce signe, existant déjà dans les nuages, avant le déluge, n'a reçu véritablement sa valeur que lorsque Dieu a fait cette déclaration. L'arc en ciel apparaît quand nous avons de bonnes raisons de craindre la tempête et la pluie ; Dieu rappelle alors Sa promesse et ne reviendra pas dessus. Plus les nuages sont menaçants, plus l'arc en ciel est vif. Il en est de même dans nos vies : c'est au sein des épreuves les plus dures que la consolation divine est la plus vive. L'arc en ciel résulte de la réflexion et de la décomposition des gouttes d'eau par les rayons de lumière. Toute la gloire de l'alliance divine découle de Christ, le Soleil de droiture. Il répandra Sa gloire sur les saints, lors de l'épreuve.

      Un arc est synonyme de terreur. Celui de l'Éternel ne possède ni corde, ni flèche ; un arc ne peut cependant, à lui seul, faire beaucoup de mal. Celui de l'Éternel n'est pas dirigé vers la terre, mais vers le ciel ; le signe de l'alliance est destiné à réconforter et non à terrifier. Lorsque Dieu regarde l'arc en ciel, il se souvient de l'alliance qu'Il a faite avec les hommes ; soyons conscients de cette alliance, avec foi et reconnaissance. Sans cette révélation, l'assurance pleine de grâce qu'Il accorde ne serait pas perçue ; sans la foi cela n'est d'aucune utilité pour nous ; cette assurance divine est aussi utile lors des grands dangers, auxquels nous sommes exposés ; elle nous rappelle la nouvelle alliance et les bénédictions promises.

      Genèse 12

      1

      Dieu appelle Abram, et le bénit avec une promesse relative à Christ. (Genèse 12:1-3)
      Abram part de Charan. (Genèse 12:4,5)
      Il séjourne en Canaan, Et adore Dieu sur place. (Genèse 12:6-9)
      Abram est poussé par la famine, vers l'Égypte, Il fait prendre sa femme pour sa sœur. (Genèse 12:10-20)

      Dieu a choisi Abram et l'a sélectionné parmi tous ses amis idolâtres ; Il a ainsi commencé à constituer Son peuple, duquel la véritable adoration sera instituée, et ce, jusqu'à la venue de Christ. Abram et sa postérité représentent presque le seul sujet de l'histoire de la Bible. Abram a été éprouvé pour voir s'il aimait Dieu avant toute chose, et s'il pouvait tout quitter pour suivre l'Éternel. Ses proches et la maison de son père étaient pour lui l'objet d'une tentation permanente et il ne pouvait continuer à vivre avec eux sans risquer de se détourner de la sainteté.

      Ceux qui s'éloignent de leurs péchés et qui se tournent vers Dieu en tireront un bénéfice indéniable. Le commandement que Dieu donna à Abram est identique à celui donné par l'évangile : les affections naturelles doivent céder le pas à la Grâce divine. Le péché et toutes les occasions qui le provoquent doivent être abandonnés, particulièrement quand on est en mauvaise compagnie.

      Nous avons dans ce texte de grandes et précieuses promesses : tous les préceptes divins, s'ils sont respectés, conduisent à des promesses.

      1- « Je ferai de toi une grande nation ». Quand Dieu choisit Abram comme père de Son peuple, Il lui promit d'être aussi la tête d'une autre nation.

      2- « Je te bénirai ». Les croyants obéissants peuvent être sûrs d'hériter des bénédictions divines.

      3- « Je rendrai ton nom grand ». Le nom des croyants fidèles sera certainement grand.

      4- « Tu seras une source de bénédiction ». Les hommes bons sont la bénédiction d'une nation.

      5- « Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront ». Dieu prendra soin de bénir ceux qui rendront des services à Son peuple.

      6- « Et toutes les familles de la terre seront bénies en toi ». Jésus Christ est la grande bénédiction donnée à ce monde, la plus grande qu'il ait pu recevoir. Toutes les bénédictions réelles ici-bas proviennent d'Abram et de sa postérité. Par lui, nous avons la Bible, un Sauveur, et l'Évangile. Voilà toutes les valeurs sur lesquelles l'église peut s'appuyer.

      Genèse 26

      Genèse 28

      Genèse 32

      24 Jacob se trouvait seul, en prière, longtemps avant que le jour ne se lève, il confiait à Dieu toutes ses craintes. Le texte décrit Dieu, sous l'apparence d'un homme, en train de lutter avec le patriarche. Quand l'Esprit nous aide dans nos infirmités et que parallèlement, nous ne pouvons manifestement trouver les mots pour nous exprimer, alors la prière lutte en effet avec Dieu. Toutefois, dans l'épreuve ou le découragement, nous ne serons vainqueurs qu'en Christ ; étant en Lui, par la prière, nous aurons le dessus sur tous les ennemis qui nous entourent. Rien n'exige plus de vigueur et d'efforts incessants que la lutte. C'est une représentation de l'esprit de la foi et de la prière. Jacob a tenu bon ; cependant la lutte a continué pendant un certain temps, sans ébranler sa foi, ni la ferveur de sa prière. Il sera en fait béni, en ayant malgré tout, ses os démis.

      Ceux qui veulent jouir de la bénédiction divine, doivent se résoudre à ne tolérer aucun compromis. La prière fervente est la seule qui soit efficace. L'Ange a honoré le patriarche en changeant son nom. Jacob signifie « supplanter ». Il ne sera plus maintenant honoré à cause de son métier et sa gestion astucieuse, mais à sa véritable valeur. Tu seras appelé Israël, « un prince avec Dieu », un nom encore plus important que ceux des grands hommes de cette époque. En effet, on est véritablement un « prince » par le fait d'être avec Dieu ; ceux qui sont fervents dans la prière sont vraiment honorables. Ayant à ses côtés la Puissance divine, Jacob sera vraiment puissant parmi son entourage ; il prévaudra dans les affaires, et gagnera la faveur d'Ésaü. Jacob donne un nouveau nom à cet endroit. Il l'appelle Peniel, « face à face avec Dieu », parce il avait vu en cet endroit l'aspect de Dieu, et obtenu Sa faveur.

      Ceux qui bénéficient de la merveilleuse présence divine, peuvent admirer Sa grâce à leur égard. L'ange qui a lutté avec Jacob était la deuxième personne de la sainte trinité, qui a été par la suite, Dieu manifesté en chair, et qui, dans Sa nature humaine, s'appelle Emmanuel, Os 12:4,5. Jacob a été touché à la hanche. Par l'abondance de ces révélations divines, le patriarche a été enrichi. Le soleil s'est ensuite levé : pour cette âme, en communion avec Dieu, cette expérience a été un véritable lever de soleil.

      Genèse 46

      Exode 3

      1

      Dieu apparaît à Moïse dans un buisson ardent. (Exode 3:1-6)
      Dieu envoie Moïse pour délivrer Israël. (Exode 3:7-10)
      Le nom de Jéhovah. (Exode 3:11-15)
      La délivrance promise aux Israélites. (Exode 3:16-22)

      Les années de la vie de Moïse sont réparties en trois périodes de quarante ans ; la première partie s'est passée à la cour de Pharaon, la deuxième en tant que berger, au pays de Madian et la troisième pendant laquelle il fut un grand dirigeant. Remarquez à quel point la destinée d'un homme peut changer au cours de sa vie ! La première fois que Dieu apparut à Moïse, ce dernier s'occupait des moutons. Cela peut sembler être une bien modeste occupation, pour un homme possédant une telle éducation, mais il s'en accommodait apparemment ; ce travail lui a appris l'humilité et le contentement de peu, qualités qui sont mentionnées plus loin dans la Parole. Satan aime nous voir paresser ; Dieu, quant à Lui, aime que nous soyons actifs. Le fait de nous retrouver seul, nous permet d'entrer vraiment en communion avec Dieu. À sa grande surprise, Moïse vit un buisson ardent, sans avoir vu comment ce dernier avait été allumé. Ce buisson était en feu et ne se consumait pas ; c'est un peu une image du peuple de Dieu en Égypte. Cela nous rappelle également l'Église à travers les âges, persécutée sévèrement, mais préservée de la destruction, par la présence de Dieu.

      Dans l'Écriture, le feu est l'emblème de la Sainteté et de la Justice divines ; il caractérise également les afflictions et les épreuves que Dieu envoie pour purifier Son peuple ; le feu représente aussi le baptême du Saint Esprit, par lequel les affections du péché sont consumées et qui transforme l'âme en une image conforme à la nature divine.

      Dieu, dans Sa miséricorde, appela Moïse ; ce dernier répondit aussitôt. Ceux qui désirent entrer en communion avec Dieu, doivent se plier à Ses ordonnances, par lesquelles Il se manifeste, Lui et Sa gloire ; Moïse a vu cette gloire, même au sein de ce buisson. Le fait d'ôter ses chaussures fut pour le patriarche un signe de respect et de soumission.

      Nous devrions nous approcher de Dieu dans la solennité, avec des cœurs préparés, cherchant à éviter tout propos léger ou grossier et tout service peu convenable.

      Dieu n'a pas dit : « J'étais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob », mais, « Je suis... ». Les patriarches vivent encore, malgré le fait que leur corps soit dans la tombe depuis de nombreuses années. Aucun laps de temps ne peut séparer l'âme des justes, du Créateur. Par ce témoignage, Dieu instruisit Moïse, sur l'existence d'un autre monde ; Il a ainsi affermi sa foi sur cet état futur. C'est ce qu'annonce aussi notre Seigneur Jésus, à propos de la résurrection des morts, dans Luc 20:37. Moïse cacha son visage, comme s'il était à la fois effrayé et honteux de voir Dieu.

      Plus nous discernons Dieu, Sa Grâce et Son Amour, plus nous sommes amenés à l'adorer avec révérence, sous une crainte respectueuse de Sa Personne.

      7 Dieu remarque à quel point Israël est affligé. Dieu connaissait les souffrances et les cris les plus intimes de Son peuple : Il voyait l'oppression qu'il endurait ; le plus grand oppresseur qui puisse exister ne peut résister à la puissance divine. Dieu promet une délivrance rapide, par des méthodes qui dépassent l'entendement humain. Ceux que Dieu, dans Sa grâce, délivre de l'Égypte spirituelle, seront conduits vers le Canaan céleste !
      11 Au début, Moïse pensait pouvoir être capable de délivrer Israël et il commença cette tâche trop précipitamment. Bien vite, il se rendit compte de sa faiblesse. Ce fut le résultat d'une perception relativement plus approfondie de la Personne de Dieu, par rapport à la sienne. Sa confiance initiale en lui-même, assurée d'une foi et d'un zèle solides, fait place maintenant à une remise en question de son opinion sur la Personne divine, associée à une certaine humilité.

      Beaucoup de serviteurs de Dieu, même des plus éminents, entament leur ministère avec des sentiments semblables. Mais à toutes ces pensées, une seule réponse convient : « Je serai avec toi ». C'est suffisant ! Dieu veut se faire connaître sous plusieurs dénominations, pour souligner qu'Il est véritablement Lui-même, « Je suis celui qui suis ». Cela explique bien Son Nom, « Jéhovah », qui signifie : - Qu'Il existe de Lui-même : Il s'est créé Lui-même. - Qu'Il est Éternel et immuable, Il est le même, hier, aujourd'hui et éternellement. - Que c'est une pensée qui nous échappe complètement ; nous ne pouvons de nous même Le rechercher : ce Nom, à lui seul, défie déjà toutes les approches téméraires que l'on serait tenté de faire, même à titre de curiosité. - Qu'Il est fidèle et véritable dans toutes Ses promesses, immuable quant à sa Parole aussi bien que dans sa Nature ; qu'Israël le sache bien, « Celui qui est, m'envoie vers vous ». « Je suis », et il n'y en a pas d'autre autour de moi.

      Tous les êtres n'existent que par la volonté de Dieu et ne dépendent que de Lui. Ce Nom dévoile aussi ce que Dieu représente pour les siens : « Le Dieu de nos pères, envoyé vers vous ». Moïse doit ranimer au sein du peuple la religion de ses pères, pratiquement oubliée ; Israël pourra alors vérifier l'authenticité et la concrétisation rapide des promesses qui lui ont été faites.

      16 Les chances de persuasion de Moïse auprès des anciens d'Israël auraient pu être grandes et Dieu, qui dans Sa grâce, incite le cœur et ouvre les oreilles, aurait bien pu décider au sujet des Égyptiens : « Ils écouteront ma voix » ; ainsi, Il aurait ainsi très bien pu pousser le penchant de Pharaon, en faveur des enfants d'Israël. Mais l'Éternel a dit à Moïse que ce dernier devait être amené à se présenter vainement devant Pharaon, pour exposer ses plaintes et tenter de le persuader.

      Le patriarche, par la Puissante main de Dieu, va faire toutes sortes de prodiges. Dieu lui annonce que ses opposants, incrédules à Sa Parole, seront finalement vaincus et que le peuple d'Égypte donnera aux enfants d'Israël de nombreux et riches présents, lors de leur départ. Dans cette triste situation de tyrannie du peuple d'Israël, nous pouvons voir le côté abject et misérable des pécheurs. Le peuple élu a supporté ce terrible joug jusqu'à ce que l'Éternel envoie Sa délivrance.

      Par le biais de l'évangile, Dieu nous adresse l'enseignement de Son Esprit. Les hommes en recherche de délivrance, peuvent ainsi bénéficier de cette grâce. Satan est alors incapable de retenir ces âmes ; elles peuvent ensuite aller de l'avant, armées de leurs dons spirituels, pour la gloire de Dieu et le service de l'Église

      Nombres 12

      Joël 2

      28 La promesse a commencé à s'accomplir au jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit a été répandu ; elle s'est ensuite appliquée lorsque la grâce miraculeuse a été donnée à la fois aux Juifs et aux gentils.

      Les jugements de Dieu envers le monde pécheur n'auront réellement lieu qu'au temps de la fin, au dernier jour. Le fait de faire appel à Dieu suppose qu'on Le connaisse déjà, qu'on désire Le rencontrer, dépendre de Lui, et pour finir, qu'on Lui obéisse en toute sincérité.

      Seules ces personnes là seront délivrées au « grand jour », celles qui se sont détournées du péché pour aller vers Dieu, vers Christ, celles dont le cœur est porté vers les choses célestes.

      Luc 1

      Luc 24

      Jean 7

      Jean 9

      Actes 2

      Actes 13

      32 La résurrection de Christ prouva de façon irréfutable qu'Il est véritablement le Fils de Dieu. Il était en effet impossible qu'Il soit retenu par la mort, étant le Fils de Dieu et possédant la vie en Lui-même, vie qu'il ne pouvait quitter qu'avec le dessein de la reprendre à nouveau.

      Les grâces promises à David font en fait partie de la vie éternelle, dont la résurrection représente un engagement solennel ; les bénédictions de la Rédemption en Christ sont certaines, même déjà ici-bas.

      David, de son vivant, fut l’objet d’une grande bénédiction. Nous ne sommes pas nés dans un but égocentrique, mais pour servir notre prochain. Avec Christ, tout est différent, par rapport au monde : Il devait venir pour servir toutes les générations.

      Puissions-nous voir en Jésus, le Fils de Dieu, Celui qui est ressuscité ; par la foi, puissions marcher avec Dieu et servir notre prochain, conformément à Sa volonté ; lorsque la mort surviendra, puissions-nous nous endormir en Lui, avec la joyeuse espérance d'une résurrection bénie !

      Actes 28

      23 Paul voulait persuader les Juifs de la véracité de tout ce qui concernait Jésus. Certains étaient « travaillés » par la Parole, alors que d'autres restaient endurcis dans leur refus de croire ; certains admiraient cette Lumière spirituelle, alors que d'autres fermaient leurs yeux. Le même genre de réaction a toujours existé lorsque l'Évangile a été prêché...

      Paul se sépara alors de ces Juifs, observant que le Saint-Esprit avait bien décrit leur incrédulité. Tous ceux qui entendent l'Évangile sans y porter une sérieuse attention, devraient trembler devant la ruine spirituelle qui les guette ; en effet, qui pourra les « guérir du péché », si Dieu n’intervient ?

      Ces Juifs eurent ensuite beaucoup de discussions entre eux. De nombreuses personnes font de grands raisonnements, tout en restant néanmoins dans l’erreur. Elles sont parfois en désaccord avec leur entourage, mais ne veulent pas cependant céder à l’évidence de la Vérité. En fait, elles ne peuvent être convaincues par le message de l’Évangile qu’elles entendent, sans que la Grâce de Dieu n’ouvre leur esprit.

      Si nous pouvons éprouver de la tristesse devant l’attitude de tels contempteurs, nous devons néanmoins nous réjouir que le salut de Dieu soit envoyé à d'autres, qui eux, le recevront ! Si nous faisons partie de cette dernière catégorie, nous devons être reconnaissants envers Celui qui nous a apporté ce salut.

      L'apôtre est resté fidèle à son principe faire connaître et ne prêcher rien d'autre que Christ, Christ crucifié. Les chrétiens qui sont tentés de s'écarter de leur « devoir », doivent reconsidérer leur situation en se posant ces questions : ma nouvelle orientation concerne-t-elle le Seigneur Jésus ? Que va-t-elle réellement m’apporter, quels en seront les impacts dans ma marche spirituelle avec Lui ?

      Paul n'a pas vanté ses propres mérites, mais il a prêché Christ, sans éprouver aucune honte pour l'Évangile. Bien que l’opportunité de son témoignage ait été relativement courte, il put prêcher sans être dérangé. Même si cette « ouverture spirituelle », (son témoignage), fut éphémère, personne ne put la fermer ; pour beaucoup ce fut une prédication efficace, puisqu'il est dit qu'il y avait des saints, même dans la maison de César, Philippiens 4:22.

      Nous apprenons aussi dans Philippiens 1:13, comment la Providence divine dirigea, par l’emprisonnement de Paul, la diffusion de l'Évangile. Non seulement les Romains, mais toute l'église de Christ encore aujourd’hui, même dans les endroits les plus reculés du globe, ont une véritable raison de bénir le Seigneur, pour le fait que Paul, au plus fort de sa maturité et de son expérience spirituelle, ait été détenu prisonnier et qu’il ait pu ainsi annoncer l’Évangile. C'était de sa prison, de sa main probablement enchaînée à celle du soldat qui le gardait, que l'apôtre écrivit ses épîtres aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, et peut-être aux Hébreux ; ces lettres témoignaient peut-être plus que toutes les autres, de l'amour chrétien dont son cœur débordait, et l'expérience spirituelle qui animait son âme.

      Le croyant du temps présent peut ressentir éventuellement moins de joie céleste que l'apôtre Paul, mais chaque partisan du Sauveur est également sûr de pouvoir jouir jusqu’au terme de sa vie, de la sécurité et de la paix spirituelles. Cherchons à vivre de plus en plus dans l'Amour du Sauveur ; œuvrons de façon à Le glorifier dans tous nos faits et gestes ; nous serons alors avec certitude, par Sa force et dès à présent, parmi le nombre des « vainqueurs » ; par Sa Miséricorde et Sa Grâce, nous serons bientôt dans la compagnie bénie de ceux qui seront assis auprès de Christ sur Son trône ; Il est Lui-même vainqueur et est assis sur le trône de Son Père, à la droite de Dieu, pour l'éternité !

      Hébreux 2

      1 Pierre 1

      10 Jésus-Christ était le thème principal des prophètes.

      Leur investigation sur les souffrances de Christ et la gloire qui allait en découler, allait les conduire vers une vision de l'Évangile tout entier ; nous pouvons résumer tout cela ainsi : Jésus-Christ a été livré pour nos offenses, et Il est ressuscité pour notre justification.

      Dieu a désiré répondre à nos besoins plutôt qu'à nos requêtes. La doctrine des prophètes et celle des apôtres s'accordent parfaitement : toutes deux proviennent comme du même Esprit de Dieu.

      L'Évangile est le « ministère » de l'Esprit : son succès dépend de l’opération et de la bénédiction de ce Dernier. Cherchons donc diligemment dans les Écritures, la doctrine du salut !

      2 Pierre 1

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