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Hébreux 6.1

C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l'état d'hommes faits, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des oeuvres mortes et de la foi en Dieu,
C'est pourquoi, laissant les premiers principes de la doctrine de Christ, tendons à la perfection, ne posant pas de nouveau le fondement du renoncement aux oeuvres mortes, et de la foi en Dieu,
C'est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l'état d'hommes faits, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des oeuvres mortes et de la foi en Dieu,
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      Proverbes 4

      Esaïe 55

      6 Ce texte nous présente une offre merveilleuse de pardon, de paix, et de félicité. Il n'est jamais vain de chercher Dieu : Sa Parole nous appelle, et Son Esprit est à nos côtés ! Mais viendra un jour où on ne pourra plus Le trouver. Cela peut survenir à n'importe quel moment de notre vie ; il est certain qu'à notre mort et lors du Jugement, la « porte » sera alors fermée. En conséquence, il ne faut pas seulement changer de comportement, mais aussi nos pensées : nous devons « voir » différemment les personnes et le cours des évènements. Il n'est pas suffisant de cesser toute pratique du mal, nous devons en plus, nous efforcer de lutter contre les mauvaises pensées. Se repentir signifie en quelque sorte « revenir à notre Seigneur », Celui contre lequel nous nous sommes rebellés. Si nous agissons ainsi, Dieu nous assure d'un pardon sans limites, à la mesure de l'ampleur de nos offenses !

      Mais que personne ne traite à la légère cette « abondance » de Miséricorde ; « exploitez-la » quand le péché a été commis. Les pensées des hommes, au sujet du péché, de Christ, de la sainteté, du monde et de son entourage, diffèrent absolument de celles de Dieu, ne serait-ce qu'au sujet du pardon par exemple ! Nous pardonnons, mais nous n'oublions pas ; quand Dieu pardonne le péché, Il ne se souvient plus de ce dernier. La puissance de Sa Parole aux Royaumes de la Providence et de la Grâce, est aussi véritable qu'ici-bas. La « sainte Vérité » produit un changement spirituel dans l'esprit des hommes, changement que ni la pluie ni la neige ne seraient à même d'opérer sur terre !

      Cette Parole ne retournera pas à Dieu sans produire des effets remarquables. Si nous portons des regards objectifs sur l'église, nous pourrons constater à quel point Dieu a effectué de grandes choses, et discerner ce qu'Il fera encore pour elle. Les Juifs retourneront en « terre promise » ; il s'agit bien d'une des bénédictions prévues par l'Éternel ! La Grâce de l'évangile opérera un grand changement dans le cœur des hommes.

      Délivré de la colère à venir, le pécheur converti, a la conscience en paix ; l'Amour céleste dont il bénéficie le pousse, en retour, à se consacrer au service de Son Rédempteur. Au lieu d'être attiré par le monde, d'être querelleur, égoïste, ou sensuel, il devient patient, humble, aimable, et pacifique. L'espérance d'une telle perspective devrait nous inciter davantage à répandre la bonne nouvelle du salut !

      Que l'Esprit de vérité puisse nous aider à discerner la plénitude, la liberté, et la grandeur de la merveilleuse Miséricorde de Christ, nous ôtant ainsi toute fausse perspective d'étroitesse de la Grâce souveraine !

      Ezéchiel 18

      30 L’Éternel jugera chacun des Israélites selon leur conduite. Ces versets étaient pour ce peuple une exhortation à se repentir, de façon à obtenir un nouveau cœur et un esprit nouveau.

      Dieu n’ordonne pas ce qui ne peut pas être fait ; Il nous reproche cependant de ne pas faire ce qui est nous est possible d’accomplir, et nous demande de prier pour ce que qui n’est pas encore accompli. Des directives divines et les moyens de les accomplir sont ici décrits ; les directions spirituelles à prendre et les promesses sont données, afin que ceux qui désirent opérer ce changement puissent le rechercher directement près de Dieu !

      Zacharie 12

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 5

      Matthieu 7

      Matthieu 21

      Marc 1

      1

      Marc était probablement neveu de Barnabas ; les versets de Colossiens 4:10 et d’Actes 12:12 montrent qu'il était le fils de Marie, une femme pieuse de Jérusalem, chez qui les apôtres et les premiers chrétiens se rassemblaient. Du fait que Pierre l'appelle « son fils », 1Pierre 5:13, on suppose que Marc a été converti par cet apôtre. Il était ainsi étroitement uni aux disciples de notre Seigneur, bien qu'il ne fasse pas spécifiquement partie des « douze ».

      Marc rédigea ses écrits à Rome ; certains se demandent si Pierre lui dictait directement son texte, bien qu’on témoigne qu’en général, l'apôtre ayant prêché à Rome, ait demandé à Marc, de consigner les détails de ses prédications par écrit : ce dernier était en effet son fidèle compagnon, capable de transcrire au mieux ce que Pierre voulait annoncer.

      Nous pouvons remarquer l’évidence de la grande humilité de Pierre, quels que soient les témoignages rendus à son sujet. Il est rare de voir un acte accompli par Christ, où cet apôtre ne soit pas présent ; en fait, la précision de la Parole de Dieu montre que dans ce cas, les faits sont toujours relatés par un témoin oculaire.

      L’évangile de Marc retrace les miracles de notre Seigneur, plus que Ses paroles ; bien que sur de nombreux points, l’évangéliste relate les mêmes choses que l'évangile selon Matthieu, nous pouvons en tirer certaines précisions complémentaires, du fait que la description des mêmes événements reflète le caractère et la pensée de chaque auteur.

      * Le service de Jean-Baptiste. (Marc 1:1-8) Le baptême et les tentations de Christ. (Marc 1:9-13) Christ prêche et appelle les disciples. (Marc 1:14-22) Il chasse un esprit impur. (Marc 1:23-28) Il guérit beaucoup de malades, (\\#29-39\\) dont un lépreux. (\\#40-45\\)

      Les livres d’Ésaïe et de Malachie, en citant le ministère de Jean, décrivent chacun le commencement de l'évangile de Jésus-Christ. Par ces prophètes, nous pouvons observer que Christ, au temps de l’évangile, est venu parmi nous, apportant avec Lui le trésor de la Grâce, et le sceptre de la Puissance. La corruption du monde est telle qu'on trouve une grande opposition à ce déploiement. Quand Dieu envoya Son Fils dans le monde, Il prépara Sa venue ; quand Il L'envoie dans le cœur de l’homme, Il prend soin également de préparer Son chemin.

      Jean s’estimait indigne d’être au service du Seigneur. Les saints les plus éminents ont toujours été les plus humbles. Ils ressentent plus que quiconque, le besoin du sang de Christ, qui rachète, et de l'Esprit, qui sanctifie. Jésus, dans Son évangile, proclame une grande promesse à ceux qui se sont repentis et qui ont demandé le pardon de leurs péchés : ils seront baptisés du Saint Esprit, revivifiés par Son réconfort et purifiés par la Grâce.

      Nous écoutons parfois les ordonnances divines, la Parole et nous pratiquons les divers sacrements, sans réel profit ni grande consolation, car nous n'avons pas cette « divine lumière » en notre cœur ; en fait, nous ne l'avons pas, parce que nous ne la demandons pas...

      Nous avons cette parole infaillible du Seigneur : Notre Père Céleste donnera cette lumière, son Saint Esprit, à ceux qui le Lui demandent !

      Marc 6

      Luc 6

      Jean 1

      1

      L'apôtre et évangéliste, Jean, semble avoir été le plus jeune des douze. Il était particulièrement estimé par notre Seigneur et bénéficiait vraiment de Sa confiance, d’où cette expression : « il était le disciple que Jésus aimait ».

      Jean était très sincèrement attaché à son Maître. Il exerçait avec beaucoup de zèle son ministère à Jérusalem ; il survécut à la destruction de cette ville, conformément à la prédiction de Christ, en (Jean 21:22).

      La tradition raconte qu'après la mort de la mère de Jésus, Jean résida principalement à Éphèse. Vers la fin du règne de Domitien, il fut banni à l'île de Patmos, où il écrivit l’Apocalypse. À l'accession au pouvoir de Nerva, il fut remis en liberté, et retourna à Éphèse, où l'on pense qu'il écrivit son Évangile et ses Épîtres, aux environs de 97 après J.C ; il mourut aussitôt après.

      Le but de cet Évangile semble être celui d'apporter au monde chrétien de justes notions sur la véritable nature, la fonction, et le caractère du « Professeur Divin », Celui qui vint pour enseigner et racheter l'humanité.

      Dans ce but, Jean fut conduit à choisir pour son récit, les passages de la vie de notre Sauveur qui exposaient le plus clairement Sa puissance et Son autorité divines ; l’apôtre mentionne également les propos de Jésus, dans lesquels Il parle très clairement de Sa propre nature et de la puissance de Sa mort, en tant qu’expiation des péchés du monde.

      En citant, ou en soulignant brièvement les événements rapportés par les autres évangélistes, Jean témoigna ainsi que leurs récits étaient véridiques ; il a seulement repris quelques points doctrinaux déjà mentionnés, ainsi que certaines particularités importantes, omises dans les autres évangiles.

      * La Divinité de Christ. (Jean 1:1-5) Sa nature divine et humaine. (Jean 1:6-14) Le témoignage de Jean-Baptiste concernant Christ. (Jean 1:15-18) Le témoignage public de Jean concernant Christ. (Jean 1:19-28) Autres témoignages de Jean concernant Christ. (Jean 1:29-36) André et un autre disciple suivent Jésus. (Jean 1:37-42) Philippe et Nathanaël sont appelés par Jésus. (Jean 1:43-51)

      Jean 1:1-5 Dans ce texte, le Fils de Dieu est appelé « la Parole ». Nos propos révèlent nos pensées aux autres et il semble évident qu’il en soit ainsi pour le Fils de Dieu, envoyé ici bas pour révéler l'Esprit de Son Père au monde.

      Ce texte de l'évangéliste, relatif à Christ, prouve que ce Dernier est véritablement Dieu ! Jean affirme d’ailleurs Sa coexistence avec le Père, dès le commencement : « la Parole était avec Dieu ». Toutes choses ont été faites par Christ. Sans Lui rien n'aurait pu être fait, depuis le plus élevé des anges, jusqu'au moindre vermisseau. Tout ceci montre combien Il était qualifié pour l'œuvre de notre rédemption et de notre salut !

      La lumière et la vie viennent de Christ, et dépendent de Lui. Cette Parole est éternelle, cette Lumière véritable brille, mais hélas, les ténèbres ne la comprennent pas. Prions sans cesse, pour que nos yeux puissent rester ouverts, afin de contempler cette Lumière, et de pouvoir marcher avec Elle, pour devenir spirituellement sages, par notre à salut, par la foi en Jésus-Christ !

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      Jean 12

      44 Dans ce texte, nous voyons notre Seigneur proclamer publiquement, que celui qui croyait en Lui, en tant que véritable disciple, ne croyait pas uniquement en Lui, mais également au Père qui L'a envoyé.

      En discernant que Jésus est la « gloire » du Père, nous apprenons à Lui obéir, à L'aimer et à nous confier en Lui. En tournant chaque jour notre regard vers Lui, Celui qui est venu en tant que Lumière du monde, nous sommes de plus en plus libérés des « ténèbres » de l'ignorance, de l'erreur, du péché, et de la misère ; nous apprenons que le désir de Dieu, notre Sauveur, est de nous faire acquérir la vie éternelle.

      Mais Sa Parole « scellera » la condamnation de tous ceux qui la méprisent, ou négligent de l’acquérir...

      Jean 14

      1

      Christ réconforte Ses disciples. (Jean 14:1-11)
      Il réconforte de nouveau Ses disciples. (Jean 14:12-17)
      Il réconforte une troisième fois Ses disciples. (Jean 14:18-31)

      « Que votre cœur ne se trouble point ». Nous trouvons dans ce verset trois termes que l’on peut souligner :

      1) Le mot « votre » : même si ceux qui nous entourent sont accablés par les peines du temps présent, nous ne devons pas tenir la même attitude en pareil cas.

      2) Le mot « cœur » : que votre cœur soit gardé dans une totale confiance en Dieu.

      3) Le mot « trouble » : ne soyez pas désemparés ni agités.

      Les enfants de Dieu doivent garder leur âme en paix, quand par ailleurs, tout est sujet d'inquiétude.

      Dans la suite de ce verset, on trouve le remède contre le trouble de l'âme que provoque l’anxiété : « Croyez » ! En croyant en Christ, le Médiateur entre Dieu et l'homme, nous sommes réconfortés spirituellement. La félicité céleste est décrite dans ce texte, comme la maison d'un père. Il y a beaucoup de demeures, car il y a beaucoup de fils appelés à être glorifiés. Ces demeures seront les nôtres jusqu'à la fin des temps. Christ terminera ce qu’Il a commencé, Il est l'Auteur de toute création ; s'Il a préparé cet endroit céleste pour nous, Il nous préparera aussi spirituellement, pour que nous puissions demeurer en ce lieu.

      Christ est le Chemin qui conduit le pécheur vers le Père, vers le ciel ; Il est véritablement Dieu manifesté en chair, Il s’est sacrifié pour expier notre péché, Il est notre Avocat. Il est la Vérité, Il représente l’accomplissement de toutes les prophéties relatives au Sauveur. Il est la Vie : l'Esprit qui régénère, fait renaître celui qui est mort spirituellement dans le péché. Nul homme ne peut s'approcher de Dieu en tant que Père, à moins qu’il n'ait été ressuscité spirituellement par Christ, la Vie, enseigné par Christ, la Vérité, et conduit par Christ, le Chemin. Christ est le Chemin qui mène nos prières à Dieu ; les bénédictions célestes peuvent alors nous combler ; c'est un Chemin sûr, qui mène au repos. Christ est la Résurrection et la Vie. Tout ceux qui L’ont vu par la foi, ont vu le Père en Lui.

      Au travers de la lumière de la doctrine de Christ, les Siens discernent Dieu le Père, le Père des lumières ; dans les miracles de Christ, ils discernent le Dieu Tout Puissant.

      La sainteté de Dieu s’est manifestée par la pureté de la vie de Christ. Nous devons croire en Christ, Celui qui a été révélé par Dieu à l'homme ; les œuvres du Rédempteur montrent Sa Gloire, et en Lui, nous pouvons discerner le Père !

      Actes 2

      Actes 3

      19 Dans ce texte, l’absolue nécessité de se repentir est citée solennellement à tous ceux qui désirent que leurs péchés soient effacés, afin qu'ils puissent bénéficier du « rafraîchissement spirituel » que rien d’autre que l'Amour du Rédempteur, ne peut offrir. Bénis soient ceux qui sont conscients de cette vérité !

      Il n'était pas nécessaire pour le Saint-Esprit de faire connaître les temps des promesses des dispensations futures. Ces sujets restent encore obscurs... Mais lorsque les pécheurs sont convaincus de leur culpabilité, ils s’adressent au Seigneur pour obtenir Son pardon ; l’âme perdue qui se convertit et qui croit à la rédemption offerte par Christ, reçoit, par Sa présence spirituelle, un rafraîchissement de Sa part. Au temps de l'épreuve, le Rédempteur peut demeurer « invisible spirituellement » : nous devons alors vivre par la foi, en Lui !

      Actes 11

      Actes 17

      Actes 20

      Actes 26

      1 Corinthiens 3

      10 L'apôtre était un « sage architecte », (verset 1 Corinthiens 3:10) ; la Grâce de Dieu l’a fait ainsi.

      Toute fierté spirituelle est répréhensible ; elle utilise les plus grandes faveurs divines pour nourrir notre vanité, nous faisant devenir ainsi l’idole de nous-même. Que chacun fasse attention ; il peut y avoir de mauvaises constructions sur un bon fondement : on ne doit construire sur une fondation que ce qu’elle peut supporter ; elle forme un tout avec le corps de bâtiment.

      Prenons soin de ne pas joindre à notre foi, associée à notre témoignage pour Christ, une vie charnelle, corrompue par le péché. Christ est en effet un Roc inébranlable, éternel, toujours capable de supporter le poids que Dieu ou le pécheur peuvent placer sur Lui ; il n'y a de salut en aucun Autre, Actes 4:12*. Excluons toute doctrine de l’expiation qu’offre Jésus, si notre espérance ne repose pas sur Lui. Deux sortes de personnes s'appuient sur le Seigneur : - Celles qui soutiennent sans cesse la Vérité en Jésus, n’annonçant rien d'autre. - Celles également, qui bâtissent leur vie sur un bon fondement spirituel, mais qui ne peuvent résister, hélas, lors de l'épreuve.

      Nous pouvons nous tromper nous-même, comme être dupé par notre prochain ; le jour vient, où nos actes seront démasqués et mis en lumière, devant le Seigneur. Ceux qui répandent véritablement la « bonne nouvelle », sous toutes ses formes, verront leur travail révélé, au grand jour du jugement, ils recevront alors leur récompense du ciel. Cela devrait les motiver, c’est très important ! D’autres, dont les opinions et leur doctrine de base sont corrompues, verront dévoilées leurs vaines pratiques, voire également, leur adoration fictive du Seigneur : ils seront rejetés par ce Dernier et leurs œuvres seront divulguées devant tous, au jour du Jugement.

      Au verset quinze, il est clair qu'il s'agit d'un feu, au sens figuré : quelle fournaise pourrait en effet consumer des doctrines ou des rites religieux ? Ce « feu » doit éprouver les œuvres de chaque homme, celles de Paul et Apollos aussi bien que celles de tous les autres.

      Considérons bien la qualité de notre travail pour le Seigneur : veillons à ce que nous faisons, comparons nos tâches avec ce qu’enseigne la Parole de Dieu ; jugeons-nous honnêtement nous-mêmes, afin de pas l’être défavorablement par Christ...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      1 Corinthiens 13

      2 Corinthiens 7

      1

      Exhortation à la sainteté ; l'église entière est exhortée à témoigner de l'affection envers l'apôtre. (2 Corinthiens 7:1-4)
      Paul se réjouit de l’affliction des Corinthiens, due au repentir. (2 Corinthiens 7:5-11)
      Il se réjouit également du réconfort spirituel dont ils bénéficient, avec Tite. (2 Corinthiens 7:12-16)

      Les promesses de Dieu sont utiles pour nous inciter à croître dans la sainteté ; nous devons nous purifier nous-mêmes de toute souillure de chair et d'esprit.

      Si nous basons notre espérance en Dieu le Père, nous devons rechercher la sainteté et la perfection, à l'image de ce Dernier, dans les cieux. Sa Grâce, par l'influence de l'Esprit, peut déjà nous purifier, à elle seule, mais la recherche de la sainteté doit être l'objet constant de nos prières. Si les serviteurs de Dieu sont méprisés, il est aussi à craindre que l'Évangile lui-même le soit également ; bien que ces derniers ne doivent flatter personne, ils doivent cependant exprimer de la douceur envers tous. Ils peuvent rechercher l'estime et la faveur de ceux qu’ils côtoient, mais ils ne doivent corrompre qui que ce soit par de fausses doctrines, voire des paroles flatteuses ; ils ne doivent nuire à personne, ni chercher à promouvoir leur propre intérêt, afin de ne blesser qui que ce soit.

      Paul, en raison de son affection envers les Corinthiens, leur parlait librement ; il était heureux de vanter la croissance spirituelle qu’il leur avait permis d’acquérir, en tous lieux et en toutes occasions !

      Galates 5

      Ephésiens 2

      1

      Richesse de la Grâce de Dieu envers les hommes, révélée à cause de l’état déplorable de leur nature ; l’heureux changement qu’Elle opère en eux. (Ephésiens 2:1-10)
      Les Éphésiens appelés à réfléchir sur leur triste état, qui frôlait le paganisme. (Ephésiens 2:11-13)
      Les privilèges et les bénédictions de l'Évangile. (Ephésiens 2:14-22)

      Le péché est la mort de l'âme. Un homme qui est mort dans ses offenses et ses péchés, ne recevra aucun bien-être spirituel.

      La vue d’un cadavre suscite en nous un sentiment d’horreur. L’esprit, toujours vivant, vient de quitter ce corps, en ne laissant que les « ruines » de ce dernier. Mais en étant vraiment réalistes, nous devrions être bien plus affectés par la mort d'une âme, par un esprit perdu.

      Un état de péché est conforme à celui du monde. Les hommes mauvais sont des esclaves de Satan. Celui-ci est à l’origine du cœur orgueilleux et charnel que l’on voit chez les impies ; en fait, Satan gouverne le cœur des hommes...

      Selon l'Écriture, il est clair que si les hommes se sont rapidement penchés vers la sensualité ou la méchanceté spirituelle, étant par nature des « enfants de désobéissance », ils sont aussi de ce fait, des « enfants de colère ». Les raisons qui peuvent alors pousser les pécheurs à vraiment rechercher la Grâce, qui seule, les transformera, « d'enfants de colère » en enfants de Dieu et héritiers de Sa Gloire, sont vraiment évidentes !

      L'Amour éternel de Dieu et Sa Volonté de sauver Ses créatures sont la source de toutes Sa Miséricorde envers nous ; il s’agit d’un Amour immense et d’une riche Miséricorde. Chaque pécheur converti est un pécheur sauvé, délivré du péché et du courroux divin. La Grâce qui sauve est entièrement gratuite et imméritée, c’est une faveur divine ; Elle sauve, non pas selon les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ. La Grâce représente pour l'âme une nouvelle vie. Un pécheur régénéré devient une « âme vivante » ; il vit désormais dans la sainteté, étant né de Dieu : il vit, étant délivré de la culpabilité de ses péchés, par la Grâce qui pardonne et qui justifie.

      Les pécheurs vaquent dans la dépravation de ce monde ; les âmes sanctifiées « résident » dans les lieux célestes, elles sont élevées au-dessus de ce monde, par la Grâce de Christ. La bonté divine, qui a converti et sauvé les pécheurs repentants, encourage les autres à espérer dans la Grâce et la Miséricorde. Notre foi, notre conversion, et notre salut éternel, ne proviennent pas des œuvres, afin que personne ne puisse s'en glorifier, afin que toute vantardise soit vaine.

      Tout salut provient du don gratuit de Dieu ; nous sommes « ramenés » à la vie par Son pouvoir. Tel était Son but, auquel Il nous a préparés, en nous bénissant, par la connaissance de Sa Volonté et de Son Esprit Saint ; cela opère un tel changement en nous, que nous devons glorifier verbalement le Seigneur, et persévérer dans la sainteté.

      Sur les bases de l'Écriture, nul ne peut contredire cette doctrine du salut, ni l'accuser faussement de nous conduire à nouveau vers le mal. Tous ceux qui font ainsi sont sans excuse.

      Ephésiens 4

      Philippiens 3

      12 L’apôtre ne dit pas dans ce texte qu’il a déjà remporté « le prix » (parvenu à son but spirituel), ni qu’il ressemble parfaitement à son Sauveur. Il oublie tout ce qui est derrière lui, afin de ne pas se contenter des œuvres qu’il a déjà effectuées, ni des grâces dont il a pu bénéficier.

      Paul portait son regard en avant, « courant vers le but », montrant une grande vigilance à essayer de devenir de plus en plus semblable à Christ.

      Celui qui s’élance dans une course ne doit jamais s'arrêter avant la fin, il doit être aussi rapide que possible ; ceux qui placent leur espérance dans le « céleste », doivent concentrer leur énergie pour atteindre ce but, animés de saints désirs, et d’une grande constance dans leurs efforts.

      La vie éternelle est un don de Dieu, par l’intermédiaire de Jésus-Christ ; Le Seigneur nous tend Sa main pour nous aider à l’obtenir, car Il est le seul qui puisse nous la procurer. Le ciel ne pourra constituer notre demeure que si Christ est notre « Chemin ». Les véritables croyants, dans la poursuite de cette assurance spirituelle et de la Gloire de Christ, chercheront vraiment à essayer de ressembler à Ses souffrances et à Sa mort, en mourant au péché et en crucifiant la chair, avec ses vaines affections et ses convoitises.

      Dans cette « course » spirituelle, les chrétiens véritables disposent d’une force particulière, mais tous sont capables de discerner le « but », même partiellement. Pour les croyants, Christ est tout en tout, ils dirigent les désirs de leur cœur vers un autre monde, le spirituel. S'ils disposent tous d’aptitudes particulières, et ne sont pas toujours du même avis, quant à certains détails, ils ne doivent pas se juger mutuellement, puisqu'ils se réunissent ici-bas au Nom de Christ, espérant Le rencontrer bientôt face à face dans le ciel !

      Que les enfants de Dieu soient d’accord sur tous les grands sujets spirituels, mais qu'ils attendent davantage de lumière céleste pour les points secondaires sur lesquels ils pourraient éventuellement ne pas être en harmonie.

      Les ennemis de la croix de Christ n'ont à l'esprit que leurs appétits sensuels. L’iniquité est la honte du pécheur, surtout quand il s'en glorifie. Le chemin de ceux qui ne pensent qu’aux attraits de ce monde, peut paraître agréable, mais la mort et l'enfer en sont la fin ! Si nous choisissons d’emprunter leur chemin, nous partagerons leur fin... La vie d'un chrétien est dans le ciel, où se trouvent son Chef et sa « maison », où il espère se rendre bientôt ; il place ses affections dans ce qui est céleste, et l’état de son cœur guidera son comportement.

      Une certaine gloire est réservée pour les corps des saints, dans laquelle ils paraîtront, lors de la résurrection. Leur corps sera alors glorieux ; ils seront non seulement ramenés à la vie, mais ils disposeront d’un immense privilège céleste. De quel pouvoir le Seigneur dispose t-il pour opérer un tel changement !

      Puissions-nous être prêts, lors de la venue de notre Juge ! Notre corps périssable sera alors transformé, par Son pouvoir Tout-puissant ; appliquons-nous chaque jour à ressembler à Christ, dans Sa sainteté, afin qu’Il nous délivre de nos ennemis ; employons-nous, corps et âme, à être des instruments de justice, à Son service !

      Colossiens 1

      Colossiens 4

      1 Timothée 3

      1 Timothée 6

      2 Timothée 2

      Hébreux 5

      Hébreux 6

      1

      Il est demandé aux Hébreux d'avancer dans la connaissance de la doctrine de Christ ; conséquences de l'apostasie ou d'une régression spirituelle. (Hébreux 6:1-8)
      L'auteur de l'épître exprime sa satisfaction envers la plupart des Hébreux. (Hébreux 6:9,10)
      Il les encourage à persévérer dans la foi et la sainteté. (Hébreux 6:11-20)

      Chaque élément de la Vérité et de la Volonté de Dieu doit être mis en avant par tous ceux qui professent l'Évangile, et doit être gravé dans leur cœur et leur conscience. Nous ne devons pas nous polariser en permanence sur les vains sujets de ce monde ; ils ont leur place et leur utilisation, mais occupent trop souvent notre attention et notre temps, éléments qui pourraient être mieux employés...

      Le pécheur humilié, qui plaide coupable et pleure pour demander miséricorde à Dieu, ne doit pas se décourager par la lecture de ces versets, quelle que soit l'accusation que peut lui porter sa conscience. Ce texte ne prouve pas non plus que celui qui est devenu une nouvelle créature en Christ, puisse en devenir un jour un apostat. L'apôtre ne parle pas de ceux qui ont chuté, en tant que simples pécheurs « passifs », n'ayant jamais été réellement convaincus ni influencés par l'Évangile. De telles personnes n'avaient rien pour les préserver de la chute, aucune conviction de rachat par Christ : elles ne disposaient que d’une profession de foi hypocrite.

      Ce texte ne mentionne pas non plus ceux dont le zèle spirituel s’est émoussé, ou est devenu partiellement rétrograde. Il ne s'agit pas dans ce cas, de péchés, tels que la chute de chrétiens ayant succombé à la tentation, ou au pouvoir de quelque vain plaisir de ce monde charnel. La chute mentionnée ici, est un renoncement manifeste et déclaré à Christ, une inimitié de cœur envers Lui, envers Sa cause et Son peuple, soutenues par des personnes approuvant les actions de Ses bourreaux à la croix, après qu'elles aient néanmoins reçu la connaissance de la Vérité et goûté à Ses consolations. Au sujet de ces âmes, il est dit qu'il est impossible de les ramener à la repentance. Non pas par l’incapacité du sang de Christ, pour obtenir le pardon de leurs péchés, mais parce que ces derniers, par leur véritable nature, sont opposés à tout repentir et à tout ce qui y conduit.

      Certaines personnes peuvent éprouver des difficultés à comprendre ce texte, ayant certains doutes sur la véracité de leur propre repentance, et craignant qu'il n'y ait pas de Miséricorde suffisante pour eux ; pour soulager de telles craintes erronées, elles doivent prendre en compte ce que déclare la Parole au sujet de la nature du péché, à savoir un renoncement total et volontaire à Christ et à Sa cause, associé à une adhésion de cœur avec Ses ennemis.

      Nous devons nous méfier et avertir les autres, de toute approche d'un « abîme » aussi redoutable que celui de l'apostasie ; nous devons parallèlement rester proches de la Parole de Dieu, et veiller à ne pas blesser ni apeurer le faible dans la foi, ou à décourager la personne repentante qui a chuté.

      Les croyants ne goûtent pas seulement la Parole de Dieu, mais ils « s’abreuvent » en Elle, avec toute la bénédiction qui en découle. Celui qui n'est chrétien « que de nom », continuant à rester spirituellement stérile, malgré les effets de la Grâce, ou qui ne produit aucun fruit spirituel, en se vouant à la supercherie et à l'égoïsme, est proche du terrible état décrit ci-dessus ; la misère éternelle est la fin qui lui est réservée. Veillons, dans une humble prudence, prions pour les personnes en « difficulté spirituelle », comme pour nous !

      Hébreux 7

      11 Le sacerdoce lévitique et la loi, sans lesquels la perfection ne pouvait être, sont désormais terminés ; un nouveau Sacrificateur s'est désormais levé, une nouvelle dispensation est maintenant instaurée, par laquelle les véritables croyants peuvent croître dans la sanctification. Un tel changement est évident !

      La loi qui établissait le sacerdoce lévitique a montré que les sacrificateurs étaient vulnérables, des créatures assujetties à la mort, incapables de sauver leur propre vie, et encore bien moins de sauver les âmes de ceux qui s’approchaient d’eux. Mais le Souverain Sacrificateur que nous confessons (Christ) remplit Son office par le pouvoir de posséder une vie éternelle ; non seulement pour rester Lui-même vivant, mais pour donner la vie spirituelle et éternelle à tous ceux qui s'appuient sur Son sacrifice et Son intercession. Cette nouvelle alliance, dont Jésus est le Garant, est opposée dans ce texte à celle du salut par les œuvres, par laquelle chaque transgresseur est « enfermé » sous la malédiction. Cette alliance, dont bénéficie aujourd’hui l’Église, se distingue de celle reçue par Israël au Sinaï.

      La nouvelle alliance a amené l'Église et chaque croyant dans une lumière spirituelle plus claire, une parfaite liberté, avec d’abondants privilèges.

      Au temps d'Aaron, de nombreux de sacrificateurs et souverains sacrificateurs se sont succédés ; mais dans le sacerdoce de Christ, il n'y en a qu'un, toujours le même ! Ce Sacrificateur est la « sécurité » du croyant, la source de sa joie ; il s’agit d’un souverain sacrificateur éternel, capable de sauver entièrement l’homme pécheur, en tous temps et dans tous les cas !

      Nous ne pouvons que désirer une telle spiritualité et une sainteté, supérieures à celles des croyants de l'Ancien Testament, grâce aux avantages que nous avons sur eux, par notre Grand Sacrificateur : Jésus-Christ !

      Hébreux 9

      Hébreux 11

      Hébreux 12

      Jacques 1

      1 Pierre 1

      1 Pierre 5

      10 Pour conclure, l'apôtre prie pour ceux à qui il adresse cette lettre, rappelant que le Seigneur est un Dieu de toute Grâce ; il continue en ces termes : -« Dieu vous perfectionnera » ; cela implique un progrès spirituel, menant à la sanctification. -« Dieu vous affermira » ; cela suppose une guérison de notre faiblesse naturelle et de notre inconstance. -« Dieu vous fortifiera » ; il se réfère à l'accroissement de la Grâce, là où les enfants de Dieu sont les plus vulnérables. -« Dieu vous rendra inébranlables » ; cela souligne un fondement spirituel parfaitement sûr : Christ est le Fondement et la Force des croyants.

      Ces différentes expressions montrent que la persévérance et le progrès dans la Grâce doivent être les premiers éléments que chaque chrétien doit rechercher. La puissance de cette doctrine dans le cœur, et les fruits spirituels qui en découlent, montrent que les enfants de Dieu sont les participants de Sa Grâce.

      « La croissance de l'amour des chrétiens, et de leur affection mutuelle », n'est en aucune manière une phrase vide de sens : c’est le « sceau et l'insigne » de Jésus-Christ sur ceux qui L’aiment.

      Les impies peuvent bénéficier pour un temps d’une paix fictive, et souhaiter avoir certains agréments pour eux-mêmes, comme pour d'autres ; mais leur espoir est vain, et se réduira à néant... Toute paix durable est fondée sur Christ, elle ne peut provenir que de Lui !

      1 Jean 4

      1 Jean 5

      13 D’après toutes les évidences de ce texte, il est clair qu’il n’y a rien de plus profitable que de croire au Nom du Fils de Dieu.

      Aujourd’hui, sous la Nouvelle Alliance de l'Évangile, les croyants bénéficient de la vie éternelle. Recevons donc avec reconnaissance ce que nous enseigne l'Écriture. Nous devons toujours abonder dans l'œuvre du Seigneur, sachant que cette tâche ne sera jamais vaine !

      Le Seigneur Jésus-Christ nous invite à nous approcher de Lui, en toutes circonstances, avec nos supplications et nos requêtes, malgré le péché qui peut nous obséder. Nos prières doivent toujours être offertes à Dieu, en toute soumission à Sa volonté. Si dans certains cas elles sont rapidement exaucées, dans d'autres, elles sont satisfaites de la meilleure manière, même si cela ne correspond pas tout à fait à ce que nous avons demandé. Nous devons intercéder pour les autres, comme pour nous-même.

      Il y a des péchés qui pratiquent une « guerre spirituelle » à l'âme. Nous ne pouvons pas prier pour que les péchés de l'impénitent et de l'incrédule invétéré leur soient pardonnés, ni que la Miséricorde divine leur soit accordée, s’ils continuent délibérément à suivre leurs mauvaises voies. Mais nous pouvons toutefois prier pour leur repentir, pour qu'ils soient enrichis dans leur foi en Christ et dans toute Sa Miséricorde bénéfique.

      Nous devons intercéder pour les autres, aussi bien que pour nous-même, suppliant le Seigneur de pardonner, de relever et de soulager celui qui a chuté, qui est tenté, voire affligé. Soyons vraiment reconnaissants du fait qu'aucun des péchés, de l’homme qui se repent réellement, ne mène à la mort.

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