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Du ciel, l’ange du Seigneur appela Abraham une seconde fois
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et lui dit : « Voici ce que déclare le Seigneur : Parce que tu as agi ainsi, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton fils unique, aussi vrai que je suis Dieu, je jure
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de te bénir abondamment en rendant tes descendants aussi nombreux que les étoiles dans le ciel ou les grains de sable au bord de la mer. Tes descendants s’empareront des cités de leurs ennemis.
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A travers eux, je bénirai toutes les nations de la terre parce que tu as obéi à mes ordres. »
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C’est la promesse qu’il a faite à Abraham, c’est son serment en faveur d’Isaac,
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c’est la décision qu’il a confirmée à Jacob, sa promesse éternelle en faveur d’Israël,
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Aussi vrai que je suis Dieu, j’en fais le serment et ma promesse est loyale, je n’y changerai rien : tous les humains, à genoux, me jureront fidélité.
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Mais si vous n’écoutez pas ce que je vous dis, alors je le jure, moi le Seigneur, aussi vrai que je suis Dieu, ce palais deviendra un tas de ruines.
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J’en fais le serment : Aussi vrai que je suis Dieu, ta capitale Bosra deviendra un sujet d’horreur et d’effroi, un champ de ruines que l’on citera comme exemple pour prononcer une malédiction. Et les villes voisines ne seront plus que des ruines éternelles. » Voilà ce que déclare le Seigneur.
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Je détruirai tout le bétail que tu possèdes au bord du Nil. L’eau ne sera plus troublée par les pieds de l’homme ou les sabots des bêtes.
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Tu manifesteras ton amour fidèle aux descendants d’Abraham et de Jacob, comme tu l’as promis autrefois à nos ancêtres.
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En effet, Dieu avait fait serment à Abraham, notre ancêtre,
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Quand Dieu fit sa promesse à Abraham, il l’accompagna d’un serment formulé en son propre nom, car il n’y avait personne de plus grand que lui par qui le faire.
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Quand les hommes prêtent serment, ils le font au nom de quelqu’un de plus grand qu’eux, et le serment est une garantie qui met fin à toute discussion.
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Or, Dieu a voulu montrer encore plus clairement à ceux qui devaient recevoir les biens promis que sa décision était irrévocable ; c’est pourquoi il ajouta un serment à la promesse.
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Il y a donc deux actes irrévocables, dans lesquels il est impossible que Dieu mente. Ainsi, nous qui avons trouvé un refuge en lui, nous sommes grandement encouragés à saisir avec fermeté l’espérance qui nous est proposée.
- Ainsi l'auteur, cherchant un fondement assuré pour l'espérance de ses frères, s'empresse, après avoir rappelé les fruits de leur foi, (Hébreux 6.10) de s'élever jusqu'à la fidélité inviolable de Dieu. (Hébreux 6.13 et suivants) Il leur rappelle en quels termes Dieu fit à Abraham, le "père des croyants," cette promesse dont l'accomplissement, patiemment attendu, devait apporter le salut à l'humanité.