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Notre situation était la même : tant que nous étions spirituellement mineurs, nous devions rester soumis aux règles d’éducation élémentaires qui sont nécessaires aux non-chrétiens ; nous étions, comme eux, asservis à tout un système de lois et de prescriptions, juives ou non juives, constituant les seules valeurs morales du monde.
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Mais à présent, vous avez appris à connaître Dieu. Bien plus, Dieu vous a reconnus comme ses enfants ! Comment alors pouvez-vous retourner à ces faibles et pauvres notions rudimentaires ? Voulez-vous une fois de plus vous laisser asservir par un système religieux primitif sans valeur ni efficacité ?
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Il a effacé
l’acte aux mille articles
qui nous accusait,
car il mentionnait
tous nos manquements
à la loi (de Dieu).
Il l’a annulé
et il l’a cloué
à la croix.
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S’il est vrai que, dans la communion avec le Christ, vous êtes morts pour les puissances spirituelles qui régissent ce monde, et que vous êtes libérés de ses notions religieuses élémentaires, pourquoi continuez-vous à agir comme si votre vie appartenait encore à ce monde ? Pourquoi acceptez-vous de vous laisser imposer règlements et défenses comme :
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En outre, il apparaît sans que l’Écriture ne mentionne ni père, ni mère, ni aucun de ses antécédents. Il n’y a pas la moindre allusion à sa naissance ou à sa mort. Ses jours semblent n’avoir ni commencement ni fin. Il demeure prêtre pour tous les temps. Sur tous ces points, il ressemble au Fils de Dieu. C’est pourquoi ce Melchisédec en est l’exacte figure.
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En effet, son élévation à la prêtrise ne repose pas sur un ensemble de lois imposées ou sur une filiation naturelle ; elle est due au dynamisme d’une vie indestructible.
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Écoutez en effet le témoignage qui lui est rendu : Tu es prêtre pour toujours dans la ligne de Melchisédec.
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Mais lorsque (Jésus) a été consacré prêtre, (Dieu lui-même) prêta serment. En effet, l’Écriture dit : Le Seigneur l’a juré,
et jamais il ne reviendra sur sa parole :
Tu es prêtre pour toujours.
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Mais Jésus est éternel, il possède un sacerdoce perpétuel qui ne peut être transmis à personne d’autre.
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Voilà pourquoi il est toujours en mesure de sauver parfaitement et à jamais ceux qui s’approchent de Dieu par son intermédiaire. Parce qu’il vit éternellement, il peut toujours intervenir en leur faveur auprès de Dieu.
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Les grand-prêtres institués par la loi sont des hommes faillibles et imparfaits. Celui que Dieu a établi – postérieurement à la promulgation de la loi – par un serment solennel, c’est son propre Fils rendu parfait pour toujours.
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En effet, tout cela est une image symbolique du temps actuel. On offre bien des dons et des sacrifices d’animaux, mais ils sont incapables de donner à celui qui sert Dieu de cette manière, la perfection morale qui satisferait pleinement la conscience.
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En effet, il ne s’agit dans un tel culte que de prescriptions purement extérieures concernant des aliments, des boissons et diverses ablutions : rien que des rites matériels réglant la vie du corps. Ils devaient seulement rester en vigueur jusqu’au temps où Dieu réformerait toutes choses et instituerait un ordre nouveau.
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La loi (de Moïse) ne possède pas l’image véritable des réalités spirituelles (que le Christ nous a apportées). Elle ne contient qu’une ombre imprécise de ces biens qui étaient encore à venir. Elle ne peut donc pas donner une pureté parfaite à ceux qui s’approchent de Dieu sur la base de ses sacrifices répétés d’année en année.
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le vivant : j’étais mort, mais tu vois, je suis revenu à la vie et, à présent, je vis éternellement. Je détiens les clés de la mort et du séjour des morts.
L'auteur relève le contraste frappant qu'il y a entre les bases sur lesquelles reposent les deux sacrificatures : la loi d'une ordonnance charnelle, et la puissance d'une vie impérissable. (Grec : indissoluble.)
Il appelle charnelle l'ordonnance de la loi qui instituait la sacrificature lévitique, parce qu'elle était extérieure, temporaire, prescrivait des cérémonies qui n'avaient d'importance que dans leur sens symbolique, et surtout parce qu'elle s'appliquait à des hommes mortels qui ne se succédaient dans la sacrificature qu'en vertu de leur naissance dans une certaine tribu.
Le vrai Sacrificateur, au contraire, notre Seigneur, (Hébreux 7.14) tient sa charge de sa nature divine, et parce qu'il est la source d'une vie indissoluble, éternelle.
C'est ce que l'auteur conclut (Hébreux 7.17) de la parole prophétique du Psaumes 110, qui confère au Fils de Dieu la sacrificature immuable, définitive, éternelle, amenant tout à la perfection. (Comparer Hébreux 7.11,18,19)