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Jacques 1.15

Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort.
Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, parvenu à son terme, engendre la mort.
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      Genèse 2

      Genèse 3

      6 Observons biens les étapes qui mènent à la transgression : aucune d'elles n'élève l'homme, mais au contraire, toutes le conduisent dans la fosse de la perdition. Au début, « Elle vit ». Un grand nombre de péchés provient de ce que l'on voit. Ne regardons pas à ce qui peut nous conduire dangereusement à la convoitise, Matthieu 5:28. Ensuite, « Elle prit ». Elle a commis cet acte de son propre chef.

      Satan peut tenter mais ne peut forcer à agir ; Il peut nous faire convoiter l'attrait négatif du péché mais Il ne peut nous y faire sombrer Lui-même, de force, Matthieu 4:6. Après, « Elle mangea ». Quand elle vit le fruit, au début, Ève pensait qu'elle ne le prendrait peut-être pas ; ou quand elle le prit, elle a peut-être pensé qu'elle ne le mangerait pas : mais elle finit par le consommer. Il est sage de s'arrêter au premier signe du péché et de s'en éloigner avant de le commettre. Ensuite, Ève en donna aussi à son mari. Ceux qui sont sur une pente dangereuse tentent d'entraîner les autres avec eux. En négligeant l'arbre de la vie, qu'il avait le droit de manger, et en consommant celui de la connaissance, qui lui, était interdit, Adam a pleinement montré qu'il se moquait de ce que Dieu lui avait dit et de ce qu'Il lui avait recommandé de ne pas faire. Il n'a fait que ce qu'il lui plaisait de faire. Son péché s'appelle tout simplement la désobéissance, Romains 5:19 ; une désobéissance au commandement divin.

      Il n'a eu aucune circonstance atténuante, mais au contraire, une pleine liberté pour accomplir totalement sa propre volonté. Il s'est détourné rapidement. Il a entraîné toute sa postérité dans le péché et la ruine. Qui peut minimiser le mal du péché commis par Adam ?

      Adam et Ève se sont aperçus, un peu tard, de leur folie, en mangeant du fruit interdit. Ils ont vu le bonheur qu'ils ont perdu, et la misère dans laquelle ils sont tombés. Le Dieu plein d'amour qu'ils ont connu a été bafoué, Sa grâce et Sa faveur ont été écartées. Observez bien à quel point le péché mène à la honte et amène les problèmes ; où qu'il entre, tout est détruit. Tôt ou tard il apporte la confusion ; ce sentiment de tristesse peut conduire, soit à la vraie repentance, qui se terminera dans la gloire céleste, soit au mépris de l'ordre divin qui fera comparaître le méchant devant Dieu, au jour du jugement. Notez à quel point de folie sont rendus ceux qui ont péché. Ils sont plus occupés par le souci de plaire aux hommes que par celui d'obtenir le pardon divin. Les hommes s'efforcent de couvrir et de diminuer la gravité de leurs péchés ; toutes ces tentatives sont vaines et frivoles ; ils sont comme nos premiers parents qui se sont vêtus de feuilles de figuier, faisant ainsi le maximum pour masquer leur faute : avouons qu'il nous est facile de faire de même. Avant de commettre le péché, Adam et Ève acceptaient les visites divines, pleines de grâces, avec joie et humilité ; maintenant ces visites sont devenues pour eux une véritable terreur. Il ne fait aucun doute qu'ils étaient remplis de confusion.

      Tout cela révèle la fausseté du tentateur et ses méthodes frauduleuses. Satan a promis la sécurité à Adam et Ève, mais en fait, ils en étaient bien dépourvus ! Nos parents furent désormais misérables et incapables de se réconforter mutuellement !

      Genèse 4

      8 La malice du cœur finit par pousser au meurtre. Caïn a attaqué Abel, son propre frère, le fils de sa mère, celui qu'il aurait dû aimer, ce jeune frère, qui lui, ne lui avait jamais fait de mal. Un des rôles de Caïn était de protéger Abel. Quelle fatalité, le péché de nos premiers parents a pu entraîner et quelle colère se trouvait alors dans les cœurs ! Observez l'orgueil et l'incrédulité de Caïn. Il nia son crime, comme s'il pouvait le dissimuler devant Dieu. Il tenta de couvrir un meurtre délibéré, par un mensonge. Le meurtre est un péché que l'on ne peut cacher. Le sang appelle le sang ; le sang de la victime crie après celui du meurtrier.

      Qui peut connaître les conséquences et le poids d'une sentence divine ? Elle peut nous atteindre n'importe où et nous blesser profondément. Seuls sont en Christ ceux qui sont rachetés, ils hériteront de nombreuses bénédictions. Caïn a été maudit sur la terre. Il a été puni là même où il a exécuté son crime et où il avait placé son cœur. Chaque créature nous apporte ce en quoi Dieu l'a façonnée, soit du réconfort soit une croix à porter, soit une bénédiction ou une malédiction. Le cœur du méchant disperse ce contexte de malédiction tout autour de lui. Caïn ne s'est pas plaint de son péché, mais de sa punition. Il faut avoir une grande dureté de cœur pour être davantage affecté par ses souffrances que par ses péchés. Dieu fait preuve de sagesse et de sainteté en prolongeant la vie même des méchants.

      Il serait vain de chercher à savoir quel genre de marque portait Caïn. Il devait être connu, à la fois, pour son infamie et par la protection que Dieu lui avait procurée afin de ne pas être tué. Abel même mort, témoignait de sa souffrance. Il dénonçait la faute hideuse du meurtrier en nous avertissant qu'il est bon de tuer la colère dès qu'elle naît et en nous enseignant qu'il est profitable de rester sur la voie de la droiture. Il nous montre aussi qu'il existe une vie éternelle future où l'on trouvera toutes les récompenses, au travers de la foi en Christ et de son sacrifice réconciliateur. Il nous parle également de l'excellence de la foi dans le sacrifice et dans le sang de l'Agneau de Dieu. Abel a été massacré par Caïn car les œuvres de ce dernier étaient mauvaises, à l'inverse de celles du premier qui n'étaient que droiture, 1Jean 3:12. C'est aussi la conséquence de l'inimitié entre la Semence de la femme et celle du serpent ; cette guerre a tout détruit. Et nous sommes tous concernés par ce combat, nous ne sommes pas neutres ; notre Maître a déclaré : « celui qui n'est pas avec moi, est contre moi ».

      Engageons-nous fermement sur la voie de la vérité et de la droiture, contre Satan !

      Job 15

      Psaumes 7

      Psaumes 9

      Esaïe 59

      Michée 2

      1

      Les péchés et la désolation d'Israël. (Michée 2:1-5)
      Les mauvaises actions du peuple. (Michée 2:6-11)
      Une promesse de restauration. (Michée 2:12,13)

      Malheur à ceux qui projettent le mal durant la nuit, et qui se lèvent tôt afin de mettre leurs plans à exécution ! Il n'est pas bien de commettre le mal, mais il est pire, de le faire avec préméditation.

      Il est très important d’employer de manière judicieuse le temps qui nous est alloué, quand nous sommes en retraite. Si la convoitise règne en notre cœur, la compassion du Seigneur en est bannie ; quand nous empruntons ainsi la voie du péché, la violence et la fraude sont hélas fréquentes...

      Les personnes qui sont fières de leur prospérité sont en général celles qui chancellent le plus rapidement, face à l'adversité. Malheur à ceux dont Dieu se détourne ! Il n’y a pas de pire calamité que d’être séparé de l'église et de la présence divine, avec la perte de tous les privilèges que cela implique...

      Matthieu 26

      14 Ils n'étaient que douze apôtres, autour de Jésus, mais en fait, l'un d'eux était animé par Satan ; il est certain que nous ne devons jamais nous attendre à la perfection, dans un groupe de personnes ici-bas...

      Plus les hommes font profession de piété, plus ils ont l'occasion de faire le mal, si leur cœur n'est pas réellement tourné vers Dieu. Nous remarquons que Judas, en tant que disciple de Christ, connaissait bien Sa doctrine et Sa manière de vivre ; néanmoins, il L’a trahi, sans avoir de réel motif d'accusation qui puisse justifier cette trahison. Que désirait Judas ? N'était-il pas le bienvenu, auprès de son Maître ? Ne L’a-t-il pas suivi dans Son ministère ?

      Ce n’est pas le manque, mais l'amour de l’argent qui est la « racine de tous les maux ». Après avoir conclu cet horrible marché avec les principaux sacrificateurs, Judas eut tout le temps de se repentir ; quand les moindres actes de malhonnêteté endurcissent la conscience, les hommes n’hésitent pas à commettre les actes les plus méprisables.

      57 Jésus fut emmené en hâte à Jérusalem. Il est vraiment mauvais, et cela fait présager le pire, de voir ceux qui désirent être disciples de Christ, cacher leur intention. À la fin de ce texte, Pierre va commencer à renier le Seigneur : suivre Christ de loin, c'est en fait commencer à s'en écarter...

      Quand on désire servir le Seigneur, le problème consiste à être prêt pour la « fin des évènements », quelle qu'elle puisse être, plutôt que de se demander avec curiosité ce que sera cette fin. Le cours des événements appartient à Dieu, mais le choix de notre chemin nous incombe.

      Maintenant les Écritures sont accomplies : « car il s'élève contre moi de faux témoins et des gens qui ne respirent que la violence », Psaume 27:12*. Christ a été accusé afin que nous ne puissions pas être condamnés ; si à certains moments, nous souffrons, il faut nous souvenir que nous sommes loin d’endurer les souffrances subies par notre Maître. Lorsque Christ a été fait « péché » pour nous, Il resta silencieux : Son sang versé a témoigné de Ses souffrances.

      Si jusqu'ici Jésus avait rarement professé expressément être le Christ, le Fils de Dieu, la portée de Sa doctrine ainsi que Ses miracles le prouvaient néanmoins ; mais maintenant, Il ne voulait manquer aucune occasion de témoigner ouvertement : Il l'a fait, malgré les souffrances qu’Il savait devoir endurer, donnant ainsi un exemple encourageant Ses disciples, à Le confesser devant les hommes, quel que soit le risque qu'ils allaient devoir encourir.

      Le dédain, la moquerie cruelle, et l’aversion, sont la part certaine des disciples de Christ, à l’image de ce que ce Dernier a subi de la part de ceux qui ont voulu le tourner en dérision, Lui le Seigneur de Gloire !

      Ces évènements ont été prédits avec exactitude dans le cinquantième chapitre d'Ésaïe. Confessons le Nom de Christ, supportons l'opprobre, et Il nous confessera devant le trône de Son Père !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Actes 5

      1

      La mort d'Ananias et Saphira. (Actes 5:1-11)
      La puissance qui accompagnait la prédication de l'évangile. (Actes 5:12-16)
      Les apôtres emprisonnés, mais libérés par un ange. (Actes 5:17-25)
      Les apôtres témoignent de Christ devant le conseil. (Actes 5:26-33)
      L'avis de Gamaliel. Le conseil laisse partir les apôtres. (Actes 5:34-42)

      Ananias et Saphira ont péché, ayant la suffisance de croire qu’ils étaient d'éminents disciples, alors qu'en fait, ils ne l’étaient pas.

      Les hypocrites arrivent parfois à se contredire volontairement, pouvant renoncer provisoirement à certains avantages ici-bas, dans la perspective de les retrouver plus tard autrement.

      Ananias et Saphira étaient avides de la richesse de ce monde, ils se « méfiaient » de Dieu et de Sa Providence. Ils pensaient pouvoir servir en même temps Dieu et Mamon. Ils estimaient pouvoir tromper les apôtres. L'Esprit de Dieu en la personne de Pierre, discerna l’incrédulité régnant dans le cœur d'Ananias. Quelle que soit la tentation, Satan n'a pas pu remplir le cœur d'Ananias d’une telle méchanceté sans le consentement de ce dernier. Cet homme, par son mensonge, tenta de tromper l'Esprit de Vérité, qui manifestement parlait et agissait par les apôtres.

      Ananias n'a pas fauté en voulant retenir une partie du prix du champ ; il aurait pu tout garder s'il l'avait voulu ; mais sa tentative de s'imposer aux apôtres par cet affreux mensonge était vaine et cupide.

      Si nous pensons pouvoir tromper Dieu, nous nous trompons fatalement nous-mêmes. Qu’il est triste, à l’exemple de ce texte, de voir ce genre de relations fraternelles, sensées éveiller les hommes à pratiquer le bien, les endurcir en fait et les pousser au mal !

      Le châtiment envoyé sur Ananias et sa femme était en réalité une miséricorde pour les autres : en effet, ce fut l'occasion pour eux d'un sérieux examen de conscience, de prière, de crainte de l'hypocrisie, de la cupidité et de toute vaine gloire : il devrait encore en être ainsi pour nous. Cela devrait freiner aussi ceux qui encouragent la fausseté...

      Apprenons, par cet exemple, combien le mensonge est odieux au Dieu de Vérité ; ne fuyons pas seulement la tromperie, mais tous les avantages que peut procurer l'usage d'expressions ambigües ou à sens équivoque.

      Romains 5

      12 Le propos de ce texte est clair : nous sensibiliser au sujet des bénédictions que Christ nous a procurées, en les comparant avec le mal qui a suivi la chute de notre premier père (Adam) ; Paul annonce que ces bénédictions ne nous sont pas accordées pour chasser le mal, mais qu'elles ont un but bien plus élaboré : Adam ayant péché, sa nature est devenue coupable et corrompue ; elle a été transmise à tous ses descendants. Ces derniers ont donc tous péché. La mort est survenue à cause du péché, elle en est le salaire. Toute la misère de l’humanité s’ensuivit : elle a engendré la mort spirituelle et éternelle.

      Si Adam n'avait pas péché, il ne serait pas mort ; mais une sentence de mort est tombée sur lui, telle une condamnation sur un criminel ; elle a frappé tous les hommes, comme une maladie infectieuse, à laquelle nul ne peut se soustraire.

      La preuve de notre parenté avec Adam et de notre part dans sa première transgression, réside dans la domination du péché dans le monde, durant la longue période devançant la loi de Moïse. La mort a régné pendant ce temps, non seulement sur les adultes qui ont péché avec obstination, mais aussi sur des multitudes d'enfants, ce qui montre que tous les descendants d’Adam étaient bien tombés sous la condamnation divine, et que le péché de ce dernier s'étendait à toute sa postérité.

      Adam, par la condamnation de sa postérité, était l’image de Celui qui devait venir, le Garant d'une nouvelle alliance, pour tous ceux qui allaient accepter Son salut : Christ !

      15 Par l'offense d'un seul homme, toute l'humanité a été exposée à la condamnation éternelle. Mais la Grâce et la Miséricorde, ainsi que le don gratuit de la Justice et du salut, sont opérés par Jésus-Christ, en tant qu’homme : le Seigneur, descendu du ciel, a apporté à la multitude des croyants la vie éternelle, perspective bien plus sûre et plus élevée que celle à laquelle ils étaient destinés, par leur chute, en Adam. Ce don gratuit ne les a pas placés de nouveau dans un état de servitude, mais dans celui de la justification, comme celui où Adam aurait d’ailleurs été placé, s'il n’avait pas péché à l’origine.

      Malgré ces différences fondamentales (entre justifiés et condamnés), il se trouve une ressemblance frappante : comme par l'offense d'un seul, le péché et la mort ont prédominé quant à la condamnation de tous les hommes, de la même manière, par la justice d'un seul, la Grâce a prédominé pour la justification de tous ceux qui sont unis à Christ, par la foi.

      La Grâce de Dieu a abondé pour beaucoup, par le biais de Christ ; cependant de nombreuses personnes choisissent de rester sous la domination du péché et de la mort, plutôt que de bénéficier des bénédictions du règne de la Grâce. Mais en aucun cas, Christ ne rejettera ceux qui sont disposés à venir à Lui !

      20 Avec Christ et Sa Justice, nous disposons de privilèges plus nombreux et plus grands que ceux que nous avons perdus, par le péché originel d'Adam.

      La loi morale a montré que beaucoup de pensées, de paroles et d'actions, étaient coupables : c’est ainsi que les transgressions se sont multipliées. La loi n'a pas fait surabonder le péché, mais elle a révélé sa culpabilité, tel un rayon de lumière qui, dans une pièce obscure, fait découvrir la poussière en suspension, invisible jusqu’alors.

      Le péché originel d'Adam et l'effet de sa corruption en nous-même, révèlent l'importance de cette offense, révélée lors de l'instauration de la loi. Les châtiments rigoureux de cette loi montrent que l’espérance apportée par l'Évangile est comparativement plus clémente. Ainsi Dieu, par le Saint-Esprit, et le biais de l’apôtre, nous a révélé une Vérité très importante, pleine de consolation, convenant à notre besoin, pécheurs que nous sommes. Quelle que soit la position sociale d’un homme, il est un pécheur, contre Dieu, il reste condamné par la loi divine, et a besoin de pardon. La Justice divine ne peut être constituée d'un mélange de péché et de sainteté. On ne peut bénéficier de la vie éternelle que par le biais d’une Justice pure et sans tache : recherchons cette Justice, c'est celle de Christ !

      Romains 6

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

      Apocalypse 20

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