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car il s’est tenu aux côtés du pauvre
pour le délivrer de ceux qui le condamnaient.
2
L’Eternel dit à l’Accusateur :
—Que l’Eternel te réduise au silence, Accusateur ! Oui, que l’Eternel te réduise au silence, lui qui a choisi Jérusalem ! Celui-ci n’est-il pas un tison arraché au feu ?
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Mais, se rendant compte de cela, Jésus leur dit :
—Pourquoi faites-vous de la peine à cette femme ? Ce qu’elle vient d’accomplir pour moi est vraiment une belle action.
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Si elle a répandu cette myrrhe sur moi, c’est pour préparer mon enterrement.
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Le soir venu, arriva un homme riche appelé Joseph, originaire de la ville d’Arimathée. Lui aussi était un *disciple de Jésus.
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Il alla demander à *Pilate le corps de Jésus. Alors Pilate donna l’ordre de le lui remettre.
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Joseph prit donc le corps, l’enroula dans un drap de lin pur
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et le déposa dans le tombeau tout neuf qu’il s’était fait tailler pour lui-même dans le roc. Puis il roula un grand bloc de pierre devant l’entrée du tombeau et s’en alla.
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Mais Jésus dit :
—Laissez-la donc tranquille ! Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Ce qu’elle vient d’accomplir pour moi est une belle action.
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Le soir venu — c’était le jour de la préparation, c’est-à-dire la veille du *sabbat —
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Joseph d’Arimathée arriva. C’était un membre éminent du *Grand-Conseil qui, lui aussi, vivait dans l’attente du *royaume de Dieu. Il eut le courage de se rendre chez *Pilate pour lui demander le corps de Jésus.
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Pilate fut surpris d’apprendre que Jésus était déjà mort. Il fit appeler l’officier de service et lui demanda s’il était mort depuis longtemps.
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Renseigné par le centurion, il autorisa Joseph à disposer du corps.
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Celui-ci, après avoir acheté un drap de lin, descendit le corps de la croix, l’enveloppa dans le drap et le déposa dans un tombeau taillé dans le roc. Puis il roula un bloc de pierre devant l’entrée du tombeau.
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Marie de Magdala et Marie, mère de Joses, regardaient où il le mettait.
50
Il y avait un homme, appelé Joseph, un membre du *Grand-Conseil des *Juifs. C’était un homme bon et droit
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Mais Jésus intervint :
—Laisse-la faire ! C’est pour le jour de mon enterrement qu’elle a réservé ce parfum.
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Après ces événements, Joseph, de la ville d’Arimathée, alla demander à Pilate la permission d’enlever le corps de Jésus. Il était aussi disciple du Seigneur, mais il s’en cachait par peur des autorités religieuses. Pilate y consentit. Joseph alla donc prendre le corps de Jésus.
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Nicodème vint également. C’était lui qui, auparavant, était allé trouver Jésus de nuit. Il apporta environ trente kilogrammes d’un mélange de *myrrhe et d’aloès.
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Tous deux prirent donc le corps de Jésus et l’enveloppèrent de linges funéraires en y mettant des aromates, selon les usages funéraires des Juifs.
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Non loin de l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin dans lequel se trouvait un tombeau neuf où personne n’avait encore été enseveli.
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Comme c’était, pour les Juifs, le soir de la préparation du *sabbat, ils déposèrent Jésus dans cette tombe parce qu’elle était toute proche.
- Il y a ici une variante admise par Tischendorf et beaucoup de critiques et d'exégètes, selon laquelle il faudrait traduire ainsi ce verset : "Laissez-la ! afin qu'elle garde cela pour le jour de ma sépulture."
Cette version, une fois admise, est expliquée de diverses manières. Meyer, par exemple, pense que Jésus veut dire que Marie conservera cela, c'est-à-dire le reste de ce parfum pour embaumer le corps du Seigneur après sa mort, le jour de son ensevelissement.
Mais ce parfum, il n'en restait rien, car Marie avait brisé le vase d'albâtre qui le contenait et qui ne pouvait plus être fermé. (Marc 14.3) Et quelle apparence que Jésus voulût demander une seconde fois cette manifestation de vénération et d'amour !
Le sens de MM. Luthardt, Weiss, Keil : "Permets-lui d'avoir réservé ce parfum pour le jour,..." c'est-à-dire : considère son acte comme une sépulture anticipée ? est difficilement admissible, car permettre de se rapporte à un fait à venir.
Nous croyons donc, avec Lücke, de Wette, M. Godet et d'autres interprètes, que cette variante, bien qu'appuyée de témoignages importants (Sin., B, D), est une glose erronée, provenant de ce qu'on ne comprenait pas que Jésus, vivant, parlât de sa sépulture.