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Luc 23.45

Le soleil s'obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu.
Le soleil resta entièrement caché. Le grand rideau du temple se déchira par le milieu.
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      Exode 26

      31 Un voile, sorte de rideau, séparait le lieu Saint du lieu Très Saint. Il était suspendu entre des colonnes. Cette séparation empêchait les regards « indiscrets » de pénétrer librement dans l'endroit le plus saint du tabernacle. Les apôtres nous révèlent la signification de ce voile, Heb 9:8. La loi ne purifiait pas ceux qui exerçaient les cérémonies du tabernacle, elle ne pouvait pas non plus mener les hommes vers le paradis. Tant que le tabernacle subsistait, la voie vers le lieu Très Saint n'était pas libre de tout passage.

      Le chemin vers la vie éternelle resta obscur, tant que l'évangile n'a pas apporté la Lumière ; tout cela a changé quand le voile s'est déchiré en deux, lors de la mort de Christ, Matthieu 27:51. Grâce au sang de Jésus, nous avons maintenant la pleine liberté d'entrer dans le lieu Très Saint, pour nous consacrer à l'adoration divine ; cela ne peut que nous amener à observer une attitude de sainte humilité.

      Un autre voile était placé à la porte du tabernacle. C'était, pour ce dernier, la seule mesure de protection, vis-à-vis de l'extérieur. Dieu prend soin de Son église ici-bas : Il saura placer, s'Il le désire, un « voile » protecteur sur Son assemblée, aussi solide que des portes en bronze, tenues par des barres d'acier ! Que pouvons-nous penser d'une telle description de Christ et de Son église ? En discernons-nous toute Sa gloire et l'excellence de Sa personne ? Voyons-nous le merveilleux salut qu'Il nous offre, l'enseignement de la croix ? Notre piété nous incite-t-elle à méditer ces choses ? Est-ce que nous dirigeons plus volontiers nos cœurs vers Dieu, plutôt que vers les doctrines des hommes ?

      Lévitique 16

      15 Nous voyons dans ce texte, les deux grands privilèges de l'évangile : la rémission des péchés et le libre accès à Dieu, tous deux obtenus grâce à notre Seigneur Jésus !

      Considérez bien l'expiation qui était faite pour nos fautes : Christ a été à la fois l'Auteur et l'Objet de cette expiation ; Il est le Sacrificateur, le grand Sacrificateur, le Seul qui puisse obtenir la réconciliation avec Dieu pour les péchés des hommes. Comme Christ a été le « grand Sacrificateur », ainsi en est-il de Son Sacrifice, par lequel nous sommes sauvés. En effet, Il a tout accompli en ce qui concerne notre réconciliation avec Dieu. Les deux boucs utilisés pour la rémission des péchés étaient une image de l'œuvre rédemptrice de Jésus. Le bouc sacrifié était « Christ mourant pour nos péchés » ; celui qui était libéré, était une image de notre justification apportée par le Sauveur. Le texte mentionne que l'expiation n'était achevée que lorsque l'on « mettait » les péchés d'Israël sur la tête du bouc qui était relâché dans le désert, dans un site inhabité ; cet animal chassé représentait alors la complète rémission des péchés du peuple. Il portait sur lui toutes les iniquités. Ainsi en est-il de Christ, l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde, prenant les iniquités sur Lui-même, Jean 1:29. L'entrée du souverain sacrificateur dans le lieu très saint, était une image de notre « possibilité » d'accéder directement aux cieux, Heb 9:7. Ensuite, le souverain sacrificateur devait sortir du lieu très saint. Mais notre Seigneur Jésus, Lui, vit éternellement dans les cieux, intercédant pour nous continuellement auprès de Dieu. Nous sommes ici en présence des deux grandes vérités de l'évangile : la foi et la repentance.

      Par la foi, nous posons nos mains sur la « tête du sacrifice », nous appuyant sur Christ, le Seigneur de droiture, le Seul qui puisse faire l'expiation de nos péchés et nous procurer le pardon. Lors de la repentance, nos âmes sont attristées : non seulement par les déviations que peuvent amener certains plaisirs ici-bas, mais aussi, par la douleur engendrée par le péché et une vie constituée de luttes constantes. Nous sommes par contre assurés que si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos iniquités et nous purifier de toute impiété. Par l'expiation, nous pouvons obtenir le repos de notre âme et toutes les merveilleuses libertés dont peuvent jouir les enfants de Dieu. Pécheur, prend le Sang de Christ pour sauver ton âme, ou alors tu ne pourras jamais voir Dieu en face, l'esprit dégagé de toute culpabilité. Prends ce sang, et par la foi, constate à quel point Il te réconcilie avec Dieu !

      2 Chroniques 3

      Matthieu 27

      51 Le voile du temple déchiré signifiait que Christ, par Sa mort, a ouvert un chemin qui mène directement à Dieu. Nous avons maintenant un chemin direct, qui, de manière imagée, nous fait passer du propitiatoire, vers le trône de la gloire : par le biais de Christ, nous avons un accès au trône de la Grâce.

      Lorsque nous considérons véritablement la mort de Christ, cela doit alors déchirer notre cœur, même s’il est dur comme le roc. Ce cœur est vraiment endurci s'il ne cède pas, s'il ne « fond » pas, face à Jésus-Christ, Celui qui a été crucifié devant tous. Lors de la crucifixion, des tombes se sont ouvertes, et beaucoup de saints « endormis » se sont levés. À qui sont-ils apparus, et de quelle manière, comment disparurent-ils ensuite, cela ne nous est pas dit ; ne soyons pas plus curieux, au sujet de ce qui n’est pas écrit dans la parole de Dieu !

      Les manifestations terrifiantes de Dieu déstabilisent quelquefois étrangement les pécheurs, quant à leurs convictions obstinées, elles contribuent en fait à leur réveil. C’est ce qui provoqua la terreur du centenier et des soldats romains qui gardaient Jésus.

      Nous pouvons méditer en toute sérénité sur les nombreux témoignages qui concernent le caractère de Jésus ; si nous ne Lui donnons aucun motif qui puisse L’offenser, nous pouvons Lui laisser le soin de purifier notre âme, si du moins nous désirons vivre pour Lui ! Puissions-nous, avec l'œil de la foi, voir Christ crucifié, et être animés par ce grand amour avec lequel Il nous a aimés.

      Les amis de Jésus ne pouvaient pas faire plus que de Le regarder de loin ; ils Le voyaient, sans toutefois pouvoir L'aider. Jamais l’horrible nature du péché ni ses conséquences n'ont été plus affreusement affichés, qu’en ce jour, où le Fils bien-aimé du Père a été pendu sur la croix, souffrant pour l’iniquité des autres, Lui le Juste pour les injustes, afin de pouvoir les présenter devant Dieu. Soyons donc disposés à Le servir !

      Marc 15

      Luc 23

      Ephésiens 2

      14 Jésus-Christ a apporté la Paix, par son propre sacrifice ; dans tous les sens du terme, Christ était la Paix pour les Éphésiens : Il en était l'auteur, le centre, et la substance, Il unissait les Juifs croyants à l’Église.

      À travers la personne, le sacrifice, et la médiation de Christ, les pécheurs peuvent désormais s’approcher de Dieu, leur Père ; ils sont amenés en Sa présence, ils peuvent lui offrir leur adoration et se placer à Son service, sous l'enseignement du Saint-Esprit, qui ne fait « qu’un » avec le Père et le Fils.

      Christ, par Son sacrifice, nous a donné la possibilité de pouvoir venir à Dieu ; l'Esprit motive notre cœur pour nous approcher du Seigneur, Il nous donne la force pour venir à Lui, et donc la grâce de pouvoir ensuite servir notre Dieu !

      Hébreux 6

      Hébreux 9

      6 L'auteur de l'épître aux Hébreux continue en parlant du service des sacrificateurs, spécifique à l'Ancien Testament. Christ, notre Souverain sacrificateur, ne pouvait pas retourner au ciel tant qu'Il n'avait pas versé Son sang pour nous ; aucun de nous ne peut prétendre pouvoir de lui-même connaître la présence de Dieu, que ce soit par Sa Grâce ici-bas, ou directement dans Sa présence glorieuse ensuite, si ce n'est par le sang de Jésus.

      Les péchés sont des erreurs commises, de graves erreurs, à la fois de jugement et de pratique ; qui peut comprendre toutes ses propres erreurs ? Elles laissent stagner notre culpabilité sur notre conscience, et on ne peut les faire disparaître que par le sang de Christ. Nous devons « confesser » le rôle de ce sang ici-bas, pendant que Christ plaide pour nous dans le ciel !

      Les croyants de l’époque de cette épitre, grâce à l'enseignement divin, connaissaient l'accès qui mène à Dieu ; ils savaient comment entrer en communion avec Lui, et comment être admis dans les lieux célestes, par le biais du Rédempteur promis ; les Israélites, quant à eux, n'ont pas cherché à aller au delà de ce qu’ils connaissaient de la loi et de ses sacrifices classiques.

      Le service des sacrificateurs ne pouvait supprimer ni la souillure, ni la domination du péché. Il ne pouvait effacer les dettes, ni supprimer les doutes de celui qui l’accomplissait.

      Le temps de l'Évangile doit être, un temps de réforme, une véritable « lumière » sur tout ce qui est connu ; l’Évangile doit animer en nous l’amour pour notre prochain, nous permettant d’étouffer toute mauvaise pensée et d’accentuer toute bonne volonté, envers tous.

      Avec l'Évangile, nous avons une entière liberté, à la fois en esprit comme en parole ; nous avons également de plus grandes obligations, nous invitant à pratiquer la sainteté !

      Hébreux 10

      19 L'auteur de l'épître ayant conclu la première partie de son exposé, continue maintenant, en soulignant l’application pratique de la doctrine.

      Comme les croyants ont obtenu un libre accès à la présence de Dieu, il leur appartient d'utiliser ce privilège. Grâce au sang de Jésus, offert en tant que sacrifice expiatoire, les chrétiens disposent de réels privilèges. Cette Nouvelle Alliance, qui révèle la sainteté et la Miséricorde infinies de Dieu, Celui qui pardonne, ne fut pas clairement comprise tant que la nature humaine de Christ, le Fils de Dieu, ne fut blessée et meurtrie pour nos péchés.

      Notre « chemin » vers le ciel passe par celui du Sauveur crucifié ; Sa mort est pour nous et pour tous ceux qui croient, le précieux chemin vers la vie. Ils doivent s'approcher de Dieu ; rester encore loin de Christ serait Le dédaigner. La phrase : « Le corps lavé d'une eau pure », est une allusion aux purifications exigées sous la loi : de même, l'emploi de l'eau qui purifie, dans le baptême, doit rappeler aux chrétiens que leur conduite doit rester sainte et pure.

      Puisque ces derniers ont obtenu toute consolation et Grâce de leur Père céleste, ils sont réconciliés et doivent observer en tous points la doctrine de Dieu, leur Sauveur. Les croyants doivent chercher comment être au service de leur prochain, en s'entraînant mutuellement à pratiquer avec ferveur, l’amour et les bonnes œuvres.

      La communion des saints est une grande aide, un privilège, et le moyen qui leur permet de rester fermes et de persévérer. Nous devons rester vigilants, au temps de l'épreuve, afin d’être armés pour persévérer dans notre fidélité au Seigneur. Un jour d’épreuve attend tous les hommes : le jour de leur mort.

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