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Les disciples lui firent remarquer : — Si telle est la situation de l’homme par rapport à la femme, il vaudrait mieux ne pas se marier.
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J’en viens à présent aux questions que vous m’avez posées dans votre lettre : « C’est une excellente chose, dites-vous, qu’un homme se passe de femme ».
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Oui, mais que de dangers menacent les célibataires et que les tentations sont puissantes ! C’est pourquoi, pour éviter tout dérèglement, il est préférable que chaque homme ait sa femme, et chaque femme son mari.
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J’aimerais cependant dire aux non-mariés, et en particulier aux veuves, que c’est une bonne chose de vivre seul comme moi.
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À cause des difficultés de l’heure présente et des calamités imminentes, j’estime qu’il est bon que chacun demeure dans la situation où il se trouve.
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Es-tu fiancé ou marié ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Reste libre.
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En revanche, si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas un péché pour un jeune homme ou une jeune fille de se marier, mais ces personnes-là auront à subir maintes épreuves dans la vie courante et elles connaîtront bien des souffrances, et je voudrais vous les épargner.
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C’est pourquoi je voudrais vous savoir exempts de tout souci et libres de préoccupations et d’inquiétudes. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire et de lui donner entière satisfaction.
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Celui qui est marié doit s’occuper des questions matérielles, des affaires de ce monde, il cherche à plaire à sa femme ;
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et le voilà partagé, tiraillé entre des intérêts opposés. Il en est de même de la femme non mariée ou de la jeune fille. Elles n’ont d’autre souci que de prendre à cœur les intérêts du Seigneur, visant à se consacrer à lui corps et esprit. Tandis que la femme mariée doit se consacrer aux affaires de ce monde, car elle veut plaire à son mari.
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Je dis cela dans votre propre intérêt, et non pour vous tendre un piège ou pour vous imposer un joug supplémentaire. Je ne veux pas restreindre votre liberté, mais seulement promouvoir parmi vous une vie digne et bien ordonnée. J’aimerais vous encourager à vous consacrer au Seigneur sans réserve, à vous attacher à lui sans partage et à le servir sans que rien ne vienne vous en détourner.
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Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari pour toute sa vie ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien et qu’elle en décide dans la communion avec le Seigneur.
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Toutefois elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est du moins mon avis, et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.
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Ces gens-là proscriront le mariage, ils insisteront sur la continence et demanderont que l’on s’abstienne de certains aliments, comme si Dieu n’avait pas créé toutes choses pour que les croyants, ceux qui connaissent la vérité, en jouissent avec reconnaissance.
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Quant aux veuves plus jeunes, n’accepte pas de les inscrire sur la liste, car lorsque l’appel de la vie et de l’amour les assaille, leurs désirs se raniment, les dominent et détachent leur esprit du Christ. Elles n’ont plus qu’une idée : se remarier.
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Elles s’exposent ainsi au reproche de rompre leur engagement préalable (dans le service de l’Église), et d’oublier leur fidélité première (envers le Seigneur).
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Avec cela, n’ayant pas d’occupation précise, elles prennent l’habitude de l’oisiveté, se laissent aller à une vie indolente et vont régulièrement de maison en maison. Et encore, si elles n’étaient que désœuvrées et se contentaient de ne rien faire ! Mais elles deviennent curieuses et bavardes, se mêlent de tout et répètent inconsidérément des propos déplacés.
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C’est pourquoi je préfère nettement que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants, s’occupent de leur intérieur et tiennent bien leur ménage afin de ne pas prêter le flanc aux critiques de nos adversaires. Ceux-ci ne trouveront pas le moindre prétexte à médisance.
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Il y a, hélas, déjà plusieurs (jeunes femmes) qui ont déserté le droit chemin et se sont égarées en suivant Satan.
Eux-mêmes trouvent donc trop dure la condition que Jésus impose à l'homme à l'égard de la femme.
Il y a proprement en grec la cause, c'est-à-dire la seule cause légitime de divorce. (verset 9) Ils estiment que si l'homme ne peut rompre une union mal assortie, s'il doit supporter tous les défauts et tous les vices de sa femme, sauf celui indiqué par Jésus, (verset 9) il vaut mieux ne pas se marier.
- Il n'est question que de la condition du mari à l'égard de la femme, parce qu'en Orient et dans l'antiquité des droits égaux n'étaient point reconnus à cette dernière. Il en est tout autrement sous l'Évangile.