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1
—Supposons qu’un homme ait épousé une femme et que, plus tard, il cesse de la considérer avec faveur parce qu’il trouve quelque chose d’infâme à lui reprocher. Alors il rédige une lettre de divorce, il la lui remet et la renvoie de chez lui.
2
Après être partie de chez lui, cette femme se remarie avec un autre homme.
3
Supposons que ce second mari cesse aussi de l’aimer, qu’il rédige à son tour une lettre de divorce, la lui remette et la renvoie de chez lui, ou supposons qu’il meure.
4
Dans ce cas, le premier mari qui l’a renvoyée n’aura pas le droit de la reprendre pour femme, car elle est devenue impure pour lui, et ce serait une chose abominable aux yeux de l’Eternel. Vous ne chargerez pas de péché le pays que l’Eternel votre Dieu vous donne en possession.
1
Voici ce que dit l’Eternel :
« Où est la lettre de divorce
en vertu de laquelle j’aurais répudié votre mère ?
Ou auquel de mes créanciers vous ai-je donc vendus ?
Non, vous avez été vendus
à cause de vos fautes,
et ce sont vos révoltes
qui ont été la cause de la répudiation de votre mère.
8
Elle a bien vu que j’ai répudié Israël-l’infidèle et que je lui ai donné sa lettre de divorce à cause de tous les adultères qu’elle avait commis. Mais sa sœur, Juda-la-perfide, n’en a ressenti aucune crainte ; au contraire, elle est allée se *prostituer à son tour.
16
—Car renvoyer sa femme par haine, déclare l’Eternel, Dieu d’Israël, c’est comme maculer de sang son propre vêtement en commettant un acte de violence, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes.
Restez donc dans votre bon sens et n’agissez pas en traîtres !
19
Joseph, son futur mari, était un homme bon et droit. Il ne voulait pas la livrer au déshonneur. C’est pourquoi il se proposa de rompre ses fiançailles sans en ébruiter la raison.
31
—Il a aussi été dit : « Si quelqu’un divorce d’avec sa femme, il doit le lui signifier par une déclaration écrite. »
4
—Moïse, lui dirent-ils, a permis de divorcer d’avec sa femme, à condition de lui donner un certificat de divorce.
Mais ils exagèrent la portée de la disposition légale qu'ils invoquent, car Moïse n'a pas commandé ni voulu faciliter le divorce ; le but de la formalité qu'il prescrit était au contraire d'y mettre une entrave.
Jésus rectifie l'expression des pharisiens en disant permis. (v. 8.)