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Matthieu 21.29

Et lui, répondant, dit : Je ne veux pas ; mais après, ayant du remords, il y alla.
Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il y alla.
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      2 Chroniques 33

      Esaïe 1

      16 Il faut non seulement ressentir du regret quant au péché commis, mais de plus, il faut en interrompre toute pratique. Nous devons réagir sur ce sujet, sans rester passifs !

      Il nous faut pratiquer le bien que le Seigneur, notre Dieu, exige. Il est évident que les sacrifices de la loi ne pouvaient pas réconcilier le peuple d'Israël avec Dieu, même pour ces crimes, commis en dehors du pays.

      Mais, béni soit Dieu, il existe une Fontaine d'eau vive disponible, (verset Esaïe 1:16)*, dans laquelle les pécheurs de tout âge et de tout rang peuvent être « lavés » ! Nos péchés sont comme l'écarlate et le cramoisi ; ce dernier est en effet un puissant colorant, agissant sur deux points : d'abord, de manière générale, sur la « laine » de la corruption originale, mais aussi sur chaque « fibre » particulière, de notre transgression réelle ; nous sommes hélas, souvent « immergés » dans le péché, soumis à nos mauvais penchants ; malgré tout, la Miséricorde divine lave en nous cette tache, Psaume 51:7.

      En suivant l'Éternel, les enfants d'Israël auraient pu bénéficier de tout bonheur et de toute bénédiction désirables. La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous. Oh! Seigneur, incite-nous tous à vivre pour Ta gloire !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 55

      6 Ce texte nous présente une offre merveilleuse de pardon, de paix, et de félicité. Il n'est jamais vain de chercher Dieu : Sa Parole nous appelle, et Son Esprit est à nos côtés ! Mais viendra un jour où on ne pourra plus Le trouver. Cela peut survenir à n'importe quel moment de notre vie ; il est certain qu'à notre mort et lors du Jugement, la « porte » sera alors fermée. En conséquence, il ne faut pas seulement changer de comportement, mais aussi nos pensées : nous devons « voir » différemment les personnes et le cours des évènements. Il n'est pas suffisant de cesser toute pratique du mal, nous devons en plus, nous efforcer de lutter contre les mauvaises pensées. Se repentir signifie en quelque sorte « revenir à notre Seigneur », Celui contre lequel nous nous sommes rebellés. Si nous agissons ainsi, Dieu nous assure d'un pardon sans limites, à la mesure de l'ampleur de nos offenses !

      Mais que personne ne traite à la légère cette « abondance » de Miséricorde ; « exploitez-la » quand le péché a été commis. Les pensées des hommes, au sujet du péché, de Christ, de la sainteté, du monde et de son entourage, diffèrent absolument de celles de Dieu, ne serait-ce qu'au sujet du pardon par exemple ! Nous pardonnons, mais nous n'oublions pas ; quand Dieu pardonne le péché, Il ne se souvient plus de ce dernier. La puissance de Sa Parole aux Royaumes de la Providence et de la Grâce, est aussi véritable qu'ici-bas. La « sainte Vérité » produit un changement spirituel dans l'esprit des hommes, changement que ni la pluie ni la neige ne seraient à même d'opérer sur terre !

      Cette Parole ne retournera pas à Dieu sans produire des effets remarquables. Si nous portons des regards objectifs sur l'église, nous pourrons constater à quel point Dieu a effectué de grandes choses, et discerner ce qu'Il fera encore pour elle. Les Juifs retourneront en « terre promise » ; il s'agit bien d'une des bénédictions prévues par l'Éternel ! La Grâce de l'évangile opérera un grand changement dans le cœur des hommes.

      Délivré de la colère à venir, le pécheur converti, a la conscience en paix ; l'Amour céleste dont il bénéficie le pousse, en retour, à se consacrer au service de Son Rédempteur. Au lieu d'être attiré par le monde, d'être querelleur, égoïste, ou sensuel, il devient patient, humble, aimable, et pacifique. L'espérance d'une telle perspective devrait nous inciter davantage à répandre la bonne nouvelle du salut !

      Que l'Esprit de vérité puisse nous aider à discerner la plénitude, la liberté, et la grandeur de la merveilleuse Miséricorde de Christ, nous ôtant ainsi toute fausse perspective d'étroitesse de la Grâce souveraine !

      Jérémie 44

      Ezéchiel 18

      30 L’Éternel jugera chacun des Israélites selon leur conduite. Ces versets étaient pour ce peuple une exhortation à se repentir, de façon à obtenir un nouveau cœur et un esprit nouveau.

      Dieu n’ordonne pas ce qui ne peut pas être fait ; Il nous reproche cependant de ne pas faire ce qui est nous est possible d’accomplir, et nous demande de prier pour ce que qui n’est pas encore accompli. Des directives divines et les moyens de les accomplir sont ici décrits ; les directions spirituelles à prendre et les promesses sont données, afin que ceux qui désirent opérer ce changement puissent le rechercher directement près de Dieu !

      Daniel 4

      Jonas 3

      Matthieu 3

      7 Le rôle de la prédication est de mettre en application la doctrine divine : tel était le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le côté apparent de la piété, en négligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cérémonies légales. Certains d'entre eux étaient de détestables hypocrites, faisant de leurs prétentions à la sainteté, une parure inique.

      Les sadducéens avaient une démarche tout à fait opposée, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils étaient à cette époque et dans ce pays, des « infidèles » méprisables.

      Il y a inéluctablement une colère divine à venir. Chacun devrait chercher à la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir à notre ruine, nous a avertis à ce sujet ; Il nous prévient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent désolés par le constat de leurs péchés, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’être appelés des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilège spirituel. Le véritable repentant est humble et abaissé à ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre miséricorde qui lui est accordée, patient lors des afflictions sévères, vigilant contre toute apparence de péché, appliqué dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte énonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglément sur des privilèges extérieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cœurs tentent d’étouffer toute conviction de péché, en mettant de côté la Puissance révélatrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une église, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace à l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sécurité. Nos cœurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, à moins que l'Esprit régénérateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, même le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, à savoir celui de la repentance, sera abattu et jeté dans le feu de la colère divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stériles » : à quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rôle et les desseins de ce Dernier : cet avènement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extérieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut suppléer au besoin du baptême du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette pureté de cœur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne manière extraordinaire envers les apôtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grâces et les réconforts octroyés par l'Esprit, à ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'église des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les véritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et précieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : légers et vides, inutiles et sans valeur, emportés au loin par le moindre souffle ; le monde est constitué de « bons » et de « mauvais », tous dans le même cheminement ; un jour viendra, malgré tout, où le blé et la paille seront séparés...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 21

      Luc 15

      17 Ayant constaté dans les versets précédents, l’état abject et misérable du fils prodigue, nous sommes maintenant amenés à considérer comment il en est sorti.

      Ce texte commence par l’examen de sa conscience, situation capitale dans la conversion d'un pécheur. Le Seigneur lui ouvre les yeux, et le convainc de péché ; il se découvre alors réellement lui-même, par une vision vraiment différente de ce qu’il éprouvait auparavant. Le pécheur convaincu s'aperçoit que le moindre des serviteurs de Dieu est en fait bien plus heureux que lui-même. « Considérer » Dieu comme un Père, notre Père, sera d'un grand recours pour notre repentance et pour notre retour vers Lui.

      Le fils prodigue est parti, et ne s'est plus arrêté avant qu'il n’ait atteint sa maison. De même, le pécheur repentant quitte résolument l'esclavage de Satan et sa convoitise, et retourne ensuite vers Dieu, par la prière, avec parfois des craintes et certains découragements... Le Seigneur va alors à sa rencontre, lui exprimant Son Amour, plein d’indulgence.

      L’accueil divin du pécheur humilié est identique à celui du fils prodigue. Cet homme repentant est alors revêtu de la « robe de la Justice » du Rédempteur, il est rendu participant de l'Esprit d'adoption ; il est préparé, par la paix de la conscience et la Grâce de l'Évangile, à marcher dans les chemins de la sainteté, et à faire un « festin spirituel » de toutes les divines consolations.

      La Grâce et la Sainteté seront alors en lui, pour animer sa volonté comme ses actes !

      Actes 26

      1 Corinthiens 6

      Ephésiens 2

      1

      Richesse de la Grâce de Dieu envers les hommes, révélée à cause de l’état déplorable de leur nature ; l’heureux changement qu’Elle opère en eux. (Ephésiens 2:1-10)
      Les Éphésiens appelés à réfléchir sur leur triste état, qui frôlait le paganisme. (Ephésiens 2:11-13)
      Les privilèges et les bénédictions de l'Évangile. (Ephésiens 2:14-22)

      Le péché est la mort de l'âme. Un homme qui est mort dans ses offenses et ses péchés, ne recevra aucun bien-être spirituel.

      La vue d’un cadavre suscite en nous un sentiment d’horreur. L’esprit, toujours vivant, vient de quitter ce corps, en ne laissant que les « ruines » de ce dernier. Mais en étant vraiment réalistes, nous devrions être bien plus affectés par la mort d'une âme, par un esprit perdu.

      Un état de péché est conforme à celui du monde. Les hommes mauvais sont des esclaves de Satan. Celui-ci est à l’origine du cœur orgueilleux et charnel que l’on voit chez les impies ; en fait, Satan gouverne le cœur des hommes...

      Selon l'Écriture, il est clair que si les hommes se sont rapidement penchés vers la sensualité ou la méchanceté spirituelle, étant par nature des « enfants de désobéissance », ils sont aussi de ce fait, des « enfants de colère ». Les raisons qui peuvent alors pousser les pécheurs à vraiment rechercher la Grâce, qui seule, les transformera, « d'enfants de colère » en enfants de Dieu et héritiers de Sa Gloire, sont vraiment évidentes !

      L'Amour éternel de Dieu et Sa Volonté de sauver Ses créatures sont la source de toutes Sa Miséricorde envers nous ; il s’agit d’un Amour immense et d’une riche Miséricorde. Chaque pécheur converti est un pécheur sauvé, délivré du péché et du courroux divin. La Grâce qui sauve est entièrement gratuite et imméritée, c’est une faveur divine ; Elle sauve, non pas selon les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ. La Grâce représente pour l'âme une nouvelle vie. Un pécheur régénéré devient une « âme vivante » ; il vit désormais dans la sainteté, étant né de Dieu : il vit, étant délivré de la culpabilité de ses péchés, par la Grâce qui pardonne et qui justifie.

      Les pécheurs vaquent dans la dépravation de ce monde ; les âmes sanctifiées « résident » dans les lieux célestes, elles sont élevées au-dessus de ce monde, par la Grâce de Christ. La bonté divine, qui a converti et sauvé les pécheurs repentants, encourage les autres à espérer dans la Grâce et la Miséricorde. Notre foi, notre conversion, et notre salut éternel, ne proviennent pas des œuvres, afin que personne ne puisse s'en glorifier, afin que toute vantardise soit vaine.

      Tout salut provient du don gratuit de Dieu ; nous sommes « ramenés » à la vie par Son pouvoir. Tel était Son but, auquel Il nous a préparés, en nous bénissant, par la connaissance de Sa Volonté et de Son Esprit Saint ; cela opère un tel changement en nous, que nous devons glorifier verbalement le Seigneur, et persévérer dans la sainteté.

      Sur les bases de l'Écriture, nul ne peut contredire cette doctrine du salut, ni l'accuser faussement de nous conduire à nouveau vers le mal. Tous ceux qui font ainsi sont sans excuse.

      11 Christ et Son alliance sont la fondation de toute l’espérance des chrétiens. Nous trouvons dans ce texte une triste et terrible description des incirconcis ; en fait, qui est capable de sortir de lui-même d’une telle situation ?

      En réalité, cette description représentait véritablement l’état de nombreuses personnes baptisées dans le nom de Christ. Qui peut, sans trembler, considérer réellement la misère d'une personne séparée pour toujours du peuple de Dieu, retranchée du « corps de Christ », interdite de l'alliance de la promesse divine, n'ayant aucune espérance, aucun Sauveur, aucun Dieu, sauf Celui de la Vengeance, et ce, pour l’éternité ? En bref, n’avoir aucune part avec Christ !

      Quel chrétien véritable peut entendre ce genre de propos sans en être horrifié ? Le salut est loin du méchant ; mais Dieu est une Aide, proche de Son peuple, à cause des souffrances et de la mort de Christ !

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

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