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2
Pourquoi les rois de la terre se sont-ils tous soulevés
Et les grands conspirent-ils contre Dieu et son Messie ?
6
Mes adversaires parlent méchamment contre moi :
« Quand donc va-t-il mourir ? Quand périra son nom ? »
5
Je veux louer Dieu, louer sa parole, je me fie à lui
Et je n’ai plus peur. Que pourraient me faire des êtres mortels ?
6
Tout au long des jours, ils me font souffrir,
Tordant mes paroles, toutes leurs pensées ne visent qu’à nuire.
7
Ils se réunissent pour me tendre un piège.
Postés à l’affût, ils épient mes traces.
On dirait qu’ils guettent ma vie pour me perdre.
6
Ô Dieu, lève-toi sur les cieux !
Que le monde entier voie ta gloire !
3
Sauve-moi des malfaisants et des meurtriers,
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Alors, les pharisiens s’éloignèrent et discutèrent entre eux pour trouver une question qu’ils pourraient poser à Jésus afin de le prendre au piège par ses propres paroles.
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Cependant, ils ne tardent pas à lui envoyer une délégation de pharisiens accompagnés de quelques membres du parti d’Hérode pour lui tendre un piège et lui arracher, si possible, quelque parole compromettante.
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Ceux-ci arrivent et lui disent : — Maître, nous savons que tu dis toujours la vérité et que tu n’as peur de personne, parce que tu ne fais pas de différence entre les hommes et tu ne te laisses pas impressionner par leur position ou leurs opinions, mais tu enseignes selon la stricte vérité comment suivre la voie de Dieu. Dis-nous donc, avons-nous le droit de payer l’impôt à César, oui ou non ?
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Mais Jésus connaît leur fausseté et, démasquant leurs desseins hypocrites, il leur dit : — Pourquoi essayez-vous de me prendre au piège ? Apportez-moi un denier, que je l’examine.
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Ils en cherchent un et le lui présentent. Alors, il leur demande : — Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? — De César.
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Et Jésus leur répond : — Rendez à César ce qui appartient à César, et donnez à Dieu ce qui revient à Dieu. Ils en restent tout décontenancés.
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Après que Jésus leur eut parlé ainsi, les interprètes de la loi et les pharisiens, très irrités par ses propos, se mirent à le harceler de questions avec acharnement pour le prendre au piège. Ils le firent parler sur toutes sortes de sujets,
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dans l’espoir de lui arracher enfin quelque parole compromettante qui puisse leur servir de prétexte pour l’accuser.
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Dès lors, ils se mirent à le surveiller de près, à l’affût d’un prétexte (pour l’accuser). Ils envoyèrent auprès de lui d’habiles indicateurs qui faisaient semblant d’être des hommes pieux, pleins de scrupules. Ils devaient s’efforcer de lui arracher quelque parole compromettante qui leur permettrait de le déférer aux autorités civiles et à la juridiction du gouverneur romain.
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Ces gens-là l’abordèrent donc ainsi : — Maître, nous savons que tu es vrai et droit dans tes paroles et dans ton enseignement ; tu dis, en toute franchise, comment Dieu nous demande de vivre, sans tenir compte des positions sociales de ceux qui sont en face de toi.
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Eh bien ! dis-nous si oui ou non nous avons le droit de payer des impôts à un César ?
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Pénétrant leurs intentions, Jésus déjoua leur ruse en disant : —
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Montrez-moi une pièce d’argent ! Cette effigie et ce nom, de qui sont-ils ? — De César, répondirent-ils. —
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Eh bien ! leur dit-il, rendez à César ce qui appartient à César, et donnez à Dieu ce qui revient à Dieu.
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Ainsi, ils furent incapables de le trouver en défaut. Tout le peuple en fut témoin : pas moyen de surprendre une parole dite en public qui puisse leur servir à l’attaquer. Ils étaient si surpris de sa réplique qu’ils gardèrent le silence.
3
Pensez à la lutte opiniâtre qu’il a eu à soutenir contre des hommes pécheurs, à la manière dont il a supporté leur hostilité, et ne vous laissez pas abattre par le découragement.
15 à 22 Question des pharisiens et des hérodiens sur le tribut à César.
Comparer Marc 12.13-17 ; Luc 20.20-26.
- Il parait donc que les pharisiens, députés par le sanhédrin, (Matthieu 21.23,45) étaient présents jusqu'ici et ont entendu la parabole qui précède.
Maintenant ils s'en vont et tout le fruit qu'ils retirent de cette instruction, c'est le dessein toujours plus arrêté de perdre Jésus. Ils veulent le surprendre en parole (grec le prendre au piège dans une parole), c'est-à-dire lui arracher par ruse quelque déclaration qui puisse le compromettre. (Matthieu 21.23, note.)
Luc ajoute : "pour le livrer aux magistrats et à l'autorité du gouverneur."
Bien qu'opposés l'un à l'autre, ces partis se sont rejoints, pour s’opposer à Christ. Ce qu'ils annonçaient à Son sujet était juste ; le savaient ils vraiment ? En tout cas, béni soit Dieu, car en ce qui nous concerne nous savons qu’Il est la Vérité !
Jésus-Christ était un enseignant parfait, Il savait réprouver fermement. Christ a reconnu la méchanceté de ces hommes.
Quel que soit le masque que revêt l'hypocrite, notre Seigneur Jésus discerne tout. Christ ne s'est pas imposé comme un juge, car Son royaume n'est pas de ce monde, mais Il enjoint la soumission paisible aux pouvoirs qui sont en place.
Ses adversaires furent blâmés, et Ses disciples enseignèrent que la religion chrétienne n'est pas l'ennemi du gouvernement civil en place.
Christ est, et sera toujours, un sujet d’étonnement, non seulement pour Ses amis, mais aussi pour Ses ennemis. Tous admirent Sa Sagesse, mais peu s’y soumettent ; tous reconnaissent Sa puissance, mais peu acceptent de Lui obéir.