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21
Mon fils, crains l'Ăternel et le roi ; ne te mĂȘle pas avec les gens remuants,
16
Shadrac, Méshac et Abed-Nego répondirent et dirent au roi : Nebucadnetsar, il n'est pas nécessaire que nous te répondions sur ce sujet.
17
S'il en est comme tu dis, notre Dieu que nous servons peut nous délivrer de la fournaise de feu ardent, et il nous délivrera de ta main, Î roi !
18
Et sinon, sache, Î roi, que nous ne servirons pas tes dieux, et que nous n'adorerons pas la statue d'or que tu as dressée.
10
Or Daniel, quand il sut que l'Ă©crit Ă©tait signĂ©, entra dans sa maison ; et, ses fenĂȘtres Ă©tant ouvertes dans sa chambre haute, du cĂŽtĂ© de JĂ©rusalem, il s'agenouillait sur ses genoux trois fois le jour, et priait, et rendait grĂące devant son Dieu, comme il avait fait auparavant.
11
Mais ces hommes s'assemblÚrent en foule et trouvÚrent Daniel qui priait et présentait sa supplication devant son Dieu.
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Et comme il approchait de la fosse, il cria à Daniel d'une voix triste. Le roi prit la parole et dit à Daniel : Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers continuellement, a-t-il pu te délivrer des lions ?
21
Alors Daniel parla au roi : O roi, vis Ă jamais !
22
Mon Dieu a envoyé son ange et a fermé la gueule des lions, et ils ne m'ont fait aucun mal, parce que devant lui l'innocence s'est trouvée en moi, et devant toi non plus, Î roi, je n'ai rien fait de mal.
23
Alors le roi fut trÚs-joyeux et dit qu'on tirùt Daniel de la fosse, et Daniel fut tiré de la fosse, et aucun mal ne fut trouvé sur lui, parce qu'il s'était confié en son Dieu.
6
Un fils honore son pĂšre, et un serviteur, son maĂźtre. Si donc je suis pĂšre, oĂč est mon honneur ? et si je suis maĂźtre, oĂč est la crainte qui m'est due ? dit l'Ăternel des armĂ©es, Ă vous, sacrificateurs, qui mĂ©prisez mon nom. Et vous dites : En quoi avons-nous mĂ©prisĂ© ton nom ?
7
Vous prĂ©sentez sur mon autel du pain souillĂ©, et vous dites : En quoi t'avons-nous profanĂ© ? En ce que vous dites : La table de l'Ăternel est mĂ©prisable.
8
Et si vous prĂ©sentez une bĂȘte aveugle en sacrifice, n'est-ce pas mal ? et si vous en prĂ©sentez une boiteuse et malade, n'est-ce pas mal ? Offre-la donc Ă ton gouverneur : t'agrĂ©era-t-il, ou te recevra-t-il avec faveur ? dit l'Ăternel des armĂ©es.
8
Un homme frustrera-t-il Dieu ? Toutefois, vous me frustrez, et vous dites : En quoi te frustrons-nous ? Dans les dßmes et dans les offrandes élevées.
9
Vous ĂȘtes chargĂ©s de malĂ©diction, et vous me frustrez toujours, vous, la nation tout entiĂšre.
10
Apportez toutes les dĂźmes Ă la maison du trĂ©sor, afin qu'il y ait de la nourriture dans ma maison, et Ă©prouvez-moi par ce moyen, dit l'Ăternel des armĂ©es, si je ne vous ouvre pas les Ă©cluses des cieux, et ne verse pas sur vous la bĂ©nĂ©diction, jusqu'Ă ce qu'il n'y ait plus assez de place.
10
Alors JĂ©sus lui dit : Va-t'en, Satan car il est Ă©crit : "Tu rendras hommage au Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul".
25
Il dit : Oui. Et quand il fut entré dans la maison, Jésus le prévint, disant : Que t'en semble, Simon ? Les rois de la terre, de qui reçoivent-ils des tributs ou des impÎts, de leurs fils ou des étrangers ?
26
Pierre lui dit : Des Ă©trangers. JĂ©sus lui dit : Les fils en sont donc exempts.
27
afin que nous ne les scandalisions pas, va-t-en à la mer, jette un hameçon, et prends le premier poisson qui montera ; et quand tu lui auras ouvert la bouche, tu y trouveras un statÚre ; prends-le, et donne-le-leur pour moi et pour toi.
21
Ils lui disent : De CĂ©sar. Alors il leur dit : Rendez donc les choses de CĂ©sar Ă CĂ©sar, et les choses de Dieu Ă Dieu.
37
Et il lui dit :" Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, et de toute ton ùme, et de toute ta pensée ".
2
Et ils se mirent Ă l'accuser, disant : Nous avons trouvĂ© cet homme pervertissant notre nation et dĂ©fendant de donner le tribut Ă CĂ©sar, se disant lui-mĂȘme ĂȘtre le Christ, un roi.
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Mais Pierre et Jean, répondant, leur dirent : Jugez s'il est juste devant Dieu de vous écouter plutÎt que Dieu.
29
Et Pierre et les apÎtres, répondant, dirent : Il faut obéir à Dieu plutÎt qu'aux hommes.
7
Rendez à tous ce qui leur est dû : à qui le tribut, le tribut ; à qui le péage, le péage ; à qui la crainte, la crainte ; à qui l'honneur, l'honneur.
13
Soyez donc soumis Ă tout ordre humain pour l'amour du Seigneur, soit au roi comme Ă©tant au-dessus de tous,
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soit aux gouverneurs comme à ceux qui sont envoyés de sa part pour punir ceux qui font le mal et pour louer ceux qui font le bien ;
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car c'est ici la volonté de Dieu, qu'en faisant le bien vous fermiez la bouche à l'ignorance des hommes dépourvus de sens, comme libres,
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et non comme ayant la liberté pour voile de la méchanceté, mais comme esclaves de Dieu.
17
Honorez tous les hommes ; aimez tous les frĂšres ; craignez Dieu ; honorez le roi.
Il fallait donc payer l'impĂŽt et remplir toutes les obligations civiles du citoyen envers le souverain. Mais, d'autre part, Dieu restait le souverain de son peuple ; chaque Ăąme porte son image et son inscription ; c'est donc Ă lui qu'il s'agit de rendre tout ce qui lui est dĂ», non seulement le tribut pour le service du temple, mais l'honneur l'adoration, le cĆur, la vie entiĂšre.
Dans ces paroles, JĂ©sus n'examine point la lĂ©gitimitĂ© de la domination romaine ; comme IsraĂ©lite, il n'y a pas de doute qu'il ne dĂ©plorĂąt la conquĂȘte, mais il veut que son peuple considĂšre son asservissement comme un chĂątiment de Dieu et qu'il s'en humilie.
Il pose donc le principe qu'un pouvoir qui existe de fait doit ĂȘtre reconnu comme autorisĂ© ou permis par la Providence divine. Le chrĂ©tien est tenu de s'y soumettre et ne peut avoir recours Ă des moyens illĂ©gaux ou violents pour s'y soustraire. Mais aussi cette parole du Sauveur Ă©tablit la distinction la plus prĂ©cise entre les deux sphĂšres du temporel et du spirituel, des droits de CĂ©sar et des droits de Dieu. LĂ oĂč le pouvoir a la prĂ©tention d'empiĂ©ter sur les droits de la conscience qui sont ceux de Dieu, c'est le cas de redire avec les apĂŽtres : "Il faut obĂ©ir Ă Dieu plutĂŽt qu'aux hommes," (Actes 5.29)