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6
Puis il ajouta : Je suis le Dieu de tes ancêtres, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.
Alors Moïse se couvrit le visage car il avait peur de regarder Dieu.
15
Puis tu leur diras : « L’Eternel, le Dieu de vos ancêtres, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob m’a envoyé vers vous. C’est là mon nom pour l’éternité, c’est sous ce nom que l’on se souviendra de moi pour tous les temps.
16
Va donc, réunis les responsables d’Israël et dis-leur : L’Eternel, le Dieu de vos ancêtres, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob m’est apparu et m’a dit : Je suis décidé à intervenir en votre faveur car j’ai vu quel traitement on vous inflige en Egypte.
26
Quant à la résurrection des morts, n’avez-vous jamais lu dans le livre de Moïse, lorsqu’il est question du buisson ardent, en quels termes Dieu lui a parlé ? Il lui a dit : Je suis le Dieu d’*Abraham, le Dieu d’*Isaac, le Dieu de *Jacob.
27
Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants. Oui, vous êtes complètement dans l’erreur.
37
Que les morts ressuscitent, Moïse lui-même l’a indiqué, lorsqu’il est question du buisson ardent : en effet, il appelle le Seigneur le Dieu d’*Abraham, le Dieu d’*Isaac et le Dieu de *Jacob.
38
Or, Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants ; c’est donc bien que, pour lui, les patriarches sont tous les trois vivants.
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Je suis le Dieu de tes ancêtres, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.
Tout tremblant, Moïse n’osait pas lever les yeux.
16
En fait, c’est une meilleure patrie qu’ils désirent, c’est-à-dire la patrie céleste. Aussi Dieu n’a pas honte d’être appelé « leur Dieu », et il leur a préparé une cité.
- Interprétation profonde et sublime de la parole que Dieu adressa à Moïse près du buisson ardent. (Exode 3.6)
Quand cette parole fut prononcée, il y avait des siècles que ces patriarches étaient morts. Or l'Eternel, qui se nommait pourtant leur Dieu ne pouvait pas entendre par là qu'il était le Dieu d'un peu de poussière reposant dans un tombeau, mais le Dieu d'êtres immortels qui vivaient en lui. (Comparer Luc 20.38 ; voir aussi une pensée semblable dans Hébreux 11.16)
On pourrait objecter que ces paroles prouvent que les patriarches étaient encore vivants, et non qu'ils ressusciteraient au dernier jour mais l'Ecriture ignore l'idée païenne d'une immortalité indépendante de la vie en Dieu et dans un état d'esprit pur.
Cette idée, fondée sur un faux spiritualisme, ne saurait être l'objet de l'espérance du chrétien qui sait par la révélation que c'est tout son être, "l'esprit l'âme et le corps," qui doit être rendu à la parfaite vie. (1Thessaloniciens 5.23 ; comparez 1Corinthiens 15.20 et suivants) A ce point de vue, seul conforme aux Ecritures, la parole divine interprétée par Jésus emportait l'assurance de la résurrection.