Matthieu 22.32
“Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.” Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants. »
Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants.
" Moi, je suis le Dieu d'Abraham, et le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob " ? Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants.
Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants.
" Moi, je suis le Dieu d'Abraham, et le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob " ? Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants.
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- Interprétation profonde et sublime de la parole que Dieu adressa à Moïse près du buisson ardent. (Exode 3.6)
Quand cette parole fut prononcée, il y avait des siècles que ces patriarches étaient morts. Or l'Eternel, qui se nommait pourtant leur Dieu ne pouvait pas entendre par là qu'il était le Dieu d'un peu de poussière reposant dans un tombeau, mais le Dieu d'êtres immortels qui vivaient en lui. (Comparer Luc 20.38 ; voir aussi une pensée semblable dans Hébreux 11.16)
On pourrait objecter que ces paroles prouvent que les patriarches étaient encore vivants, et non qu'ils ressusciteraient au dernier jour mais l'Ecriture ignore l'idée païenne d'une immortalité indépendante de la vie en Dieu et dans un état d'esprit pur.
Cette idée, fondée sur un faux spiritualisme, ne saurait être l'objet de l'espérance du chrétien qui sait par la révélation que c'est tout son être, "l'esprit l'âme et le corps," qui doit être rendu à la parfaite vie. (1Thessaloniciens 5.23 ; comparez 1Corinthiens 15.20 et suivants) A ce point de vue, seul conforme aux Ecritures, la parole divine interprétée par Jésus emportait l'assurance de la résurrection.