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5
Les îles le voient, et sont dans la crainte ; les extrémités de la terre tremblent ; ils s'approchent, ils viennent ;
6
Ils s'aident l'un l'autre, et chacun dit à son frère : Courage !
7
L'ouvrier encourage le fondeur ; celui qui polit au marteau encourage celui qui frappe l'enclume ; il dit de la soudure : elle est bonne ; et il fixe l'idole avec des clous, pour qu'elle ne branle pas.
14
Là-dessus, les pharisiens, étant sortis, délibérèrent entre eux comment ils le feraient périr.
34
Les pharisiens, ayant appris qu'il avait fermé la bouche aux sadducéens, s'assemblèrent.
3
Les folles, en prenant leurs lampes, n'avaient point pris d'huile avec elles.
4
Mais les sages avaient pris de l'huile dans leurs vaisseaux, avec leurs lampes.
5
Et comme l'époux tardait à venir, elles s'assoupirent toutes et s'endormirent.
28
Alors un des scribes, qui les avait entendus disputer ensemble, voyant qu'il leur avait bien répondu, s'approcha et lui demanda : Quel est le premier de tous les commandements ?
29
Jésus lui répondit : Le premier de tous les commandements c'est : Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur.
30
Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. C'est là le premier commandement.
31
Et voici le second qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a point d'autre commandement plus grand que ceux-ci.
47
Alors les principaux sacrificateurs et les pharisiens assemblèrent le sanhédrin, et dirent : Que ferons-nous ? car cet homme fait beaucoup de miracles.
48
Si nous le laissons faire, tout le monde croira en lui ; et les Romains viendront, et ils détruiront et ce lieu et notre nation.
49
Mais Caïphe, l'un d'entre eux, qui était souverain sacrificateur de cette année-là, leur dit : Vous n'y entendez rien ;
50
Et vous ne considérez pas qu'il nous importe qu'un seul homme meure pour le peuple, et que toute la nation ne périsse pas.
24
Le souverain sacrificateur, le capitaine du temple et les principaux sacrificateurs, ayant entendu cela, ne savaient que penser au sujet des apôtres, de ce qui en arriverait.
25
Mais quelqu'un survint, qui leur fit ce rapport : Voici, les hommes que vous avez mis en prison, sont dans le temple, et enseignent le peuple.
26
Alors le capitaine s'en alla avec les huissiers, et les amena sans violence ; car ils craignaient d'être lapidés par le peuple.
27
Et les ayant amenés, ils les présentèrent au Sanhédrin. Et le souverain sacrificateur les interrogea, en disant :
28
Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là ? Et vous avez rempli Jérusalem de votre doctrine, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet homme.
23
Or il arriva en ce temps-là un grand trouble à l'occasion de la doctrine.
24
En effet, un nommé Démétrius, orfèvre, qui faisait des sanctuaires de Diane en argent, et qui donnait beaucoup à gagner aux ouvriers,
25
Les assembla avec ceux qui travaillaient à ces sortes d'ouvrages, et leur dit : O hommes, vous savez que tout notre gain vient de cet ouvrage ;
26
Et vous voyez et vous entendez dire, que non seulement à Éphèse, mais presque par toute l'Asie, ce Paul a persuadé et perverti un grand nombre de personnes, en disant qu'ils ne sont pas des dieux ceux qui sont faits de main d'homme.
27
Et il n'y a pas seulement à craindre pour nous que notre métier ne soit décrié, mais même que le temple de la grande Diane ne tombe dans le mépris, et que sa majesté, que toute l'Asie et que le monde entier révère, ne s'anéantisse aussi.
28
Ayant entendu cela, ils furent transportés de colère, et ils s'écrièrent : Grande est la Diane des Éphésiens !
28
En criant : Hommes Israélites, aidez-nous. Voici l'homme qui prêche partout, et devant tous, contre la nation, la loi, et ce lieu-ci ; il a même encore amené des Grecs dans le temple, et a profané ce saint lieu.
29
Car ils avaient vu auparavant dans la ville avec lui, Trophime d'Éphèse, et ils croyaient que Paul l'avait mené dans le temple.
30
Et toute la ville fut émue, et il y eut un rassemblement du peuple ; et ayant saisi Paul, ils le traînèrent hors du temple ; et aussitôt les portes furent fermées.
Comparer Marc 12.28-34
- Les pharisiens, victorieusement repoussés eux-mêmes par le Seigneur, (verset 15 et suivants) ont appris que les sadducéens ayant aussi dirigé une attaque contre lui, (verset 23 et suivants) ont eu la bouche fermée et s'en sont allés confus.
Là-dessus ils s'assemblent de nouveau, tout heureux, sans doute, que leurs adversaires aient été confondus sur une question qui les divisait, celle de la résurrection, et de l'existence des anges.
Aussi chargent-ils l'un d'entre eux (verset 35) d'adresser à Jésus une question moins captieuse que les précédentes. Ils ne désarment pas cependant, car l'expression employée par Matthieu implique, d'après Holtzmann et Weiss, une intention hostile : ils s'assemblent pour se conjurer, se liguer contre Jésus. Ce sont les mêmes termes que Psaumes 2.2 (Septante) et Actes 4.26
Notre amour pour Dieu doit être sincère, il ne doit pas être constitué uniquement de paroles.
Notre amour sera toujours bien modeste, comparé à celui du Seigneur pour nous ; nous devons en conséquence, engager tous les moyens dont dispose notre âme pour nous tourner vers Lui, dans la consécration.
Aimer notre prochain comme nous-mêmes est le deuxième grand commandement. L’amour du « moi », source des plus grands péchés, doit être étouffé, il doit être chassé et mortifié ; il existe, malgré tout, un amour de notre propre personne, qui régit le plus grand de nos devoirs : celui de nous préoccuper du salut de notre âme et de notre être.
Nous devons aimer notre prochain avec la même ferveur et la même droiture que nous-mêmes ; dans de nombreux cas nous devrions faire abnégation de nous-mêmes... pour le bien des autres.
Que ces deux commandements puissent « façonner » nos cœurs !