Sans compromis (7 flambeaux pour éclairer notre marche 3/7)
Introduction Septembre 1938, français et anglais signent un compromis avec Hitler et Mussolini pour avoir la paix. Ce compromis a …
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Baal-Péor. Baal : Seigneur, est le nom du dieu suprême (probablement le soleil) adoré chez tous les peuples cananéens, les Ammonites l'appelaient Moloch : roi ; les Moabites, Camos : le dominateur, quand ils l'adoraient en qualité de dieu de la guerre.
Péor : épithète de sens inconnu. Ce nom désignait aussi la ville consacrée à ce dieu (Beth-PéorDeutéronome 3.29, à huit kilomètres à l'est de la plaine du Jourdain où campait Israël) et encore la montagne sur laquelle son sanctuaire était élevé (Rosch-happeor, 23.28).
S'attacha à : le terme hébreu a quelque chose d'ignoble ; il désigne la participation aux orgies commises en l'honneur du dieu. Cet acte d'idolâtrie, sans exemple dans le récit du voyage des Israélites au désert, était d'autant plus coupable qu'il était commis par la nouvelle génération au moment où elle allait entrer dans la Terre promise. Aussi a-t-il laissé une trace profonde dans la mémoire du peuple (Josué 22.17 ; Osée 9.10 ; Psaumes 106.28).
Et la colère de l'Eternel s'enflamma. Les parallèles 11.33 ; 14.37 ; 16.22,46, montrent qu'il ne s'agit pas seulement d'un mouvement intérieur en Dieu, mais d'une colère manifestée par un phénomène sensible, qui n'a pu être que la plaie mortelle dont il est parlé versets 8 et 9.