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Garde-toi bien de nourrir dans ton cœur des pensées mesquines et de te dire : « C’est bientôt la septième année, l’année de la remise des dettes » et, pour cette raison, de regarder ton compatriote pauvre d’un mauvais œil sans rien lui donner. Car alors, il se plaindrait de toi à l’Eternel et tu porterais la responsabilité d’une faute.
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Car l’Eternel votre Dieu parcourt votre camp pour vous protéger et pour vous donner la victoire sur vos ennemis. Tout votre camp doit donc être tenu pour saint et Dieu ne doit y voir rien d’inconvenant qui l’obligerait à se détourner de vous.
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Doëg l’Edomite, qui était à la tête des fonctionnaires de Saül, répondit :
—J’ai vu le fils d’Isaï arriver à Nob, chez Ahimélek, le fils d’Ahitoub.
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Celui-ci a consulté l’Eternel pour lui et lui a fourni des vivres. Il lui a aussi remis l’épée de Goliath le Philistin.
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Alors David sortit de la grotte derrière lui et appela Saül :
—Mon seigneur le roi !
Saül se retourna et David s’inclina respectueusement, le visage contre terre, et se prosterna.
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Maintenant, que mon seigneur daigne écouter les paroles de son serviteur : Si c’est l’Eternel qui t’incite à agir ainsi contre moi, qu’il se laisse apaiser par mon offrande ! Mais si ce sont des hommes qui t’excitent, qu’ils soient maudits devant l’Eternel, puisqu’ils m’ont banni pour m’empêcher de rester dans le pays accordé par l’Eternel comme possession à son peuple. Au fond, c’est comme s’ils disaient : « Va adorer des dieux étrangers » !
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David lui demanda :
—Veux-tu me guider jusqu’à cette bande ?
—Jure-moi par Dieu que tu ne me tueras pas et que tu ne me livreras pas à mon maître, lui répondit l’Egyptien, et je te conduirai jusqu’à eux.
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Quand David eut un peu dépassé le sommet de la colline, Tsiba, l’intendant de Mephibocheth, vint à sa rencontre avec deux ânes bâtés portant deux cents pains, cent paquets de raisins secs, cent autres de fruits d’été et une *outre de vin.
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Le roi lui demanda :
—Que veux-tu faire de tout cela ?
Tsiba lui répondit :
—Les ânes sont destinés à la famille du roi pour être montés ; les pains et les fruits serviront de nourriture aux jeunes gens et le vin rafraîchira ceux qui seront fatigués dans le désert.
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Le roi reprit :
—Mais où est donc le fils de ton maître ?
Tsiba répondit :
—Il est resté à Jérusalem, car il s’est dit : « Maintenant le peuple d’Israël me restituera la royauté de mon père. »
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Le roi déclara alors à Tsiba :
—Dans ce cas, je te donne tout ce qui appartient à Mephibocheth.
Tsiba répondit :
—Je me prosterne devant toi, mon seigneur le roi ! Puissé-je conserver toujours ta faveur.
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Lorsqu’il se rendit au-devant du roi à Jérusalem, celui-ci lui demanda :
—Pourquoi n’es-tu pas venu avec moi, Mephibocheth ?
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Il répondit :
—O roi mon seigneur, mon intendant m’a trompé, car ton serviteur s’était dit : « Je vais faire seller mon ânesse, je la monterai — puisque ton serviteur est infirme — et je partirai avec le roi. »
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Ainsi le roi Joas oublia toute la bienveillance dont Yehoyada, le père de Zacharie, avait fait preuve envers lui, et il fit tuer son fils. Zacharie dit en mourant :
—Que l’Eternel voie et qu’il fasse rendre compte !
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A la fin de l’année, l’armée syrienne vint attaquer Joas. Les Syriens envahirent Juda et Jérusalem. Ils massacrèrent tous les dirigeants du peuple et envoyèrent tout le butin au roi de Damas.
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Les Syriens étaient venus avec un petit nombre d’hommes, et cependant, l’Eternel leur donna la victoire sur une armée considérable de Judéens, parce que ceux-ci avaient abandonné l’Eternel, le Dieu de leurs ancêtres. Ainsi les Syriens furent les instruments du jugement contre Joas.
26
Le peuple maudit l’accapareur qui retient son blé,
mais il bénit celui qui le vend sans tarder.
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Voici encore des proverbes émanant des sages :
la partialité, en justice, est une mauvaise chose.
24
Un juge qui dit à un coupable :
« Tu es acquitté »
s’attire la malédiction des foules et l’indignation des gens,
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Celui qui donne aux pauvres ne sera pas dans le besoin,
mais celui qui se bouche les yeux à la misère d’autrui se charge de beaucoup de malédictions.
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Ne prête pas attention à tout ce qu’on dit, et si ton serviteur te dénigre, n’écoute pas,
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Sur ces entrefaites, certains astrologues vinrent porter des accusations contre les Juifs.
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Ils s’adressèrent au roi Nabuchodonosor et lui dirent :
—Que le roi vive éternellement !
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O roi, Sa Majesté a promulgué un édit ordonnant que tout homme se prosterne et adore la statue d’or dès qu’il entendrait le son du cor, du fifre, de la cithare, de la lyre, de la harpe, de la double flûte et de toutes sortes d’instruments de musique.
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Cet édit précise que quiconque refusera de se prosterner et d’adorer la statue sera jeté dans la fournaise où brûle un feu ardent.
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Or, il y a des hommes de Juda auxquels tu as confié l’administration de la province de Babylone, à savoir Chadrak, Méchak et Abed-Nego : ces hommes-là ne t’ont pas obéi, ô roi ; ils n’adorent pas tes dieux et ne se prosternent pas devant la statue d’or que tu as fait ériger.
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Alors Nabuchodonosor s’irrita et entra dans une grande colère ; il ordonna de faire venir Chadrak, Méchak et Abed-Nego. On les amena donc devant le roi.
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Celui-ci prit la parole et leur demanda :
—Est-il vrai, Chadrak, Méchak et Abed-Nego, que vous n’adorez pas mes dieux et que vous ne vous prosternez pas devant la statue d’or que j’ai érigée ?
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Maintenant, êtes-vous prêts, au moment où vous entendrez le son du cor, du fifre, de la cithare, de la lyre, de la harpe, de la double flûte et de toutes sortes d’instruments de musique, à vous prosterner et à adorer la statue que j’ai faite ? Si vous refusez de l’adorer, vous serez jetés aussitôt dans la fournaise où brûle un feu ardent. Et quel est le dieu qui pourrait alors vous délivrer de mes mains ?
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Chadrak, Méchak et Abed-Nego répondirent au roi :
—O Nabuchodonosor, il n’est pas nécessaire de te répondre sur ce point.
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Si nous sommes jetés dans la fournaise où brûle un feu ardent, notre Dieu que nous servons peut nous en délivrer, ainsi que de tes mains, ô roi !
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Mais même s’il ne le fait pas, sache bien, ô roi, que nous n’adorerons pas tes dieux et que nous ne nous prosternerons pas devant la statue d’or que tu as fait ériger.
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Aussitôt, ils se rendirent chez l’empereur pour lui parler de l’interdiction impériale :
—N’as-tu pas signé un décret d’interdiction, dirent-ils, stipulant que quiconque adressera, dans les trente jours, une prière à quelque dieu ou homme que ce soit si ce n’est à toi, Majesté, serait jeté dans la fosse aux lions ?
—Il en est bien ainsi, répondit l’empereur, conformément à la loi des Mèdes et des Perses qui est immuable.
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Alors l’empereur éprouva une grande joie et il ordonna de hisser Daniel hors de la fosse. Daniel fut donc remonté de la fosse, et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu confiance en son Dieu.
4
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Ce distique renferme une pensée unique et sa justification.
Ne calomnie pas. La position d'un esclave est, en elle-même déjà, assez pénible : ne l'aggrave pas par des rapports faux ou exagérés. Ce malheureux lancerait contre toi une malédiction méritée et qui, par conséquent, ne serait pas sans effet (26.2). Dans le livre égyptien du Rituel (C. 125) un individu qui plaide devant Osiris, le juge des morts, dit dans sa défense : Je n'ai pas calomnié un esclave auprès de son maître.
Proverbes 30:11-14. De tous temps il y a eu des ingrats sans scrupules, qui maltraitèrent leurs parents. Beaucoup se persuadent de vivre en toute sainteté, alors qu’ils ne pratiquent que des œuvres manifestant leur méchanceté et leur péché. D’autres sont remplis manifestement d’un immense orgueil. De tout temps des « monstres » de cruauté ont hélas existé...
Proverbes 30:15-17. La cruauté et la cupidité sont les deux « filles » de la sangsue ; elles crient : « donne, donne, »" étant sans cesse insatisfaites. Ces « dévoreuses » sont comparées dans ce texte à quatre éléments toujours insatisfaits.
Ceux qui convoitent sans cesse ne sont jamais riches. Beaucoup de personnes ayant connu une triste fin de parcours, ont découvert que leur mauvais cheminement a commencé par le mépris de l'autorité parentale.
Proverbes 30:18-20. Quatre éléments, listés dans ce texte, ne peuvent être sondées en profondeur : - La nature, pleine de merveilles et de secrets. - Le mystère d'iniquité ; - Les vils stratagèmes qu’utilisent certains séducteurs pour gagner l'affection d'une femme ; - Les artifices qu'utilise une femme hypocrite pour dissimuler sa méchanceté.
Proverbes 30:21-23 Quatre types de personnes sont vraiment funestes : - Celles d'origine médiocre, à l'esprit vil, et qui, en obtenant, après coup, une certaine autorité, deviennent des tyrans. - Les insensés et les violents qui tombent dans différents excès. - La femme à l'esprit querelleur et aux viles habitudes. - Le serviteur qui est parvenu à une situation non méritée. Il faut que ceux, d’origine modeste, qui ont été élevés par la Providence, aient soin de songer à leur condition d’origine, pour ne pas sombrer dans le péché d’orgueil, qui peut si facilement les atteindre.
Proverbes 30:24-28. Ce texte site quatre êtres vivants bien modestes par leur taille, mais qui, cependant nous interpellent. Si certains sont pauvres en ce monde, ils restent, cependant, relativement sages pour se préoccuper du sort de leur âme, dans l’au-delà.
Proverbes 30:29-33. Nous pouvons apprendre à bien agir en observant le comportement des animaux : nous pouvons, par exemple, garder notre sang-froid face à toute provocation. Nous devons chasser toute mauvaise pensée de notre esprit, toute vaine parole de notre bouche. Ne cherchons pas à attiser les sombres passions des autres. Que rien ne puisse être dit, ni fait avec violence, mais que tout soit accompli avec douceur, dans la tranquillité d’esprit.
Qu’il est odieux de nous rebeller parfois de façon insensée contre le Seigneur, notre Roi ! Humilions-nous plutôt devant Lui ! Ayant trouvé la paix en Christ, continuons à avoir de paisibles relations avec notre entourage !