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11
Saül envoya des émissaires à la maison de David, pour le garder et le faire mourir au matin. Mais Mikal, femme de David, le lui rapporta en disant : Si tu ne t’échappes pas cette nuit, demain tu es mort.
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Il lui cria encore : Vite, hâte-toi, ne t’arrête pas ! Et le garçon de Jonathan ramassa les flèches et revint vers son seigneur.
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Le sacrificateur répondit : Voici l’épée du Philistin Goliath, que tu as tué dans la vallée de Éla ; elle est enveloppée dans un vêtement derrière l’éphod ; si tu veux la prendre, prends-la, car il n’y en a point d’autre ici. David dit : Il n’y en a point de pareille, donne-la moi.
11
David se leva et prit la fuite le même jour devant Saül. Il arriva chez Akich, roi de Gath.
12
Les serviteurs d’Akich lui dirent : N’est-ce pas là David, roi du pays ? N’est-ce pas celui pour qui l’on entonnait en dansant : Saül a frappé ses mille, – Et David ses dix mille.
3
De là David s’en alla à Mitspé de Moab. Il dit au roi de Moab : Permets, je te prie, à mon père et à ma mère d’émigrer chez vous, jusqu’à ce que je sache ce que Dieu fera de moi.
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David resta au désert, dans les fortins, et il resta sur la montagne dans le désert de Ziph. Saül le cherchait toujours, mais Dieu ne le livra pas entre ses mains.
1
David dit en lui-même : Je périrai un jour par la main de Saül ; il n’y a rien de mieux pour moi que de m’échapper pour de bon (en allant) au pays des Philistins, afin que Saül renonce à me chercher encore dans tout le territoire d’Israël ; ainsi j’échapperai à sa main.
11
L’Éternel fit battre les Kouchites par Asa et par Juda, et les Kouchites s’enfuirent.
8
Les Kouchites et les Libyens ne formaient-ils pas une grande armée, avec des chars et des cavaliers très nombreux ? Cependant l’Éternel les a livrés entre tes mains, parce que tu t’étais appuyé sur lui.
1
Complainte de David chantée à l’Éternel, au sujet de Kouch, Benjaminite.
10
Que l’Éternel soit une forteresse pour l’opprimé, Une forteresse pour les temps de détresse.
1
Au chef de chœur. De David. C’est en l’Éternel que je me réfugie. Comment pouvez-vous me dire : Fuis dans vos montagnes, comme un oiseau ?
1
Hymne de David. Garde-moi, ô Dieu ! car je me réfugie en toi.
2
Mon Dieu ! en toi je me confie : que je ne sois pas couvert de honte ! Que mes ennemis n’exultent pas à mon sujet !
14
J’ai entendu les mauvais propos de beaucoup, L’épouvante qui règne à l’entour, Quand ils se liguent ensemble contre moi : Ils complotent de m’ôter la vie.
6
La crainte et l’épouvante m’assaillent, Et un frémissement m’enveloppe.
7
Je dis : Qui me donnera des ailes comme à la colombe ? Je m’envolerais et je trouverais une demeure.
11
De Dieu je loue la parole ; De l’Éternel, je loue la parole ;
5
Dégage-toi comme la gazelle de la main (du chasseur), Comme l’oiseau de la main de l’oiseleur.
3
A celui qui est ferme dans ses dispositions, Tu assures la paix, la paix, Parce qu’il se confie en toi.
4
Confiez-vous en l’Éternel pour toujours, Car l’Éternel, l’Éternel Est le rocher des siècles.
31
A ce moment-là quelques Pharisiens vinrent lui dire : Va-t’en, pars d’ici, car Hérode veut te tuer.
1 à 3 Les conseils d'amis craintifs. Ceux qui donnent ces avis sont des croyants, mais leur piété timide les a moins exposés que d'autres à la haine des impies. Ils ne se sont pas compromis.
A mon âme. Ce n'est pas ici un simple synonyme du pronom me. Ce conseil d'une prudence toute terrestre a touché au vif l'âme du psalmiste, de manière à provoquer la réponse qui suivra. Comparez Psaumes 3.3.
Dans vos montagnes : ces montagnes de Juda, dans les retraites desquelles David et ses amis avaient jadis trouvé asile.
Comme l'oiseau. Cette comparaison, qui serait ironique dans la bouche des conseillers, doit être envisagée, comme venant du psalmiste.
La lutte de David et le triomphe sur une forte tentation consistant à défier Dieu par le fait de vouloir se tirer d'affaire par ses propres moyens, ceci dans une période de trouble.
Ceux qui craignent Dieu et qui le servent vraiment, font bien de placer en Lui toute leur confiance. Le psalmiste, avant de succomber à la tentation de ne pas s'appuyer entièrement sur Dieu décide de lui donner toute sa confiance, dans sa vie et même jusque dans sa mort. Le croyant, peu sensible aux terreurs provoquées par ses ennemis, peut être tenté, par crainte du « qu'en dira-t-on », de déserter son poste ou de négliger son travail. Il est sensibilisé au danger encouru mais pas à sa sécurité, qu'il doit préserver. On lui donne des conseils et une politique à suivre, relatifs au monde, plutôt que la sagesse qui vient du ciel. Les principes d'une religion sont les fondements sur lesquels la foi et l'espérance de la droiture sont basées. Nous sommes tenus de suivre ces préceptes avec sérieux, face aux tentations de l'incrédulité ; car la vie de croyants aurait été vaine s'ils n'avaient pas eu Dieu comme chemin à suivre, Dieu en qui ils pouvaient faire confiance et placer leur espérance et leur Bonheur. La prospérité des méchants dans leurs œuvres, dans leurs voies, dans leurs embarras, ainsi que les détresses, moments critiques, qui s'abattent sur les meilleurs des hommes, éprouve la foi de David.Nous ne devons pas dire « qui montera au ciel pour chercher un Dieu en qui l'on pourra mettre sa confiance » ? La Parole est parmi nous et la Parole est Dieu ; son Esprit est parmi ses Saints, son temple vivant et le Seigneur sont cet Esprit. Ce Dieu gouverne le monde Nous pouvons voir ce que les hommes laissent paraître quant à leur personnalité, mais Dieu connaît leur véritable nature, comme l'affineur connaît la valeur de l'or quand il l'a traité. On dit que lorsque Dieu met à l'épreuve, Il ne veut pas s'imposer. S'Il afflige les justes, c'est pour les éprouver, donc c'est pour leur bien. Même si les persécuteurs et les oppresseurs peuvent prospérer quelques temps, Ils finissent toujours par périr à jamais.
Dieu est un Dieu saint et par ce fait, les hait. Il est un Juge plein de droiture, Il les punira. Dans quelle horrible tempête les méchants sont précipités lors de la mort. Chaque homme a la mesure de la coupe qui lui est assignée. Pécheur impénitent, considérez votre destin. Le dernier appel à la repentance est sur le point de vous être adressé, le jugement arrive. Au travers de l'ombre obscure de la mort, vous passez dans les lieux de la colère éternelle.
Hâte-toi, ô pécheur, d'aller à la croix de Christ. Comment se règle le cas entre Dieu et nos âmes ? Christ est-Il bien notre espérance, notre consolation, notre sécurité ? S'il n'en est pas ainsi, notre âme sera ballottée dans toutes sortes de conflits et difficultés.