Psaumes 34.11
Les jeunes, s'ils désirent un réel réconfort ici-bas suivi d'une joie éternelle, doivent entrer dans la vie en apprenant la « crainte » du Seigneur. Ils seront en effet réellement heureux de commencer au plus tôt à servir un Maître aussi bon.
Tous ont pour but d'être heureux. Cela doit paraître assez inaccessible aux yeux du monde présent ; car la vie de l'homme sur terre ne représente que peu de jours et beaucoup de problèmes. Quel homme voudrait voir le bien que toute bénédiction parfaite est susceptible d'apporter ? Hélas ! Bien peu ont de telles pensées. Les meilleures promesses religieuses créent la vigilance du cœur et de la langue. Il n'est pas suffisant de ne pas faire le mal, nous devons chercher à être utiles, et tendre à vivre pour un but : nous devons rechercher la paix et la poursuivre ; soyons désireux de renoncer à nous-mêmes en faveur de la paix. Il est normal, pour les croyants sincères, lorsqu'ils sont en pleine détresse, de crier à Dieu ; Celui-ci, dans sa fidélité, perçoit leurs cris et les fortifie.
Ceux qui sont justifiés sont humbles devant leur péché et n'ont pas une haute opinion d'eux-mêmes. Rien n'est plus nécessaire, pour s'approcher de Dieu, qu'un cœur contrit, dénué de toute confiance en lui-même. Dans un tel « sol », la grâce va fleurir et rien ne peut davantage encourager un tel élan, dans une totale liberté, dans la richesse de l'évangile de Jésus-Christ.
Les justifiés sont placés sous la protection spéciale du
Seigneur, malgré leur chemin à parcourir ici-bas et malgré la
haine qu'on leur témoigne. Les afflictions de ces justifiés
sont nombreuses, provenant à la fois de la miséricorde céleste
et de l'enfer. Mais quels que soient les problèmes qui les
affligent, leur âme n'en est pas affectée, car Dieu les garde
du péché en pareille occasion. Aucun homme n'est
fondamentalement dans le désespoir, sauf celui que Dieu a
abandonné.
Les riches peuvent connaître le besoin et la faim, mais ceux qui cherchent le SEIGNEUR ne manquent d’aucun bien.
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Les lionceaux : les créatures les mieux en état de subvenir à leurs besoins par la violence, et les plus différentes de ces débonnaires qui semblent faits pour souffrir (verset 3, note).
Tous ont pour but d'être heureux. Cela doit paraître assez inaccessible aux yeux du monde présent ; car la vie de l'homme sur terre ne représente que peu de jours et beaucoup de problèmes. Quel homme voudrait voir le bien que toute bénédiction parfaite est susceptible d'apporter ? Hélas ! Bien peu ont de telles pensées. Les meilleures promesses religieuses créent la vigilance du cœur et de la langue. Il n'est pas suffisant de ne pas faire le mal, nous devons chercher à être utiles, et tendre à vivre pour un but : nous devons rechercher la paix et la poursuivre ; soyons désireux de renoncer à nous-mêmes en faveur de la paix. Il est normal, pour les croyants sincères, lorsqu'ils sont en pleine détresse, de crier à Dieu ; Celui-ci, dans sa fidélité, perçoit leurs cris et les fortifie.
Ceux qui sont justifiés sont humbles devant leur péché et n'ont pas une haute opinion d'eux-mêmes. Rien n'est plus nécessaire, pour s'approcher de Dieu, qu'un cœur contrit, dénué de toute confiance en lui-même. Dans un tel « sol », la grâce va fleurir et rien ne peut davantage encourager un tel élan, dans une totale liberté, dans la richesse de l'évangile de Jésus-Christ.
Les justifiés sont placés sous la protection spéciale du Seigneur, malgré leur chemin à parcourir ici-bas et malgré la haine qu'on leur témoigne. Les afflictions de ces justifiés sont nombreuses, provenant à la fois de la miséricorde céleste et de l'enfer. Mais quels que soient les problèmes qui les affligent, leur âme n'en est pas affectée, car Dieu les garde du péché en pareille occasion. Aucun homme n'est fondamentalement dans le désespoir, sauf celui que Dieu a abandonné.