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« Il y a cent trente ans que je vais d’un pays à l’autre comme un étranger, répondit Jacob. Ma vie a passé vite, et j’ai connu des années difficiles. Je n’ai pas atteint l’âge de mes ancêtres, qui menaient pourtant la même existence que moi. »
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Ma vie aura passé plus vite que la navette d’un tisserand, elle touche à sa fin quand le fil de l’espoir est arrivé au bout.
25
Et mes jours ont passé plus vite qu’un coureur, ils se sont tous enfuis sans voir aucun bonheur,
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glissant rapidement comme un bateau de joncs, comme un aigle qui fonce du ciel sur sa proie.
1
L’homme n’est rien d’autre que l’enfant de la femme. Sa vie demeure brève et remplie de tourments.
2
Comme la fleur, il s’épanouit, et puis se fane ; comme l’ombre qui fuit sans pouvoir s’arrêter.
5
Seigneur, fais-moi savoir quand finira ma vie, oui, combien de temps j’ai à vivre ; que je connaisse la durée de mon sursis.
11
Mais renonce à me frapper davantage, je n’en peux plus des coups que ta main me porte.
9
– Vous qui êtes là, fiez-vous toujours à lui, confiez-lui ce qui vous préoccupe ; Dieu est pour nous un refuge. Pause
47
Seigneur, te cacheras-tu encore longtemps ? Jusqu’à quand seras-tu flambant de colère ?
4
Pour toi, mille ans sont aussi brefs que la journée d’hier, déjà passée, ou quelques heures de la nuit.
5
Tu mets fin à la vie humaine ; elle passe comme le sommeil du matin. Comme l’herbe qui pousse,
9
Sous l’effet de ta colère, notre vie décline ; le temps d’un soupir, elle arrive à sa fin.
10
Elle peut durer soixante-dix ans, ou quatre-vingts pour les plus vigoureux, mais nous n’en retirons que peine et malheur. La vie passe vite et nous volons vers la mort.
4
L’homme n’est qu’un souffle, sa vie n’est qu’une ombre qui passe.
2
De la fumée, dit le Sage, tout n’est que fumée, tout part en fumée.
11
Alors j’ai considéré toutes mes entreprises et la peine que j’avais eue à les réaliser. Eh bien ! tout cela n’est que fumée, course après le vent. Les humains ne tirent aucun profit véritable de leur vie ici-bas.
17
Les nations toutes ensemble ne font pas le poids devant lui, elles comptent pour moins que rien.
14
Eh bien, vous ne savez pas ce que votre vie sera demain ! Vous êtes, en effet, comme un léger brouillard qui apparaît pour un instant et disparaît ensuite.
8
Mais il est une chose que vous ne devez pas oublier, mes chers amis : c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour.
5 à 12 Le néant de la vie humaine.
On a eu tort de chercher dans les versets 5 à 7 l'expression de l'impatience et du bouillonnement intérieur dont il vient d'être parlé. Nous y voyons plutôt la prière apaisée par laquelle le psalmiste redevient maître de lui-même. Il demande que l'Eternel l'élève à son propre point de vue, pour considérer toutes choses. Là se trouve, pour le croyant, le secret de la sérénité dans l'épreuve.
Fais-moi connaître ma fin. Comparez Psaumes 90.12. Quand la vie est si courte vaut-il la peine de s'irriter en face du méchant ?