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C’est l’homme chargé de venger la victime qui tuera l’assassin, dès qu’il le trouvera.
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Si le meurtrier a tué sa victime en la bousculant avec haine, en lui lançant un projectile avec de mauvaises intentions,
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ou en la frappant méchamment d’un coup de poing, c’est un assassin et il doit être mis à mort ; l’homme chargé de venger la victime le tuera dès qu’il le trouvera.
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« Cependant, il peut arriver qu’un homme cause la mort de quelqu’un en le bousculant, mais sans préméditation et sans hostilité, ou en l’atteignant avec un projectile, mais sans mauvaises intentions.
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Il peut également laisser tomber sur quelqu’un qu’il n’a pas vu une pierre propre à le tuer, sans être l’ennemi de la victime et sans lui vouloir du mal.
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La communauté suivra les règles relatives à ces cas-là pour prononcer un jugement dans l’affaire qui oppose l’auteur de l’accident mortel et le vengeur de la victime.
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Elle protégera l’auteur de l’accident contre le vengeur en le ramenant dans la ville où il s’était réfugié. « L’auteur de l’accident mortel devra rester dans la ville de refuge jusqu’à la mort du grand-prêtre, qui a été consacré au moyen de l’huile d’onction.
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Mais s’il vient à quitter les limites de la ville de refuge
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et que l’homme chargé de venger la victime le trouve, celui-ci pourra le tuer sans se rendre coupable d’un assassinat.
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Si l’homme chargé de venger la victime poursuit l’auteur de l’accident jusque-là, les habitants de la ville ne livreront pas celui-ci ; en effet, c’est accidentellement qu’il a tué une personne pour qui il n’avait jamais eu de haine.
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Ces villes furent choisies pour servir de refuge aux Israélites et aux étrangers installés chez eux. De cette façon, si quelqu’un tuait accidentellement une personne, il pouvait échapper à l’homme chargé de venger la victime et n’était pas mis à mort avant d’avoir été jugé par la communauté.
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Il faut remercier le Seigneur ton Dieu qui t’a choisi pour régner sur Israël ! C’est parce qu’il aime ce peuple pour toujours que le Seigneur t’en a fait le roi et t’a chargé d’y faire respecter le droit et la justice. »
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et leur dit : « Accomplissez scrupuleusement votre tâche. En effet, vous n’avez pas à juger au nom des hommes, mais au nom du Seigneur. Il sera lui-même avec vous quand vous prononcerez un jugement.
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« Jusqu’à quand jugerez-vous avec parti pris, en acquittant les coupables ?
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Faites plutôt droit au faible, à l’orphelin, rendez justice au pauvre, au misérable.
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Relâchez le faible et le malheureux, arrachez-le aux griffes des méchants.
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Un roi en colère peut envoyer quelqu’un à la mort. Un homme sage fait tout pour l’apaiser.
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Un roi irrité est aussi redoutable qu’un lion rugissant. Qui excite la colère du roi met sa vie en danger.
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Lorsque le roi siège pour rendre la justice, il discerne le mal au premier coup d’œil.
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Un roi sage disperse ceux qui agissent mal, il fait passer sur eux la roue du malheur.
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Voici ce que des sages ont encore dit : Il n’est pas bien de juger avec parti pris.
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Si un magistrat dit au coupable : « Tu es innocent », les foules et les peuples le poursuivent de leur haine.
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Mais toi, tu dois parler pour défendre ceux qui n’ont pas la parole et pour prendre le parti des laissés pour compte.
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Parle en leur faveur : gouverne avec justice, défends la cause des pauvres et des malheureux. »
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Lorsque le roi parle, il faut obéir. Nous lui avons prêté serment devant Dieu,
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ne nous hâtons donc pas de refuser son autorité. Ne persévérons pas dans une affaire qui lui déplaît. En effet, le roi agit comme il le désire.
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Sa parole est souveraine et personne ne peut lui demander les raisons de ce qu’il fait.
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Celui qui lui obéit ne se mettra pas dans un mauvais cas. Mais le sage a la conviction qu’à un moment donné il y aura un jugement.
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Apprenez à bien faire, préoccupez-vous du droit des gens, tirez d’affaire l’opprimé, rendez justice à l’orphelin, défendez la cause de la veuve. »
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gros et gras. Il n’y a pas de limite à leurs méfaits. Ils ne rendent pas la justice, ne font pas droit à l’orphelin, sinon il aurait gain de cause. Ils ne tiennent aucun compte des droits du pauvre.
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Les chefs du peuple sont sanguinaires comme des loups qui s’acharnent sur leur proie, ils détruisent des vies pour s’enrichir.
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Je confierai à Israël, mon peuple, le soin de me venger des Édomites. Les Israélites les traiteront comme ma terrible colère l’exige, pour leur apprendre ce qu’il en coûte de m’offenser. Je l’affirme, moi, le Seigneur Dieu. »
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Or moi je dis : « Écoutez donc, dirigeants des descendants de Jacob, magistrats du peuple d’Israël. Votre rôle n’est-il pas de vous préoccuper du droit ?
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Mais vous détestez ce qui est bien et vous aimez ce qui est mal, vous arrachez aux gens jusqu’à la peau et à la chair qui recouvrent leurs os. »
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Oui, ils se nourrissent de la chair de mon peuple. Ils lui enlèvent la peau, ils lui brisent les os, ils le découpent en morceaux, comme si c’était de la viande qu’on place dans la marmite.
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C’est pourquoi, lorsqu’ils supplieront le Seigneur de venir à leur secours, le Seigneur ne leur répondra pas, mais il détournera d’eux son regard à cause du mal qu’ils ont commis.
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Écoutez donc, dirigeants des descendants de Jacob, magistrats du peuple d’Israël. Vous détestez la justice et violez le droit.
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Mes chers amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car l’Écriture déclare : « C’est moi qui tirerai vengeance, c’est moi qui paierai de retour, » dit le Seigneur.
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C’est aussi pourquoi vous payez des impôts, car ceux qui les perçoivent sont au service de Dieu pour accomplir soigneusement cette tâche.
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Dans cette affaire, que personne ne cause du tort à son frère ou ne porte atteinte à ses droits. Nous vous l’avons déjà dit et vous en avons sérieusement avertis : le Seigneur punira ceux qui commettent de telles fautes.
Son silence a évidemment pour but de laisser subsister dans toute son étendue le principe de l'obéissance, alors même que ceux qui exercent l'autorité ne méritent pas personnellement le respect.
"Car Si le mauvais prince est un fléau du Seigneur pour punir les péchés du peuple, reconnaissons que. c'est par notre vice que cela advient, qu'une bénédiction excellente de Dieu nous est tournée en malédiction : et pourtant ne laissons point d'avoir en révérence la bonne ordonnance de Dieu." Calvin.
On se demande ici pourquoi Paul ne fait aucune mention du cas où l'autorité ordonne des choses qui se trouvent en opposition manifeste avec la Parole de Dieu, puisque ce fait se présentait si fréquemment au temps des apôtres et qu'eux mêmes avaient posé ce principe : "Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes." (Actes 4.19 ; 5.29)
Paul ne mentionne pas ce principe, qu'il a bien su pratiquer à l'occasion, sans doute parce qu'il estime que le chrétien, consciencieusement soumis à l'autorité dans tout ce qui est du ressort de celle-ci, ne s'oppose pas réellement à elle quand il est contraint d'obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. Il le fait en effet, à ses périls et risques, il souffre sans murmurer les conséquences de son obéissance à Dieu, la mort y comprise ; et en mourant, il priera encore pour l'autorité qui le persécute.
Les chrétiens n'ont commencé à transgresser la règle énoncée ici par l'apôtre que lorsqu'ils ont pris les armes pour défendre leur cause contre les autorités de leur pays ; mais alors aussi, ils ont "attiré sur eux un jugement." (verset 2)
- L'épée que le magistrat ne porte pas en vain est le symbole du pouvoir en général, et spécialement du droit d'ôter la vie. C'est trop presser ce terme que d'en faire un argument en faveur de la peine de mort.
L'autorité est (grec) ministre de Dieu, chargée de punir, (grec) justicier (ou vengeur) en vue de la colère (de Dieu) pour celui qui fait le mal.