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Un nouveau plan de lecture à découvrir : L'identité en Christ

Tite 2.5

à être sages, pures, occupées des soins de la maison, bonnes, soumises à leurs propres maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée.
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      Genèse 3

      16 La femme, par son péché, est condamnée à souffrir et à être assujettie ; les punitions à ce manquement, ont été déterminées après qu'elle ait succombé au désir de ses yeux, de sa chair et de son orgueil. Le péché n'apporte que souffrance et tristesse dans le monde, ce qui provoque des torrents de larmes. Ne cherchons pas l'origine de tous nos soucis quand nous vivons dans le péché. Le commandement divin « Il dominera sur toi » s'adresse aux épouses. Si l'homme n'avait pas péché, il aurait tout régi avec sagesse et amour ; de même, la femme aurait obéi avec douceur et humilité. Adam a fait porter la responsabilité de la faute à sa femme ; mais bien qu'Ève soit en faute d'avoir persuadé son mari de manger du fruit défendu, il revient à Adam de porter la responsabilité de l'avoir écoutée. Ainsi, au jour du Jugement, les indulgences demandées par les hommes quant à leurs frivolités, se retourneront contre eux. Dieu a montré son déplaisir envers Adam. Premièrement, en maudissant son environnement habitable. Dieu avait donné à la descendance humaine une terre où il faisait bon vivre ; celle-ci est maintenant souillée par le péché humain. Adam n'a pas été maudit, comme le serpent le fut, uniquement le sol en subit les conséquences. Deuxièmement son travail et ses plaisirs sont tachés d'amertume. Le travail est notre devoir, il doit être accompli avec fidélité ; toute pratique d'oisiveté finira par être condamnée. Les désagréments et la fatigue dus au travail ne sont qu'une juste rétribution que nous devons subir avec patience ; et ce n'est même pas la punition que nous devrions avoir à cause de notre péché.

      Bien que l'homme ne soit pas astreint à manger la poussière, comme le serpent, il en est réduit à se nourrir avec l'herbe des champs. Troisièmement, la durée de sa vie sera réduite ; si l'on considère tous les ennuis qui lui sont échus après la chute, c'est presque une faveur de lui avoir donné peu de jours à vivre ici-bas.

      Bien que la mort soit redoutable par nature, et bien triste, même à la fin d'une vie bien remplie, cela aboutit toujours par cette punition. Le péché a apporté la mort dans le monde : si Adam n'avait pas commis d'iniquité, il ne serait pas mort. Il a ouvert le chemin de la tentation, mais le Seigneur a pallié à sa faute. Quelle satisfaction admirative nous pouvons avoir, devant la mort et les souffrances expiatoires de notre Seigneur Jésus !

      Il a ainsi subi la sentence prévue à l'origine pour nos premiers parents. Est-ce que les douleurs de l'enfantement sont survenues par le péché ? Nous pouvons lire en, Isa 53:11 à quel point l'âme de Christ a souffert ; Il a souffert jusqu'à la mort, Actes 2:24. Est-ce que la servitude est survenue par le péché ? Christ est né sous la loi, Galates 4:4. Il a été fait malédiction pour nous, Il a été maudit dans Sa mort, Galates 3:13. Les épines sont-elles venues par le péché ?

      Notre Sauveur a été couronné d'épines, pour nous. Est-ce que la sueur est survenue par le péché ? Il a été couvert de sueur pour nous, il a été couvert de grumeaux de sang. Est-ce que la douleur est due au péché ? Il a été fait homme de douleur ; pendant Son agonie, Son âme a été au comble de la souffrance. Est-ce que la mort est survenue suite au péché ? Il a été obéissant jusqu'à la mort. Le remède est proportionnel à la blessure. Béni soit Dieu pour son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

      Genèse 16

      Genèse 18

      9 « Où est Sara, ta femme » ? Demanda-t-on à Abraham. Remarquez alors la réponse : « Elle est là, sous la tente ». Sara se trouvait à sa place, près d'Abraham, occupée par les tâches de la maison. On n'acquiert rien de bon à errer ça et là.

      Ceux qui sont à leur place, en accomplissant leur devoir, peuvent s'attendre à recevoir les promesses et le réconfort divins, Luc 2:8. Nous sommes en général assez réticents à croire les choses que l'on nous annonce et nous avons souvent besoin qu'on insiste pour qu'elles puissent être acceptées. Les bénédictions des païens découlent de la Providence mais les croyants sont sous le bénéfice direct des promesses et des certitudes divines, de la Paix du cœur. La semence spirituelle d'Abraham eut pour conséquence la joie, et fut l'objet à la fois d'une espérance et d'une promesse. Sara a pensé que cette révélation était trop belle pour être vraie ; elle rit et son cœur ne fut pas disposé à recevoir cette nouvelle. Elle n'aurait jamais pu penser qu'il pouvait y avoir une différence entre son rire et celui d'Abraham, ch. Luc 17:17 ; mais Celui qui sonde les cœurs est capable de discerner la différence entre ceux qui sont incrédules et ceux qui marchent par la foi.

      Sara a nié qu'elle avait ri. Un péché en amène souvent un autre, c'est pourquoi nous devons strictement nous conformer à la vérité, et mieux encore, à la Vérité divine. Mais celui qui aime le Seigneur se verra alors réprimander, convaincre et porter au repentir, chaque fois qu'il sera confronté au péché.

      2 Samuel 12

      Psaumes 74

      Proverbes 7

      Proverbes 31

      10 Ce texte nous donne la description d'une femme vertueuse, à l’époque du roi Lemuel ; les grandes lignes générales de ce passage peuvent également s’appliquer à chaque nation, de tout temps. Cette femme se confie à l'estime et à l’affection son mari, et de façon à connaître ses désirs, elle est disposée à se soumettre à sa volonté.

      1. Son époux peut lui accorder toute sa confiance, et il la laissera diriger sa maison. Elle le rend heureux et recherche constamment son bien.

      2. Elle prend de la peine pour accomplir correctement son devoir, et y trouve son plaisir. Elle veille à ce que le temps soit bien géré et que rien ne soit perdu. Elle se lève tôt. Elle s'applique à sa tâche spécifique, de tout son cœur, sans hésitation.

      3. Elle s’efforce de mener à bien tout ce qu'elle entreprend, par une bonne gestion. Beaucoup de personnes se contentent d'acheter leurs produits, sans chercher à les créer eux-mêmes. Cette femme vertueuse pourvoit au bien de sa maison. Elle fait des économies.

      4. Elle veille au devenir de sa maison, incitant chacun à accomplir son devoir envers Dieu, comme envers les autres.

      5. Elle désire autant donner que recevoir, gaiement et en toute liberté d’esprit.

      6. Elle est discrète et serviable ; chaque parole qu'elle prononce démontre qu'elle se gouverne elle-même avec sagesse. Elle veille non seulement sur elle-même, mais elle donne aussi des conseils prudents aux autres. L’amour et la tendresse règnent en son cœur, ce qui se remarque dans ses propos. Son cœur est en communion avec Dieu, même lorsque elle bien occupée par ses tâches ménagères.

      7. Elle craint le Seigneur par-dessus tout. La beauté d’une femme n'est une preuve ni de sagesse, ni de bonté, mais elle a trompé hélas plus d'un homme, lors du choix de son épouse. La crainte de Dieu régnant dans un cœur, est la beauté de l'âme ; elle dure à jamais.

      8. Elle reste inébranlable même devant les déceptions.

      Au terme de sa vie, la femme vertueuse recevra du Seigneur le témoignage de son activité et de son utilité, alors qu'elle était encore jeune. Elle se réjouira dans l’espérance du monde spirituel à-venir. Elle est une grande bénédiction pour son entourage. Si le fruit de son travail s’est avéré bon, elle en reçoit tout bon témoignage.

      Chacun devrait désirer recevoir un tel honneur de la part du Seigneur ; et c'est sur de tels principes que nous devrions nous baser.

      Ce texte permet à toutes les femmes de chercher comment être vraiment aimées, respectées, utiles et honorables. Si ce passage décrit la femme vertueuse, ne peut-il pas s’appliquer également à l'église, « l’épouse » de Christ ? Dieu, par Sa Grâce, a constitué, à partir d'hommes coupables, une église de véritables croyants, qui doivent posséder toutes les excellentes qualités ici décrites !

      Actes 9

      36 Beaucoup de personnes éloquentes, sont cependant « vides » et « stériles » quant à la pratique des bonnes œuvres ; ce n’était pas le cas de Tabitha, qui était dévouée au service des autres, non seulement en paroles, mais aussi en actes !

      Les chrétiens qui n'ont pas les moyens financiers de donner par charité peuvent toujours être capables d’œuvrer pour le Seigneur, travaillant de leurs mains, agissant pour le bien des autres.

      Ceux qui sont dignes des meilleures louanges sont certainement ceux qui « témoignent » par leurs œuvres, quels que soient les commentaires éventuels de leur entourage. Quelle ingratitude que de bénéficier de la bonté des autres, sans vouloir le reconnaître !

      Alors que nous vivons dans la plénitude de Christ, avec l’espoir du salut qu’Il nous a offert, cherchons à pratiquer de bonnes œuvres, pour l'honneur de Son Nom, et pour le bonheur de Ses saints !

      Des exemples comme celui de Dorcas sont utiles, là où ils se trouvent, car ils témoignent de l'excellence de la Parole de Vérité. Quelle méprise pour ces nombreuses femmes, qui ne cherchent pas la « distinction spirituelle », mais plutôt l’apparat extérieur, « gaspillant » leur vie dans les vaines poursuites de la mode et de la vanité !

      La puissance de la résurrection de cette femme venait de la Parole. Lorsqu’une âme « revient » à la vie spirituelle, le premier signe que l’on remarque est l'ouverture de ses « yeux ». Nous voyons dans ce texte que le Seigneur peut nous rendre ce que nous avons perdu ; Il est tout à fait capable de faire concourir chaque événement, pour le bien de ceux qui Lui font confiance et pour la gloire de Son Nom !

      Romains 2

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 14

      34 Lorsque l'apôtre exhorte les femmes chrétiennes à s'informer sur des sujets religieux, auprès de leur mari à la maison, il montre que les familles croyantes doivent se réunir, afin de développer leur connaissance spirituelle.

      L'Esprit de Christ ne peut jamais se contredire lui-même ; si les révélations spirituelles que peuvent avoir les femmes, sont contraires à celles de l'apôtre, c’est qu’elles ne proviennent pas du même Esprit.

      La poursuite de la paix, de la vérité, et de l'ordre dans l'église, consiste à rechercher ce qui est bon pour cette dernière : savoir supporter ce qui n'est pas nuisible à son bien-être, en observant un bon comportement, de l'ordre et de la décence, lors des rassemblements.

      Ephésiens 5

      22 Les épouses doivent rester soumises à leurs maris, « dans » le Seigneur : cela implique qu’elles doivent les honorer et leur obéir, par amour pour eux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leurs épouses.

      L'amour de Christ pour l'église nous sert d’exemple : un exemple sincère, pur et constant, malgré les « chutes » éventuelles de cette dernière. Christ s'est donné Lui-même pour l'Église, afin qu'Il puisse la sanctifier en ce monde et la glorifier, plus tard, dans le ciel ; Il s’est sacrifié pour elle, afin de donner à tous ses membres, par l’influence du Saint-Esprit, (dont l'eau du baptême est la représentation extérieure), un principe de sainteté et les délivrer de toute culpabilité, de toute pollution spirituelle et de tout esclavage provoqué par le péché.

      L'Église et les croyants ne seront pas sans taches ni sans rides, tant qu'ils ne seront pas parvenus à connaître la gloire céleste. Seuls ceux qui sont sanctifiés, pourront ensuite être glorifiés.

      Les paroles mentionnées par l'apôtre, relatives au mariage, rappellent celles concernant Adam et Ève, dans la Genèse ; elles ont cependant un sens complémentaire, en ce qui concerne l'union entre Christ et Son église. Cette union est évidemment une allégorie.

      S’il peut y avoir des échecs et des chutes dans cette relation Christ-Église, à cause de notre nature humaine, cela ne change rien quant à l’existence réelle de cette union.

      Tous les devoirs concernant le mariage sont contenus dans l'unité et l'amour. Pendant qu’au sein de l’Église, nous adorons Christ et que nous nous réjouissons dans Son amour condescendant, les maris et leurs épouses apprennent ici quels sont leurs devoirs mutuels. Si cette ordonnance biblique était mieux respectée, les plus terribles épreuves conjugales pourraient être prévenues et leurs conséquences douloureuses seraient ainsi évitées.

      Colossiens 3

      18 Les épîtres, surtout destinées à afficher la gloire de la Grâce Divine, et à magnifier le Seigneur Jésus, montrent explicitement quels sont les devoirs de la vie chrétienne. En fait, nous ne devons jamais séparer nos privilèges, des devoirs que nous dicte l'Évangile.

      Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.

      Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.

      La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.

      1 Timothée 2

      1 Timothée 5

      1 Timothée 6

      1

      Le devoir des chrétiens envers leurs maîtres, croyants ou non. (1 Timothée 6:1-5)
      L'avantage du contentement dans la piété. (1 Timothée 6:6-10)
      Une exhortation solennelle à Timothée, d'être fidèle. (1 Timothée 6:11-16)
      L'apôtre répète son avertissement envers les riches ; il termine par une bénédiction pour tous. (1 Timothée 6:17-21)

      Les chrétiens mentionnés dans cette épitre ne devaient pas estimer que leur connaissance des Écritures ou leurs bénédictions spirituelles leurs donnaient le moindre droit de mépriser leurs maîtres païens ; ils ne devaient pas supposer qu’il soit possible de désobéir à leurs ordres, ni de les dénigrer, en soulignant leurs manquements éventuels.

      Les chrétiens de l’époque de Paul, ayant le privilège de servir des maîtres croyants, ne devaient pas se permettre de les priver du respect qui leur était dû, même s'ils étaient sur un pied d’égalité vis-à-vis de leurs privilèges religieux. Ils devaient toutefois les servir avec une grande assiduité, avec bonne humeur, à cause de leur foi en Christ, et en tant que « participants » de Son salut gratuit.

      Nous devons rester prudents, face aux diverses insanités de ce monde, accordons par contre toute notre confiance en la Parole de notre Seigneur Jésus-Christ ; sachons Lui accorder notre adhésion totale. D'une façon générale, ce sont les prétentieux qui possèdent le moins de connaissances, en fait, ils se surestiment eux-mêmes !

      De l’orgueil proviennent les convoitises, les conflits, les railleries, les mauvais soupçons, les différends, avec toutes sortes de vaines subtilités ; ces personnes orgueilleuses, aux esprits corrompus et charnels, ignorent tout de la Vérité divine et du pouvoir de la Rédemption du Seigneur. Ces âmes ne recherchent en fait que les plaisirs et les privilèges de ce monde...

      Tite 2

      1 Pierre 3

      1

      Les devoirs des épouses et des maris. (1 Pierre 3:1-7)
      Les chrétiens exhortés à la bonne entente. (1 Pierre 3:8-13)
      Exhortés à la patience, sous les persécutions, à cause de la justice, comme Christ, qui a souffert patiemment. (1 Pierre 3:14-22)

      Une épouse doit être soumise à son mari, même si ce dernier n'obéit pas à la Parole.

      Nous voyons quotidiennement à quel point les hommes impies surveillent avec attention les faits et gestes de ceux qui professent la piété. Il n’est pas interdit à une femme de porter une parure, mais c'est le fait d’afficher de la vanité et d’en souligner la grande valeur qui est péché.

      Ceux qui manifestent leur piété doivent prendre soin que tout leur comportement réponde à leur confession. Bien peu de personnes témoignent d’une juste mesure pour ces deux nécessités de la vie courante : la nourriture et le vêtement ! À moins que la pauvreté les en empêche vraiment, de nombreuses personnes dans notre entourage, désirent faire des acquisitions qui sont au delà de leur nécessaire.

      Beaucoup exposent une certaine modestie de par leur attitude, plutôt que par leur réelle humilité ; certains ne sont guère limités matériellement, mais dépensent leur temps et leur argent dans de vaines bagatelles.

      L'apôtre conseille aux femmes chrétiennes, de revêtir une parure incorruptible, qui embellit l'âme : les grâces du Saint-Esprit. Cette « parure » sera vraiment utile pour ménager les affections et gagner l'estime d'un mari, et sera plus efficace que les divers ornements, vêtements à la mode, ou qu’un tempérament querelleur.

      Les chrétiens doivent accomplir leurs devoirs mutuels, d'un esprit bien disposé, et dans l'obéissance aux commandements divins. Les épouses doivent être soumises à leur mari, non dans la crainte, ou la servilité, mais par le désir de bien faire et de plaire à Dieu. Le devoir du mari envers son épouse implique le respect qui lui est dû, en maintenant son autorité, en la protégeant, et en plaçant sa confiance en elle. Ils sont tous deux héritiers de toutes les bénédictions de cette vie et de l’avenir, et doivent vivre pacifiquement l'un avec l'autre.

      La prière doit adoucir leur conversation. Et il n'est pas suffisant qu'ils prient en famille, mais le mari et l'épouse doivent prier d’une part ensemble, et d’autre part avec leurs enfants. Ceux qui sont habitués à cette pratique de la prière en commun, trouvent en cette dernière une telle douceur qu'ils ne seront pas entravés plus tard à ce sujet. Pour pouvoir beaucoup prier, il faut vivre dans la sainteté, et réciproquement !

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