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1 Chroniques 23.13

Fils d’Amram : Aaron et Moïse. Aaron fut mis à part, avec ses descendants à perpétuité, pour toujours se consacrer au service du lieu très-saint, pour brûler les parfums devant l’Eternel, pour le servir et pour prononcer à perpétuité les bénédictions en son nom.
Fils d’Amram : Aaron et Moïse. Aaron a été mis à part avec ceux de sa famille, afin de se consacrer pour toujours au service du lieu très saint. Ils doivent présenter au SEIGNEUR les offrandes de parfum, accomplir le service de Dieu et donner pour toujours les bénédictions au nom du SEIGNEUR.
Les enfants d'Hamram furent, Aaron et Moïse ; et Aaron fut séparé lui et ses fils à toujours, pour sanctifier le lieu Très-saint, pour faire des encensements en la présence de l'Eternel, pour le servir, et pour bénir en son Nom à toujours.
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    • Exode 6

      Exode 28

      1

      Aaron et ses fils, mis à part pour le service du sacerdoce, leurs vêtements. (Exode 28:1-5)
      L'éphod. (Exode 28:6-14)
      Le pectoral, l'Urim et le Thummim. (Exode 28:15-30)
      La robe de l'éphod, la lame gravée. (Exode 28:31-39)
      Les vêtements pour les fils d'Aaron. (Exode 28:40-43)

      Jusqu'à présent, les chefs de famille étaient les sacrificateurs, ce sont eux qui offraient les sacrifices ; dorénavant, cette tâche ne devait être attribuée qu'à la famille d'Aaron ; il en fut ainsi, jusqu'au temps de l'évangile, l'ère de la nouvelle dispensation.

      Les vêtements saints n'étaient pas uniquement destinés à distinguer les sacrificateurs du reste du peuple, ils étaient aussi l'emblème d'une sainte conduite, signe d'une religion pleine de gloire et de beauté, la marque d'un serviteur de Dieu, que personne ne devait mépriser. Ces vêtements représentaient aussi la gloire de la Majesté divine, d'une Beauté et d'une Sainteté parfaites, manifestées en Jésus-Christ le grand Sacrificateur.

      De nos jours, au temps de l'évangile, lors de notre adoration, nous n'avons pas besoin d'être ornés de vêtements coûteux, brodés d'or fin ; par contre, nous devons être parés du salut, étant justifiés par Christ.

      6 L'éphod d'or, artistement travaillé, était la parure du souverain sacrificateur ; les éphods de fin lin étaient portés par les sacrificateurs de rang inférieur. L'éphod était un vêtement relativement court, sans manches, serré le long du corps au moyen d'une ceinture. Des épaulettes étaient surmontées de pierres précieuses, serties de monture d'or ; sur ces pierres étaient gravés les noms des enfants d'Israël.

      De manière analogue, Christ, notre grand Sacrificateur, présente Son peuple devant l'Éternel. La tunique de Jésus était d'une seule pièce ; il en était de même pour l'éphod. Les clochettes sur l'éphod étaient aussi en or et tintaient agréablement ; elles sont une image de la bonne impression qui se dégage de la conduite des saints ; les grenades, quant à elles, (verset Exode 28:33), sont le symbole des fruits que les rachetés présentent devant l'Éternel.

      Exode 29

      Exode 30

      Exode 40

      Lévitique 9

      22 Quand les sacrifices solennels et la bénédiction finale furent achevés, Dieu manifesta Son approbation. C'est alors que le feu, envoyé par l'Éternel consuma le sacrifice, manifestant ainsi la présence divine. Ce feu jaillit devant le peuple rassemblé : cela signifiait qu'il consumait les sacrifices pour l'ensemble des péchés commis ; cela manifestait également l'approbation divine, quant à l'expiation du pécheur.

      C'était une image de toutes les choses merveilleuses qui devaient s'accomplir plus tard, au temps de l'évangile. Le Saint-Esprit descendit sur les apôtres sous la forme d'une flamme de feu. La descente de ce feu dans nos âmes, illumine notre piété et notre affection pour notre Père céleste. Cela nous donne également du zèle pour nous détourner de la chair et de ses convoitises ; cette action céleste est le témoignage de l'approbation divine quant à notre repentance. Nous ne pouvons rien offrir à Dieu ; par contre, tout ce que nous détenons vient de Lui. Nous devons posséder la grâce, ce merveilleux feu venant de Dieu, sinon, nous ne pouvons le servir convenablement, Heb 12:28.

      Dans notre texte, nous lisons que le peuple était impressionné en voyant la Grâce et la Gloire de l'Éternel. Les Israélites exprimaient alors une joie extrême : ils possédaient l'assurance triomphante que Dieu se trouvait parmi eux ; ils tombèrent avec humilité sur leur face : ils adorèrent la majesté de ce Dieu qui daignait se manifester en personne. C'est l'attitude typique du pécheur qui a la crainte de Dieu, seul sentiment qui permette de s'approcher de Lui. La crainte respectueuse de Dieu ne peut que nous inciter à nous incliner devant Lui !

      Lévitique 10

      1

      le péché et la mort de Nadab et d'Abihu. (Lévitique 10:1,2)
      L'interdiction faite à Aaron et les siens de pleurer Nadab et Abihu. (Lévitique 10:3-7)
      Le vin, interdit aux sacrificateurs, lors le leur service dans le tabernacle. (Lévitique 10:8-11)
      L'interdiction aux sacrificateurs de consommer des choses saintes. (Lévitique 10:12-20)

      Après Moïse et Aaron, Nadab et Abihu étaient les seules personnes qui étaient dignes, parmi le peuple d'Israël, de recevoir les honneurs. On peut supposer que le fils d'Aaron ont été emportés parleur orgueil, ayant l'esprit excité par une consommation excessive de vin. Alors que le peuple était prosterné devant l'Éternel, adorant Sa présence et Sa gloire, Nadab et Abihu entrèrent dans le tabernacle pour y brûler de l'encens, à un moment où il ne fallait pas le faire ; au lieu d'entrer séparément, ils entrèrent ensemble et utilisèrent du feu qui ne provenait pas de l'autel. Si ces actes avaient été accomplis dans l'ignorance, cela aurait pu être pardonné par une « offrande pour le péché" ». Mais l'âme qui agit par orgueil et qui ose se confronter à la justice et à la majesté divines, ne peut qu'être retranchée. Le salaire du péché, c'est la mort.

      Ces deux hommes moururent à cause de cette faute. Le péché et la punition de ces sacrificateurs révèlent l'imperfection du sacerdoce des temps anciens : personne ne pouvait les sauver du feu de la colère divine, alors que Christ, au temps de l'évangile, aurait été capable de le faire, dans Son sacerdoce parfait.

      Lévitique 16

      15 Nous voyons dans ce texte, les deux grands privilèges de l'évangile : la rémission des péchés et le libre accès à Dieu, tous deux obtenus grâce à notre Seigneur Jésus !

      Considérez bien l'expiation qui était faite pour nos fautes : Christ a été à la fois l'Auteur et l'Objet de cette expiation ; Il est le Sacrificateur, le grand Sacrificateur, le Seul qui puisse obtenir la réconciliation avec Dieu pour les péchés des hommes. Comme Christ a été le « grand Sacrificateur », ainsi en est-il de Son Sacrifice, par lequel nous sommes sauvés. En effet, Il a tout accompli en ce qui concerne notre réconciliation avec Dieu. Les deux boucs utilisés pour la rémission des péchés étaient une image de l'œuvre rédemptrice de Jésus. Le bouc sacrifié était « Christ mourant pour nos péchés » ; celui qui était libéré, était une image de notre justification apportée par le Sauveur. Le texte mentionne que l'expiation n'était achevée que lorsque l'on « mettait » les péchés d'Israël sur la tête du bouc qui était relâché dans le désert, dans un site inhabité ; cet animal chassé représentait alors la complète rémission des péchés du peuple. Il portait sur lui toutes les iniquités. Ainsi en est-il de Christ, l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde, prenant les iniquités sur Lui-même, Jean 1:29. L'entrée du souverain sacrificateur dans le lieu très saint, était une image de notre « possibilité » d'accéder directement aux cieux, Heb 9:7. Ensuite, le souverain sacrificateur devait sortir du lieu très saint. Mais notre Seigneur Jésus, Lui, vit éternellement dans les cieux, intercédant pour nous continuellement auprès de Dieu. Nous sommes ici en présence des deux grandes vérités de l'évangile : la foi et la repentance.

      Par la foi, nous posons nos mains sur la « tête du sacrifice », nous appuyant sur Christ, le Seigneur de droiture, le Seul qui puisse faire l'expiation de nos péchés et nous procurer le pardon. Lors de la repentance, nos âmes sont attristées : non seulement par les déviations que peuvent amener certains plaisirs ici-bas, mais aussi, par la douleur engendrée par le péché et une vie constituée de luttes constantes. Nous sommes par contre assurés que si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos iniquités et nous purifier de toute impiété. Par l'expiation, nous pouvons obtenir le repos de notre âme et toutes les merveilleuses libertés dont peuvent jouir les enfants de Dieu. Pécheur, prend le Sang de Christ pour sauver ton âme, ou alors tu ne pourras jamais voir Dieu en face, l'esprit dégagé de toute culpabilité. Prends ce sang, et par la foi, constate à quel point Il te réconcilie avec Dieu !

      Lévitique 17

      Nombres 3

      Nombres 6

      Nombres 16

      16 La Gloire de l'Éternel qui apparut pour instituer Aaron dans son ministère, Le 9:23, se manifeste à nouveau pour confirmer au peuple, la place et le rôle du patriarche, afin de confondre ceux qui remettaient en question cette institution.

      Il n'y a rien de plus terrible, pour ceux qui sont conscients de leurs fautes, que de se trouver face à la Gloire de Dieu. Notez à quel point il est dangereux de s'associer avec les pécheurs et de participer à leurs entreprises !

      Bien qu'une partie des enfants d'Israël ait abandonné avec traîtrise le droit chemin, Moïse et Aaron, en tant que « bergers » du peuple, tentèrent quand même de les sauver.

      Si les autres chutent, cela ne doit pas nous empêcher de chercher à les assister. Moïse et Aaron, en tant que dirigeants, firent, pour terminer, une prière d'intercession pour les enfants d'Israël.

      35 Un feu sortit d'auprès de l'Éternel et consuma les deux cent cinquante hommes qui avaient offert de l'encens ; Aaron fut épargné, bien qu'il se tînt parmi ces hommes. Dieu est jaloux des honneurs dus à Ses institutions, Il ne permet pas qu'elles soient galvaudées. Le sacrifice de l'homme pécheur est en abomination à l'Éternel. L'offrande de l'encens était un acte rituel et en tant que tel, devait être accompli à la Gloire de Dieu. Les lames étendues pour couvrir l'autel étaient là pour rappeler cette triste histoire aux enfants d'Israël et aux étrangers, afin que tous, dans une respectueuse humilité, puissent éprouver un sentiment de crainte. Ces hommes iniques subirent la destruction à la foi de leur corps et de leur âme. Tous ceux qui transgressent la loi divine et qui se moquent de l'évangile, choisissent et finissent par aimer tout ce qui mène à la mort.

      Nombres 18

      1

      La charge des sacrificateurs et des Lévites. (Nombres 18:1-7)
      Le rôle des sacrificateurs. (Nombres 18:8-19)
      Le rôle des Lévites. (Nombres 18:20-32)

      Le peuple se plaignait que son cheminement avec l'Éternel était semé de difficultés et de périls. Dans ce texte, Dieu fait comprendre aux Israélites que les sacrificateurs étaient auprès d'eux, pour les soutenir. Aaron n'avait aucune raison d'afficher de la fierté à cause de son élection, il avait en fait, une lourde charge et une grande responsabilité à assumer.

      N'ayons pas une haute opinion de nous-mêmes, soyons plutôt animés d'une crainte respectueuse de Dieu. Plus nous nous reposons sur nos propres forces, plus nous sommes en danger, en pleine illusion. Ceci devrait nous enseigner à ne pas convoiter les honneurs que reçoivent les autres, ni leur position sociale élevée.

      8 Tous les croyants sont des « sacrificateurs spirituels » : Dieu a promis d'en prendre soin. Il promet de bénir les âmes pieuses. Les apôtres enseignent qu'il est du devoir des églises chrétiennes de soutenir les serviteurs de Dieu, comme étaient soutenus à l'époque les sacrificateurs, mentionnés dans ce texte. La négligence en ce domaine ne peut que nuire au ministère. Les sacrificateurs devaient être entièrement consacrés à leur fonction, sans vaquer à d'autres tâches : ils ne devaient pas en effet être accaparés ni détournés par les affaires du monde. De plus, leur conduite devait être un véritable exemple de « vie par la foi », non seulement en étant soumis à la Providence divine, mais aussi à la Parole. Le meilleur de chaque produit, les premiers fruits, devaient être offerts à l'Éternel.

      Ceux qui pensent économiser, en rognant sur les offrandes prévues à Dieu, se fourvoient complètement : on ne se moque pas de Dieu !

      Nombres 26

      Deutéronome 21

      1 Samuel 2

      1 Chroniques 6

      1 Chroniques 23

      2 Chroniques 26

      Psaumes 99

      6 Le bonheur d'Israël faisait allusion à la perfection de son grand Gouverneur. Ce peuple se basait en toutes choses sur la Parole de Dieu, sur Sa loi, sachant qu'il ne pouvait espérer rien d'autre que l'exaucement de ses prières. Il était persuadé que toutes choses devaient être présentées devant Dieu, par la prière ; les miracles correspondaient aux requêtes qu'il faisait.

      Il criait à Dieu et obtenait des réponses de paix. Notre Prophète et Grand Prêtre, infiniment plus grand que Moïse, Aaron ou Samuel, a connu la volonté du Père et nous l'a communiquée.

      Ne louons pas le Seigneur de nos lèvres seulement, mais plaçons-Le au « point culminant » de notre cœur ; et alors que nous l'adorons, n'oublions jamais qu'Il est saint.

      Psaumes 106

      Luc 1

      Actes 13

      Romains 1

      1

      En écrivant aux Romains, l'apôtre semblait vouloir adresser, par son enseignement, des éléments de réponse aux incrédules, tout en instruisant les croyants Juifs ; il voulait également affermir la foi des chrétiens et convertir les païens idolâtres ; de plus, l’écrivain désirait souligner l’égalité des « Gentils » et des Juifs, en ce qui concerne leur condition religieuse et leur place dans la faveur divine.

      Ces buts multiples sont présentés au lecteur, par le biais d’oppositions et de divers raisonnements, tant avec les Juifs, (incrédules ou non), qu’avec les « Gentils ».

      Le chemin de l'acceptation d'un pécheur par Dieu, c'est-à-dire Sa justification, simplement par la Grâce, est clairement affirmé au travers de la foi en la Justice de Christ, sans distinction de nations. Cette doctrine se distingue des objections soulevées par les chrétiens judaïques, partisans de créer des critères d'accession au salut, par un mélange de la loi et de l'Évangile, et pour priver les païens de toute participation aux bénédictions apportées par le Messie. Dans la conclusion de l’épitre, l’auteur incite à la sainteté, par le biais de nombreuses exhortations pratiques.

      * La mission de l'apôtre. (Romains 1:1-7) Il prie pour les saints à Rome, et désire les rencontrer. (Romains 1:8-15) Le chemin de l'Évangile et de la justification par la foi, tant pour les Juifs que pour les Gentils. (Romains 1:16,17) Les péchés des Gentils sont révélés. (Romains 1:18-32)

      Romains 1:1-7 La doctrine enseignée par l'apôtre Paul expose l'accomplissement des promesses faites par les prophètes : il s’agit en fait de Jésus-Christ, le Sauveur, le Messie promis, de la descendance de David, par sa nature humaine, mais déclaré Fils de Dieu, par le pouvoir Divin qui Le ressuscita des morts. La profession chrétienne n’est pas constituée d’une connaissance théorique des Écritures, ni d’un simple consentement à une idéologie, encore moins de vaines discussions, mais uniquement d'obéissance. Seuls ceux qui sont amenés à l'obéissance de la foi peuvent prétendre « appartenir à Jésus-Christ.

      Nous pouvons voir dans ce texte : 1- Le privilège des chrétiens : ils sont les bien-aimés de Dieu, et sont membres du « corps spirituel », lui aussi bien-aimé. 2- Le devoir des chrétiens : ils doivent être saints, (ils sont en effet appelés à le devenir).

      Au début de cette épitre, l'apôtre Paul salue les « bienaimés qui sont à Rome », leur souhaitant la Grâce pour sanctifier leur âme, et la Paix pour consoler leur cœur ; ces deux bénédictions émanent de la Miséricorde divine, du Père, réconcilié avec tous les croyants, par le biais du Seigneur Jésus-Christ !

      Galates 1

      15 Paul a été merveilleusement conduit à connaître Christ, par la foi.

      Tous ceux qui sont sauvés, convertis, sont en fait appelés par la Grâce de Dieu ; leur conversion est ainsi « forgée » par le pouvoir de ce Dernier, par l’œuvre de la Grâce. Il n'y aurait qu'un avantage limité si Christ n’était révélé uniquement « qu’à » nous-mêmes, en fait, Il est aussi « en » nous !

      Paul s'est préparé à obéir instantanément au Seigneur, sans hésitation, sans chercher à garder quelque intérêt ici-bas, ni confort, ni agrément. Quel beau sujet d’action de grâce et de joie dans nos églises, quand elles voient de tels exemples, à la gloire du Seigneur, par Sa Grâce, même si elles n’ont jamais connu l’apôtre ! En fait, ces louanges glorifient Dieu pour Sa Puissance et Sa Miséricorde, en sauvant des personnes telles que Paul, pour le bénéfice de Ses enfants et les avantages futurs qui en découlent !

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