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1 Corinthiens 1.2

A l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui, là-bas, sont appelés à vivre pour Dieu et qui lui appartiennent par la foi en Jésus-Christ, et à tous ceux qui, partout, font appel au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre :
A l'Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, qui sont appelés Saints, et à tous ceux qui invoquent, en quelque lieu que ce soit, le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre.
saluent l’Eglise de Dieu établie à Corinthe, ceux qui ont été *purifiés de leurs péchés dans l’union avec Jésus-Christ et qui sont appelés à appartenir à Dieu, ainsi que tous ceux qui, en quelque lieu que ce soit, font appel à notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur aussi bien que le nôtre.
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    • Genèse 4

      Genèse 12

      Genèse 13

      5 Les richesses sont non seulement à l'origine des disputes, elles sont également souvent à l'origine de beaucoup de problèmes ; elles conduisent à des querelles en rendant les hommes orgueilleux, remplis de convoitise. Les richesses de ce monde sont bien minces et limitées. La pauvreté et le travail, le besoin et la transhumance ne pouvaient séparer Abram et Lot, mais les richesses, par contre, en furent bien capables. Les mauvais serviteurs sont souvent, par leur orgueil, leurs passions, leurs mensonges et leurs calomnies, à l'origine de discordes au sein même des familles et de leur entourage. La pire des difficultés était occasionnée par l'occupation du pays à la fois par les Cananéens et par les Phérésiens. Les querelles des professeurs sont à l'origine des reproches que l'on fait à la religion et sont l'occasion des blasphèmes que les ennemis lancent au Seigneur. Il est bon de sauvegarder la paix, de veiller à ce qu'elle ne soit pas rompue ; mais la tâche suivante consiste, une fois les disputes arrivées, à les étouffer rapidement. Abram a bien essayé d'enrayer le conflit, malgré les pouvoirs qu'il avait en tant que patriarche de cette famille. Il a montré qu'il était un homme de paix, qu'il était en phase avec ses convictions, au point de pouvoir détourner la colère naissante par des solutions pacifiques. Ceux qui veulent conserver la paix se doivent de ne pas répondre aux vaines discussions par des propos similaires. Et avec un esprit condescendant, Abram cherchait la paix, même au prix d'une certaine humilité. Quelle que soit l'attitude des autres, le peuple de Dieu se doit de rechercher la paix. Cette recherche, d'Abram était vraiment active. Sachons nous contenter de ce que nous avons ; ne tombons pas dans la convoitise des choses meilleures, où des pays qui paraissent enchanteurs. Ceux qui se vantent d'être religieux se doivent d'éviter soigneusement toute dispute. Beaucoup se targuent d'être pour la paix, mais en fait ne font rien en sa faveur : il n'en fut pas ainsi pour Abram. Si Dieu a souhaité notre propre réconciliation, recherchons, en retour, le bien des autres.

      Bien que Dieu ait promis à Abram de donner ce pays à sa semence, Il en a donné un autre à Lot, équivalent ou même meilleur, bien que ce dernier ne soit pas au bénéfice de la protection et de la promesse divines. C'est un noble sentiment que la recherche de la paix.

      10 Aussitôt qu'Abram a offert le choix à Lot, celui-ci s'empressa d'accepter. Les passions et l'égoïsme rendent les hommes grossiers. Lot a préféré la richesse de la terre, espérant ainsi prospérer. Mais qu'en advint-il ? Ceux qui, par le choix de leurs relations, de leur vocation, de leur demeure ne sont guidés que par la convoitise de la chair et des yeux et par l'orgueil, ne peuvent s'attendre à recevoir l'approbation ou la bénédiction divine. Ils finissent souvent par être désappointés, particulièrement par les choses sur lesquelles ils comptaient. Dans tous nos choix, ce principe devrait être une règle : les conditions les meilleures pour nous doivent d'abord être excellentes pour nos âmes. Lot a sous estimé la méchanceté des habitants de ce pays. Les hommes de Sodome étaient impudents et pécheurs. Cette ville se caractérisait par l'iniquité, l'orgueil, l'abondance et l'oisiveté, Eze 16:49. Dieu accorde souvent l'abondance aux pécheurs les plus pervers, ce qui peut frustrer beaucoup d'hommes pieux vivant dans leur entourage ; cela peut être d'autant plus cruel si c'est, comme pour Lot, à la suite d'un mauvais choix.

      Psaumes 45

      Jean 17

      17 Christ a ensuite prié pour les disciples, afin qu'ils puissent non seulement être gardés du mal, mais pour qu’ils pratiquent le bien.

      Cette prière de Jésus s’adresse également à tous ceux qui Lui appartiennent, afin qu’ils soient sanctifiés. Ils doivent aussi prier pour la Grâce qui sanctifie. Comment obtenir cette Grâce ? « Sanctifie-les par Ta vérité, Ta parole est la vérité ». Le verbe sanctifier signifie : qu'ils soient mis à part, pour Toi-même et pour Ton service ; qu'ils Te servent dans le ministère ; que Ton Esprit soit avec eux.

      Jésus s'est entièrement consacré à cette entreprise, avec tout ce que cela implique : Il s’est offert Lui-même, sans tache, à Dieu, par l'Esprit éternel. La véritable sainteté de tous les chrétiens sincères, est en effet le fruit de la mort de Christ, par lequel le don du Saint-Esprit leur a été acquis ; Il s'est donné Lui-même pour Son église, pour la sanctifier.

      Si les affirmations qui précèdent, ne sont pas selon nous, en phase avec la Vérité divine, c’est qu’elles sont alors reçues sans une foi vivante et agissante ; elles ne seront hélas, que de simples notions théoriques et inutiles...

      Actes 7

      Actes 9

      Actes 10

      Actes 15

      Actes 18

      1

      Paul à Corinthe, avec Aquilas et Priscille. (Actes 18:1-6)
      Il continue à prêcher à Corinthe. (Actes 18:7-11)
      Paul devant Gallion. (Actes 18:12-17)
      Il se rend à Jérusalem. (Actes 18:18-23)
      Apollos enseigne à Éphèse et en Achaïe. (Actes 18:24-28)

      Bien que Paul puisse légitimement être aidé par les églises qu'il avait implantées et par ceux auxquels il prêchait la Parole, il a cependant assumé une profession, durant son ministère. Un honnête commerce, grâce auquel un homme peut gagner son pain, ne doit pas être méprisé.

      Les Juifs avaient pour coutume d’enseigner à leurs enfants un métier, tout en leur donnant de l'instruction et des biens. Paul veillait à n’être à la charge de personne, en quoi que ce soit.

      L'amour de Christ est le meilleur lien qui puisse unir les saints ; la communion fraternelle adoucit les peines du labeur, elle contrecarre le mépris mutuel et de nombreux problèmes. La plupart des Juifs persistait à contredire l'Évangile et à le blasphémer. Ils ne voulaient pas y croire et faisaient tout leur possible pour faire partager leur opinion aux autres.

      Paul parti donc d’Athènes. Il n'abandonna pas son travail ; bien qu'Israël ne soit pas encore reconstitué*, Christ et l’Évangile manifestaient leur puissance ! Les Juifs ne doivent pas se plaindre : ils furent les premiers à recevoir l'offre du salut.

      Quand certaines personnes s'opposent à l'Évangile qui leur est annoncé, nous devons nous tourner alors vers d'autres. La tristesse de voir beaucoup de gens persister dans l'incrédulité, ne doit pas nous empêcher de remercier le Seigneur pour ceux qui se tournent vers Lui !

      * Note du traducteur : ce texte a été rédigé au dix-neuvième siècle ; l’auteur ne pouvait donc pas savoir que l’état d’Israël allait être reconstitué plus tard.

      Actes 22

      Actes 26

      Romains 1

      Romains 3

      Romains 10

      12 Il n'y a pas de Dieu particulier, réservé aux Juifs, vraiment clément, et un autre pour les païens, qui le soit moins ; le Seigneur est le même Père pour tous les hommes. Il n’existe qu’une même promesse pour tous ceux qui invoquent le Nom du Seigneur Jésus, en tant que Fils de Dieu, Dieu « manifesté en chair ». Tous les croyants font ainsi appel au Seigneur Jésus, et chacun ne pourra le faire qu'avec humilité et sincérité de cœur.

      Comment quelqu'un peut-il invoquer le Seigneur Jésus, le Sauveur Divin, s'il n'a pas entendu parler de Lui auparavant ? Quelle doit être la vie d'un chrétien, sinon une vie de prière ? Quand nous prions, cela révèle que nous ressentons notre dépendance envers le Seigneur, que nous sommes prêt à nous abandonner à Lui, et que nous croyons que nous pouvons nous attendre à Lui, en toutes choses.

      Il était essentiel que l'évangile soit prêché aux païens. Il était en effet nécessaire que quelqu'un leur montre le « chemin de la foi ». L'Évangile est vraiment le bienvenu pour ceux à qui il a été prêché ! Cet Évangile est offert, non seulement dans le but qu’on y croit, mais aussi pour qu’on lui obéisse. Il ne représente pas un « système », composé de différentes notions théoriques, mais il est une véritable règle de vie pratique. Le début, les progrès, et la force de la foi découlent de ce l’on entend : mais ce n'est seulement qu’en écoutant vraiment la Parole de Dieu que l’on fortifiera sa foi !

      Romains 14

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 6

      9 Dans ce texte, les Corinthiens sont mis en garde contre les nombreux péchés, dont ils étaient autrefois coupables. Le réquisitoire de Paul, sur ce sujet, est très virulent, si nous considérons qu’il était adressé à des personnes fières de leur sagesse et de leurs connaissances.

      Toute perversité est un péché ; tout péché qui demeure, étant commis délibérément et sans repentir, ferme la porte du Royaume des cieux. Ne vous y trompez pas : beaucoup de personnes sont très enclines à se vanter de pouvoir vivre dans le péché, tout en étant « mortes en Christ », annonçant avec arrogance, pouvoir cependant aller au ciel. Nous ne pouvons pas espérer vivre « selon la chair », et jouir plus tard, de la vie éternelle.

      Paul rappelle aux Corinthiens, quels ont été les changements que l'Évangile et la Grâce de Dieu ont opéré sur eux. Le sang de Christ, et la purification de la régénération, peuvent effacer toute culpabilité. Notre justification est due à la souffrance et au mérite de Christ ; notre sanctification provient de l'œuvre du Saint-Esprit ; toutes deux vont de pair. Tous les sanctifiés, aux yeux du Seigneur, le sont par Sa Grâce !

      1 Corinthiens 8

      2 Corinthiens 1

      1

      La deuxième épître aux Corinthiens a probablement été écrite un an après la première. Son contenu est de toute évidence étroitement lié à celui de la précédente.

      La manière avec laquelle la première lettre de Paul a été reçue, est particulièrement remarquable : elle poussait l'apôtre à témoigner prioritairement sa gratitude envers Dieu, ce qui le libérait quelque peu de ses différents devoirs envers les Corinthiens. Beaucoup, parmi ces derniers, avaient montré des signes de repentir et avaient corrigé leur conduite, alors que d'autres suivaient encore leurs faux docteurs ; comme l'apôtre tardait à les visiter, renonçant à les traiter avec sévérité, ils l'accusaient alors de légèreté, lui imputant une conduite instable. Ils avaient également tendance à le mépriser, le trouvant à la fois arrogant et sévère, et ne recherchant qu’une vaine gloire.

      Dans cette épître, comme dans la précédente, nous trouvons la même affection ardente, envers les disciples de Corinthe, la même hardiesse pour les réprimander et le même zèle pour l'honneur de l'Évangile. Les six premiers chapitres sont principalement orientés sur la pratique ; les autres mentionnent davantage l'état de l'église de Corinthe, et contiennent beaucoup de règles d'application générale.

      * L'apôtre bénit Dieu pour le réconfort et la délivrance, face à ses différents problèmes. (\\# 1-11\\) Il professe son intégrité envers ses compagnons d'œuvre. (2 Corinthiens 1:12-14) Il donne les raisons pour lesquelles il n'a pu venir chez eux. (#\\15-24\\)

      2 Corinthiens 1:1-11 Dans ce texte, nous sommes encouragés à nous approcher résolument du trône céleste, afin de pouvoir obtenir la Miséricorde divine, et trouver ainsi la Grâce qui nous aidera au moment opportun.

      Le Seigneur est capable d’accorder Sa Paix à toute conscience troublée, et de supprimer les diverses passions qui ravagent l'âme. C'est Lui qui accorde ces bénédictions, comme un Père, envers Sa famille rachetée. Celui qui annonce : « ne permets pas à ton cœur de se troubler » est véritablement notre Sauveur !

      Tous les réconforts spirituels proviennent de Dieu, même les plus subtils sont EN Lui. Il délivre Sa Paix à l’âme, en accordant la rémission des péchés ; Il la console par l'influence du Saint-Esprit et par les richesses de Sa Miséricorde et de Sa Grâce. Le Seigneur est capable de réconforter les cœurs brisés, de guérir les blessures les plus douloureuses, Il sait également redonner espoir et joie à ceux qui connaissent les plus grands chagrins.

      Les faveurs que Dieu nous accorde, doivent non seulement nous rendre heureux, mais elles doivent être également profitables aux autres. Il envoie de simples réconforts, tels que la confiance dans le ministère spirituel de Ses serviteurs. Quand nous sommes confrontés ici-bas au plus grand désespoir, nous pouvons alors nous tourner vers Dieu, le Seul qui puisse nous sauver de la mort.

      L’espérance et la confiance des Corinthiens n'étaient pas vaines ; il en est de même pour ceux qui éprouvent de la honte pour leur péché et qui s'appuient sur le Seigneur pour être pardonnés. Les expériences spirituelles encouragent la foi et l'espoir, elles nous placent dans l'obligation de nous confier en Dieu, quant à notre avenir.

      Nous devons non seulement intercéder par la prière, en faveur d’une personne, mais également louer le Seigneur et Lui adresser des actions de grâce, en tenant des propos à notre prochain, qui lui soient bénéfiques. Un tel amour et une telle miséricorde envers les autres ne pourront concourir en final qu’au bien de tous !

      2 Corinthiens 4

      Galates 1

      Ephésiens 5

      Philippiens 2

      1 Thessaloniciens 1

      1

      Cette épître est considérée généralement comme celle qui a été la première, écrite par l’apôtre Paul. L'occasion semble en avoir été le compte-rendu positif de la fermeté de l'église à Thessalonique, quant à sa foi en l'Évangile. Cette épître manifeste l'affection et la confiance, de l’apôtre envers les Thessaloniciens ; elle insiste davantage, par rapport à d’autres épîtres, sur la pratique de la piété et la consolation qui en découle (avec toutefois moins d’enseignement de doctrine.)

      La foi, l'amour, et la patience des Thessaloniciens, sont les signes évidents de leur « élection », manifestée dans la puissance avec laquelle l'Évangile est parvenu jusqu’à eux. (1 Thessaloniciens 1:1-5)
      Les effets puissants et exemplaires de l’Évangile agissent sur leur cœur et leur vie. (1 Thessaloniciens 1:6-10)

      Puisque toute bénédiction provient du ciel, nulle autre ne peut être espérée de la part des pécheurs, sauf quand elle est « agréée » par Dieu, en Christ.

      Les meilleures bénédictions peuvent être attendues de Dieu : Il est notre Père, Christ étant Son Fils. Nous devons prier, non seulement pour nous-même, mais également pour les autres, en nous souvenant d'eux, sans cesse. Quand on rencontre une foi véritable chez un enfant de Dieu, on constate toujours les fruits de cette dernière ; elle affectera à la fois le cœur et la vie de cette personne. La foi travaille avec l’amour : elle se révèle elle-même dans notre amour envers Dieu et notre prochain.

      Partout où se trouve une solide espérance de la vie éternelle, on voit apparaître parallèlement l'exercice de la patience ; cela traduit également une certaine sincérité de cœur dans tous nos actes, quand nous cherchons à être approuvés par Dieu. Nous pouvons reconnaître notre « élection spirituelle », si, non seulement nous témoignons des bénédictions divines, mais si nous ressentons également leur pouvoir dans notre cœur, anéantissant ainsi notre convoitise et nous sevrant du monde, en recherchant tout ce qui concerne le domaine céleste.

      Si l'Esprit divin ne s’associe à la lecture de la Parole de Dieu, Il ne sera pour nous qu’une lettre morte. Les Thessaloniciens ont profité de cette « onction spirituelle » : la puissance du Saint-Esprit. Ils étaient totalement convaincus de la Véracité des Écritures, sans être ébranlés par diverses objections de doctrine, voire des doutes ; ils étaient disposés à tout laisser pour Christ et à tout risquer pour le salut de leur âme, étant assurés d’avoir la vie éternelle, selon la révélation de l'Évangile !

      1 Thessaloniciens 4

      2 Thessaloniciens 1

      1

      La deuxième épître aux Thessaloniciens a été écrite peu de temps après la première. L'apôtre avait entendu dire, suite à quelques commentaires relatifs à sa première lettre, que beaucoup pensaient que la seconde venue de Christ était proche, et que le jour du jugement arriverait du temps de leur vivant...

      Quelques-uns négligeaient leurs devoirs sociaux. Paul leur écrit de nouveau pour corriger leur erreur d’interprétation, cette dernière pouvant restreindre la diffusion de l'Évangile. Il a écrit conformément aux paroles des prophètes de l'Ancien Testament, leur disant que de nombreuses décisions du Très-Haut doivent encore s’accomplir, avant que ne survienne le Jour du Seigneur ; étant persuadé de la véracité de ce futur événement, il souligne son imminence.

      Ce sujet conduit à une remarquable prédiction de certains événements futurs, devant avoir lieu au « temps de l'Église ; » cela renforce l'esprit prophétique que possédait l'apôtre.

      * L'apôtre bénit Dieu pour la croissance de l'amour et de la patience des Thessaloniciens. (2 Thessaloniciens 1:1-4) Il encourage ceux-ci à persévérer, malgré toutes leurs souffrances pour la cause de Christ ; il leur rappelle Sa présence au grand jour du jugement. (2 Thessaloniciens 1:5-12)

      2 Thessaloniciens 1:1-4 Quand on rencontre la Grâce véritable, on ne peut que constater Sa croissance en notre cœur !

      Le chemin du juste (ou du racheté) est comme une lumière brillante, luisant sans cesse et de plus en plus, jusqu'à son épanouissement parfait. Quand la Grâce croît sans cesse, Dieu doit en recevoir toute la gloire. Quand la foi grandit, l'amour abonde : elle ne peut d’ailleurs s’épanouir sans ce dernier. La foi et la patience peuvent être proposées en tant que modèles pour notre prochain, en particulier lorsque les épreuves, permises par Dieu, ainsi que les persécutions des hommes, manifestent la véracité de la Grâce : la patience et la foi, mentionnées par l'apôtre Paul, fortifient les rachetés, en leur permettant de supporter toutes les tribulations !

      2 Thessaloniciens 2

      16 Nous pouvons et nous devons adresser nos prières, non seulement à Dieu le Père, par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ, mais aussi à ce Dernier.

      Nous devons prier Dieu, au Nom de Christ, car Il est non seulement Son Père, mais il est également notre Père, en Son Fils. L'amour de Dieu, en Jésus-Christ, est à l’origine de tout le bien dont nous disposons ou pouvons espérer. Nous pouvons compter sur les différentes consolations que peut nous envoyer le ciel, car les saints placent toute leur confiance en la Grâce. Cette grâce et la Miséricorde divine sont les fondements de l’espérance des enfants de Dieu ; ils ne se confient nullement dans leur propre valeur, voire leurs éventuels mérites.

      Plus nous prenons plaisir à lire la Parole de Dieu, à contempler Ses œuvres et Ses voies, plus nous serons aptes à progresser dans notre cheminement spirituel. Mais si nous vacillons dans la foi, assaillis par les doutes, si nous hésitons à accomplir notre devoir, il n'est pas étonnant que nous soyons « étrangers » aux joies de la piété...

      1 Timothée 3

      2 Timothée 1

      2 Timothée 2

      22 Plus nous nous efforcerons de pratiquer le bien, plus nous nous éloignerons rapidement du mal. Le fait d'entretenir une communion spirituelle avec les « saints », nous détachera de toute association avec les œuvres stériles des ténèbres.

      Remarquez le nombre de fois où l'apôtre Paul nous avertit de veiller à tous les différends qui peuvent survenir dans l’exercice de la piété ! Ceci démontre d'une façon certaine, que cette dernière consiste à croire et pratiquer ce que Dieu demande, plutôt que de vaquer à la poursuite de vains débats.

      Ceux qui sont enclins aux disputes, à la violence et à l’orgueil, sont inaptes à l'enseignement. L'enseignement, au contraire de la persécution, est ce qui caractérise les « agissements spirituels » de l'Écriture pour contrer ceux qui se trouvent dans l'erreur. Dieu, qui nous permet de découvrir la Vérité, nous apporte, par Sa Grâce, l’opportunité de Le connaître ; si tel n’était pas le cas, notre cœur continuerait à se rebeller contre Lui.

      Il n'y a pas de « peut-être » dans les propos divins, au sujet de ceux qui se repentent ; toutefois, nous ne pouvons pas dire que Dieu accordera le repentir à ceux qui s'opposent à Sa Volonté.

      Les pécheurs, de manière imagée, sont pris dans le pire des filets : celui du diable ; ils deviennent en fait les esclaves de Celui-ci.

      Si certains espèrent une délivrance, qu'ils se souviennent qu'ils ne pourront jamais s'échapper de ce piège, excepté par la repentance, qui est le don de Dieu ; ils devront demander cette délivrance à Dieu, en persévérant par de ferventes prières.

      Hébreux 2

      Hébreux 10

      Hébreux 13

      1 Pierre 1

      Jude 1

      1

      Cette épître de Jude s’adresse à tous les croyants, désormais sous la dispensation de l’Évangile. Son but est de garder les enfants de Dieu, des faux docteurs qui avaient commencé à s'introduire dans l'église de l’époque, répandant de dangereuses doctrines et tentant de rabaisser l’ensemble du Christianisme en une simple croyance nominale, en une « profession » extérieure de l'Évangile.

      Ayant ainsi nié les obligations de sainteté personnelle, ces faux docteurs ont enseigné leurs disciples à vivre de manière coupable, en les flattant en leur faisant espérer la vie éternelle. Cette épître dénonce le caractère vil et la démarche honteuse de ces séducteurs, pour conclure ensuite par divers avertissements, exhortations et conseils aux croyants.

      * L'apôtre exhorte à la fermeté dans la foi. (Jude 1:1-4) La mauvaise influence des faux docteurs, et la punition épouvantable qui leur sera infligée, ainsi qu'à leurs partisans. (Jude 1:5-7) L’affreuse description de ces séducteurs et leur fin déplorable. (Jude 1:8-16) Les croyants sont mis en garde contre l’arrivée de tels trompeurs dans l’église naissante. (Jude 1:17-23) Conclusion de l'épître : doxologie d’encouragement et louanges diverses. (Jude 1:24,25)

      Jude 1:1-4 Les chrétiens sont appelés à demeurer spirituellement « séparés du monde », hors de sa nature et de son esprit mauvais : ils sont appelés à ne pas s’y intégrer, pour se tourner vers une destination plus élevée et meilleure, vers le ciel, pour connaître ce qui est pour l’instant invisible, mais éternel ; les croyants sont appelés à s’éloigner du péché, pour se rapprocher de plus en plus de Christ, ils doivent fuir toute vanité et impureté, pour se tourner vers la droiture et la sainteté : tout cela s’opère par la Grâce divine.

      Si le chrétien est sanctifié et glorifié, tout l'honneur et la gloire en reviennent à Dieu, à Lui seul. Du fait que ce Dernier initie l'œuvre de la Grâce dans le cœur de l’homme, Il le soutient également et le perfectionne dans la sanctification.

      Ne nous fions pas à nous-mêmes, ni dans le potentiel de Grâce déjà acquis, mais en Dieu, en Lui seul. La Miséricorde divine est la source de tout le bien dont nous disposons ou que nous espérons obtenir ; cette Miséricorde est accessible au misérable comme au coupable.

      Conjointement à la Miséricorde, nous trouvons la Paix et l’Amour qui en découlent : d’une part, l'amour de Christ envers nous, mais également, notre amour pour Lui ainsi que notre amour fraternel.

      L'apôtre prie, non seulement que les chrétiens puissent se contenter de peu, mais que leur âme et les églises soient imprégnées de ces pensées. Nul n'est exclu de l’offre et de l’invitation offertes par l’Évangile, sauf les pécheurs qui s’en écartent délibérément. La doctrine de l’Évangile s’applique aux croyants, uniquement à ceux qui désirent s’approcher de Christ. Elle s’adresse aussi bien aux faibles, qu’aux forts. Ceux qui ont reçu la doctrine du salut, doivent combattre pour sa cause, avec ferveur, mais sans débordement.

      Il est mauvais de mentir pour prôner la Vérité ! Il n'est pas bon non plus, de vouloir la défendre par la force. Ceux qui ont reçu la Vérité doivent combattre pour Elle, comme le faisaient les apôtres ; en souffrant avec patience et courage pour Sa cause, sans essayer de combattre ceux ne veulent pas L’admettre, ni partager notre foi.

      Nous devons de tout cœur, surmonter tout ce qui s’oppose à la foi, contrecarrer ceux qui voudraient la corrompre ou la dépraver, même de manière hypocrite, à notre insu. Opposons-nous aux impies invétérés, à ceux qui encouragent à pécher délibérément : ils refusent la Grâce divine qui abonde toujours merveilleusement et restent endurcis devant l'ampleur et la plénitude de la grâce de l'Évangile, dont le but est de délivrer les hommes du péché, pour les amener à Dieu.

      Apocalypse 19

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