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1 Corinthiens 11.3

Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ.
Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c'est le Christ, et que le chef de la femme, c'est l'homme, et que le chef du Christ, c'est Dieu.
Je voudrais cependant attirer votre attention sur un point : comme le Christ est le chef de tout homme, l’homme est le chef de la femme, alors que le chef du Christ, c’est Dieu.
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    • Genèse 3

      16 La femme, par son péché, est condamnée à souffrir et à être assujettie ; les punitions à ce manquement, ont été déterminées après qu'elle ait succombé au désir de ses yeux, de sa chair et de son orgueil. Le péché n'apporte que souffrance et tristesse dans le monde, ce qui provoque des torrents de larmes. Ne cherchons pas l'origine de tous nos soucis quand nous vivons dans le péché. Le commandement divin « Il dominera sur toi » s'adresse aux épouses. Si l'homme n'avait pas péché, il aurait tout régi avec sagesse et amour ; de même, la femme aurait obéi avec douceur et humilité. Adam a fait porter la responsabilité de la faute à sa femme ; mais bien qu'Ève soit en faute d'avoir persuadé son mari de manger du fruit défendu, il revient à Adam de porter la responsabilité de l'avoir écoutée. Ainsi, au jour du Jugement, les indulgences demandées par les hommes quant à leurs frivolités, se retourneront contre eux. Dieu a montré son déplaisir envers Adam. Premièrement, en maudissant son environnement habitable. Dieu avait donné à la descendance humaine une terre où il faisait bon vivre ; celle-ci est maintenant souillée par le péché humain. Adam n'a pas été maudit, comme le serpent le fut, uniquement le sol en subit les conséquences. Deuxièmement son travail et ses plaisirs sont tachés d'amertume. Le travail est notre devoir, il doit être accompli avec fidélité ; toute pratique d'oisiveté finira par être condamnée. Les désagréments et la fatigue dus au travail ne sont qu'une juste rétribution que nous devons subir avec patience ; et ce n'est même pas la punition que nous devrions avoir à cause de notre péché.

      Bien que l'homme ne soit pas astreint à manger la poussière, comme le serpent, il en est réduit à se nourrir avec l'herbe des champs. Troisièmement, la durée de sa vie sera réduite ; si l'on considère tous les ennuis qui lui sont échus après la chute, c'est presque une faveur de lui avoir donné peu de jours à vivre ici-bas.

      Bien que la mort soit redoutable par nature, et bien triste, même à la fin d'une vie bien remplie, cela aboutit toujours par cette punition. Le péché a apporté la mort dans le monde : si Adam n'avait pas commis d'iniquité, il ne serait pas mort. Il a ouvert le chemin de la tentation, mais le Seigneur a pallié à sa faute. Quelle satisfaction admirative nous pouvons avoir, devant la mort et les souffrances expiatoires de notre Seigneur Jésus !

      Il a ainsi subi la sentence prévue à l'origine pour nos premiers parents. Est-ce que les douleurs de l'enfantement sont survenues par le péché ? Nous pouvons lire en, Isa 53:11 à quel point l'âme de Christ a souffert ; Il a souffert jusqu'à la mort, Actes 2:24. Est-ce que la servitude est survenue par le péché ? Christ est né sous la loi, Galates 4:4. Il a été fait malédiction pour nous, Il a été maudit dans Sa mort, Galates 3:13. Les épines sont-elles venues par le péché ?

      Notre Sauveur a été couronné d'épines, pour nous. Est-ce que la sueur est survenue par le péché ? Il a été couvert de sueur pour nous, il a été couvert de grumeaux de sang. Est-ce que la douleur est due au péché ? Il a été fait homme de douleur ; pendant Son agonie, Son âme a été au comble de la souffrance. Est-ce que la mort est survenue suite au péché ? Il a été obéissant jusqu'à la mort. Le remède est proportionnel à la blessure. Béni soit Dieu pour son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

      Esaïe 49

      Esaïe 52

      13 Nous trouvons dans ce texte le début de la merveilleuse description fidèle et détaillée, du ministère, du caractère, et de la Gloire du Messie, dans le but de chercher à convaincre les incrédules les plus endurcis.

      Christ est la Sagesse en personne ; dans l'œuvre de notre rédemption, cette Sagesse divine est apparue comme un mystère : Ceux qui virent Jésus, durent vraisemblablement lui trouver Une bien « piètre envergure » ; personne, avant Lui, n'avait jamais supporté de telles douleurs. Mais Dieu l'a souverainement élevé.

      Tous ces faits ont été décrits de manière parfaite dans les évangiles. Malgré le fait que Christ ait versé Son sang pour les pécheurs, Il n'est pas mort, Sa Puissance est toujours opérante !

      Que tous Ses adversaires puissent discerner cette Sagesse et cesser toute opposition à Son égard, pour bénéficier de « l'aspersion » du sang salutaire de Jésus, et du baptême du Saint-Esprit !

      Obéissons à Christ, et louons-Le pour Son salut !

      Esaïe 55

      Esaïe 61

      1

      Le Messie, Son caractère et son rôle. (Esaïe 61:1-3)
      Ses Promesses, relatives aux futures bénédictions de l'église. (Esaïe 61:4-9)
      L'église vénère Dieu pour Ses Grâces. (Esaïe 61:10,11)

      Les prophètes, lors de leurs écrits, ont été « dirigés » par l'Esprit de Dieu : ce Dernier leur a dicté ce qu'il fallait annoncer, et les a incités à diffuser ces saintes Paroles ; Christ a été conduit par l'Esprit en permanence, sans restriction, ce qui Le « qualifia », en tant qu'homme, pour accomplir l'œuvre qu'Il était venu réaliser.

      Les pauvres sont généralement les mieux disposés pour recevoir l'évangile, Jacques 2:5 ; si nous acceptons la « Bonne Nouvelle » avec humilité, nous serons alors en mesure d'en tirer les meilleurs profits ! Christ a prêché que les « pauvres en esprit » hériteront du royaume des cieux, que les débonnaires hériteront de la terre !

      En Christ nous avons toute satisfaction. Quand le péché domine sur nous, nous sommes alors liés à la puissance de Satan ; mais le « Fils », par Son Esprit, est toujours disposé à nous libérer ; nous sommes alors en effet vraiment libres !

      Le péché et Satan étaient voués à être détruits : Christ a triomphé sur eux à la croix ! Mais les âmes qui rejettent l'offre du salut, seront considérées comme des ennemis. Il fut prédit que Christ serait un Consolateur : il en est ainsi ; Il est envoyé pour soulager les affligés et ceux qui Le recherchent, non pas le monde incrédule.

      Il fera tout ceci pour Son peuple, afin que ce dernier puisse abonder dans les « fruits de la Droiture » et qu'il devienne « le plan de l'Éternel ». Ni la Miséricorde divine, ni l'expiation de Christ, ni l'évangile de la Grâce, ne tirent profit des mérites que leur octroie ce texte.

      Les âmes repentantes doivent rester humbles, elles sont amenées à connaître leur propre caractère, par la vertu de l'Esprit-Saint, en sorte qu'elles puissent ressentir leur besoin réel : l'Ami et le Sauveur des pécheurs ! La doctrine de Christ contient en effet cette bonne et heureuse Nouvelle, pour ceux qui se sont humiliés devant Dieu !

      4 Dans ce texte, des promesses sont faites aux Juifs, lors de leur retour de captivité ; par extension, elles s'étendent à tous ceux qui, par la Grâce, sont délivrés de tout « esclavage » spirituel.

      Une âme impie ressemble à une ville en ruines, sans aucun mur, elle est comme une maison délabrée ; mais, par la Puissance de l'évangile et de la Grâce de Christ, elle est apte à devenir une habitation de Dieu, par l'Esprit. Par cette Grâce divine, nous devenons peu à peu indifférents aux attraits de ce monde ; bien qu'il soit nécessaire de nous servir de nos « mains » ici-bas, en tant que rachetés, notre cœur ne leur est pas asservi, mais consacré entièrement à Dieu et à Son service, alors que les « fils de l'étranger », (verset Esaïe 61:9*) ne seront que nos « laboureurs » et nos « vignerons ».

      Ceux qui sont libérés par Dieu, sont destinés à devenir Ses serviteurs. Son service est en fait l'objet d'une parfaite liberté, pour le plus grand honneur ! Tous les croyants sont des « rois » et des « sacrificateurs », pour Dieu ; ils doivent toujours se conduire en tant que tels. Ceux qui appartiennent au Seigneur, ont raison d'annoncer qu'ils possèdent la « bonne part », et qu'ils s'en réjouissent. Dans la plénitude des joies célestes, nous recevrons plus que le double de récompenses prévues pour tous nos services rendus et souffrances subies.

      Dieu désire la Vérité, donc Il hait toute injustice. Il ne justifiera jamais la rapine que pourrait commettre un homme, même si ce dernier tentait de se disculper ; cette attitude est la plus détestable aux yeux de Dieu.

      Que les enfants de parents pieux, les suivent dans leur conduite, afin qu'en effet, tous puissent voir les fruits d'une bonne éducation ; que ces derniers puissent être une réponse aux prières faites à leur sujet, dans le cadre de la bénédiction divine !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 28

      Jean 3

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      30 Dans ce texte, notre Seigneur revient sur Sa déclaration attestant l'accord total entre le Père et le Fils ; Il se déclare Lui-même le Fils de Dieu. Jésus possédait un témoignage plus grand que celui de Jean ; Ses œuvres manifestent la véracité de toutes Ses paroles.

      La Parole divine n'avait hélas aucune place dans le cœur de ceux qui ont refusé de croire en Celui que le Père avait envoyé, selon Ses anciennes promesses. La voix de Dieu, accompagnée par la Puissance du Saint-Esprit est efficace pour la conversion des pécheurs ; Elle proclame encore : « voici le Fils bien-aimé, en qui le Père a mis toute son affection ».

      Mais quand le cœur de l’homme est rempli de fierté, d'orgueil et d'amour du monde, il ne dispose d’aucune place pour que cette Parole divine demeure en lui...

      Jean 14

      28 Christ prolonge les attentes de Ses disciples au-delà de ce qu'ils pensaient être le bonheur parfait. Le temps de Jésus ici-bas, était désormais compté : aussi les enseignaient-ils abondamment.

      Quand nous tombons malades et que nous sommes proches de la mort, nous ne sommes guère capables de parler à ceux qui nous entourent ; alors, si nous avons un bon conseil à proposer, faisons-le quand nous sommes encore en bonne santé !

      Remarquez la perspective de conflit que Christ avait, non seulement avec les hommes, mais aussi avec les puissances des ténèbres. Satan cherche toujours à nous culpabiliser par notre péché ; il a voulu troubler le Seigneur, mais il n'a rien trouvé qui puisse L’accuser.

      La meilleure preuve de notre amour pour le Père est d'obéir à Ses commandements. Réjouissons-nous des victoires du Sauveur sur Satan, le prince de ce monde. Prenons exemple sur Son amour et sur Son obéissance envers Dieu !

      Jean 17

      1 Corinthiens 3

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 15

      Ephésiens 1

      Ephésiens 4

      Ephésiens 5

      22 Les épouses doivent rester soumises à leurs maris, « dans » le Seigneur : cela implique qu’elles doivent les honorer et leur obéir, par amour pour eux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leurs épouses.

      L'amour de Christ pour l'église nous sert d’exemple : un exemple sincère, pur et constant, malgré les « chutes » éventuelles de cette dernière. Christ s'est donné Lui-même pour l'Église, afin qu'Il puisse la sanctifier en ce monde et la glorifier, plus tard, dans le ciel ; Il s’est sacrifié pour elle, afin de donner à tous ses membres, par l’influence du Saint-Esprit, (dont l'eau du baptême est la représentation extérieure), un principe de sainteté et les délivrer de toute culpabilité, de toute pollution spirituelle et de tout esclavage provoqué par le péché.

      L'Église et les croyants ne seront pas sans taches ni sans rides, tant qu'ils ne seront pas parvenus à connaître la gloire céleste. Seuls ceux qui sont sanctifiés, pourront ensuite être glorifiés.

      Les paroles mentionnées par l'apôtre, relatives au mariage, rappellent celles concernant Adam et Ève, dans la Genèse ; elles ont cependant un sens complémentaire, en ce qui concerne l'union entre Christ et Son église. Cette union est évidemment une allégorie.

      S’il peut y avoir des échecs et des chutes dans cette relation Christ-Église, à cause de notre nature humaine, cela ne change rien quant à l’existence réelle de cette union.

      Tous les devoirs concernant le mariage sont contenus dans l'unité et l'amour. Pendant qu’au sein de l’Église, nous adorons Christ et que nous nous réjouissons dans Son amour condescendant, les maris et leurs épouses apprennent ici quels sont leurs devoirs mutuels. Si cette ordonnance biblique était mieux respectée, les plus terribles épreuves conjugales pourraient être prévenues et leurs conséquences douloureuses seraient ainsi évitées.

      Philippiens 2

      Colossiens 1

      Colossiens 2

      Colossiens 3

      18 Les épîtres, surtout destinées à afficher la gloire de la Grâce Divine, et à magnifier le Seigneur Jésus, montrent explicitement quels sont les devoirs de la vie chrétienne. En fait, nous ne devons jamais séparer nos privilèges, des devoirs que nous dicte l'Évangile.

      Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.

      Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.

      La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.

      1 Timothée 2

      1 Pierre 3

      1

      Les devoirs des épouses et des maris. (1 Pierre 3:1-7)
      Les chrétiens exhortés à la bonne entente. (1 Pierre 3:8-13)
      Exhortés à la patience, sous les persécutions, à cause de la justice, comme Christ, qui a souffert patiemment. (1 Pierre 3:14-22)

      Une épouse doit être soumise à son mari, même si ce dernier n'obéit pas à la Parole.

      Nous voyons quotidiennement à quel point les hommes impies surveillent avec attention les faits et gestes de ceux qui professent la piété. Il n’est pas interdit à une femme de porter une parure, mais c'est le fait d’afficher de la vanité et d’en souligner la grande valeur qui est péché.

      Ceux qui manifestent leur piété doivent prendre soin que tout leur comportement réponde à leur confession. Bien peu de personnes témoignent d’une juste mesure pour ces deux nécessités de la vie courante : la nourriture et le vêtement ! À moins que la pauvreté les en empêche vraiment, de nombreuses personnes dans notre entourage, désirent faire des acquisitions qui sont au delà de leur nécessaire.

      Beaucoup exposent une certaine modestie de par leur attitude, plutôt que par leur réelle humilité ; certains ne sont guère limités matériellement, mais dépensent leur temps et leur argent dans de vaines bagatelles.

      L'apôtre conseille aux femmes chrétiennes, de revêtir une parure incorruptible, qui embellit l'âme : les grâces du Saint-Esprit. Cette « parure » sera vraiment utile pour ménager les affections et gagner l'estime d'un mari, et sera plus efficace que les divers ornements, vêtements à la mode, ou qu’un tempérament querelleur.

      Les chrétiens doivent accomplir leurs devoirs mutuels, d'un esprit bien disposé, et dans l'obéissance aux commandements divins. Les épouses doivent être soumises à leur mari, non dans la crainte, ou la servilité, mais par le désir de bien faire et de plaire à Dieu. Le devoir du mari envers son épouse implique le respect qui lui est dû, en maintenant son autorité, en la protégeant, et en plaçant sa confiance en elle. Ils sont tous deux héritiers de toutes les bénédictions de cette vie et de l’avenir, et doivent vivre pacifiquement l'un avec l'autre.

      La prière doit adoucir leur conversation. Et il n'est pas suffisant qu'ils prient en famille, mais le mari et l'épouse doivent prier d’une part ensemble, et d’autre part avec leurs enfants. Ceux qui sont habitués à cette pratique de la prière en commun, trouvent en cette dernière une telle douceur qu'ils ne seront pas entravés plus tard à ce sujet. Pour pouvoir beaucoup prier, il faut vivre dans la sainteté, et réciproquement !

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