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13
Elle dévorera les morceaux de sa peau et un fléau mortel consumera ses membres.
14
On viendra l’arracher de sa demeure sûre, pour le conduire au roi du monde de la mort.
8
Mais aucun homme n’a les moyens de racheter à Dieu la vie d’un autre homme ou de lui verser le prix de sa propre vie.
9
Le prix de leur vie est trop cher à payer, il faut y renoncer une fois pour toutes.
10
Pensent-ils vivre encore indéfiniment et se dérober à la tombe ?
11
Mais on le voit bien : les sages meurent comme aussi le dernier des sots, et ils abandonnent leurs biens à d’autres.
12
Bien qu’ils aient donné leur nom à leurs terres, la tombe est leur habitation définitive, leur demeure pour tous les temps.
13
Pourtant, au milieu de son luxe, l’homme ne comprend pas qu’il va vers sa fin, comme un simple animal.
14
Mais voici le sort de ces gens pleins d’assurance ; voici quel est l’avenir de ceux qui aiment tant s’entendre parler :
15
On les pousse, comme des moutons, vers le monde des ombres ; la mort est leur berger. – Vers le matin les hommes droits les piétinent. – Leurs formes s’évanouissent, le monde des ombres devient leur demeure.
48
Souviens-toi de moi, la vie est si courte ! On dirait que tu as créé les humains pour les envoyer au néant !
15
Et je me suis dit : « Puisque je connaîtrai la même fin que le sot, à quoi m’aura servi d’être tellement plus sage que lui ? Voilà encore de la fumée qui s’évanouit ! »
16
Tout ce qui arrive est oublié dans les jours qui suivent. Le sage meurt tout comme le sot et les hommes ne se souviennent pas plus de l’un que de l’autre. Pourquoi en est-il ainsi ?
19
En effet, le sort final de l’homme est le même que celui de la bête. Un souffle de vie identique anime hommes et bêtes, et les uns comme les autres doivent mourir. L’être humain ne possède aucune supériorité sur la bête puisque finalement tout part en fumée.
8
Aucun être humain n’a le pouvoir de retenir sa vie et personne ne peut reculer le jour de sa mort. Lorsque la guerre est là, il n’y a pas moyen d’y échapper. La méchanceté ne peut sauver celui qui s’en rend coupable.
5
En effet, les vivants savent au moins qu’ils mourront, mais les morts, eux, ne savent rien du tout. Ils n’ont plus rien à attendre puisqu’ils sont tombés dans l’oubli.
6
Leurs amours, leurs haines, leurs jalousies sont mortes avec eux et ils ne participeront plus jamais à tout ce qui arrive ici-bas.
14
Et moi, le Seigneur, je devrais arracher ces gens aux griffes de la mort, les délivrer du monde des morts ? Mort, où sont tes armes ? Mort, montre ton pouvoir mortel ! Mon œil se ferme à la pitié.
23
Il souffrait beaucoup dans le monde des morts ; il leva les yeux et vit de loin Abraham et Lazare à côté de lui.
27
car, Seigneur, tu ne m’abandonneras pas dans le monde des morts, tu ne permettras pas que moi, ton fidèle, je pourrisse dans la tombe.
5
Il demanda : « Qui es-tu Seigneur ? » Et la voix répondit : « Je suis Jésus que tu persécutes.
14
Pourtant, depuis l’époque d’Adam jusqu’à celle de Moïse, la mort a manifesté son pouvoir même sur ceux qui n’avaient pas péché comme Adam, qui désobéit à l’ordre de Dieu. Adam était l’image de celui qui devait venir.
55
« Mort, où est ta victoire ? Mort, où est ton pouvoir de tuer ? »
10
Elles avaient des queues avec des aiguillons comme en ont les scorpions, et c’est dans leurs queues qu’elles avaient le pouvoir de nuire aux hommes pendant cinq mois.
13
La mer rendit les morts qu’elle contenait. La mort et le monde des morts rendirent aussi leurs morts. Et tous furent jugés selon ce qu’ils avaient fait.
14
La mort et le monde des morts furent jetés dans le lac enflammé. Ce lac est la seconde mort.
Il emprunte pour cela à Osée cette apostrophe hardie : "Où est ton fléau, ô mort ? Où est ta peste, ô enfer ?" Mais l'apôtre modifie l'élan poétique du prophète à un double égard.
D'abord, au terme de ses instructions profondes sur la résurrection, il adresse deux fois son défi à la mort.
La variante du texte reçu, qui lui fait dire : "ô enfer !" (hadès, le lieu invisible, faussement rendu dans nos versions par sépulcre) n'est qu'une correction selon le passage d'Osée. Ensuite, à ces mots du prophète : où est ton fléau, ta peste ? - il substitue ceux-ci : ton aiguillon, ta victoire.
L'aiguillon est l'arme d'un animal venimeux, d'un scorpion, qui pique et tue. (Comparer le verset suivants, note.)