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2
Il y fit la connaissance d’un *Juif nommé Aquilas, originaire du Pont, qui venait d’arriver d’Italie avec sa femme Priscille, car tous les Juifs avaient été expulsés de Rome par un décret de l’empereur Claude. Paul se lia avec eux.
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Après cet incident, Paul resta à Corinthe le temps qui lui parut nécessaire, puis il prit congé des frères et s’embarqua pour la *Syrie, emmenant avec lui Priscille et Aquilas. Avant de quitter le port de Cenchrées, Paul se fit raser la tête car il avait fait un *vœu.
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Il se mit donc à parler avec assurance dans la synagogue. Quand Priscille et Aquilas l’eurent entendu, ils le prirent avec eux et lui expliquèrent plus précisément la voie de Dieu.
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Cela dura deux ans, si bien que tous les habitants de la province d’*Asie, tant Juifs que Grecs, entendirent la Parole du Seigneur.
3
Saluez Prisca et Aquilas, mes collaborateurs dans le service du Christ Jésus.
4
Ils ont risqué leur vie pour sauver la mienne. Je ne suis pas seul à leur en devoir gratitude. C’est aussi le cas de toutes les Eglises des pays païens.
5
Saluez aussi l’Eglise qui se réunit dans leur maison.
Saluez mon cher Epaïnète : il est le premier à s’être tourné vers le Christ dans la province d’Asie.
15
Saluez Philologue et Julie, Nérée et sa sœur, Olympas et tous ceux qui appartiennent à Dieu et sont avec eux.
15
Veuillez saluer de notre part les frères de Laodicée, ainsi que Nympha et l’Eglise qui se réunit dans sa maison.
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Salue Prisca, Aquilas, et la famille d’Onésiphore.
2
ainsi qu’Appia notre sœur, Archippe notre compagnon d’armes, et l’Eglise qui s’assemble dans ta maison.
1
Pierre, *apôtre de Jésus-Christ, salue ceux que Dieu a choisis et qui vivent en hôtes de passage, dispersés dans les provinces du Pont, de Galatie, de Cappadoce, d’*Asie et de Bithynie.
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Elle disait :
—Inscris dans un livre ce que tu vois, et envoie-le à ces sept Eglises : Ephèse, Smyrne, Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie et Laodicée.
Plus tard, nous les trouvons à Rome, et là encore ayant, comme ici, une Eglise dans leur maison. (Romains 16.3-5, note.)
Ceux qui ont une fausse opinion de la piété, basée seulement sur des reproches, deviennent peu à peu, moroses, voire amers. Les véritables salutations chrétiennes ne sont pas de simples politesses, vides de tout sentiment : elles sont l’expression réelle de l’amour fraternel et des recommandations mutuelles, à la bénédiction divine et à la Grâce.
Chaque famille chrétienne devrait ressembler à une église : là où deux ou trois sont assemblés au Nom de Christ, ce Dernier est parmi eux ; il y a donc là, une véritable assemblée !
Ce texte nous donne un avertissement solennel : de nombreuses personnes professent le Nom de Christ, sans manifester toutefois de véritable amour envers Lui. Nul ne L'aime dans la Vérité, s'il n'aime pas Ses lois, ni ne garde Ses commandements. Hélas, beaucoup ne sont chrétiens que de nom, en particulier ceux qui n'aiment pas le Seigneur en toute sincérité. De telles personnes sont en fait séparées du peuple de Dieu, et de la faveur du Très-Haut.
Ceux qui n'aiment pas le Seigneur Jésus-Christ, périront irrémédiablement. Ne nous reposons pas sur des « professions religieuses », où il n'y a aucun amour réel pour Christ, aucun désir ardent de bénéficier du salut qu’Il offre, aucune gratitude pour Sa Miséricorde, aucune obéissance à Ses commandements.
La Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ est pleine de bonté, pour le temps présent comme pour l'éternité ! Désirer voir nos amis bénéficier personnellement de cette Grâce, c'est leur souhaiter le plus grand bien. Tels doivent être nos désirs envers tous nos amis et frères en Christ ! Nous ne pouvons rien leur souhaiter de meilleur, ils ont tout à y gagner.
La véritable chrétienté nous pousse à souhaiter toutes sortes de bénédictions envers ceux que nous aimons ; cela se traduit par le désir de les voir bénéficier de la Grâce qu’offre le Seigneur.
Dans ce texte, l'apôtre parle sans détours aux Corinthiens, soulignant leurs défauts avec une certaine sévérité ; néanmoins, lors de son départ, il leur a manifesté solennellement toute son affection fraternelle, dans le Seigneur.
Que notre amour puisse être avec tous ceux qui sont en Jésus-Christ. Tentons de percevoir toutes les choses du monde comme vaines, comparées à Christ et à Sa droiture !
Allons-nous rester sous la coupe d’un péché manifeste, ou de la négligence de notre devoir ? Sachons nous examiner scrupuleusement nous-mêmes, nous pourrons ainsi juger l'état de notre âme !