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Je déclencherai des attaques contre vous et je vous disperserai parmi les nations étrangères ; votre pays sera réduit en désert et vos villes en ruine.
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Le Seigneur vous dispersera parmi les nations étrangères ; on ne retrouvera qu’un petit nombre d’entre vous dans les pays où il vous aura exilés.
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et il vous dispersera parmi les nations étrangères, d’un bout du monde à l’autre. Vous y adorerez d’autres dieux, que ni vous ni vos ancêtres n’aurez connus, des statues de bois ou de pierre.
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“J’avais l’intention de les détruire complètement et d’effacer tout souvenir d’eux sur la terre.
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Haman dit au roi Xerxès : « Majesté, il existe un peuple particulier, dont les membres sont dispersés dans toutes les provinces de ton empire. Ils vivent à part, ils suivent des coutumes qui ne ressemblent à celles d’aucun autre peuple et ils n’obéissent pas aux lois royales. Tu n’as pas intérêt à laisser ces gens-là tranquilles !
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Tu nous laisses reculer devant l’ennemi, l’adversaire en profite pour nous piller.
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Cependant je laisserai certains d’entre vous survivre à la guerre, et ces rescapés seront dispersés dans des pays étrangers.
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Jésus marchait le long du lac de Galilée, lorsqu’il vit deux frères qui étaient pêcheurs, Simon, surnommé Pierre, et son frère André ; ils pêchaient en jetant un filet dans le lac.
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Voici les noms de ces douze apôtres : d’abord Simon, surnommé Pierre, et son frère André ; Jacques et son frère Jean, tous deux fils de Zébédée ;
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Si Dieu n’avait pas décidé d’abréger cette période, personne ne pourrait survivre. Mais il l’a abrégée à cause de ceux qu’il a choisis.
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La première personne que rencontra André fut son frère Simon ; il lui dit : « Nous avons trouvé le Messie. » – Ce mot signifie « Christ ». –
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Et il conduisit Simon auprès de Jésus. Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, le fils de Jean ; on t’appellera Céphas. » – Ce nom signifie « Pierre ». –
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Les Juifs se demandèrent entre eux : « Où va-t-il se rendre pour que nous ne puissions pas le trouver ? Va-t-il se rendre chez les Juifs dispersés parmi les Grecs et apporter son enseignement aux Grecs ?
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et non seulement pour cette nation, mais aussi pour rassembler en un seul corps tous les enfants de Dieu dispersés.
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Après le repas, Jésus demanda à Simon Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes agneaux. »
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Puis il lui demanda une deuxième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis. »
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Puis il lui demanda une troisième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » Pierre fut attristé de ce que Jésus lui avait demandé pour la troisième fois : « M’aimes-tu ? » et il lui répondit : « Seigneur, tu sais tout ; tu sais que je t’aime ! » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis.
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A Jérusalem vivaient des Juifs pieux, venus de tous les pays du monde.
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Quand ce bruit se fit entendre, ils s’assemblèrent en foule. Ils étaient tous profondément surpris, car chacun d’eux entendait les croyants parler dans sa propre langue.
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Ils étaient remplis d’étonnement et d’admiration, et disaient : « Ces gens qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens ?
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Comment se fait-il alors que chacun de nous les entende parler dans sa langue maternelle ?
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Parmi nous, il y en a qui viennent du pays des Parthes, de Médie et d’Élam. Il y a des habitants de Mésopotamie, de Judée et de Cappadoce, du Pont et de la province d’Asie,
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de Phrygie et de Pamphylie, d’Égypte et de la région de Cyrène, en Libye ; il y en a qui sont venus de Rome,
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de Crète et d’Arabie ; certains sont nés Juifs, et d’autres se sont convertis à la religion juive. Et pourtant nous les entendons parler dans nos diverses langues des grandes œuvres de Dieu ! »
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Quelques hommes s’opposèrent alors à lui : c’étaient d’une part des membres de la synagogue dite des « Esclaves libérés », qui comprenait des Juifs de Cyrène et d’Alexandrie, et d’autre part des Juifs de Cilicie et de la province d’Asie. Ils se mirent à discuter avec Étienne.
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Ceux qui avaient été dispersés parcouraient le pays en annonçant la Bonne Nouvelle.
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Le Saint-Esprit les empêcha d’annoncer la parole de Dieu dans la province d’Asie, de sorte qu’ils traversèrent la Phrygie et la Galatie.
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Quand ils arrivèrent près de la Mysie, ils eurent l’intention d’aller en Bithynie, mais l’Esprit de Jésus ne le leur permit pas.
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Il y rencontra un Juif appelé Aquilas, né dans la province du Pont : il venait d’arriver d’Italie avec sa femme, Priscille, parce que l’empereur Claude avait ordonné à tous les Juifs de quitter Rome. Paul alla les trouver
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Il y passa quelque temps et repartit. Il traversa successivement la Galatie et la Phrygie, en fortifiant la foi de tous les disciples.
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Cela dura deux ans, de sorte que tous ceux qui vivaient dans la province d’Asie, les Juifs et les non-Juifs, purent entendre la parole du Seigneur.
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Paul, en effet, avait décidé de passer devant Éphèse sans s’y arrêter, afin de ne pas perdre de temps dans la province d’Asie. Il se hâtait pour être à Jérusalem si possible le jour de la Pentecôte.
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Paul envoya un message de Milet à Éphèse pour en faire venir les anciens de l’Église.
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Quand ils furent arrivés auprès de lui, il leur dit : « Vous savez comment je me suis toujours comporté avec vous, depuis le premier jour de mon arrivée dans la province d’Asie.
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Les Églises de la province d’Asie vous saluent. Aquilas et Priscille, avec l’Église qui se réunit chez eux, vous envoient leurs cordiales salutations dans la communion du Seigneur.
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Nous voulons en effet que vous sachiez, frères, par quelles détresses nous avons passé dans la province d’Asie : le poids en a été si lourd pour nous, si insupportable, que nous désespérions de conserver la vie.
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Tous les frères qui sont ici se joignent à moi pour adresser cette lettre aux Églises de Galatie et leur dire :
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Eh bien, en ce temps-là, vous étiez loin du Christ ; vous étiez étrangers, vous n’apparteniez pas au peuple de Dieu ; vous étiez exclus des alliances fondées sur la promesse divine ; vous viviez dans le monde sans espérance et sans Dieu.
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Par conséquent, vous les non-Juifs, vous n’êtes plus des étrangers, des gens venus d’ailleurs ; mais vous êtes maintenant concitoyens des membres du peuple de Dieu, vous appartenez à la famille de Dieu.
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Comme tu le sais, tous ceux de la province d’Asie m’ont abandonné, entre autres Phygèle et Hermogène.
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C’est dans la foi que tous ces hommes sont morts. Ils n’ont pas reçu les biens que Dieu avait promis, mais ils les ont vus et salués de loin. Ils ont ouvertement reconnu qu’ils étaient des étrangers et des exilés sur la terre.
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De la part de Jacques, serviteur de Dieu et du Seigneur Jésus-Christ. J’adresse mes salutations à l’ensemble du peuple de Dieu dispersé dans le monde entier.
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De la part de Pierre, apôtre de Jésus-Christ. A ceux que Dieu a choisis et qui vivent en exilés, dispersés dans les provinces du Pont, de la Galatie, de la Cappadoce, de l’Asie et de la Bithynie.
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Je vous le demande, mes chers amis, vous qui êtes étrangers et exilés sur la terre : gardez-vous des passions humaines qui font la guerre à votre être.
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De la part de Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ. A ceux qui, par l’œuvre salutaire de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, ont reçu une foi aussi précieuse que la nôtre :
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elle disait : « Écris dans un livre ce que tu vois, et envoie le livre aux sept Églises suivantes : à Éphèse, Smyrne, Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie et Laodicée. »
Grec : aux étrangers élus de la dispersion du Pont, etc., selon la prescience.
Elus et étrangers sont juxtaposés dans l'original. Il est probable que le premier est adjectif, le second substantif.
Le mot que nous traduisons, faute de mieux, par étranger, signifie proprement l'étranger en séjour, l'habitant, qui n'a qu'un domicile momentané dans un pays, par opposition au citoyen qui a le droit de bourgeoisie.
Les noms énumérés sont ceux des provinces romaines de l'Asie Mineure. L'Asie était appelée aussi Asie proconsulaire, et comprenait une partie de la Phrygie, la Mysie, la Lydie, la Carie et plusieurs îles. Les Eglises de ces contrées avaient été fondées par Paul.
- Ces étrangers, qui vivaient dans la dispersion (diaspora, comparez Jacques 1.1,Jean 7.35) n'étaient pas seulement des Juifs, comme ce terme de diaspora pourrait le faire croire, mais aussi des païens convertis à l'Evangile, (1Pierre 2.10 ; 4.3) et auxquels l'apôtre applique le mot qui d'ordinaire désignait les Juifs vivant hors de la Palestine.
Il envisage tous ces chrétiens, quelle que soit leur origine, comme l'Israël spirituel, le vrai peuple de Dieu. Ils se sentaient étrangers parmi les païens d'autant plus qu'ils étaient dispersés, ne formant que de petits groupes sans beaucoup de rapports entre eux.
En tout temps d'ailleurs, les chrétiens ne sont-ils pas dans ce monde des étrangers des habitants de passage ? (1Pierre 2.11 ; Philippiens 3.20 ; Hébreux 11.13 ; 13.14 ; Psaumes 39.13)
Nous trouvons dans ces épîtres de Pierre les mêmes grandes doctrines que dans celles de l’apôtre Paul ; elles s’appliquent aux mêmes buts pratiques.
Ces épîtres sont remarquables par la douceur, la gentillesse, et l'humble amour qui s’en dégagent. Elles résument clairement et succinctement les éléments suivants : des consolations et des directives nécessaires à l'encouragement et la conduite d'un chrétien dans son cheminement vers la patrie céleste, élevant ses pensées et ses désirs vers cette félicité qui l’attend, en le fortifiant contre toute opposition, corruption, tentation et affliction qui le guettent.* L'apôtre Pierre bénit Dieu pour ses bienfaits, à travers Christ. (1 Pierre 1:1-9) Le salut par Christ a été prédit dès les premières prophéties. (1 Pierre 1:10-12) Tous sont exhortés à suivre une sainte conduite ; (1 Pierre 1:13-16) Que la Sainteté se retrouve dans leur cheminement, leurs privilèges, et leurs obligations. (1 Pierre 1:17-25)
1 Pierre 1:1-9 Cette épître de Pierre s’adresse en principe aux croyants, étant généralement de véritables « étrangers » en chaque ville ou pays, disséminés dans toutes les nations.
Ces chrétiens doivent attribuer leur salut à l'Amour du Père envers Ses « élus », à la Rédemption du Fils, et à la Sanctification du Saint-Esprit ; ils peuvent ainsi rendre gloire à un Dieu trinitaire, en lequel ils ont été baptisés.
L'espoir, selon l’esprit du monde, se réfère seulement à ce qui est incertain : tous les espoirs ici-bas sont en effet chancelants, bâtis sur le sable ; l'espérance céleste, aux yeux du monde, est une conjecture aveugle et sans fondement. Mais l'espérance des enfants de Dieu est vivante ! Non seulement dans son essence, mais également quant à ses effets. Cette espérance anime et console dans toutes les détresses, permettant de franchir toutes les difficultés.
La Miséricorde divine est à l’origine de toute espérance céleste, une Miséricorde sans limites. La solide conviction du salut est un principe actif et vivant dans l'âme du croyant.
La joie qui anime tout chrétien, provient de la connaissance de la félicité céleste qui lui est réservée. Cette joie est incorruptible et ne peut disparaître. Ne pouvant être souillée, elle reste pure et parfaite. Elle ne peut se flétrir, elle demeure constante, malgré tous les aléas possibles.
Tous les biens ici-bas sont entachés de défauts et perfectibles ; les propriétaires de belles demeures sont en perpétuel souci de se faire dérober ce qu’ils possèdent ; le luxe et le confort sont trop souvent à l’origine de troubles de santé. Les riches propriétés sont souvent entachées par le péché, à la fois pour les obtenir, comme pour les habiter.
Sommes-nous prêts à nous détourner de ce que nous possédons, étant persuadés qu’il s’agit parfois d’objets sans utilité réelle, qui peuvent, par leur emploi, nous priver de certaines libertés ou de joie... Les possessions du monde sont incertaines et éphémères, semblables aux fleurs des champs. Ce qui est conservé dans le ciel a infiniment plus de valeur.
Bienheureux ceux dont le cœur est assuré, par le Saint-Esprit, de recevoir un « héritage céleste » ! Dieu n’accorde pas seulement la Grâce à Son peuple, mais Il préserve ce dernier, pour qu’il connaisse Sa gloire.
Chaque croyant a toujours un sujet pour lequel il peut grandement se réjouir ; il doit témoigner de son appartenance spirituelle par sa conduite. Le Seigneur n'afflige pas par plaisir, mais cependant, Son amour et Sa Sagesse permettent que Ses enfants subissent des épreuves « tranchantes », pour leur bien final.
La qualité de l'or n'augmente pas par l'épreuve du feu, en fait, elle diminue ; la foi, quant à elle, est affermie par l’épreuve, et les afflictions. L'or finira par disparaître, et ne peut permettre d’acquérir que ce qui est périssable, alors que l'épreuve de la foi permettra de louer, d'honorer, et de glorifier le Seigneur !
Que ces pensées nous aident à supporter les présentes afflictions ! Portons notre regard vers l'excellence de Christ, et vers Son amour pour nous ; cela vivifiera en notre cœur le « feu spirituel », qui s'élèvera dans un sacrifice d'amour envers Lui ! La gloire de Dieu et notre bonheur spirituel sont tellement unis, que la recherche sincère d’un de ces éléments, nous conduira à l’autre, quand notre âme, par notre nature, ne sera plus assujettie au mal. La certitude d’une telle espérance est perçue par les croyants, comme déjà acquise !