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33
Et je vous disperserai parmi les nations, et je tirerai l'épée après vous ; et votre pays sera désolé, et vos villes désertes.
27
Et l'Éternel vous dispersera parmi les peuples, et vous resterez en petit nombre parmi les nations où l'Éternel vous emmènera ;
64
Et l'Éternel te dispersera parmi tous les peuples, d'un bout de la terre jusqu'à l'autre ; et tu serviras là d'autres dieux, que ni toi ni tes pères n'avez connus, des dieux de bois et de pierre.
26
J'aurais dit : Je les disperserai, j'abolirai leur mémoire d'entre les hommes ;
8
Alors Haman dit au roi Assuérus : Il y a un peuple dispersé parmi les peuples, par toutes les provinces de ton royaume, et qui, toutefois, se tient à part, dont les lois sont différentes de celles de tous les peuples, et qui n'observe point les lois du roi. Il n'est pas expédient au roi de le laisser en repos.
11
Tu nous livres comme des brebis qu'on mange ; tu nous as dispersés parmi les nations.
8
Pourtant je laisserai un reste d'entre vous, réchappés de l'épée parmi les nations, quand vous serez dispersés en divers pays.
18
Et Jésus, marchant le long de la mer de Galilée, vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et André, son frère, qui jetaient leurs filets dans la mer, car ils étaient pêcheurs.
2
Or, voici les noms des douze apôtres : le premier est Simon, nommé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ;
22
Que si ces jours-là n'avaient pas été abrégés, aucune chair n'eût échappé ; mais à cause des élus ils seront abrégés.
41
André trouva le premier Simon son frère, et il lui dit : Nous avons trouvé le Messie (c'est-à-dire, le Christ, l'Oint).
42
Et il l'amena à Jésus. Jésus, l'ayant regardé, lui dit : Tu es Simon, fils de Jona ; tu seras appelé Céphas (c'est-à-dire, Pierre).
35
Les Juifs dirent donc entre eux : Où ira-t-il que nous ne le trouverons point ? Ira-t-il vers ceux qui sont dispersés parmi les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs ?
52
Et non seulement pour la nation, mais aussi pour rassembler en un seul corps les enfants de Dieu dispersés.
15
Après qu'ils eurent dîné, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jona, m'aimes-tu plus que ceux-ci ? Pierre répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux.
16
Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jona, m'aimes-tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
17
Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jona, m'aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu'il lui avait dit pour la troisième fois : M'aimes-tu ? Et il lui dit : Seigneur, tu connais toutes choses, tu sais que je t'aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
5
Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel.
6
Et ce bruit ayant eu lieu, il s'assembla une multitude, qui fut confondue de ce que chacun les entendait parler dans sa propre langue.
7
Et ils en étaient tous hors d'eux-mêmes et dans l'admiration, se disant les uns aux autres : Ces gens-là qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens ?
8
Comment donc les entendons-nous chacun dans la propre langue du pays où nous sommes nés ?
9
Parthes, Mèdes, Élamites, et ceux qui habitent la Mésopotamie, la Judée, la Cappadoce, le Pont et l'Asie,
10
La Phrygie, la Pamphylie, l'Égypte, les quartiers de la Lybie qui est près de Cyrène, et les étrangers romains,
11
Juifs et Prosélytes, Crétois et Arabes, nous les entendons parler en nos langues des merveilles de Dieu.
9
Mais quelques personnes de la synagogue, dite des affranchis, et de celles des Cyrénéens, des Alexandrins, et des hommes originaires de Cilicie et d'Asie, se présentèrent pour disputer contre Étienne.
4
Ceux donc qui avaient été dispersés, allaient de lieu en lieu, annonçant la bonne nouvelle de la Parole.
6
Lorsqu'ils eurent traversé la Phrygie et la Galatie, le Saint-Esprit les empêcha d'annoncer la Parole en Asie.
7
Et étant venus en Mysie, ils se disposaient à aller en Bithynie ; mais l'Esprit ne le leur permit pas.
2
Et ayant trouvé là un Juif, nommé Aquilas, originaire du Pont, qui était nouvellement venu d'Italie avec Priscille sa femme, parce que Claude avait ordonné à tous les Juifs de sortir de Rome, il alla vers eux.
23
Et ayant passé là quelque temps, il en partit, et parcourut de ville en ville la Galatie et la Phrygie, fortifiant tous les disciples.
10
Or cela dura deux ans, en sorte que tous ceux qui demeuraient en Asie, tant Juifs que Grecs, entendirent la parole du Seigneur Jésus.
16
Car Paul avait résolu de passer Éphèse, pour ne pas perdre de temps en Asie, parce qu'il se hâtait d'être à Jérusalem, si cela était possible, le jour de la Pentecôte.
17
Mais il envoya de Milet à Éphèse, pour faire venir les anciens de l'Église.
18
Et lorsqu'ils furent venus vers lui, il leur dit : Vous savez de quelle manière je me suis toujours conduit avec vous, depuis le premier jour que je suis entré en Asie ;
19
Les Églises d'Asie vous saluent. Aquilas et Priscille, avec l'Église qui est dans leur maison, vous saluent bien en notre Seigneur.
8
Car, mes frères, nous ne voulons pas que vous ignoriez l'affliction qui nous est survenue en Asie, c'est que nous avons été accablés excessivement, au-dessus de nos forces, en sorte que nous désespérions même pour notre vie.
2
Et tous les frères qui sont avec moi, aux Églises de Galatie.
12
Vous étiez en ce temps-là sans Christ, séparés de la république d'Israël, étrangers par rapport aux alliances de la promesse, n'ayant point d'espérance, et sans Dieu dans le monde.
19
Ainsi, vous n'êtes plus ni des étrangers, ni des gens de dehors, mais concitoyens des Saints, et de la maison de Dieu ;
15
Tu sais que tous ceux qui sont en Asie m'ont abandonné, parmi eux sont Phygelle et Hermogène.
13
Tous ceux-là sont morts dans la foi, sans avoir reçu les choses promises, mais les ayant vues de loin, crues, et embrassées, et ayant fait profession d'être étrangers et voyageurs sur la terre.
1
Jacques, serviteur de Dieu et du Seigneur Jésus-Christ, aux douze tribus qui sont dispersées, salut !
1
Pierre, apôtre de Jésus-Christ, aux élus étrangers dispersés dans le Pont, la Galatie, la Cappadoce, l'Asie et la Bithynie,
11
Bien-aimés, je vous exhorte, comme des étrangers et des voyageurs, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme ;
1
Siméon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont eu en partage une foi du même prix que la nôtre, dans la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ.
11
Qui disait : Je suis l'Alpha et l'Oméga, le premier et le dernier ; ce que tu vois, écris-le dans un livre et l'envoie aux sept Églises qui sont en Asie, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie et à Laodicée.
Grec : aux étrangers élus de la dispersion du Pont, etc., selon la prescience.
Elus et étrangers sont juxtaposés dans l'original. Il est probable que le premier est adjectif, le second substantif.
Le mot que nous traduisons, faute de mieux, par étranger, signifie proprement l'étranger en séjour, l'habitant, qui n'a qu'un domicile momentané dans un pays, par opposition au citoyen qui a le droit de bourgeoisie.
Les noms énumérés sont ceux des provinces romaines de l'Asie Mineure. L'Asie était appelée aussi Asie proconsulaire, et comprenait une partie de la Phrygie, la Mysie, la Lydie, la Carie et plusieurs îles. Les Eglises de ces contrées avaient été fondées par Paul.
- Ces étrangers, qui vivaient dans la dispersion (diaspora, comparez Jacques 1.1,Jean 7.35) n'étaient pas seulement des Juifs, comme ce terme de diaspora pourrait le faire croire, mais aussi des païens convertis à l'Evangile, (1Pierre 2.10 ; 4.3) et auxquels l'apôtre applique le mot qui d'ordinaire désignait les Juifs vivant hors de la Palestine.
Il envisage tous ces chrétiens, quelle que soit leur origine, comme l'Israël spirituel, le vrai peuple de Dieu. Ils se sentaient étrangers parmi les païens d'autant plus qu'ils étaient dispersés, ne formant que de petits groupes sans beaucoup de rapports entre eux.
En tout temps d'ailleurs, les chrétiens ne sont-ils pas dans ce monde des étrangers des habitants de passage ? (1Pierre 2.11 ; Philippiens 3.20 ; Hébreux 11.13 ; 13.14 ; Psaumes 39.13)
Nous trouvons dans ces épîtres de Pierre les mêmes grandes doctrines que dans celles de l’apôtre Paul ; elles s’appliquent aux mêmes buts pratiques.
Ces épîtres sont remarquables par la douceur, la gentillesse, et l'humble amour qui s’en dégagent. Elles résument clairement et succinctement les éléments suivants : des consolations et des directives nécessaires à l'encouragement et la conduite d'un chrétien dans son cheminement vers la patrie céleste, élevant ses pensées et ses désirs vers cette félicité qui l’attend, en le fortifiant contre toute opposition, corruption, tentation et affliction qui le guettent.* L'apôtre Pierre bénit Dieu pour ses bienfaits, à travers Christ. (1 Pierre 1:1-9) Le salut par Christ a été prédit dès les premières prophéties. (1 Pierre 1:10-12) Tous sont exhortés à suivre une sainte conduite ; (1 Pierre 1:13-16) Que la Sainteté se retrouve dans leur cheminement, leurs privilèges, et leurs obligations. (1 Pierre 1:17-25)
1 Pierre 1:1-9 Cette épître de Pierre s’adresse en principe aux croyants, étant généralement de véritables « étrangers » en chaque ville ou pays, disséminés dans toutes les nations.
Ces chrétiens doivent attribuer leur salut à l'Amour du Père envers Ses « élus », à la Rédemption du Fils, et à la Sanctification du Saint-Esprit ; ils peuvent ainsi rendre gloire à un Dieu trinitaire, en lequel ils ont été baptisés.
L'espoir, selon l’esprit du monde, se réfère seulement à ce qui est incertain : tous les espoirs ici-bas sont en effet chancelants, bâtis sur le sable ; l'espérance céleste, aux yeux du monde, est une conjecture aveugle et sans fondement. Mais l'espérance des enfants de Dieu est vivante ! Non seulement dans son essence, mais également quant à ses effets. Cette espérance anime et console dans toutes les détresses, permettant de franchir toutes les difficultés.
La Miséricorde divine est à l’origine de toute espérance céleste, une Miséricorde sans limites. La solide conviction du salut est un principe actif et vivant dans l'âme du croyant.
La joie qui anime tout chrétien, provient de la connaissance de la félicité céleste qui lui est réservée. Cette joie est incorruptible et ne peut disparaître. Ne pouvant être souillée, elle reste pure et parfaite. Elle ne peut se flétrir, elle demeure constante, malgré tous les aléas possibles.
Tous les biens ici-bas sont entachés de défauts et perfectibles ; les propriétaires de belles demeures sont en perpétuel souci de se faire dérober ce qu’ils possèdent ; le luxe et le confort sont trop souvent à l’origine de troubles de santé. Les riches propriétés sont souvent entachées par le péché, à la fois pour les obtenir, comme pour les habiter.
Sommes-nous prêts à nous détourner de ce que nous possédons, étant persuadés qu’il s’agit parfois d’objets sans utilité réelle, qui peuvent, par leur emploi, nous priver de certaines libertés ou de joie... Les possessions du monde sont incertaines et éphémères, semblables aux fleurs des champs. Ce qui est conservé dans le ciel a infiniment plus de valeur.
Bienheureux ceux dont le cœur est assuré, par le Saint-Esprit, de recevoir un « héritage céleste » ! Dieu n’accorde pas seulement la Grâce à Son peuple, mais Il préserve ce dernier, pour qu’il connaisse Sa gloire.
Chaque croyant a toujours un sujet pour lequel il peut grandement se réjouir ; il doit témoigner de son appartenance spirituelle par sa conduite. Le Seigneur n'afflige pas par plaisir, mais cependant, Son amour et Sa Sagesse permettent que Ses enfants subissent des épreuves « tranchantes », pour leur bien final.
La qualité de l'or n'augmente pas par l'épreuve du feu, en fait, elle diminue ; la foi, quant à elle, est affermie par l’épreuve, et les afflictions. L'or finira par disparaître, et ne peut permettre d’acquérir que ce qui est périssable, alors que l'épreuve de la foi permettra de louer, d'honorer, et de glorifier le Seigneur !
Que ces pensées nous aident à supporter les présentes afflictions ! Portons notre regard vers l'excellence de Christ, et vers Son amour pour nous ; cela vivifiera en notre cœur le « feu spirituel », qui s'élèvera dans un sacrifice d'amour envers Lui ! La gloire de Dieu et notre bonheur spirituel sont tellement unis, que la recherche sincère d’un de ces éléments, nous conduira à l’autre, quand notre âme, par notre nature, ne sera plus assujettie au mal. La certitude d’une telle espérance est perçue par les croyants, comme déjà acquise !