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1 Timothée 6.2

Que ceux qui ont des maîtres croyants ne leur manquent pas de respect sous prétexte qu’ils sont des frères. Bien au contraire, qu’ils les servent d’autant mieux que ce sont des croyants bien-aimés qui bénéficient du bienfait de leur service. Voilà ce que tu dois enseigner et recommander.

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      Genèse 16

      4 Le malheureux mariage d'Abram avec Agar a bien vite été générateur de méchanceté. Ne soyons pas étonnés lorsque les fautes et la douleur nous poursuivent, après avoir quitté la voie que nous dictait notre devoir. C'est bien ce qui est arrivé dans ce texte. Les passions des uns engendrent souvent des querelles avec les autres, au sujet des actes dont les premiers sont seuls responsables. Saraï a donné sa servante à Abram, en disant : « L'outrage qui m'est fait retombe sur toi ».

      Ce genre de propos n'est jamais tenu avec sagesse, mais plutôt avec colère et orgueil. Ceux qui ne pratiquent pas toujours l'équité et qui se vantent de suivre les voies du Seigneur sont vraiment imprudents et audacieux, ils courent à la ruine. Agar a oublié qu'elle fut la première à lancer la provocation, en méprisant sa maîtresse. Ceux qui souffrent par leurs fautes devraient savoir en endurer patiemment les conséquences, \\#1Pe 2:20\\.

      Nombres 16

      Joël 2

      28 La promesse a commencé à s'accomplir au jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit a été répandu ; elle s'est ensuite appliquée lorsque la grâce miraculeuse a été donnée à la fois aux Juifs et aux gentils.

      Les jugements de Dieu envers le monde pécheur n'auront réellement lieu qu'au temps de la fin, au dernier jour. Le fait de faire appel à Dieu suppose qu'on Le connaisse déjà, qu'on désire Le rencontrer, dépendre de Lui, et pour finir, qu'on Lui obéisse en toute sincérité.

      Seules ces personnes là seront délivrées au « grand jour », celles qui se sont détournées du péché pour aller vers Dieu, vers Christ, celles dont le cœur est porté vers les choses célestes.

      Matthieu 6

      Matthieu 23

      Matthieu 25

      Romains 8

      Romains 11

      Galates 3

      26 Avec l'Évangile, les véritables chrétiens, jouissent de grands privilèges ; ils ne sont plus considérés comme de simples « serviteurs », mais comme des « fils » ; ils ne sont plus tenus à distance du Père ni soumis à de nombreuses contraintes, comme les Juifs l'étaient auparavant. Ayant accepté Jésus-Christ comme leur Seigneur et Sauveur, et comptant sur Lui seul pour leur justification et leur salut, ils sont les « fils » de Dieu.

      Aucun système, ni puissance ici-bas ne peuvent procurer de telles bénédictions : en fait, si un homme ne possède pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient nullement. Avec le baptême, nous avons « revêtu » Christ ; lors de cette cérémonie, nous professons être Ses disciples. Étant baptisés « en » Christ, nous sommes baptisés dans Sa mort ; comme Il est mort et ressuscité, nous devons de la même façon, « mourir » au péché, et marcher en nouveauté et sainteté de vie !

      « Revêtir Christ », selon l'Évangile, ne consiste pas à nous couvrir d’une parure extérieure, mais à passer par une « nouvelle naissance », un changement total. Celui qui transforme les croyants en « héritiers » pourvoira en leur faveur. Nous devons nous efforcer d'accomplir les devoirs qui nous incombent, en déposant tous nos soucis devant Dieu. Nous devons porter notre attention vers le ciel : les éléments de cette vie ne sont que des bagatelles. Le Royaume de Dieu, dans les cieux, appartient à Ses enfants. Soyons persuadés de cet état de fait, par-dessus tout !

      Galates 5

      Ephésiens 1

      1

      Cette épître a été écrite lorsque Paul était prisonnier à Rome. Il semble que le but de ce livre soit de fortifier les Éphésiens dans la foi en Christ, en soulignant la grandeur de l’Amour de Dieu, la dignité et l'excellence de Christ, ce qui ne pouvait qu’affermir leur esprit, quant au scandale de la croix.

      L’apôtre révèle aux Éphésiens qu'ils ont été sauvés par grâce ; bien qu'étant jadis misérables, ils avaient désormais les mêmes privilèges que les Juifs. Il les encourage à persévérer dans leur vocation chrétienne, et les invite à « marcher » d'une manière digne de leur profession de foi, décrivant fidèlement les devoirs inhérents à la piété, envers leur entourage, comme dans leur vie privée.

      * Salutation, et description des bénédictions spirituelles, préparées dans l'élection éternelle de Dieu, et acquises par le sang de Christ. (Ephésiens 1:1-8) Ces bénédictions se concrétisent dans la vocation spirituelle des Juifs, comme dans celle des Païens qui croient. (Ephésiens 1:9-14) L'apôtre remercie Dieu pour leur foi et leur amour ; il prie pour l’affermissement de leurs connaissances et l’espérance de « l'héritage céleste », par l'œuvre puissante que Dieu opère en eux. (Ephésiens 1:15-23)

      Ephésiens 1:1,2 Tous les chrétiens doivent être des « saints » ; s'ils ne parviennent pas à cet état ici-bas, ils ne le seront jamais devant la gloire du trône céleste.

      Ceux qui ne placent pas réellement leur confiance en Christ, n’ayant de ce fait qu’une relation spirituelle limitée avec leur Seigneur, ne peuvent être de véritables « saints ». Quand on mentionne la Grâce, il faut bien comprendre ce que représente l'Amour gratuit et immérité de Dieu, avec les bénédictions qui proviennent de l'Esprit ; quand on parle de la Paix que nous accorde le Seigneur, on inclut tous les soutiens qu’apporte la Providence, spirituels et matériels.

      Il n'y a aucune Paix sans la Grâce. Aucune des deux ne peut provenir autrement que de Dieu le Père, et du Seigneur Jésus-Christ ; ceux qui pratiquent une piété vraiment fervente ont besoin de nourriture « fraîche », provenant des grâces de l'Esprit, ils désirent grandir spirituellement !

      15 Dieu nous a accordé de nombreuses bénédictions spirituelles en Son Fils, le Seigneur Jésus ; mais Il exige que nous les Lui demandions par la prière. Même les chrétiens les plus fervents ont besoin de prier dans ce sens : nous devons nous soucier du bien-être de nos frères dans le Seigneur et prier pour eux.

      Même les véritables croyants ont grandement besoin de la Sagesse céleste. Même le chrétien le plus fervent hésite parfois à se placer sous le joug du Seigneur, alors qu'il n'y aurait pas d'autre solution pour son âme, pour trouver le repos. Pour un modeste plaisir, ne renonçons-nous pas souvent à la Paix que Jésus nous offre ? Si nous nous disputions moins, si nous cherchions à prier davantage avec les autres et pour les autres, nous devrions voir quotidiennement l'espérance de notre vocation spirituelle et la richesse de la gloire Divine de notre héritage céleste !

      Nous devons désirer avec ardeur la puissance de la Grâce de Dieu, afin que « l'œuvre de la foi » puisse croître en notre âme. Il est difficile d'amener une personne à croire totalement en Christ, à tout « miser » sur Lui, et à baser son espérance de vie éternelle sur Sa justice. Nul autre pouvoir que celui du Tout-puissant ne peut initier cette œuvre en nous.

      Il est signifié dans ce texte que Christ est le Sauveur, Celui qui pourvoit aux nécessités de ceux qui placent leur confiance en Lui. Il accorde toutes Ses bénédictions, dans une grande abondance. En étant « participants » de Christ, nous sommes remplis de la plénitude de la Grâce et de Sa Gloire. Comment peut-on chercher la justice hors de Jésus-Christ ?

      Ce texte nous enseigne à venir à Christ. Si nous connaissions le résultat de notre « appel », et toutes les bénédictions que nous pouvons trouver en Lui, nous nous approcherions certainement plus rapidement pour en bénéficier !

      Lorsque nous ressentons notre faiblesse et le pouvoir de nos ennemis, nous percevons davantage la grandeur et la puissance qui résident dans chez le croyant qui est engagé dans la voie da la sanctification. Cette pensée nous contraindra, par amour pour notre Rédempteur, à vivre à Sa Gloire !

      Ephésiens 3

      Colossiens 1

      Colossiens 3

      12 Nous devons non seulement, ne pas nous heurter avec quiconque, mais également, accomplir tout le bien possible.

      Les « élus de Dieu », saints et bien-aimés, doivent rester humbles et compatissants envers tous. Aussi longtemps que nous sommes en ce monde, où tant de corruptions envahissent notre cœur, il arrive parfois que naissent des querelles. Il est de notre devoir, en de tels cas, de nous pardonner les uns les autres, imitant le Pardon parfait, par lequel nous sommes sauvés.

      Que la Paix de Dieu règne dans votre cœur ; cette Paix représente Son œuvre, en tous ceux qui Lui appartiennent. Les actions de grâce adressées à Dieu nous aident à nous faire accepter par tous les hommes.

      L'évangile est la parole de Christ. Beaucoup possèdent cette parole en leur cœur, mais bien faiblement ; Elle n'a en fait, aucun pouvoir sur eux. L'âme ne peut prospérer que lorsque nous sommes pénétrés des préceptes de l'Écriture et de la Grâce de Christ.

      Quand, par exemple, nous chantons des psaumes, nous devons être attentifs à nos paroles. Quelle que soit notre tâche, accomplissons tout au Nom du Seigneur Jésus, dans une sincère dépendance.

      Ceux qui font tout au Nom de Christ, ne manqueront jamais d'occasion de rendre grâces à Dieu le Père !

      Colossiens 4

      1

      Les maîtres doivent accomplir leur devoir envers leurs serviteurs. (Colossiens 4:1)
      Les personnes de tout rang doivent persévérer dans la prière. La prudence chrétienne. (Colossiens 4:2-6)
      L'apôtre s'en réfère à d'autres, pour leur exposer ses différents problèmes. (Colossiens 4:7-9)
      Il envoie ses salutations et conclut avec une bénédiction. (Colossiens 4:10-18)

      L'apôtre continue son exposé sur le devoir des maîtres envers leurs serviteurs. Il souligne, non seulement que la justice soit respectée de part et d’autre, mais aussi qu’une stricte équité soit accompagné de bienveillance. Que les maîtres agissent envers leurs serviteurs comme ils voudraient que Dieu les traite eux-mêmes !

      2 Thessaloniciens 1

      1 Timothée 4

      11 La jeunesse ne sera jamais méprisée tant qu’elle se gardera des vanités et des folies de ce monde.

      Ceux qui désirent enseigner, doivent d’abord témoigner de leur piété par leur bonne conduite. Leurs propos doivent édifier et exprimer la sainteté ; par leur amour envers Dieu et envers tous les hommes, ils doivent être des exemples, des modèles de spiritualité, ayant un esprit bien disposé.

      Les serviteurs de Dieu doivent veiller à garder de telles attitudes dans l’exercice de leur ministère. Ils témoigneront ainsi de leur piété par la pratique du bien, en tous points, pour toutes personnes ; tel est le chemin pour tirer profit dans la connaissance et la Grâce de Christ, chemin qui sera également profitable pour les autres.

      La doctrine d'un serviteur de Dieu doit être basée sur les Écritures, elle doit être claire, évangélique, bien énoncée, expliquée, défendue, et mise en pratique. Ces devoirs pieux ne laissent guère de place pour les loisirs ou les plaisirs du monde, les vaines fréquentations ou les conversations frivoles, peu de place, non plus, pour les vains ornements.

      Puisse chaque croyant donner un témoignage profitable à tous, cherchant à expérimenter la puissance de l'Évangile en son cœur, ce qui doit se manifester par toutes sortes de « fruits spirituels » !

      1 Timothée 5

      1

      Directives envers les anciens, les jeunes, et les femmes. (1 Timothée 5:1,2)
      Envers les veuves pauvres. (1 Timothée 5:3-8)
      Directives à propos des veuves. (1 Timothée 5:9-16)
      Le respect devant être dû aux anciens. Timothée doit être prudent lorsqu'il réprimande les pécheurs, lorsqu’il qu'il choisit des serviteurs de Dieu ; prudent également vis-à-vis de sa propre santé. (1 Timothée 5:17-25)

      Le poids des années et le rang engendrent le respect.

      Quand les plus jeunes sont pris en défaut, ils doivent être réprimandés, non pas pour les accabler, mais dans le but de les corriger.

      Quand on blâme ceux qui le méritent, il faut user de beaucoup de douceur et de précautions !

      1 Timothée 6

      Tite 2

      1 Les devoirs qui traduisent la saine doctrine. (Tite 2:1-8) Les hommes pieux doivent être obéissants. (Tite 2:9-10) Tout émane du parfait dessein de l'Évangile, lequel concerne tous les croyants. (Tite 2:11-15).

      Tite 2:1-8 Les disciples que Jésus-Christ aime, doivent se conduire en tous points, conformément à la doctrine chrétienne.

      Que les personnes âgées soient sobres, ne s'imaginant pas que leur déclin physique puisse justifier de quelconques excès de conduite ; elles doivent rechercher le bénéfice d’une communion plus étroite avec Dieu, n'accordant aucune indulgence à la pratique du péché. Leur foi doit être active et doit se démontrer dans l'amour qu’elles éprouvent, d’abord pour Dieu, mais aussi pour les hommes. Les personnes âgées sont parfois susceptibles, irritables et tristes : elles doivent donc, à ce sujet, se tenir sur leurs gardes.

      Bien qu'on ne puisse trouver dans l’Écriture aucune recommandation précise pour chaque écart de parole ou d’attitude spécifique, il existe néanmoins de nombreuses ordonnances, auxquelles chacun doit se conformer.

      Les jeunes femmes doivent être sobres et discrètes, (pouvant être, étant donné leur âge, exposées à dériver vers de fatales tentations). La raison d’une telle conduite est donnée dans ce texte : que la Parole de Dieu ne soit pas blasphémée.

      Les défaillances dans nos divers devoirs constituent un grand blâme pour la chrétienté. Les jeunes gens sont parfois ardents, mais néanmoins étourdis : il sont donc priés instamment d'être sobres à tous points de vue. On trouve davantage de jeunes ruinés par l'orgueil que par n'importe quel autre péché.

      Tout effort de l'homme pieux doit concourir à faire taire ses adversaires. Que ta conscience soit en phase avec ta droiture. Quelle gloire pour un chrétien, de pouvoir constater que ses adversaires, ne peuvent trouver aucun mal à lui reprocher !

      Tite 3

      8 Quand la Grâce de Dieu, à l'égard de l'homme, a été manifestée, il lui est devenu nécessaire à ce dernier de pratiquer des bonnes œuvres. Ceux qui croient en Dieu doivent prendre soin de veiller à cette pratique, être à l'affût des opportunités qui se présentent, étant motivés par l'amour pour les autres, par gratitude envers le Seigneur.

      La futilité et les vaines discussions doivent être évitées ; les enfants de Dieu ne doivent pas rechercher systématiquement les dernières nouveautés de ce monde, mais aimer la saine doctrine, qui conduit à l'édification.

      Bien que nous puissions parfois considérer certains péchés avec légèreté, si le Seigneur sensibilise notre conscience, nous ressentirons les dégâts que peut occasionner la moindre faute en notre âme !

      Philémon 1

      15 Quand nous parlons de la nature de quelque péché ou d’une offense contre Dieu, le mal qu'ils constituent ne doit pas être amoindri ; de même que Dieu pardonne au pécheur pénitent, nous devons avoir le même sentiment à l’égard de nos semblables repentants. De telles personnes, qui auparavant vivaient dans le péché, peuvent devenir, après s’être tournées vers Dieu, une véritable bénédiction pour tous ceux au milieu desquels ils séjournent.

      Le fait d’être chrétien ne nous fait pas rejeter la pratique de nos devoirs envers les autres, nous devons les accomplir en toute droiture. Les repentants authentiques n’hésitent pas à reconnaître leurs fautes ; c’est ce que fit sans doute Onésime envers Paul, en lui déclarant celles qu’il avait causées auparavant à son maître.

      La communion des saints ne détruit pas la hiérarchie entre un maître et son serviteur. Ce texte en est un bon exemple, révélant la faute incombée à Onésime, à l’encontre de son maître, Philémon : Paul demanda au premier de s’engager volontairement à reconnaître son péché, afin de pouvoir être acquitté de la punition que méritaient ses crimes ; c’est en quelque sorte une image du pécheur repentant qui s’approche de Christ, Celui qui « porte » les péchés, afin qu’il puisse recevoir sa « récompense », et sa justification.

      Philémon était le « fils » de Paul dans la foi ; ce dernier le considéra malgré tout, comme un frère. Onésime n’était qu’un pauvre esclave, mais Paul le supplia pour le relever avec une certaine dignité.

      Les chrétiens devraient tout mettre en œuvre pour apporter de la joie aux autres. Quand ces derniers sont en faute, ils n'attendent du monde que l'affliction, alors qu’ils pourraient trouver la consolation et la joie d’un frère dans le Seigneur.

      Quand nous traversons l’épreuve, notre confiance et notre espérance doivent se baser sur Dieu. Nous devons fidèlement employer les moyens qu’Il a mis à notre disposition pour nous relever, et si personne ne nous aide, prions ardemment. Bien que la prière soit essentielle, tout le mérite du pardon obtenu revient à Dieu. Si les chrétiens sont dans l’impossibilité de se rencontrer ici-bas, il leur reste la Grâce du Seigneur Jésus, qui sera toujours avec eux, et l’espérance de pouvoir se retrouver bientôt devant le Trône céleste, pour se réunir pour goûter les richesses de l'Amour rédempteur.

      L'exemple d'Onésime encourage le plus vil des pécheurs à se tourner vers Dieu ; mais quelle honte et quelle tristesse, si certains se montrent arrogants, en persistant à donner libre cours au mal. N'y en a t'il pas plusieurs qui ont été « foudroyés » dans leurs péchés, voire d'autres endurcis ? Ne résistez plus aujourd’hui aux résolutions de repentance, de peur qu'elles ne se représentent plus...

      Hébreux 3

      1

      La valeur, la dignité et la supériorité de Christ par rapport à Moïse sont démontrées dans ce texte. (\\# 1-6\\)
      Les Hébreux sont prévenus du péché et du danger de l'incrédulité. (\\# 7-13\\)
      La nécessité de croire en Christ, et de Le suivre avec assiduité. (\\# 14-19\\)

      Christ est considéré dans ce texte comme « l'Apôtre de notre profession de foi », le « Messager », envoyé par Dieu aux hommes, le grand « Révélateur » de cette foi que nous professons avoir, et de cette espérance que nous déclarons posséder. Christ, le Messie, a été oint aussi bien pour la fonction d'Apôtre que pour celle de Souverain Sacrificateur. Jésus est notre Sauveur, Celui qui nous guérit de nos fautes, le grand Médecin des âmes !

      Considérez-Le ainsi ! Considérons ce qu'Il est en lui-même, ce qu'Il est pour nous, et ce qu'Il sera plus tard et à jamais ! Quand nous méditons sérieusement sur la personne de Christ, nous sommes amenés à mieux Le connaître, et à l’aimer.

      Les Juifs avaient une haute opinion de la fidélité de Moïse, mais celui-ci n’était cependant qu'une « image de Christ ». Christ est le Maître de la maison décrite dans ce texte, le Maître de Son Église, de Son peuple ; Il en est le « Constructeur ». Moïse était un serviteur fidèle ; Christ, en tant que Fils éternel de Dieu, est le « Propriétaire » légitime de cette « maison spirituelle », le Dirigeant souverain de l'Église.

      Il ne suffit pas d’emprunter fidèlement les voies que Christ nous a tracées, il faut aussi les suivre avec persévérance, et ce, jusqu'à la fin. Toute méditation sur Sa personne et Son salut, nous conduira vers la Sagesse, et nous aurons de nouveaux motifs pour L'aimer, Lui accorder notre confiance et Lui obéir !

      14 En devenant des « participants de Christ », les saints ont reçu un véritable privilège, à savoir Son Esprit, Sa nature, Sa Grâce, Sa droiture et Sa vie ; ils sont impliqués dans toute la Personne de Christ, dans tout ce qu'Il accomplit ou accomplira.

      L’esprit avec lequel les chrétiens cheminent en commun dans les voies de Dieu, doit être maintenu jusqu'au terme de leur vie. La persévérance dans la foi est la meilleure évidence de son authenticité. Entendre la Parole est souvent un moyen d’accéder au salut, par contre, le fait de ne pas l’accepter expose davantage à la colère divine.

      La joie d'être « participants » de Christ et de Son parfait salut, ainsi que la crainte de la colère de Dieu et de la misère éternelle qui attend le pécheur rebelle, doivent nous pousser à persévérer dans une foi obéissante. Méfions-nous à ne pas nous laisser séduire par les vains privilèges de ce monde ni par de piètres professions de foi. Prions pour être comptés parmi les croyants authentiques, ceux qui entreront au ciel, alors que tous les pécheurs incrédules chuteront...

      De même que notre obéissance est en rapport avec la puissance de notre foi, nos péchés et la non satisfaction de nos besoins spirituels sont la conséquence de l'incrédulité qui demeure en nous...

      1 Pierre 5

      1

      Les anciens sont exhortés et encouragés. (1 Pierre 5:1-4)
      Les jeunes chrétiens doivent se soumettre aux anciens et avec humilité et patience, à Dieu ; ils doivent rester sobres, vigilants, et fermes dans la foi. (1 Pierre 5:5-9)
      Prières pour leur croissance et leur affermissement. (1 Pierre 5:10-14)

      Dans ce texte, l'apôtre Pierre n'ordonne pas, mais il exhorte, il ne cherche pas à gouverner tous les dirigeants d’églises, ni ces dernières. Pierre, comme d’autres apôtres, fut particulièrement honoré d'avoir été témoin des souffrances de Christ ; les véritables chrétiens auront le privilège de participer à la gloire céleste qui sera révélée.

      Les pauvres chrétiens de l’époque, dispersés et souffrants, faisaient néanmoins partie du troupeau céleste, ils étaient rachetés pour Dieu par le grand Berger ; ils vivaient dans un amour saint et dans la communion fraternelle, selon la volonté divine. Ils sont également « héritiers » de Dieu ; ils sont mis à part, choisis, pour faire partie de Son propre peuple, pour bénéficier de Sa faveur et pour se consacrer à Son service.

      Christ est le Berger, le chef du troupeau et « l’héritage » entier de Dieu. Tous Ses fidèles serviteurs recevront une couronne de gloire, qui ne peut flétrir et infiniment plus précieuse et plus honorable que toute l'autorité, la richesse et les plaisirs de ce monde !

      2 Pierre 2

      10 Les séducteurs impurs et leurs malheureuses victimes ne font que suivre leur propre esprit charnel.

      Refusant toute forme d’obéissance à Christ, ils agissent contre les préceptes remplis de droiture du Seigneur. Ils marchent selon « la chair », et persévèrent à suivre les voies de la cupidité, atteignant les plus hauts degrés de l'impudicité et de la méchanceté. Ils méprisent également toutes les autorités que Dieu a placées sur eux, et qu'Il demande d'honorer...

      Les vains plaisirs de ce monde ne représentent que ce que les pécheurs attendent et promettent. Nul ne devrait trembler davantage, que celui qui ne cherche qu’à assouvir ses convoitises coupables, doutant de la puissance de la Grâce et de la Miséricorde divines.

      De nombreuses personnes parlent hélas avec légèreté des directives qu’ordonne la loi de l’Éternel ; elles se sentent libres de toute obligation d'y obéir. Que les chrétiens puissent se tenir à l’écart de tels individus !

      Jude 1

      8 Les faux docteurs sont en fait des rêveurs naïfs : ils souillent et blessent considérablement les âmes. En effet, ceux qui enseignent de fausses doctrines ont en fait un esprit corrompu et séditieux, oubliant que les pouvoirs et les autorités établis sont décrétés par Dieu, Romains 13:1.

      Lors de la dispute relative au corps de Moïse, il apparaît que Satan ait souhaité faire connaître le lieu de la sépulture aux Israélites, dans le but de les exposer à l'adorer, mais il en a été empêché et a déchargé sa colère dans un blasphème désespéré. Ceci doit rappeler à tous ceux qui ont un différend avec quelqu’un, de ne jamais y ajouter de railleries. Ceci nous enseigne aussi que nous devons défendre ceux qui appartiennent à Dieu. Il est difficile, sinon impossible, de trouver des personnes opposées à la religion chrétienne, qui ne manifestent pas ouvertement leur hostilité à la piété.

      Ce texte compare ces « faux docteurs » à des brutes, bien que souvent, ils se vantent de leur soi-disant sagesse parfaite. Ils se corrompent eux-mêmes dans tout ce qu’ils font ici-bas. La faute repose, non pas sur leur mauvaise compréhension des ordonnances divines, mais sur leur volonté dépravée, leurs appétits malsains et leurs vaines affections. L’apôtre leur adresse un grand reproche, pour leur opposition délibérée à tout ce qui touche la piété.

      Le Seigneur remédiera à cela en Son temps et à Sa manière ; Il saura « séparer le blé de l’ivraie ». Il est triste de voir des individus commencer par un bon départ spirituel, pour finir dans les œuvres de la chair ; en fait, ils meurent deux fois : d’abord dans leur chute irrémédiable, ici-bas, mais aussi par les preuves évidentes de leur hypocrisie, qui les mène à la perdition. Pourquoi des arbres morts encombreraient-ils la terre ? Qu'ils soient jetés au feu ! Les vagues en furie terrifient les passagers d'un navire ; mais quand ce dernier accoste dans un port, toutes craintes sont apaisées.

      Les faux docteurs doivent s'attendre aux pires punitions ici-bas, comme dans le monde à venir. Ils brillent, tels des météores ou des étoiles filantes, puis plongent pour toujours dans la noirceur des ténèbres.

      Nous n'avons aucun détail relatif à la prophétie d’Hénoch, mentionnée dans ce texte, ni d’ailleurs, dans d’autres passages de l'Écriture ; la simple mention d’un fait, dans la Parole de Dieu doit cependant être considérée comme véridique. Nous trouvons ici que Christ, venant pour juger, a été cité dans une prophétie, à une époque aussi ancienne que le déluge. Le Seigneur vient : que ce moment sera glorieux !

      Notons la répétition du terme « impie ». De nombreuses personnes ignorent délibérément tout ce qui concerne la piété, si ce n'est que pour s’en moquer. Il n'en est pas ainsi dans le langage qui nous est enseigné par le Saint-Esprit. De mauvais propos sur ces sujets, en particulier s’ils n’ont aucun fondement, seront certainement pris en compte au grand jour du jugement.

      Les hommes mauvais et les séducteurs sont toujours fâchés contre l’adversité, et ne sont jamais satisfaits de leur état ou de leur condition. Leur volonté et leur convoitise sont leurs seules règles, leurs seules lois de vivre. Ceux qui satisfont leurs appétits coupables sont les plus prompts à céder aux passions indomptables. Les hommes de Dieu, dès le commencement du monde, ont souligné la ruine qui attend de telles personnes.

      Évitons la compagnie de ce genre d’individus, de mauvaise renommée. Cherchons plutôt à côtoyer uniquement les personnes qui suivent le Seigneur !

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