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2 Chroniques 12.1

Lorsque la royauté de Roboam se fut consolidée et que lui-même se fut affermi, il abandonna la loi de l’Éternel, et tout Israël (l’abandonna) avec lui.

Roboam, abandonne l'Éternel, il est puni.

- Alors que Roboam se croyait invulnérable et ne craignait absolument pas Jéroboam, il négligea complètement ses pieux engagements. Il est hélas vraiment commun, de voir des hommes, en complète situation de détresse ou de danger, voire proches de la mort, sembler vraiment préoccupés, en ultime recours, à servir Dieu, après avoir complètement mis de côté toute manifestation préalable de piété, avec la Miséricorde et la Grâce qui pouvaient en découler.

Dieu éprouva rapidement Juda, pour inciter le peuple au repentir, avant que les cœurs ne soient complètement endurcis. Il en est de même pour nous : quand nous sommes rappelés à l'ordre par la Providence divine, notre Dieu juste et parfait désire alors nous juger. Si nous nous sommes humiliés de tout cœur, face à cette Providence, on peut dire alors que l'affliction envoyée par le ciel, a produit son fruit ; Dieu, dans Sa Sagesse infinie, saura alors la supprimer, ou l'alléger.

Plus on compare le service pour le Seigneur avec d'autres tâches, plus il apparaît relativement facile à accomplir. Les règles inhérentes à la modération paraissent-elles difficiles à observer ? Celles qui corrigent les abus seront beaucoup plus dures ! Le service divin est synonyme de parfaite liberté ; céder à nos convoitises, par contre, équivaut à l'esclavage.

Roboam n'a pas vraiment fait preuve d'une grande piété. S'il n'a jamais totalement rejeté Dieu, son cœur ne Le recherchait pas spécialement. Remarquez quel était son défaut : il n'a pas servi l'Éternel, parce qu'il ne Le recherchait pas de tout cœur. Il n'a pas prié, comme l'a fait Salomon, pour obtenir la sagesse et la Grâce célestes ; il n'a pas consulté la Parole de Dieu, il n'a pas cherché à suivre Ses ordonnances, ni Ses directives. Il n'a fait aucun cas de la piété, parce que son cœur n'y était pas disposé, et qu'il ne cherchait pas à prendre de bonnes résolutions à ce sujet. Il n'a fait que le mal, parce qu'il ne fut jamais réellement déterminé à pratiquer le bien !
וַיְהִ֗י כְּהָכִ֞ין מַלְכ֤וּת רְחַבְעָם֙ וּכְחֶזְקָת֔וֹ עָזַ֖ב אֶת־תּוֹרַ֣ת יְהוָ֑ה וְכָל־יִשְׂרָאֵ֖ל עִמּֽוֹ׃

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    • Deutéronome 6

      Deutéronome 8

      10 Dans ce texte, Moïse répète les conditions que devaient respecter les enfants d'Israël, pour qu'ils connaissent la prospérité, tout en accomplissant leur devoir.

      Ils devaient en effet garder en mémoire tous les bienfaits que l'Éternel leur avait octroyés. En ce qui nous concerne, nous devons remercier Dieu pour toutes choses ! Moïse met également le peuple en garde contre les dangers qui peuvent résulter de la prospérité. Quand les hommes possèdent beaucoup de biens, ou s'ils sont engagés dans des affaires prospères, ils sont souvent remplis d'orgueil : ils finissent par oublier Dieu et se tournent vers les attraits du monde ; ils connaissent ensuite l'anxiété et les problèmes liés à ce genre de situation.

      En de tels cas, les croyants qui savent vivre dans la modestie, sont en quelque sorte, avantagés sur ce point ! Ils perçoivent davantage l'origine céleste de tout ce dont ils bénéficient sur terre, étant convaincus que cela est une réponse à leurs prières ferventes. Aussi curieux que cela puisse paraître, ces croyants éprouvent moins de difficultés que les hommes malhonnêtes, pour obtenir leur pain quotidien : ils font simplement confiance à Dieu ! Ils jouissent alors d'une paix sereine, étant libérés de certaines tentations malsaines, tentations dont les personnes aisées de ce monde, ne perçoivent pas le réel danger.

      Israël ne devait pas ignorer les commandements qu'Il avait reçus précédemment : c'était la clé, qui plaçait le peuple sous le bénéfice de la Providence divine.

      La Sagesse et la Bonté infinies de Dieu sont à la base de tous Ses commandements, pour le bien de tous les croyants. Israël a connu de nombreuses épreuves, mais tous ces déboires ont concouru pour son bien. L'orgueil réside naturellement dans le cœur de l'homme. Qui aurait pu penser qu'un tel peuple, après avoir enduré l'esclavage, en fabricant des briques, aurait en fait besoin de connaître ensuite, les brûlures du désert aride, afin qu'il s'humilie ? En fait, il en est de même pour tout homme ! Au bout du compte, ce genre d'humiliation n'engendre que des bienfaits.

      Personne ne peut passer une semaine sans constater ses points faibles, ses inaptitudes et sa dépravation. Le Seigneur ne s'adresse en fait, qu'aux cœurs et aux âmes contrits. Dans les épreuves, rien n'est plus profitable, que la puissance de l'Esprit de Dieu.

      Remarquez à quel point le Seigneur conduit toutes choses ici-bas, pour notre bien ! Ces dernières, par la Providence divine, concourent au bien de notre santé spirituelle. Tous les bienfaits de Dieu sont en phase avec Ses Promesses.

      Moïse rappelle, comme il l'a déjà fait de nombreuses fois, le danger qu'encourent ceux qui oublient Dieu. Ceux qui suivent le chemin des hommes iniques, courent en fait vers leur destruction. Si nous pratiquons les mêmes actes que les pécheurs, nous ne pouvons que nous attendre à payer le prix de notre conduite !

      Deutéronome 32

      15 Ce passage nous donne deux exemples de la méchanceté d'Israël, chacun étant une véritable apostasie contre Dieu. Ces gens étaient nommés des Jeshurun, « peuple droit, juste », selon certains, « peuple voyant », selon d'autres : ils perdirent bien vite leur réputation, de droiture et de connaissance !

      Les Israélites satisfirent leurs différents appétits, comme s'ils n'avaient rien de mieux à faire que de se livrer à leurs convoitises ! Ceux qui se « déifient » eux-mêmes, ne voulant servir que leur égocentrisme, leur orgueil et leurs moindres désirs, sans supporter qu'on leur fasse un quelconque reproche, ne peuvent qu'abandonner Dieu, ou montrer qu'ils n'ont pour Lui qu'une bien piètre estime. Malgré les voies que les différentes modes ou religions peuvent offrir, il n'y a qu'un chemin pour les pécheurs qui reconnaissent leur état et recherchent la sanctification : il s'agit du chemin de la sincérité de cœur.

      Les idolâtres qui abandonnent le Rocher du salut, sont finalement de malheureuses personnes, qui en fait, ne font que courir sur les pierres qui mènent à la perdition !

      1 Rois 9

      1 Rois 12

      1 Rois 14

      2 Rois 17

      2 Chroniques 11

      2 Chroniques 12

      1

      Roboam, abandonne l'Éternel, il est puni.

      - Alors que Roboam se croyait invulnérable et ne craignait absolument pas Jéroboam, il négligea complètement ses pieux engagements. Il est hélas vraiment commun, de voir des hommes, en complète situation de détresse ou de danger, voire proches de la mort, sembler vraiment préoccupés, en ultime recours, à servir Dieu, après avoir complètement mis de côté toute manifestation préalable de piété, avec la Miséricorde et la Grâce qui pouvaient en découler.

      Dieu éprouva rapidement Juda, pour inciter le peuple au repentir, avant que les cœurs ne soient complètement endurcis. Il en est de même pour nous : quand nous sommes rappelés à l'ordre par la Providence divine, notre Dieu juste et parfait désire alors nous juger. Si nous nous sommes humiliés de tout cœur, face à cette Providence, on peut dire alors que l'affliction envoyée par le ciel, a produit son fruit ; Dieu, dans Sa Sagesse infinie, saura alors la supprimer, ou l'alléger.

      Plus on compare le service pour le Seigneur avec d'autres tâches, plus il apparaît relativement facile à accomplir. Les règles inhérentes à la modération paraissent-elles difficiles à observer ? Celles qui corrigent les abus seront beaucoup plus dures ! Le service divin est synonyme de parfaite liberté ; céder à nos convoitises, par contre, équivaut à l'esclavage.

      Roboam n'a pas vraiment fait preuve d'une grande piété. S'il n'a jamais totalement rejeté Dieu, son cœur ne Le recherchait pas spécialement. Remarquez quel était son défaut : il n'a pas servi l'Éternel, parce qu'il ne Le recherchait pas de tout cœur. Il n'a pas prié, comme l'a fait Salomon, pour obtenir la sagesse et la Grâce célestes ; il n'a pas consulté la Parole de Dieu, il n'a pas cherché à suivre Ses ordonnances, ni Ses directives. Il n'a fait aucun cas de la piété, parce que son cœur n'y était pas disposé, et qu'il ne cherchait pas à prendre de bonnes résolutions à ce sujet. Il n'a fait que le mal, parce qu'il ne fut jamais réellement déterminé à pratiquer le bien !

      2 Chroniques 26

      16 La principale transgression que commirent les rois qui précédèrent Ozias, fut l'abandon du temple de l'Éternel, avec, en plus, le fait d'avoir fait fumer de l'encens sur des autels idolâtres. Mais le grand péché que commit ce roi fut d'entrer dans le lieu Saint et de vouloir essayer de brûler, lui aussi, de l'encens sur l'autel de l'Éternel.

      Remarquez combien il est difficile d'éviter de tomber dans les pièges du péché, sans risquer d'encourir de grands risques. L'orgueil d'Ozias fut à l'origine de son péché ; ce genre de sentiment, qui engendre la convoitise, causa la ruine de ce roi.

      Au lieu de louer le Nom de Dieu, en Le remerciant pour la Grâce qui lui avait été octroyée durant son règne, le cœur du roi s'enfla d'orgueil, ce qui le mena à sa perte. La prétention du cœur humain pousse les hommes à l'égarement, leur faisant chercher à atteindre des buts interdits, qui leur sont d'ailleurs, tout à fait inaccessibles.

      Nos louanges, « l'encens » de nos prières, doivent être, par la foi, déposées entre les mains de notre Seigneur-Jésus, le Souverain Sacrificateur de notre vie spirituelle, sinon, nous ne devrons pas nous attendre à être acceptés par Dieu, Apocalypse 8:3.

      Malgré le fait qu'Ozias s'efforçât de rester en compagnie des sacrificateurs, il ne pouvait pas se présenter ainsi devant le Créateur. Il fut puni pour sa transgression : il resta lépreux jusqu'à sa mort, exclu de la société. Cette punition était une véritable conséquence de son péché, tel un miroir reflétant la faute du roi. L'orgueil fut la base de sa transgression, et Dieu l'humilia en le déshonorant.

      Ceux qui convoitent des honneurs malsains, se voient finalement confisquer par le ciel tout ce qu'ils possèdent. Adam, en prenant le fruit de l'arbre de la connaissance, ce qui lui avait été défendu par Dieu, excluait toute possibilité de pouvoir accéder à l'arbre de vie. Que tous ceux qui lisent les ordonnances divines, puissent dire : « l'Éternel est juste » ! Quand le Seigneur juge bon de mettre de côté, les hommes prospères et utiles, tels des « vases usagés », et qu'Il en élève d'autres pour venir à leur place, les premiers peuvent se préparer à renoncer à tous les attraits du monde, en utilisant le temps qui leur reste à vivre, à préparer leur destinée dans l'au-delà.

      Jérémie 2

      Osée 5

      Osée 13

      1

      Les mépris des faveurs divines conduisent au châtiment. (\\# Os 13:1-8\\)
      La promesse de la miséricorde divine. (\\# Os 13:9-16\\)

      Tant qu'Éphraïm a eu une sainte crainte divine, et a adoré son Dieu avec le respect qui Lui est dû, il était alors en pleine prospérité. Quand le peuple a ensuite abandonné cette voie pour suivre celle de l'idolâtrie, il sombra. Les hommes embrassaient les veaux qu'ils avaient fabriqués, à titre d'adoration, d'affection et d'obéissance à ces idoles ; mais le Seigneur ne partage pas Sa gloire et, de ce fait, tous ceux qui adorent les images seront confondus.

      On ne peut s'attendre à aucun réconfort sérieux, hormis celui qui vient de Dieu. Dieu a non seulement pris soin des Israélites dans le désert, Il leur a aussi donné le bon pays de Canaan ; la prospérité à l'échelon mondial rend l'homme orgueilleux et lui fait oublier son Dieu. Le Seigneur, en conséquence, fait tomber sur son peuple une juste vengeance, telle une bête féroce sévissant dans une forêt. Une abondante bénédiction nécessite de la part de celui qui la reçoit, une grande rigueur.

      Michée 6

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