Le danger encouru par Juda, le pays en détresse. (2 Chroniques 20:1-13)
La prophétie de Jakhaziel,
annonçant la victoire. (2 Chroniques 20:14-19)
L'action de grâce de Juda. (2 Chroniques 20:20-30)
L'alliance de Josaphat avec Achazia. (2 Chroniques 20:31-37)
Josaphat reconnaissait la souveraineté de la Providence divine. Le Seigneur, conduit cette Dernière à notre avantage. À qui irions-nous, sinon vers Celui dans lequel nous plaçons toute notre confiance, afin qu'Il nous soulage ? Notre Dieu est Celui que nous avons choisi et servi. Ceux qui emploient leurs dons au service de Dieu, peuvent avoir la ferme assurance que ce Dernier saura les conduire en toute sécurité. Chaque véritable croyant est spirituellement un fils d'Abraham, un ami de Dieu ; en tant que tels, nous pouvons être certains que le Seigneur tiendra sa promesse éternelle, établie pour tous ceux qui Lui appartiennent. Nous sommes assurés de bénéficier de l'Amour divin : cet Amour demeure en nous, en la Personne du Sauveur.
Josaphat mentionne le temple, en tant que réalité de la présence favorable de l'Éternel, parmi le peuple. Le roi mentionne l'injustice de ses ennemis. Nous avons tout intérêt à faire appel à Dieu, à l'encontre de ceux qui tendent, sous un soi-disant bon prétexte, à nous pousser au mal.
Bien que Josaphat disposât d'une grande armée, il était
convaincu qu'il n'avait aucune puissance réelle, sans l'appui
divin. Seigneur, nous nous appuyons sur Toi !
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1 à 30 Coalition des Moabites, des Ammonites et des Edomites contre Josaphat ; merveilleuse délivrance qui lui est accordée.
On a vu dans ce morceau une amplification, faite en vue de l'édification des lecteurs, des événements racontés 2 Rois chapitre 3, et un exemple remarquable du genre littéraire appelé Midrasch (voir 13.22, note). Mais notre récit diffère tellement de celui de 2 Rois chapitre 3, qu'il paraît beaucoup plus naturel d'admettre qu'il raconte d'autres événements.
Après ces choses : après la mort d'Achab et les réformes judiciaires accomplies par Josaphat (chapitres 18 et 19), c'est-à-dire, d'après 1Rois 22.42,52, entre la dix-septième et la vingt-cinquième année du règne de Josaphat. Voir 2Rois 1.1, où l'on a eu tort de dire que c'était au commencement du règne de Josaphat.
Le texte massorétique lit ici : Ammonites, ce qui est inadmissible, vu les mots les fils d'Ammon qui précèdent ; il faut lire, d'après les Septante, Méunites ; comparez 1Chroniques 4.41 et 2Chroniques 26.7. Ces Méunites ou Maonites sont appelés au verset 10 et au verset 23 : habitants de la montagne de Séir, ce qui revient à dire Edomites (comparez 25.11,14).
Le danger encouru par Juda, le pays en détresse. (2 Chroniques 20:1-13)
Face aux dangers, qu'ils soient communs ou individuels, notre premier réflexe devrait être la recherche de l'aide divine, d'où l'avantage des jours de jeûne et de prière nationaux, instaurés par certaines nations. En toutes circonstances, nous devons approcher le Seigneur dans un esprit d'humilité, et Lui présenter nos péchés, espérant qu'Il nous accorde Sa Miséricorde et Sa Puissance.La prophétie de Jakhaziel, annonçant la victoire. (2 Chroniques 20:14-19)
L'action de grâce de Juda. (2 Chroniques 20:20-30)
L'alliance de Josaphat avec Achazia. (2 Chroniques 20:31-37)
Josaphat reconnaissait la souveraineté de la Providence divine. Le Seigneur, conduit cette Dernière à notre avantage. À qui irions-nous, sinon vers Celui dans lequel nous plaçons toute notre confiance, afin qu'Il nous soulage ? Notre Dieu est Celui que nous avons choisi et servi. Ceux qui emploient leurs dons au service de Dieu, peuvent avoir la ferme assurance que ce Dernier saura les conduire en toute sécurité. Chaque véritable croyant est spirituellement un fils d'Abraham, un ami de Dieu ; en tant que tels, nous pouvons être certains que le Seigneur tiendra sa promesse éternelle, établie pour tous ceux qui Lui appartiennent. Nous sommes assurés de bénéficier de l'Amour divin : cet Amour demeure en nous, en la Personne du Sauveur.
Josaphat mentionne le temple, en tant que réalité de la présence favorable de l'Éternel, parmi le peuple. Le roi mentionne l'injustice de ses ennemis. Nous avons tout intérêt à faire appel à Dieu, à l'encontre de ceux qui tendent, sous un soi-disant bon prétexte, à nous pousser au mal.
Bien que Josaphat disposât d'une grande armée, il était convaincu qu'il n'avait aucune puissance réelle, sans l'appui divin. Seigneur, nous nous appuyons sur Toi !