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4
Triomphe dans ta gloire ; monte sur ton char, pour la vérité, la bonté et la justice ; ta droite te fera voir des exploits terribles !
3
Il ne brisera pas le roseau cassé, et n'éteindra pas le lumignon qui fume encore ; il manifestera la justice avec vérité.
4
Il ne se ralentira ni ne se précipitera point, jusqu'à ce qu'il ait établi la justice sur la terre ; et les îles espéreront en sa loi.
9
Réjouis-toi avec transports, fille de Sion ! Jette des cris de joie, fille de Jérusalem ! Voici, ton roi vient à toi ; il est juste et vainqueur, humble et monté sur un âne, sur le poulain d'une ânesse.
29
Chargez-vous de mon joug, et apprenez de moi, parce que je suis doux et humble de cour, et vous trouverez le repos de vos âmes ;
19
Il ne contestera point, et ne criera point, et on n'entendra point sa voix dans les places ;
20
Il ne rompra pas le roseau froissé, et il n'éteindra pas le lumignon qui fume encore, jusqu'à ce qu'il ait rendu la justice victorieuse ;
5
Dites à la fille de Sion : Voici ton roi qui vient à toi, débonnaire et monté sur un âne, sur le poulain de celle qui porte le joug.
32
Or, le passage de l'Écriture qu'il lisait, était celui-ci : Il a été mené à la tuerie comme une brebis ; et comme un agneau, muet devant celui qui le tond, il n'a pas ouvert la bouche.
20
Et Ésaïe ose dire : J'ai été trouvé par ceux qui ne me cherchaient point, j'ai été connu par ceux qui ne s'informaient point de moi.
1
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, c'est votre culte raisonnable.
15
Cependant, frères, je vous ai écrit plus librement en quelque sorte, pour réveiller vos souvenirs, selon la grâce qui m'a été donnée de Dieu,
3
J'ai été moi-même auprès de vous dans la faiblesse, dans la crainte et dans un grand tremblement.
10
Nous sommes fous à cause de Christ, mais vous, vous êtes sages en Christ ; nous sommes faibles mais vous êtes forts ; vous êtes dans l'honneur, mais nous sommes dans le mépris.
21
Je vous salue, moi Paul, de ma propre main.
22
Si quelqu'un n'aime point le Seigneur Jésus-Christ, qu'il soit anathème, Maranatha ! (Le Seigneur vient).
12
Ayant donc une telle espérance, nous usons d'une grande liberté,
20
Nous faisons donc la fonction d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; et nous vous supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !
1
Puisque donc que nous travaillons avec Dieu, nous vous conjurons que ce ne soit pas en vain que vous ayez reçu la grâce de Dieu.
4
J'ai une grande assurance avec vous ; j'ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation ; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions.
1
Au reste, moi Paul, je vous prie, par la douceur et la bonté de Christ, moi qui suis humble en votre présence, mais qui suis plein de hardiesse envers vous, quand je suis absent ;
2
Je vous prie, quand je serai présent, que je ne sois pas obligé de me servir avec confiance de cette hardiesse, avec laquelle j'ai dessein d'agir contre quelques-uns qui nous regardent comme marchant selon la chair.
7
Regardez-vous aux apparences ? Si quelqu'un est persuadé en lui-même qu'il appartient à Christ, qu'il se dise aussi en lui-même, que comme il appartient à Christ, nous lui appartenons aussi.
10
Car ses lettres, dit-on, sont sévères et fortes ; mais quand il est présent, sa personne est faible, et sa parole méprisable.
21
J'ai honte de le dire, nous avons été faibles ; cependant tout ce que quelqu'un ose, (je parle en imprudent,) moi je l'ose aussi.
30
S'il faut se glorifier, je me glorifierai de mes infirmités.
5
Je puis me glorifier d'être cet homme-là ; mais je ne me glorifierai pas de moi-même, sinon dans mes infirmités.
7
Et de peur que je ne m'élevasse trop, à cause de l'excellence de mes révélations, il m'a été mis dans la chair une écharde, un ange de Satan, pour me souffleter, afin que je ne m'élève point.
8
Trois fois j'ai prié le Seigneur de m'en délivrer,
9
Mais il m'a dit : Ma grâce te suffit ; car ma force s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc plus volontiers dans mes infirmités, afin que la force de Christ habite en moi.
2
J'ai déjà dit, et je le dis encore pour la seconde fois, comme si j'étais présent, et maintenant étant absent, je l'écris à ceux qui ont péché antérieurement, et à tous les autres, que si je reviens, je ne les ménagerai pas,
3
Puisque vous cherchez une preuve que Christ parle en moi, Lui qui n'est point faible à votre égard, mais qui est puissant en vous.
4
Car, bien qu'il ait été crucifié dans la faiblesse, toutefois, il est vivant par la puissance de Dieu ; et nous, nous sommes aussi faibles avec lui, mais nous vivrons avec lui par la puissance de Dieu au milieu de vous.
13
Vous ne m'avez fait aucun tort ; et vous savez que je vous ai annoncé ci-devant l'Évangile dans l'infirmité de la chair ;
2
Moi, Paul, je vous dis, que si vous vous faites circoncire, Christ ne vous servira de rien.
1
Je vous exhorte donc, moi le prisonnier du Seigneur, à vous conduire d'une manière digne de la vocation qui vous a été adressée,
17
La salutation est de ma propre main, à moi, Paul ; c'est là ma signature dans toutes mes épîtres ; j'écris ainsi.
9
Cependant je te prie plutôt, étant ce que je suis, Paul avancé en âge, et même actuellement prisonnier de Jésus-Christ, au nom de la charité,
11
Bien-aimés, je vous exhorte, comme des étrangers et des voyageurs, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme ;
22
Lui qui n'a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s'est trouvé aucune fraude ;
23
Qui, outragé, ne rendait point d'outrages ; et maltraité, ne faisait point de menaces, mais s'en remettait à celui qui juge justement ;
9
Moi Jean, votre frère et qui ai part avec vous à la tribulation et au règne, et à la patience de Jésus-Christ, j'étais dans l'île appelée Patmos, pour la parole de Dieu, et pour le témoignage de Jésus-Christ.
1 à 6 Menaces et justification.
Depuis le commencement de ce chapitre jusqu'à 2Corinthiens 13.10, l'apôtre s'adresse exclusivement aux adversaires de son ministère, soit qu'ils fussent de faux docteurs qui cherchaient à affaiblir son influence pour établir la leur, soit qu'ils fussent des membres de l'Eglise, qui, moins convaincus que d'autres par la première épître, continuaient à s'opposer à lui. Rien de plus instructif que cette espèce de polémique, non seulement parce qu'elle nous dévoile l'état des Eglises primitives, mais surtout parce qu'elle nous offre un vrai modèle de la manière dont le serviteur de Dieu doit se comporter lorsqu'il s'agit de combattre pour la vérité de Dieu et pour la justification d'un ministère méconnu et accusé.
- L'apôtre introduit ce sujet par ces mots à la fois solennels et humbles : "Moi-même, Paul, le même Paul que vous accusez de hardiesse, je vous exhorte, vous supplie." Il pourrait en appeler à son apostolat, à son autorité, - il conjure par la douceur et par la clémence de Christ, qu'il s'efforce d'imiter dans tous ses rapports avec les hommes. Ainsi, ailleurs, il exhorte "par les compassions de Dieu." (Romains 12.1) Quel motif plus puissant pourrait-il invoquer ?
Ces paroles sont une des accusations des adversaires, (verset 10) que l'apôtre relève ici, non sans une certaine pointe d'ironie.
Humble signifie aussi en grec chétif, misérable, et même plus que cela. Peut-être fondait-on ce reproche sur ce que l'apôtre, lors de son premier séjour à Corinthe, se trouvait réellement dans un état de faiblesse, de crainte, d'épreuve intérieure. (1Corinthiens 2.3 ; 2Corinthiens 12.7 et suivants) Une telle méconnaissance était d'autant plus coupable chez ces hommes prévenus, et d'autant plus douloureuse pour l'apôtre de Jésus-Christ.
L'apôtre affirme son autorité avec douceur et humilité. (2 Corinthiens 10:1-6)
Pendant que plusieurs personnes avaient de mauvaises pensées, parlant avec dédain de l'apôtre Paul, ce dernier gardait une certaine humilité.Il converse avec les Corinthiens. (2 Corinthiens 10:7-11)
Il cherche la gloire de Dieu, et Son approbation. (2 Corinthiens 10:12-18)
Nous devrions être conscients de nos propres infirmités, et garder une humble opinion de nous-mêmes, précisément quand les autres nous adressent des reproches.
Le ministère au service du Seigneur est souvent l’objet d’une guerre spirituelle, il comporte des opposants qui poursuivent des buts bien précis. La force matérielle n'est pas la méthode employée par l'Évangile, qui utilise plutôt la persuasion, par le biais de la Vérité et la douceur de caractère de ceux qui L’annoncent.
Notre conscience n’est responsable que devant Dieu, devant Lui seul ; nous devons tous éprouver de la crainte envers Dieu et accomplir notre devoir, sans y être forcés. Les armes spirituelles dont nous disposons sont très puissantes ; elles contribuent à mettre en évidence la Vérité.
Que d'opposition rencontre-t-on contre l’Évangile, par les pouvoirs du péché et de Satan, agissant dans le cœur de l’homme ! Observez par contre, la puissance de la Parole de Dieu ! Les moyens conventionnels, utilisés pour lutter contre le mal paraissent parfois bien faibles, aux yeux de certains ; en fait, ils peuvent être relativement puissants, grâce à la force divine !
La prédication de la croix, par des hommes de foi et de prière, a toujours été fatale à l'idolâtrie, à l'impiété, et à la méchanceté.