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33
Je n’ai désiré ni l’argent, ni l’or, ni les vêtements de personne.
14
Si j’écris ainsi, comprenez-moi bien, ce n’est pas pour vous peiner ou vous remplir de confusion. Je voudrais seulement vous avertir comme des enfants bien-aimés et vous remettre sur le bon chemin.
15
En effet, même si vous aviez dix mille instructeurs chrétiens, vous n’auriez cependant qu’un seul père. Car c’est moi qui suis devenu votre père spirituel en vous annonçant la Bonne Nouvelle, moi qui vous ai appelés à la vie dans la communion du Christ Jésus.
19
Mais croyez-moi, s’il plaît au Seigneur, j’irai au contraire très prochainement vous voir et je me rendrai alors compte de l’envergure de ces prétentieux ; mais ce n’est pas sur leurs beaux discours que je les jugerai, c’est sur leurs actes, et je verrai si derrière toutes leurs paroles se cache une puissance réelle.
24
Que chacun de vous, au lieu de ne songer qu’à lui-même et de chercher à jouir de tout ce qui est permis pour son avantage personnel, pense aussi au salut et aux intérêts des autres.
33
C’est d’après ces principes que j’agis moi-même : je m’efforce, en toutes circonstances, de m’adapter à tous les hommes en tenant compte de leurs opinions, de leurs désirs et de leurs intérêts. Je ne considère pas ce qui me serait agréable ou avantageux, mais je pense aux multitudes d’hommes perdus, cherchant à les conduire au salut.
34
Si quelqu’un a particulièrement faim, qu’il mange d’abord chez lui. Il ne faudrait pourtant pas que vos réunions attirent sur vous la condamnation divine. Quant aux autres points, je les réglerai lors de mon passage chez vous.
5
Je compte venir chez vous après avoir passé par la Macédoine. Je ne ferai que la traverser sans m’y arrêter,
15
C’était convaincu de cette atmosphère de confiance réciproque que je m’étais proposé de me rendre chez vous en premier lieu, afin de vous procurer une double joie :
14
Je suis sur le point de venir chez vous pour la troisième fois. Je ne serai toujours pas à votre charge, car ce ne sont pas vos biens que je recherche, c’est vous-mêmes. Finalement, ce n’est pas aux enfants d’amasser pour les parents, ce sont les parents qui doivent économiser pour les enfants.
1
Voilà donc la troisième fois que je viendrai chez vous. Toute affaire sera instruite (comme le demande l’Écriture) sur la déposition de deux ou de trois témoins.
2
Je vous avais prévenus lors de ma seconde visite, et je le répète maintenant que je me trouve encore loin : quand je viendrai, je serai sans pitié pour ceux qui ont vécu précédemment dans le péché, ainsi que pour tous les autres. Je ne ménagerai personne.
1
C’est pourquoi, mes frères bien-aimés, vous que je désire voir et qui êtes ma joie et ma récompense, continuez à tenir ferme dans la communion du Seigneur. Attachez-vous à lui, mes amis, et que votre vie soit ancrée en lui.
17
Ce n’est pas que je tienne à recevoir des dons : ce qui m’intéresse, ce sont les fruits que vous offrez ainsi à Dieu et qui sont portés à votre actif.
5
C’est pourquoi, vous le savez fort bien, nous ne sommes pas venus chez vous avec des discours enjôleurs et des motifs intéressés, nous n’avons pas eu recours à la flatterie ni fait de notre ministère un prétexte pour nous enrichir à vos dépens ; Dieu en est témoin.
6
Jamais nous n’avons quêté les faveurs du public ni cherché la gloire auprès des hommes, pas plus chez vous que chez d’autres. Que nous importaient les honneurs humains ?
8
Dans notre vive affection pour vous, nous aurions voulu, non seulement vous annoncer l’Évangile, mais donner notre vie pour vous, tant vous nous étiez devenus chers.
11
Vous vous rappelez que je me suis occupé de chacun de vous, un à un, comme le ferait un père pour ses enfants,
19
Car, après tout, n’est-ce pas vous notre espérance ? Ainsi que d’autres bien sûr ! Qui sera notre joie et la couronne de gloire dont nous serons fiers en présence de notre Seigneur Jésus-Christ au jour de son retour ?
20
Oui, certainement, c’est bien vous qui allez être notre honneur et notre joie !
2
Prenez soin, comme des bergers, du troupeau que Dieu vous a confié : donnez-lui la nourriture convenable. Veillez sur lui, non par devoir et à contrecœur, mais de plein gré et avec le zèle que Dieu désire. Dévouez-vous à votre ministère, non en vue d’un profit matériel, mais avec amour et désintéressement.
3
Ne cherchez pas à dominer sur ceux qui ont été confiés à vos soins. N’exercez pas un pouvoir autoritaire. Efforcez-vous de devenir les modèles de votre troupeau.
4
Alors, quand le chef des bergers apparaîtra, vous recevrez la couronne de gloire qui ne se flétrira jamais.
Aimables paroles, par lesquelles l'apôtre veut adoucir l'impression de celles qui précèdent. Qu'importe qu'il ait accepté ou non ce qu'il avait le droit d'attendre d'eux et qu'il soit maintenant encore résolu de ne point leur être à charge ? Ce qu'il recherche, ce n'est pas leurs biens, mais eux-mêmes, le salut de leur âme.
Par la gracieuse comparaison qu'il emploie, Paul se représente comme le père spirituel de ses disciples de Corinthe ; (1Corinthiens 4.15) ils sont ses enfants ; or, pourquoi seraient-ils froissés de ce qu'il ne veut pas leur être à charge ? (verset 13)
Il suit en cela l'usage naturel, ce sont les parents qui amassent (Grec : "thésaurisent") pour leurs enfants ; non l'inverse. Touchante apologie de sa conduite !
- Du reste, il s'entend de soi-même que l'apôtre ne veut par là ni affranchir les enfants du devoir d'aider leurs parents si ceux-ci en ont besoin, (1Timothée 5.8) ni contredire les paroles du Sauveur sur la cupidité, dont le premier soin est de thésauriser, (Matthieu 6.19-21) ni nier le devoir des Eglises de subvenir aux besoins de leurs pasteurs. (1Corinthiens 9.4-12)