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2 Corinthiens 5.15

Il est mort pour tous, ainsi les vivants ne vivent plus pour eux-mêmes. Ils vivent pour le Christ qui est mort pour eux et qui, pour eux, s’est réveillé de la mort.
Et qu'il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent, ne vivent point dorénavant pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux.
καὶ ὑπὲρ πάντων ἀπέθανεν ἵνα οἱ ζῶντες μηκέτι ἑαυτοῖς ζῶσιν ἀλλὰ τῷ ὑπὲρ αὐτῶν ἀποθανόντι καὶ ἐγερθέντι.
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    • 2 Rois 5

      Ezéchiel 16

      Ezéchiel 37

      Habacuc 2

      Zacharie 10

      Luc 1

      Jean 3

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      Jean 6

      Romains 6

      11 Nous trouvons dans ce texte les raisons les plus valables pour lutter contre le péché et pour nous consacrer à l’affermissement de notre sainteté. Étant, par la Grâce, libérés du règne du péché, vivant pour Dieu, et ayant la perspective de la vie éternelle, il convient aux croyants d’avancer avec ferveur vers ce but. Les convoitises de « l’ancienne nature » du croyant n’étant pas tout à fait étouffées, ce dernier doit vigoureusement leur résister, en luttant sérieusement, avec l’aide de la Grâce divine, afin de ne point se laisser dériver dans cet état mortel. Le fait de savoir que l’état de cette ancienne nature aura bientôt une fin, encourage le véritable chrétien, en particulier dans sa lutte contre les tentations, les convoitises, éléments qui l'embarrassent si souvent et l'affligent...

      Plaçons-nous à la disposition de Dieu, tels des « armes » ou des « outils », prêts pour le combat et l'œuvre de la Justice, à Son service. Nous disposons de la Puissance de la Grâce divines. Le péché ne dominera plus sur nous. Les promesses que Dieu nous a adressées sont plus puissantes et plus efficaces, pour anéantir le péché, que celles que nous pourrions lui faire.

      Le péché peut troubler le véritable croyant, mais en fin de compte, ce dernier ne sera pas dominé ; il pourra être blessé par ses chutes éventuelles, mais celles-ci ne domineront pas en lui !

      Quelqu'un pourrait-il prétexter cette doctrine pour se permettre de pratiquer délibérément le péché ? Que de telles pensées abominables, si contraires aux perfections de Dieu, et à la conception de l’Évangile, si opposées à l'existence de la Grâce, soient rejetées ! Qu’est-ce qui pourrait vaincre plus efficacement le péché, que l'Amour de Christ ? Continuerions-nous délibérément à pécher contre une telle Bonté et un tel Amour ?

      Romains 8

      10 Si l'Esprit est en nous, Christ est en nous ! Il demeure dans le cœur, par la foi. La Grâce, qui est en notre âme, lui fait revêtir une nouvelle nature ; Dieu sait que notre âme est vivante, Il a placé éternellement en elle Sa sainte félicité ! La Perfection de Christ met l'âme en sécurité, Elle lui offre la meilleure part, lui évitant la mort spirituelle.

      Forts de tout cela, nous voyons combien il nous faut marcher, non selon la chair, mais selon l'Esprit. Si une personne vit en permanence selon ses vaines convoitises, elle finira inéluctablement par périr dans ses péchés, quelles que soient ses voies. Que représente réellement une vie ici-bas, même si elle peut prétendre, pour un temps, jouir d’une noble estime ou d’une vocation exemplaire ?

      Efforçons-nous plutôt, par l'Esprit, de « mortifier » de plus en plus nos œuvres de la chair. La régénération spirituelle du Saint-Esprit apporte une vie nouvelle et divine à l'âme, même si elle se trouve dans un état de faiblesse.

      Les enfants de Dieu cherchent en permanence l’action de l'Esprit en eux ; ils ne sont pas assujettis à un esclavage spirituel, comme auraient pu l’être les âmes sous « l’ancienne alliance » de l'Ancien Testament, dans les ténèbres de cette dispensation. L'Esprit d'adoption n'était pas alors complètement répandu. L’apôtre mentionne cet esprit d'esclavage, sous lequel se trouvaient beaucoup de saints, lors de leur conversion.

      Beaucoup s’auto persuadent d’avoir la paix en eux-mêmes, alors que Dieu annonce le contraire dans Sa Parole. Ceux qui sont sanctifiés, ont l'Esprit de Dieu qui leur rend témoignage, dans Sa paix et par Sa paix, Il « parle » à leur âme.

      Bien que nous puissions parfois être découragés dans notre parcours avec Christ, nous devons garder en mémoire qu’avec Lui, nous sommes plus que vainqueurs !

      Romains 12

      1

      Les croyants doivent se consacrer à Dieu. (Romains 12:1,2)
      Ils doivent être humbles, et utiliser fidèlement leurs dons spirituels, à leur place respective. (Romains 12:3-8)
      Exhortations à divers devoirs. (Romains 12:9-16)
      Exhortations à une conduite paisible envers tous les hommes, avec indulgence et bienveillance. (Romains 12:17-21)

      L'apôtre, ayant terminé la partie de son épître, dans laquelle il exposait et expliquait diverses doctrines couramment appliquées, insiste, dans ce texte, sur les devoirs importants dictés par l'Évangile.

      Il a imploré les Romains, ses frères en Christ, par la miséricorde divine, à présenter à Dieu, leur corps, comme un sacrifice vivant. C’est en fait un appel puissant. Nous recevons tous les jours du Seigneur les fruits de Sa Miséricorde ! Offrons-Lui tout notre être en retour, tout ce que nous avons, tout ce que nous pouvons faire : d’ailleurs, que cela peut-il représenter, par rapport à toutes les grandes richesses spirituelles qu’Il nous accorde ?

      Que peut accepter Dieu, de notre part ? Un culte raisonnable, (un service intelligent) verset Romains 12:2*, auquel nous sommes capables de donner une raison, par la foi. La conversion et la sanctification sont le renouvellement de l'esprit ; elles consistent en un changement, non pas de la nature, mais des qualités de l'âme. Les progrès de la sanctification, conduisent de plus en plus à « la mort au péché », à une vie droite, éléments qui sont opérés dans un renouvellement spirituel, jusqu'à ce que tout cela soit parachevé dans la Gloire céleste.

      Le grand ennemi de ce renouvellement est l’attirance de notre être vers les attraits de ce monde. Soyons prudents, lorsque nous élaborons des plans, même soi disant positifs : veillons à ce que ces projets ne reposent pas sur les fondements éphémères de ce monde. Ne tombons pas dans les habitudes de ceux qui marchent selon les convoitises de la chair, et qui ont leur esprit braqué sur les désirs terrestres.

      L'œuvre du Saint Esprit commence d'abord par l’ouverture de la compréhension, puis elle opère sur la volonté, les affections et les conversations qui nous animent, jusqu'à ce qu'il y ait un changement dans l'ensemble de notre être, dans la recherche de la ressemblance avec Dieu, dans Sa connaissance, Sa justice et Sa véritable sainteté. Être pieux, c'est nous abandonner à Dieu !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 14

      7 Bien que certains soient faibles, et d'autres, plus vigoureux, tous cependant doivent consentir à ne pas vivre pour eux-mêmes.

      Ceux qui ont donné leur vie à Christ ne doivent pas être égoïstes : c'est contraire au véritable christianisme. Le but de notre vie n'est pas de satisfaire toutes nos convoitises, mais de plaire à Dieu ! Voilà ce que représente le véritable christianisme : Christ en toutes choses.

      Bien que les chrétiens soient différents, en termes de vigueur morale, de capacités, de dons personnels, tous appartiennent cependant au Seigneur ; ils portent leur regard vers Christ et Le servent, dans le but de Lui plaire. Christ est le Seigneur de ceux qui vivent pour Lui, Il les gouverne ; quant à ceux qui sont morts spirituellement, Il les ranime et les relève.

      Les chrétiens ne doivent pas se juger ni se mépriser mutuellement, car tous devront bientôt rendre des comptes. Le simple fait d’imaginer ce que sera le grand jour du Jugement devrait étouffer toute pensée irréfléchie. Que chacun examine son cœur ; celui qui se juge personnellement avec rigueur et qui s'humilie, ne cherchera pas à juger et à mépriser son frère.

      Veillons à ne pas dire ni commettre ce qui pourrait être pour d'autres une occasion de chute. Sachons nous abaisser devant notre frère, cherchons à lui éviter toute peine ou toute culpabilité par nos propos.

      1 Corinthiens 6

      1 Corinthiens 10

      2 Corinthiens 3

      2 Corinthiens 5

      16 L'homme « renouvelé spirituellement » agit en vertu de nouveaux principes, de nouvelles règles, avec de nouvelles finalités, au sein d’une nouvelle compagnie fraternelle.

      Le croyant est né de nouveau ; il n'est pas simplement rempli de droiture, mais un nouveau cœur lui est donné. Il est une créature de Dieu, créée en Jésus-Christ, pour accomplir de bonnes œuvres. Bien que n'étant « qu’homme », il est néanmoins transformé, quant à son caractère et sa conduite !

      Tout cela signifie qu'il y a, en Christ, plus qu'une simple réforme d’attitude extérieure. L'homme, qui auparavant ne discernait aucun attrait vis-à-vis du Sauveur, l'aime désormais par dessus tout !

      Un cœur non régénéré est rempli d'inimitié contre Dieu, ce qui offense ce Dernier. Il peut y avoir cependant une réconciliation : notre Dieu, Celui que nous avons offensé, nous a réconciliés avec Lui-même, par Jésus-Christ. Les Saintes Écritures ont été écrites sous l’inspiration divine ; elles contiennent tout ce qui concerne cette réconciliation, montrant la paix qui a été obtenue à la croix, avec tout le bénéfice que nous pouvons en retirer.

      Bien que Dieu n’ait rien à perdre, ni à gagner, Il implore les pécheurs de se séparer de leur inimitié, et d'accepter le salut offert en Jésus-Christ. Ce Dernier n'a pas connu l’iniquité. Il a par contre, été fait péché pour nous : pas en tant que pécheur, mais en tant qu’offrande, par Son sacrifice.

      La finalité de tout ce qui précède réside en ceci : que nous puissions être rendus droits vis-à-vis de Dieu, que nous puissions être justifiés librement par la Grâce divine, par le biais de la Rédemption qui est en Jésus-Christ.

      Sommes-nous vraiment capables de tout perdre, de peiner, ou de souffrir pour Dieu, Celui qui a donné son Fils bien-aimé, en Sacrifice pour nos péchés, afin que la Justice divine puisse être rendue ?

      Galates 2

      20 L'apôtre décrit dans ce texte la vie spirituelle (ou cachée) d'un croyant. Le « vieil homme » est crucifié, Romains 6:6, alors que le « nouvel homme » est vivant ; le péché est mortifié et la Grâce est vivifiée.

      Paul dispose du réconfort et de la puissance victorieuse de la Grâce ; cette Grâce n'émane pas de sa personne, mais d’une autre source : Christ !

      Les croyants sont pleinement conscients de vivre dans un état de dépendance envers Christ. Ceci provient de ce que, bien qu’ils soient charnels, ils ne vivent pas cependant DE la chair. Ceux qui possèdent une véritable foi, vivent selon celle-ci, celle qui est attachée à Christ, Celui qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous. Il m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi. C'est un peu comme si l'apôtre s’exprimait ainsi : « Le Seigneur m'a vu m'éloigner de Lui de plus en plus. J’étais animé d’une telle méchanceté et d’une telle ignorance spirituelle, que j’étais convaincu qu'il était impossible que je puisse être sauvé, même par une rançon d’une très grande valeur ».

      Considérons bien le prix d’un tel salut ! Remarquons au passage la piètre foi de beaucoup de personnes ; on peut en voir, par leur témoignage, les tristes conséquences : elles ont la forme de la piété sans en avoir la puissance... Elles estiment être dans la Vérité, spirituellement, alors qu’elles sont en fait complètement dans l’erreur.

      Pour croire en Christ, il n'est pas suffisant de penser qu'Il a été crucifié, mais je dois croire également que je le suis AVEC Lui. C'est cela « connaître Christ crucifié ». De là, nous apprenons ce qu'est la nature de la Grâce. La Grâce de Dieu, ne peut dépendre du mérite de l'homme. Elle n’existe plus, en tant que telle, si Elle n'est pas donnée librement, dans tous les cas.

      Plus le croyant compte en toute simplicité sur Christ, pour chaque détail de sa vie, plus il marche en Sa compagnie avec dévotion, dans toutes Ses ordonnances et selon Ses commandements. Christ vit et règne alors en son âme : le racheté vit ici-bas, par la foi dans le Fils de Dieu, Celui qui agit par amour, crée l'obéissance et opère les changements en son âme, selon sa sainte image. Ainsi, la Grâce de Dieu prend toute sa valeur, elle n'est pas rendue vaine !

      Galates 5

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      Ephésiens 5

      Philippiens 1

      21 La mort est une grande perte pour l’homme charnel, ou pour celui qui « est du monde », car il perd tous ses agréments terrestres et tous ses espoirs ; mais pour le véritable croyant, elle est un gain, car elle met un terme à toute sa faiblesse et à sa misère. La mort délivre l’enfant de Dieu de tous les maux de la vie, et l'amène à posséder le bien le plus précieux.

      La difficulté de l'apôtre ne consistait pas à faire le choix entre la vie dans ce monde et celle du ciel : entre les deux, il n'y a en effet aucune comparaison ; mais Paul était tiraillé entre le fait de servir Christ en ce monde et celui de connaître la félicité éternelle dans le ciel. Les deux points de vue n'étaient pas mauvais, ce qui rendait le choix d’autant plus difficile : agir pour Christ ou demeurer avec Lui.

      Nous pouvons constater au passage, le pouvoir de la foi et de la Grâce divine ; cette dernière peut aller jusqu’à nous disposer à mourir, pour être avec le Seigneur.

      Ici-bas, nous sommes entourés par le péché ; quand nous serons avec Christ, nous échapperons au mal et à la tentation, au chagrin et à la mort, à jamais !

      Mais ceux qui désirent de tout leur cœur monter au ciel pour être face à face avec Christ, doivent toutefois être disposés à rester en ce monde aussi longtemps que Dieu a une tâche à leur confier. Plus ils percevront les bienfaits de Sa Providence, même inattendus, plus on pourra percevoir l’action divine en eux !

      Colossiens 2

      Colossiens 3

      1

      Les Colossiens sont exhortés : - à tourner leurs pensées vers le ciel ; (Colossiens 3:1-4)
      - à mortifier toutes leurs affections corrompues ; (Colossiens 3:5-11)
      - à vivre dans l'amour fraternel, l'abstention du mal et le pardon mutuel ; (Colossiens 3:12-17)
      - à pratiquer les devoirs des épouses et des maris, des enfants, des parents, et des serviteurs. (Colossiens 3:18-25)

      Puisque les chrétiens sont libérés de la loi de cérémonie (mosaïque), ils doivent marcher le plus attentivement possible avec Dieu, en toute obéissance à l'Évangile. Comme le ciel et la terre sont opposés l'un à l'autre, on ne peut pas les suivre simultanément : l'affection en faveur de l'un diminuera immanquablement celle envers l'autre.

      Ceux qui sont nés de nouveau sont « morts au péché » : en fait, la domination de ce dernier est brisée, son pouvoir est graduellement « subjugué » par la Grâce, pour être en fin de compte étouffé par la perfection de la Gloire de Dieu. Dans ce texte, « être mort » signifie ceci : ceux qui bénéficient du Saint-Esprit, Celui qui mortifie en eux la convoitise de la chair, sont capables de mépriser les attraits de ce monde, pour tendre vers ceux du ciel.

      Jusqu’à présent, nous n’avons pas encore vu Christ ; nous savons, par contre, qu’en Sa présence, nous ne courons aucun danger ! « L’eau vive » coule dans notre âme par l’influence du Saint-Esprit, par la foi. Christ, par Son Esprit, habite dans le cœur du croyant et ce dernier vit pour Lui, dans tout ce qu'il accomplit.

      Lors de la deuxième venue de Christ, il y aura un « rassemblement général » de tous les rachetés ; ceux dont la vie est maintenant « cachée » en Christ, paraîtront alors avec Lui, dans Sa gloire.

      Sommes-nous réellement à la recherche d’un tel honneur, ou conservons-nous encore notre attachement envers le monde, avec son mode de vie ?

      1 Thessaloniciens 5

      Tite 2

      Hébreux 13

      1 Pierre 1

      1 Pierre 4

      1 Jean 4

      Apocalypse 1

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