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9
qui a dit de son père et de sa propre mère :
« Je n’y ai pas égard ! »
Qui pour ses fils, ses frères,
n’a pas fait d’exception
et s’est montré fidèle à ta parole seule
et à ton alliance.
29
Pourquoi donc méprisez-vous les sacrifices et les offrandes qui me sont destinés et que j’ai ordonné d’offrir dans ma demeure ? Pourquoi honores-tu tes fils plus que moi en vous engraissant des meilleurs morceaux des sacrifices que mon peuple Israël vient m’offrir ? »
37
—Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi. Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi.
48
Mais Jésus lui répondit :
—Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ?
49
Puis, désignant ses *disciples d’un geste de la main, il ajouta : Ma mère et mes frères, les voici.
50
Car celui qui fait la volonté de mon Père céleste, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère.
31
La mère et les frères de Jésus arrivèrent. Ils se tinrent dehors et envoyèrent quelqu’un l’appeler.
32
Beaucoup de monde était assis autour de lui. On vint lui dire :
—Ta mère, tes frères et tes sœurs sont dehors et te cherchent.
33
Il répondit :
—Qui sont ma mère et mes frères ?
34
Et, promenant les regards sur ceux qui étaient assis en cercle autour de lui, il dit :
—Voici ma mère et mes frères,
35
car celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, ou une mère.
4
—Ecoute, lui répondit Jésus, est-ce toi ou moi que cette affaire concerne ? Mon heure n’est pas encore venue.
63
C’est l’Esprit qui donne la vie ; l’homme n’aboutit à rien par lui-même. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie.
14
Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande.
16
Ainsi, désormais, nous ne considérons plus personne d’une manière purement humaine. Certes, autrefois, nous avons considéré le Christ de cette manière, mais ce n’est plus ainsi que nous le considérons maintenant.
18
Puisque plusieurs se vantent pour des raisons tout humaines, eh bien, moi aussi je vais me vanter.
5
Mais nous ne leur avons pas cédé un seul instant ni fait la moindre concession afin que la vérité de l’Evangile soit maintenue pour vous.
6
Quelle a été, à cet égard, l’attitude des dirigeants les plus influents ? — En fait, ce qu’ils étaient alors m’importe peu, car Dieu ne fait pas de favoritisme. — Eh bien, ces gens très influents ne m’ont pas imposé d’autres directives.
6
Car pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ, ce qui importe, ce n’est pas d’être *circoncis ou incirconcis, c’est d’avoir la foi, une foi qui se traduit par des actes inspirés par l’amour.
7
Toutes ces choses constituaient, à mes yeux, un gain, mais à cause du Christ, je les considère désormais comme une perte.
8
Je vais même plus loin : tout ce en quoi je pourrais me confier, je le considère comme une perte à cause de ce bien suprême : la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur. A cause de lui, j’ai accepté de perdre tout cela, oui, je le considère comme bon à être mis au rebut, afin de gagner le Christ.
11
Dans cette nouvelle humanité, il n’y a plus de différence entre *Juifs et non-Juifs, entre *circoncis et incirconcis, étrangers, barbares, esclaves, hommes libres : il n’y a plus que le Christ, lui qui est tout et en tous.
21
Je te conjure solennellement devant Dieu, devant Jésus-Christ et ses *anges élus, d’observer ces règles sans parti-pris ni favoritisme.
22
N’impose pas trop vite les mains à quelqu’un et ne t’associe pas aux péchés d’autrui. Conserve-toi *pur.
1
Mes frères, gardez-vous de toutes formes de favoritisme : c’est incompatible avec la foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ.
2
Supposez, en effet, qu’un homme vêtu d’habits somptueux, portant une bague en or entre dans votre assemblée, et qu’entre aussi un pauvre en haillons.
3
Si, voyant l’homme somptueusement vêtu, vous vous empressez autour de lui et vous lui dites : « Veuillez vous asseoir ici, c’est une bonne place ! » tandis que vous dites au pauvre : « Tenez-vous là, debout, ou asseyez-vous par terre, à mes pieds »,
4
ne faites-vous pas des différences parmi vous, et ne portez-vous pas des jugements fondés sur de mauvaises raisons ?
17
Au contraire, la sagesse qui vient d’en haut est en premier lieu *pure ; de plus, elle aime la paix, elle est modérée et conciliante, pleine de bonté ; elle produit beaucoup de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie.
Connaître quelqu'un selon la chair, c'est le connaître dans sa vie naturelle, selon sa position extérieure, riche ou pauvre, savant ou ignorant, Juif ou Grec (voir sur le sens du mot chair Romains 1.3, note) ; tout cela a disparu aux yeux du chrétien ; il ne connaît, ne cherche, n'aime dans ses frères que la vie nouvelle et les fruits qu'elle porte.
- Afin de donner plus d'énergie encore à cette pensée, l'apôtre l'applique à Christ lui-même. On pourrait conclure de ces paroles que Paul avait connu Jésus durant sa vie terrestre, mais d'une manière tout extérieure : il ne le connaît plus ainsi. Quel profit en aurait-il ? Des milliers d'hommes, même les ennemis et les juges de Jésus-Christ, le connurent de cette manière, sans en retirer aucune bénédiction.
Sans doute "confesser Jésus-Christ venu en chair" (1Jean 4.2,3) est bien une connaissance salutaire du Sauveur, mais c'est parce que le "Dieu manifesté en chair" a été aussi "glorifié en Esprit," (1Timothée 3.16) et parce que Celui qui est "fils de David selon la chair," a été "déclaré Fils de Dieu avec puissance, par sa résurrection d'entre les morts." (Romains 1.4)
Ainsi celui qui connaît Jésus-Christ "mort pour nos offenses" ne le connaît pas selon la chair, parce qu'il l'adore "ressuscité pour notre justification." Ces deux phases de la vie de Christ sont inséparables, et les paroles de l'apôtre se trouvent en parfait accord avec 1Corinthiens 2.2.
- Il y a peut-être aussi dans les paroles de l'apôtre une intention de polémique contre ses adversaires judaïsants de Corinthe qui se glorifiaient de leurs relations personnelles avec Christ ou qui élevaient les autres apôtres audessus de Paul, parce qu'ils avaient connu Christ et avaient vécu dans son intimité.
Le croyant est né de nouveau ; il n'est pas simplement rempli de droiture, mais un nouveau cœur lui est donné. Il est une créature de Dieu, créée en Jésus-Christ, pour accomplir de bonnes œuvres. Bien que n'étant « qu’homme », il est néanmoins transformé, quant à son caractère et sa conduite !
Tout cela signifie qu'il y a, en Christ, plus qu'une simple réforme d’attitude extérieure. L'homme, qui auparavant ne discernait aucun attrait vis-à-vis du Sauveur, l'aime désormais par dessus tout !
Un cœur non régénéré est rempli d'inimitié contre Dieu, ce qui offense ce Dernier. Il peut y avoir cependant une réconciliation : notre Dieu, Celui que nous avons offensé, nous a réconciliés avec Lui-même, par Jésus-Christ. Les Saintes Écritures ont été écrites sous l’inspiration divine ; elles contiennent tout ce qui concerne cette réconciliation, montrant la paix qui a été obtenue à la croix, avec tout le bénéfice que nous pouvons en retirer.
Bien que Dieu n’ait rien à perdre, ni à gagner, Il implore les pécheurs de se séparer de leur inimitié, et d'accepter le salut offert en Jésus-Christ. Ce Dernier n'a pas connu l’iniquité. Il a par contre, été fait péché pour nous : pas en tant que pécheur, mais en tant qu’offrande, par Son sacrifice.
La finalité de tout ce qui précède réside en ceci : que nous puissions être rendus droits vis-à-vis de Dieu, que nous puissions être justifiés librement par la Grâce divine, par le biais de la Rédemption qui est en Jésus-Christ.
Sommes-nous vraiment capables de tout perdre, de peiner, ou de souffrir pour Dieu, Celui qui a donné son Fils bien-aimé, en Sacrifice pour nos péchés, afin que la Justice divine puisse être rendue ?