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7
Si tu fais bien, ne seras-tu pas agréé ? Et si tu ne fais pas bien, le péché est couché à la porte. Et son désir sera tourné vers toi, et toi tu domineras sur lui.
7
je les ferai venir à ma montagne sainte, et je les rendrai joyeux dans ma maison de prière : leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelée une maison de prière pour tous les peuples.
27
Travaillez, non point pour la viande qui périt, mais pour la viande qui demeure jusque dans la vie éternelle, laquelle le fils de l'homme vous donnera ; car c'est lui que le Père, Dieu, a scellé.
35
mais qu'en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice, lui est agréable.
8
mais soit que nous vivions, nous vivons ayant égard au Seigneur, soit que nous mourions, nous mourons ayant égard au Seigneur ; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes du Seigneur.
18
Car celui qui en cela sert le Christ est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
20
mais aussi m'attachant à évangéliser, non pas là où Christ avait été prêché, (afin que je n'édifiasse pas sur le fondement d'autrui) mais selon qu'il est écrit :
26
Moi donc je cours ainsi, non comme ne sachant pas vers quel but ; je combats ainsi, non comme battant l'air ;
27
mais je mortifie mon corps et je l'asservis, de peur qu'après avoir prêché à d'autres, je ne sois moi-même réprouvé.
58
Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, abondant toujours dans l'oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail n'est pas vain dans le Seigneur.
6
Nous avons donc toujours confiance, et nous savons qu'étant présents dans le corps, nous sommes absents du Seigneur,
8
nous avons, dis-je, de la confiance, et nous aimons mieux être absents du corps et présents avec le Seigneur.
9
C'est pourquoi aussi, que nous soyons présents ou que nous soyons absents, nous nous appliquons avec ardeur à lui être agréables ;
6
à la louange de la gloire de sa grâce dans laquelle il nous a rendus agréables dans le Bien-aimé ;
10
pour marcher d'une manière digne du Seigneur pour lui plaire à tous égards, portant du fruit en toute bonne oeuvre, et croissant par la connaissance de Dieu :
29
à quoi aussi je travaille, combattant selon son opération qui opère en moi avec puissance.
1
Au reste donc, frères, nous vous prions et nous vous exhortons par le Seigneur Jésus, pour que, comme vous avez reçu de nous de quelle manière il faut que vous marchiez et plaisiez à Dieu, comme aussi vous marchez, vous y abondiez de plus en plus.
11
et à vous appliquer à vivre paisiblement, à faire vos propres affaires et à travailler de vos propres mains, ainsi que nous vous l'avons ordonné,
10
car c'est pour cela que nous travaillons et que nous sommes dans l'opprobre, parce que nous espérons dans le Dieu vivant qui est le conservateur de tous les hommes, spécialement des fidèles.
11
Appliquons-nous donc à entrer dans ce repos-là, afin que personne ne tombe en imitant une semblable désobéissance.
28
C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, retenons la grâce par laquelle nous servions Dieu d'une manière qui lui soit agréable, avec révérence et avec crainte.
10
C'est pourquoi, frères, étudiez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection, car en faisant ces choses vous ne faillirez jamais ;
11
car ainsi l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera richement donnée.
14
C'est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, étudiez-vous à être trouvés sans tache et irréprochables devant lui, en paix ;
De là, la conclusion de l'apôtre, deux fois répétée en ces versets : (versets 6-8) Nous sommes donc remplis de confiance. Cette confiance subsiste, bien que nous sachions qu'aussi longtemps que nous habitons dans ce corps, nous sommes absents (Grec : "à l'étranger") du Seigneur ; (verset 6) elle subsiste, bien que nous marchions par la foi et non encore par la vue ; (verset 7) elle subsiste, malgré notre désir ou plutôt à cause du désir d'émigrer de ce corps pour être (Grec : "à la maison, dans la patrie") auprès du Seigneur. (verset 8)
Et, soumis à la volonté de Dieu pour le temps que nous devons demeurer ici, ou pour le moment où nous pourrons émigrer, la seule chose nécessaire, l'objet de nos efforts, c'est que nous lui soyons agréables. (verset 9)
- Tel est l'ordre de ces grandes et saintes pensées. Les deux termes du contraste qui les remplit, c'est l'absence ou la présence du Seigneur, la foi ou la vue. Non seulement, tant que le premier état dure, le chrétien est aux prises avec la souffrance et le péché, mais sa connaissance reste imparfaite. (1Corinthiens 13.12)
Ce voile de la chair obscurcit la vue qu'il a de Dieu, trouble sa communion avec le ciel, et il ne reste au croyant que sa foi pour voir l'invisible et triompher dans la lutte. (Comparer Romains 8.24, note ; 2Corinthiens 4.18, note.) Mais cela lui suffit : "Nous sommes remplis de confiance," même en marchant par la foi seule. La foi est une lumière qui pénètre au delà des bornes étroites du monde et du temps.
C'est par là même qu'elle tend avec un ardent désir vers le moment où elle sera transformée en vue, et où la communion du racheté de Christ avec son Dieu et son Sauveur sera parfaite. Rien de plus sanctifiant que cette disposition : comment désirer de voir le Seigneur tel qu'il est pour lui être semblable, (1Jean 3.2) sans s'efforcer dès ici-bas de lui être agréable ?
L'espérance céleste, solidement fondée en la Parole, ne peut que décourager toute tendance à la paresse, voire à tout péché. Soyons tous bien conscients du jugement que nous sommes appelés à subir : « le Tribunal de Christ ». Sachant quelle terrible vengeance le Seigneur exécuterait sur les « ouvriers d'iniquité », l'apôtre et le frère qui l’accompagne dans son ministère, utilisèrent tous les arguments et les persuasions possibles, pour amener les hommes à croire au Seigneur Jésus et à agir en parfaits disciples.
Le zèle et l’assiduité de ces deux ministres de l’Évangile concouraient à renforcer la gloire de Dieu et le bien de l'église. L'amour que Christ nous témoigne aura plus d'impact sur nous, s'il est dûment considéré à sa juste valeur. Nous serions tous perdus et déchus, morts et ruinés, esclaves du péché, n'ayant aucun pouvoir de nous délivrer, et condamnés à rester misérables à jamais, si Christ n'était pas mort pour nous.
Ne pensons pas pouvoir nous soustraire à ce Tribunal ; Christ doit être le but de notre vie et de nos actes. Une vie chrétienne normale devrait être entièrement consacrée à Christ.
Hélas, combien montrent l'inutilité de leur profession de foi et d'amour, en ne vivant que pour eux-mêmes et pour le monde...