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Dès son arrivée, il put constater ce que la grâce de Dieu avait accompli ; il s’en réjouit et ne put que les encourager à persévérer dans leur décision de suivre fidèlement le Seigneur.
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Là, Paul eut une vision au cours de la nuit : un Macédonien se tenait devant lui et le suppliait : — Viens en Macédoine et secours-nous !
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En effet, les communautés de la Macédoine et de l’Achaïe ont décidé d’organiser une collecte en faveur des chrétiens pauvres de l’Église de Jérusalem.
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Ce que je suis à présent, c’est à la grâce de Dieu que je le dois, et cette grâce n’est pas demeurée stérile, loin de là : j’ai travaillé plus que tous les autres. Moi ? Non, mais la grâce de Dieu qui agit en moi et avec moi.
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Il faut que je vous raconte, frères, ce que la grâce de Dieu a réalisé dans les Églises de la Macédoine.
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Elles ont été mises à l’épreuve par de multiples afflictions, mais au milieu de leurs difficultés, ces chrétiens sont restés débordants de joie. Malgré leur extrême pauvreté, ils ont trouvé moyen de donner généreusement.
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Ils sont allés spontanément jusqu’à la limite de leurs moyens, et même au-delà, j’en suis témoin.
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Ce sont eux qui m’ont plusieurs fois demandé, avec beaucoup d’insistance, la faveur de prendre part à l’assistance destinée aux chrétiens de Jérusalem.
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Leurs dons ont dépassé tout ce que nous aurions pu espérer. Pourquoi ? Ils se sont tout d’abord consacrés eux-mêmes au Seigneur et ensuite, conformément à la volonté de Dieu, ils se sont mis à notre disposition.
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Cela m’a encouragé à demander à Tite de mener à bonne fin chez vous cette œuvre de bienfaisance qu’il a si bien mise en train.
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Vous êtes riches sur tous les plans : qu’il s’agisse de la foi, des dons de la parole ou de la connaissance, du zèle pour toutes sortes d’œuvres ou de l’amour qui, de nos cœurs, a gagné les vôtres ; partout vous vous distinguez ; nul doute que vous tiendrez aussi à être au premier rang dans cette œuvre de générosité.
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Je sais combien vous êtes désireux d’aider, je connais la décision que vous avez prise à ce sujet. Je l’ai même citée avec fierté aux Macédoniens, en leur disant : « En Grèce, ils préparent ce don depuis l’année dernière. Chez eux tout est prêt ! » Votre zèle a stimulé la plupart d’entre eux.
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Autrement, si les Macédoniens qui pourraient m’accompagner trouvaient que vous n’êtes pas prêts, je serais bien humilié d’avoir été si fier de vous, ma belle assurance tournerait à ma confusion… pour ne pas dire à la vôtre.
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En effet, ce service inspiré par l’amour ne pourvoira pas seulement aux besoins du peuple de Dieu, il sera encore la source de riches bénédictions en suscitant de ferventes prières de reconnaissance envers Dieu.
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Pendant tout mon séjour chez vous, je n’ai été à la charge de personne, quoique je me sois trouvé dans la gêne ; ce sont des chrétiens venus de Macédoine qui ont pourvu à mes besoins. Jusqu’au bout, je me suis soigneusement gardé de vivre à vos dépens afin de n’être un fardeau pour aucun de vous, et j’agirai de même à l’avenir.
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Oui, c’est à moi, le plus petit parmi tous les chrétiens, qu’a été accordée la faveur d’annoncer aux non-Juifs les infinies et insondables richesses du Christ.
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Voilà pourquoi, tel un lutteur, je tends tout mon être et je travaille avec acharnement en me confiant dans les forces que me donne celui qui agit puissamment en moi.
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Si bien que vous êtes devenus vous-mêmes des modèles pour tous les croyants de la Macédoine et de l’Achaïe.
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Bien plus : de chez vous, la parole du Seigneur s’est propagée, non seulement en Macédoine et en Achaïe, mais en tout lieu. En effet, partout on sait que vous êtes venus à la foi en Dieu, de sorte que nous n’avons pas même besoin d’en parler.
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Vous le démontrez par votre conduite : vous avez étendu votre affection à tous les frères de la Macédoine. Nous voudrions simplement vous inviter, frères, à faire de nouveaux progrès aussi sur ce point. Que votre amour croisse et s’étende encore davantage.
1 à 15 Motifs en faveur de la collecte pour le spauvres de Judée.
Paul a rétabli entre lui et ses frères de Corinthe une pleine confiance ; il leur a ouvert tout son cœur, il leur a témoigné avec effusion son amour. Maintenant, il fait appel à leur charité, non pour lui, mais pour les frères pauvres de la Palestine, auxquels d'autres Eglises, surtout celles de la Macédoine, envoyaient des secours.
Il appelle cette œuvre de la charité une grâce, une grâce que Dieu a faite aux Eglises qui s'y sont employées. (Grec : "la grâce de Dieu, donnée (manifestée) dans les Eglises.")
"En effet, comme le dit Bengel, c'était une grâce pour ceux qui donnaient et pour ceux qui recevaient."
Les biens de ce monde sont une grâce de Dieu, la charité qui donne est une grâce plus grande encore, toute œuvre par laquelle le Seigneur daigne nous accorder une part dans son règne est une grâce de sa part.
Nous avons donc, dans ce chapitre, remplacé par ce beau mot de grâce les pâles circonlocutions au moyen desquelles Ostervald fait disparaître la pensée de l'apôtre, qui a évidemment voulu nommer ainsi l'œuvre dont il s'agit ici. (versets 4,6,7,19 ; comparez verset 9 et 2Corinthiens 9.8,14) La version de Lausanne a traduit de la même manière.
L'apôtre rappelle la charité que l’on doit exercer envers les saints qui traversent la pauvreté. (2 Corinthiens 8:1-6)
La Grâce de Dieu doit être la clé, la racine et la source de tout le bien que nous pratiquons, à tout moment. C'est en effet une grande grâce et une faveur de Dieu, si nous sommes utiles aux autres, et engagés dans toute bonne œuvre !Il souligne leurs dons, l'Amour et la Grâce de Christ. (2 Corinthiens 8:7-9)
Il rappelle la bonne volonté qu'ils avaient témoignée dans leur ministère pour l’église. (2 Corinthiens 8:10-15)
Il leur recommande Tite. (2 Corinthiens 8:16-24)
Paul souligne la charité des Macédoniens qui, sans avoir besoin que l’apôtre les pousse, le prièrent de recevoir un don. Quoi que nous fassions ou employons pour Dieu, ce n'est que Lui rendre ce qui Lui appartient déjà ! Tout ce que nous donnons pour les œuvres de charité ne sera pas agréé par Dieu, tant que nous ne nous serons pas donnés d'abord nous-mêmes au Seigneur...
En attribuant vraiment toutes nos bonnes œuvres à la Grâce de Dieu, nous ne Lui rendons pas seulement la gloire qui lui est due, mais nous montrons aussi aux hommes à quelle source nous puisons cette force.
Une joie spirituelle abondante affermit le cœur des hommes dans toute la charité qu’ils peuvent exercer. Quelle différence de conduite avec celle de ceux qui ne pratiquent aucune bonne œuvre, sinon par contrainte !