Une ville sans muraille
Proverbes 25/28: "Comme une ville forcée et sans murailles, ainsi est l'homme qui n'est pas maître de lui-même" Avez-vous déjà …
L'apôtre rappelle la charité que l’on doit exercer envers les
saints qui traversent la pauvreté. (2 Corinthiens 8:1-6)
Il souligne leurs dons, l'Amour et la Grâce de Christ. (2 Corinthiens 8:7-9)
Il rappelle la bonne volonté qu'ils avaient témoignée dans leur
ministère pour l’église. (2 Corinthiens 8:10-15)
Il leur recommande Tite. (2 Corinthiens 8:16-24)
Paul souligne la charité des Macédoniens qui, sans avoir besoin que l’apôtre les pousse, le prièrent de recevoir un don. Quoi que nous fassions ou employons pour Dieu, ce n'est que Lui rendre ce qui Lui appartient déjà ! Tout ce que nous donnons pour les œuvres de charité ne sera pas agréé par Dieu, tant que nous ne nous serons pas donnés d'abord nous-mêmes au Seigneur...
En attribuant vraiment toutes nos bonnes œuvres à la Grâce de Dieu, nous ne Lui rendons pas seulement la gloire qui lui est due, mais nous montrons aussi aux hommes à quelle source nous puisons cette force.
Une joie spirituelle abondante affermit le cœur des hommes dans
toute la charité qu’ils peuvent exercer. Quelle différence de
conduite avec celle de ceux qui ne pratiquent aucune bonne œuvre,
sinon par contrainte !
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1 à 15 Motifs en faveur de la collecte pour le spauvres de Judée.
Paul a rétabli entre lui et ses frères de Corinthe une pleine confiance ; il leur a ouvert tout son cœur, il leur a témoigné avec effusion son amour. Maintenant, il fait appel à leur charité, non pour lui, mais pour les frères pauvres de la Palestine, auxquels d'autres Eglises, surtout celles de la Macédoine, envoyaient des secours.
Il appelle cette œuvre de la charité une grâce, une grâce que Dieu a faite aux Eglises qui s'y sont employées. (Grec : "la grâce de Dieu, donnée (manifestée) dans les Eglises.")
"En effet, comme le dit Bengel, c'était une grâce pour ceux qui donnaient et pour ceux qui recevaient."
Les biens de ce monde sont une grâce de Dieu, la charité qui donne est une grâce plus grande encore, toute œuvre par laquelle le Seigneur daigne nous accorder une part dans son règne est une grâce de sa part.
Nous avons donc, dans ce chapitre, remplacé par ce beau mot de grâce les pâles circonlocutions au moyen desquelles Ostervald fait disparaître la pensée de l'apôtre, qui a évidemment voulu nommer ainsi l'œuvre dont il s'agit ici. (versets 4,6,7,19 ; comparez verset 9 et 2Corinthiens 9.8,14) La version de Lausanne a traduit de la même manière.
L'apôtre rappelle la charité que l’on doit exercer envers les saints qui traversent la pauvreté. (2 Corinthiens 8:1-6)
La Grâce de Dieu doit être la clé, la racine et la source de tout le bien que nous pratiquons, à tout moment. C'est en effet une grande grâce et une faveur de Dieu, si nous sommes utiles aux autres, et engagés dans toute bonne œuvre !Il souligne leurs dons, l'Amour et la Grâce de Christ. (2 Corinthiens 8:7-9)
Il rappelle la bonne volonté qu'ils avaient témoignée dans leur ministère pour l’église. (2 Corinthiens 8:10-15)
Il leur recommande Tite. (2 Corinthiens 8:16-24)
Paul souligne la charité des Macédoniens qui, sans avoir besoin que l’apôtre les pousse, le prièrent de recevoir un don. Quoi que nous fassions ou employons pour Dieu, ce n'est que Lui rendre ce qui Lui appartient déjà ! Tout ce que nous donnons pour les œuvres de charité ne sera pas agréé par Dieu, tant que nous ne nous serons pas donnés d'abord nous-mêmes au Seigneur...
En attribuant vraiment toutes nos bonnes œuvres à la Grâce de Dieu, nous ne Lui rendons pas seulement la gloire qui lui est due, mais nous montrons aussi aux hommes à quelle source nous puisons cette force.
Une joie spirituelle abondante affermit le cœur des hommes dans toute la charité qu’ils peuvent exercer. Quelle différence de conduite avec celle de ceux qui ne pratiquent aucune bonne œuvre, sinon par contrainte !