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2 Pierre 3.16

C’est ce qu’il écrit dans toutes ses lettres, quand il parle de ce sujet. Il y a des passages difficiles à comprendre, alors les gens qui sont ignorants et sans formation en changent le sens. Ils font d’ailleurs la même chose avec d’autres passages des Livres Saints. En agissant ainsi, ils se détruisent eux-mêmes.
Il l’a fait comme dans toutes ses lettres, où il aborde ces sujets. Certes, il s’y trouve des passages difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies déforment le sens, comme elles le font aussi — pour leur propre ruine — des autres textes de l’Ecriture.
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      Genèse 49

      Exode 23

      Deutéronome 16

      1 Rois 10

      1

      La reine de Shéba rend visite à Salomon. (1 Rois 10:1-13)
      La richesse de Salomon. (1 Rois 10:14-29)

      La reine de Shéba est venue rendre visite à Salomon pour bénéficier de sa sagesse et améliorer de ce fait, son savoir.

      Notre Sauveur, Jésus-Christ, a mentionné que le roi recherchait vraiment Dieu, soulignant ainsi la stupidité de ceux qui méprisent Son salut. C'est par la patience et la prière, par la lecture diligente des Écritures, en consultant les chrétiens avertis et expérimentés, et par la mise en pratique de ce que qui nous a été enseigné, que nous serons délivrés de nos difficultés. La sagesse de Salomon fit plus d'impression sur la reine de Shéba, que toute sa prospérité et sa splendeur de la cour. Une « excellence » spirituelle émane des bénédictions célestes et du contact avec les chrétiens véritables, excellence que nul ne peut contester. Dans ce texte, la Vérité divine était manifeste.

      Tous ceux qui, par la Grâce, sont amenés à entrer en communion avec Dieu, ne rapporteront qu'une partie du plaisir et des avantages obtenus, en parcourant les voies de la Sagesse. Les saints glorifiés, et d'autres témoins encore, ne pourront rapporter du ciel, que la millième partie de ce qui leur a été annoncé, 1Corinthiens 2:9. La reine de Shéba rappela à Salomon, à quel point les personnes de sa cour étaient heureuses.

      Combien plus, pouvons nous en dire des serviteurs de Christ : Bénis sont ceux qui séjournent dans Sa demeure ! Ils L'adoreront éternellement.

      La reine fit un noble présent à Salomon. Le Seigneur n'a nul besoin de nos dons, mais Il nous laissera continuer à les Lui offrir, pour que nous puissions Lui exprimer notre gratitude. Le croyant, celui qui vit « en » Christ, viendra vers Lui, à la fin de son service, pour Lui présenter avec promptitude le résultat de sa tâche, et en demander une nouvelle, attendant avec intérêt, le jour où, ayant quitté son corps terrestre, il sera éternellement en présence de son Seigneur.

      2 Rois 1

      1

      La révolte de Moab, la maladie d'Achazia, roi d'Israël. (2 Rois 1:1-8) Le feu céleste demandé par Élie. La mort d'Achazia. (2 Rois 1:9-18)

      Quand Achazia se rebella contre l'Éternel, Moab se révolta contre Israël. Le péché nous affaiblit et nous appauvrit. La révolte d'un homme contre Dieu est souvent punie par la rébellion de ses subordonnés.

      Achazia tomba d'un treillis, ou d'une balustrade. Partout où nous allons, il y a un « pas » qui nous sépare de la mort. La maison d'un homme le protège des agressions climatiques extérieures, mais pas des jugements divins. La création entière, qui gémit sous le fardeau du péché de l'homme, finira à la longue par disparaître et se désintégrer, comme le fit Achazia en tombant de ce treillis. Celui qui est ennemi de Dieu ne sera jamais en sûreté. Ceux qui ne chercheront pas à nourrir leur âme avec la Parole de Dieu, connaîtront tôt ou tard la terreur, qu'ils le veuillent ou non.

      9 Élie réclama le feu céleste pour consumer les pécheurs hautains et insolents ; le prophète ne cherchait pas ainsi à se « rassurer », en vérifiant que sa mission était bien dirigée par l'Éternel, mais il voulait indiquer à quel point la colère céleste se dressait contre l'impiété et le manque de droiture des hommes. Élie exécuta cet acte sous l'impulsion divine, malgré le fait que notre Sauveur ne permit pas aux disciples de refaire la même chose, Luc 9:54.

      La dispensation de l'Esprit et de la Grâce ne toléra absolument pas ce type d'extermination. Élie commit cet acte pour la Gloire de Dieu, pour Sa renommée. Le Seigneur juge les actes des hommes selon leurs propres règles, et Son jugement est toujours conforme à la Vérité.

      Le troisième capitaine s'est humilié, et se plaça directement sous le couvert de la Grâce divine et de la pitié d'Élie. Rien ne peut être obtenu en luttant contre Dieu ; ceux qui apprennent à savoir se soumettre dans les cas difficiles, sans chercher à s'entêter vainement, font preuve de sagesse. Une foi audacieuse a souvent frappé de terreur le cœur du pécheur hautain.

      Achazia fut tellement abasourdi par les paroles du prophète, qu'il ne chercha nullement à user de violence, vis-à-vis de ce dernier.

      Qui peut porter atteinte à ceux que Dieu protège ? Les personnes qui pensent pouvoir prospérer dans le péché, sont de véritables « Achazia » ; elles ne s'attendent pas à être reprises tôt ou tard par le ciel. Tous ces actes vains nous avertissent qu'il faut rechercher le Seigneur tant qu'il est possible de Le trouver !

      Psaumes 56

      Jérémie 23

      Habacuc 1

      Matthieu 15

      Matthieu 22

      Romains 8

      1

      La liberté des croyants vis-à-vis de la condamnation. (Romains 8:1-9)
      Leurs privilèges en tant qu’enfants de Dieu. (Romains 8:10-17)
      Leurs perspectives, pleines d'espoir, malgré les tribulations. (Romains 8:18-25)
      L’assistance de l'Esprit, dans la prière. (Romains 8:26,27)
      Leur intérêt à bénéficier de l'Amour de Dieu. (Romains 8:28-31)
      Leur triomphe final, à travers Christ. (Romains 8:32-39)

      Les croyants peuvent être éventuellement châtiés par le Seigneur, mais ils ne seront jamais condamnés comme le monde. Par leur union avec Christ, par la foi, ils sont ainsi « sécurisés ».

      Quel est le principe de leur marche ? La chair ou l'Esprit, l'ancienne ou la nouvelle nature, la corruption ou la Grâce ? De tous ces éléments, lequel est celui qui nous gouverne ? Celui qui n'est pas renouvelé dans le Seigneur est incapable de garder pleinement tous Ses commandements. D’autre part, la loi, en plus des devoirs extérieurs, exige l'obéissance intérieure. Dieu a montré Son aversion du péché, par la souffrance de son Fils dans la chair, pour que le croyant puisse être pardonné et justifié. Ainsi, la Justice divine a été satisfaite et le chemin du salut a été ouvert pour le pécheur.

      Par l'Esprit, la loi de l’Amour est écrite dans le cœur, et bien que la justice de la loi ne soit pas accomplie PAR nous, elle est cependant, béni soit Dieu, accomplie EN nous ! De ce fait, on trouve en tout véritable croyant, de quoi répondre à l'intention de la loi.

      La faveur de Dieu, le bien-être de l'âme et tout ce qui touche à l'éternité, sont des éléments qui concernent l'Esprit, ceux auxquels Il porte attention. Quel est le chemin qu'empruntent nos pensées avec le plus de plaisir ? Sur quelle voie avancent nos plans et nos projets ? Sommes-nous plus sages pour le monde, ou pour nos âmes ? Ceux qui ne vivent que pour les attraits de cette terre sont morts, \\# 1Ti 5:6\\. Une âme sanctifiée est vivante, elle est en paix. L'esprit charnel n'est pas seulement ennemi de Dieu, mais il est pour Lui-même, une véritable inimitié. L'homme charnel peut, quand il est touché par la Grâce divine, s’approcher de Dieu, mais l'esprit charnel ne le peut jamais ; ce dernier doit être brisé et chassé.

      Nous pouvons connaître notre véritable état spirituel en nous interrogeant pour constater si nous avons l'Esprit de Dieu et celui de Christ en nous, \\#9\\: « or vous n'êtes pas dans la chair, mais dans l'Esprit ». Avoir l'Esprit de Christ, une tournure d'esprit semblable au Sien : ceci doit être démontré par une règle de vie et des paroles qui conviennent à Ses préceptes et Son exemple !

      10 Si l'Esprit est en nous, Christ est en nous ! Il demeure dans le cœur, par la foi. La Grâce, qui est en notre âme, lui fait revêtir une nouvelle nature ; Dieu sait que notre âme est vivante, Il a placé éternellement en elle Sa sainte félicité ! La Perfection de Christ met l'âme en sécurité, Elle lui offre la meilleure part, lui évitant la mort spirituelle.

      Forts de tout cela, nous voyons combien il nous faut marcher, non selon la chair, mais selon l'Esprit. Si une personne vit en permanence selon ses vaines convoitises, elle finira inéluctablement par périr dans ses péchés, quelles que soient ses voies. Que représente réellement une vie ici-bas, même si elle peut prétendre, pour un temps, jouir d’une noble estime ou d’une vocation exemplaire ?

      Efforçons-nous plutôt, par l'Esprit, de « mortifier » de plus en plus nos œuvres de la chair. La régénération spirituelle du Saint-Esprit apporte une vie nouvelle et divine à l'âme, même si elle se trouve dans un état de faiblesse.

      Les enfants de Dieu cherchent en permanence l’action de l'Esprit en eux ; ils ne sont pas assujettis à un esclavage spirituel, comme auraient pu l’être les âmes sous « l’ancienne alliance » de l'Ancien Testament, dans les ténèbres de cette dispensation. L'Esprit d'adoption n'était pas alors complètement répandu. L’apôtre mentionne cet esprit d'esclavage, sous lequel se trouvaient beaucoup de saints, lors de leur conversion.

      Beaucoup s’auto persuadent d’avoir la paix en eux-mêmes, alors que Dieu annonce le contraire dans Sa Parole. Ceux qui sont sanctifiés, ont l'Esprit de Dieu qui leur rend témoignage, dans Sa paix et par Sa paix, Il « parle » à leur âme.

      Bien que nous puissions parfois être découragés dans notre parcours avec Christ, nous devons garder en mémoire qu’avec Lui, nous sommes plus que vainqueurs !

      18 Les souffrances spirituelles que peuvent ressentir les enfants de Dieu, ne les frappent pas plus sévèrement que celles de ce monde, elles ne sont qu’éphémères et supportables.

      Quelle différence avec les sentences de la Parole de Dieu, à l’encontre du monde, avec tout la souffrance du temps présent !

      En effet la création entière semble attendre avec beaucoup d'attention la période où les enfants de Dieu seront manifestés dans la gloire qui est préparée à leur intention. Lors de la chute de l'homme, une impudicité, une difformité et une infirmité sont tombées sur lui. On ne peut que constater les fréquentes inimitiés entre les hommes. Elles ne sont que le résultat du péché.

      Malgré ce constat déplorable, la création est dans l'espérance ! Dieu la délivrera de l'esclavage de sa dépravation. Les misères de la race humaine, issues de sa propre méchanceté, démontre que le monde n'est pas fait pour continuer ainsi éternellement.

      Nous avons reçu les prémices de l'Esprit, ce qui vivifie nos désirs, encourage notre espérance et accroit nos attentes spirituelles. Le péché a été, et est toujours, la cause coupable de toute la souffrance qui existe dans la création divine. Il a apporté les malheurs de la terre ; il a « allumé » les flammes de l'enfer. Pour l'homme, aucune larme n'a été répandue, aucun gémissement n'a été perçu, aucune angoisse n'a été ressentie dans le corps ou dans l'esprit, qui ne soit pas venu du péché. Et ce n'est pas tout : le péché affecte la gloire de Dieu. Tous les évènements funestes ici-bas sont à la charge de l'espèce humaine !

      Les croyants, en ce qui les concerne, sont spirituellement en sécurité ; le réconfort qu’ils éprouvent réside dans leur espérance, plutôt que dans les plaisirs de ce monde. Rien ne peut les détourner de cette espérance, même les satisfactions temporaires ici-bas.

      Nous avons besoin de patience, notre chemin est long et difficile ; mais Celui qui doit venir, viendra, même s'Il semble tarder !

      26 Bien que les « infirmités spirituelles » des chrétiens soient nombreuses et importantes, paraissant insurmontables, le Saint-Esprit soutient cependant ces derniers. L'Esprit, est Celui qui nous éclaire, nous enseigne comment et pour qui prier ; Il nous sanctifie et nous aide dans nos actions de grâce ; Il nous réconforte, Il étouffe nos craintes, et nous aide lors de nos découragements.

      Le Saint-Esprit est à l’origine de tous nos désirs de nous approcher de Dieu, plus que nos simples paroles ne pourraient l’exprimer. L'Esprit recherche le cœur, peut percevoir la pensée et la volonté, Il renouvelle spirituellement l’âme, Il est notre avocat. Il intercède auprès du Père, si bien que l’ennemi ne peut pas prédominer !

      28 De nombreux bienfaits encouragent les âmes des saints. Toute la providence divine tend au bien spirituel de ceux qui aiment Dieu ; en les séparant du péché, elle les amène plus près du Père, les « sevrant » du monde, et les rendant aptes à se rendre au ciel. Quand les saints agissent hors de ce principe, des « corrections célestes » sont alors employées pour les y ramener.

      Nous trouvons dans ce texte ce qui a motivé la recherche de notre salut ; c’est un séquentiel immuable : 1. « Ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils ». Tous ceux que Dieu a désignés pour Sa Gloire et la félicité éternelle, Il les a destinés à croître dans la Grâce et la sainteté. L'humanité entière, par son péché, mérite la mort ; mais pour des raisons qui nous échappent, Dieu a résolu de sauver les âmes par la régénération et le pouvoir de Sa Grâce. Il a prédestiné, ou décrété par avance, qu'elles doivent être conformes à l'image de Son Fils. Elles sont en partie renouvelées spirituellement ici-bas, marchant dans Ses pas. 2. « Ceux qu'Il a prédestinés, Il les a aussi appelés ». C'est un appel pertinent, destiné à conduire chaque âme à Dieu, par l’intermédiaire de Christ, le ciel étant l’issue finale ; ce cheminement débute par le péché et la vanité, pour se terminer dans la connaissance de la Grâce et de la sainteté. Tel est l'appel de l'Évangile. L'amour de Dieu, régnant dans le cœur de ceux qui jadis étaient Ses ennemis, prouve qu'ils ont été appelés selon Son dessein. 3. « Ceux qu'Il a appelés, Il les a aussi justifiés ». Personne ne peut être justifié s'il n'a été effectivement appelé. Ceux qui résistent à l'appel de l'Évangile sont coupables et demeurent soumis aux sentences de la colère divine. 4. « Ceux qu'Il a justifiés, Il les a aussi glorifiés ». Le pouvoir de corruption du péché étant brisé par la justification divine et la culpabilité de l’homme, effacée, rien ne peut désormais s'interposer entre son âme et la Gloire céleste. C'est un encouragement pour notre foi et notre espérance ; les voies et l’œuvre de Dieu sont parfaites !

      L'apôtre Paul montre son émerveillement, étant confondu d'admiration, devant la hauteur, la profondeur, la longueur et la largeur, de l'Amour de Christ, éléments qui surpassent toute connaissance. Plus nous découvrons les caractéristiques de Son amour, plus nous sommes étonnés ; plus nous sommes conduits dans les mystères de l'Évangile, plus nous en sommes émerveillés.

      Tant que Dieu est « pour nous » et nous garde dans Son amour, nous pouvons, dans une sainte hardiesse, défier tous les pouvoirs des ténèbres !

      32 Toutes choses, quelles qu'elles soient, dans le ciel, comme ici-bas, ne peuvent exposer la grandeur de l'Amour gratuit de Dieu, manifesté par le don de Son Fils, Celui qui a expié le péché de l'homme sur la croix ; en fait, tout dépend de notre relation spirituelle avec Lui, et de l'intérêt que nous Lui portons.« Toutes choses », concourent au bien réel du chrétien fidèle. Christ, Celui qui nous a préparé une couronne et un royaume, nous donnera ce dont nous avons besoin, dans le chemin qui y conduit.

      Les hommes se justifient vainement de toutes les accusations du ciel, relatives à leurs péchés ; mais si c'est Dieu qui justifie, cela répond à tout. Par Christ, nous sommes « en sécurité ». Par le mérite de Sa mort il a payé notre dette. Il est ensuite ressuscité. Ceci satisfait, de manière claire et évidente la Justice divine ! Nous avons un tel Ami qui est assis à la droite de Dieu ! Tout pouvoir Lui est donné et Il intercède pour nous.

      Croyant, que ton âme puisse s’exprimer ainsi : « Christ est mon Sauveur, et je Lui appartiens ! Je dois Lui plaire et vivre pour lui » ! Quand vous êtes convaincus de votre impiété, il ne faut pas vous torturer l’esprit et vous embarrasser de vaines pensées, ni de doutes infructueux, sans fin : croyez en Celui qui justifie l'impie ! Vous êtes condamnés, mais cependant, Christ est mort et ressuscité pour votre délivrance. Allez vers Lui tel que vous êtes. Dieu, ayant manifesté Son Amour, en donnant Son propre Fils pour nous, pouvons-nous penser que quelque chose puisse nous détourner ou nous éloigner de ce Dernier ? Ni trouble, ni cause quelconque ne peuvent démontrer une faiblesse de cet Amour. Quelles que soient les épreuves des croyants, ceux-ci ne peuvent être séparés de cet Amour. Personne ne peut éloigner Christ du croyant : c’est impossible ! Toutes les épreuves que ce dernier pourrait subir sont incapables de le séparer de cet Amour !

      Hélas, pauvres pécheurs, même si vous vivez dans les richesses en ce monde, combien sont-elles vaines ! Pouvez-vous leur dire : « qui pourra nous séparer » ? Vous pouvez perdre à tout instant vos somptueuses demeures, vos amis et vos propriétés. Un jour vous devrez partir, car vous devez mourir. Il faudra alors dire adieu à tout ce monde ici-bas, avec ce qu'il compte de plus précieux. Que laisseras-tu, pauvre âme qui ne possède pas Christ ? Tu renoncerais avec plaisir à la culpabilité de tes péchés, mais tu en es incapable ! Par contre, l'âme qui est en Christ, à la veille de la mort, alors qu’il faut tout quitter, s'attache à son Sauveur : la séparation d’avec les biens terrestres ne l’affecte guère !

      Oui, quand la mort survient, elle brise tous les liens ici-bas, ceux de l'âme et du corps ; elle transporte l'âme du croyant dans l'union la plus étroite avec son bien-aimé Seigneur Jésus, dans la plénitude de la joie en Lui, pour toujours !

      1 Corinthiens 15

      1

      L'apôtre prouve que Christ est ressuscité des morts. (1 Corinthiens 15:1-11)
      Les versets précédents répondent à ceux qui nient la résurrection du corps. (1 Corinthiens 15:12-19)
      La résurrection des croyants, pour la vie éternelle. (1 Corinthiens 15:20-34)
      L’apôtre répond à certaines objections. (1 Corinthiens 15:35-50)
      Le mystère du changement qui sera opéré sur ceux qui seront vivants, lors de la seconde venue de Christ. (1 Corinthiens 15:51-54)
      Le triomphe du croyant sur la mort et la tombe. Exhortation à l'assiduité. (1 Corinthiens 15:55-58)

      Le terme « résurrection » indique usuellement un retour à la vie, après un séjour dans la tombe. Dans tout l'enseignement des philosophes, on ne trouve aucune trace de la doctrine de l'apôtre.

      La doctrine de la mort de Christ et de Sa résurrection est le fondement du Christianisme. Si on l’ôte, toute notre espérance pour l'éternité s'effondre immédiatement. C'est en gardant fermement cette vérité que les chrétiens restent debout, au jour de l'épreuve, et qu’ils demeurent fidèles à Dieu.

      Nous croyons en vain, si nous ne demeurons pas dans la foi de l'Évangile. Cette vérité est confirmée par les prophéties de l'Ancien Testament ; beaucoup de personnes virent Christ après qu'Il soit ressuscité. L’apôtre Paul a été vraiment béni spirituellement, mais il avait toujours une piètre opinion de lui-même, comme il l'exprimait parfois.

      Quand les pécheurs, par la Grâce divine, sont sanctifiés, Dieu fait en sorte que le souvenir de leurs péchés les humilie, tout en les motivant dans leur devoir et leur fidélité.

      Paul impute à la Grâce divine les qualités dont il pouvait disposer. Les véritables croyants, bien que n’ignorant pas ce que le Seigneur a fait pour eux, en eux, et par eux, sont amenés à manifester une totale humilité devant les autres, quand ils considèrent toute leur conduite et leurs obligations.

      Tous les chrétiens authentiques croient que Jésus-Christ, Celui qui a été crucifié et ressuscité, est « l'ensemble » et la « substance » du christianisme. Tous les apôtres ont témoigné ainsi ; cette foi les faisait vivre, et c'est dans cette croyance absolue qu'ils sont morts.

      12 Ayant montré que Christ est ressuscité, l'apôtre répond maintenant à ceux qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de résurrection.

      Il n'y aurait pas eu de justification, ni de salut, si Christ n'était pas ressuscité. La foi en Christ ne serait-elle pas vaine et sans utilité, s'Il était encore parmi les morts ? La résurrection de notre Seigneur se prouve par celle de Son corps. Même ceux qui sont morts dans la foi, auraient péri dans leurs péchés, si Christ n'était pas ressuscité. Tous ceux qui croient en Christ placent leur espérance en Lui, Le Rédempteur, espérance basée sur Sa rédemption et le salut qu’Il offre ; s'il n'y avait pas eu de résurrection, ni de certitude de la vie éternelle, leur confiance en Lui n’aurait été limitée que pour la vie ici-bas. Un tel état d’âme devrait être la pire des conditions en ce monde, pire que les fléaux de l'humanité, en particulier au temps des apôtres, avec tout le contexte philosophique qui les entourait : les chrétiens étaient alors détestés et persécutés.

      Mais tel n’est pas le cas : les chrétiens, ici-bas, reçoivent un solide réconfort spirituel, même lors de leurs difficultés et de leurs épreuves, même au temps de la persécution la plus virulente...

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

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