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17
Je vous engage instamment, chers frères, à prendre garde à ceux qui sèment la division et égarent les autres en s’opposant à l’enseignement que vous avez reçu. Eloignez-vous d’eux,
2
Je vous félicite de vous souvenir de moi en toute occasion et de maintenir fidèlement les traditions que je vous ai transmises.
58
C’est pourquoi, mes chers frères, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est jamais inutile.
13
Soyez vigilants, demeurez fermes dans la foi, faites preuve de courage, soyez forts.
1
Ainsi donc, mes frères bien-aimés, vous que je désire tant revoir, vous qui êtes ma joie et ma récompense, c’est de cette manière, mes chers amis, que vous devez tenir ferme, en restant attachés au Seigneur.
2
ne vous laissez pas si facilement ébranler dans votre bon sens, ni troubler par une révélation, un message ou une lettre qu’on nous attribuerait, et qui prétendrait que le jour du Seigneur serait déjà là.
6
Nous vous recommandons, frères, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, de vous tenir à l’écart de tout frère qui mène une vie déréglée et contraire à l’enseignement que nous lui avons transmis.
14
Si quelqu’un ne se conforme pas aux instructions de cette lettre, signalez-le à tous et rompez toute relation avec lui, pour qu’il en éprouve de la honte.
3
Mes chers amis, j’avais le vif désir de vous écrire au sujet du salut qui nous est commun. J’ai vu la nécessité de le faire maintenant afin de vous recommander de lutter pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes à ceux qui appartiennent à Dieu.
Soit par ce mot, soit par le verbe qui en dérive, (1Corinthiens 11.23) l'apôtre entend les enseignements ou les vérités qu'il a transmises aux Eglises par la prédication de l'Evangile. (Voir la note suivante.)
Par notre parole, quand il était à Thessalonique ; par notre lettre, c'est-à-dire par la première épître. Cette simple remarque de l'apôtre peut servir à réfuter deux erreurs opposées : l'une qui consiste à ne pas attribuer la même autorité à la parole des apôtres qu'à leurs écrits ; l'autre qui prétend, aujourd'hui encore, devoir compléter les écrits apostoliques par des traditions orales qui n'existent plus nulle part. La première de ces erreurs vient d'une idée fausse de l'inspiration, la seconde est un moyen habile de substituer l'autorité d'une Eglise à celle de la Parole de Dieu.