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Actes 20.21

annonçant aux Juifs et aux Grecs la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus Christ.
annonçant aux Juifs et aux Grecs la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus Christ.
Prêchant et aux Juifs et aux Grecs, la repentance envers Dieu, et la foi en Jésus-Christ notre Seigneur.
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      Ezéchiel 18

      30 L’Éternel jugera chacun des Israélites selon leur conduite. Ces versets étaient pour ce peuple une exhortation à se repentir, de façon à obtenir un nouveau cœur et un esprit nouveau.

      Dieu n’ordonne pas ce qui ne peut pas être fait ; Il nous reproche cependant de ne pas faire ce qui est nous est possible d’accomplir, et nous demande de prier pour ce que qui n’est pas encore accompli. Des directives divines et les moyens de les accomplir sont ici décrits ; les directions spirituelles à prendre et les promesses sont données, afin que ceux qui désirent opérer ce changement puissent le rechercher directement près de Dieu !

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 21

      Marc 1

      Marc 6

      Luc 13

      Luc 15

      Luc 24

      Jean 3

      18 Qu’il est grand ce péché d’incrédulité ! Celui qui a été envoyé par Dieu pour nous sauver, Christ, Lui était le plus cher ; qu’en est-il pour nous ?

      Qu’elle est grande la misère des non-croyants ! Ils sont déjà condamnés, de manière certaine. Le courroux de Dieu est dès lors sur eux, leur propre cœur les condamne. Il y a aussi une condamnation fondée sur leur culpabilité antérieure ; ils sont exposés aux rigueurs de la loi, à cause de leurs péchés, parce qu'ils n’ont pas accepté le pardon de l'Évangile.

      L'incrédulité est un péché : elle jaillit de l'inimitié du cœur de l'homme, envers Dieu, elle découle en quelque sorte, de l'amour du péché. Nous pouvons constater le sort malheureux réservé à ceux qui ne veulent pas connaître Christ. Les œuvres coupables proviennent des ténèbres. Le monde de la méchanceté se tient aussi loin qu'il peut de la Lumière céleste, de peur que ses actes soient réprouvés.

      Christ est haï à cause de l’amour du péché. Si les pécheurs n'avaient pas tant repoussé la possibilité de salut en Christ, ils ne se complairaient pas ainsi dans cette ignorance volontaire qui en fait, les condamne.

      Des leur côté, les cœurs renouvelés accueillent cette Lumière, (Christ). Un homme de bien agit toujours avec vérité et sincérité. Il désire connaître la volonté de Dieu et « dialoguer » avec ce Dernier, même si cela va à l’encontre de son propre intérêt dans le monde. Un réel changement est opéré dans la conduite et le caractère d’un tel homme. L'Amour de Dieu est répandu dans son cœur, par le Saint-Esprit ; cet Amour est devenu le principe directeur de ses actes.

      Aussi longtemps qu'une personne demeure sous le poids d'une culpabilité non pardonnée, elle ne peut avoir qu'une crainte servile de Dieu ; mais quand ses doutes sont balayés, quand elle voit le juste fondement sur lequel ce pardon est construit, elle s’appuie dessus et l’adopte : elle est alors unie à Dieu, d’un amour sincère !

      Nos œuvres sont bonnes quand la volonté de Dieu en est le fil directeur et que Sa Gloire en est le but, quand elles sont accomplies par Sa force et pour son Nom, pour Lui et non pour les hommes.

      La régénération, ou la « nouvelle naissance », est un sujet auquel le monde est très opposé ; elle est, cependant, la plus grande des actions célestes, en comparaison avec les futilités de ce monde.

      À quoi cela servirait-il, d'avoir de la nourriture en abondance et une grande variété de vêtements, sans être né de nouveau ? Quelle tristesse serait la nôtre, si après quelque temps passé dans une gaieté insensée, le plaisir charnel ou des querelles, nous finissions par mourir dans nos péchés dans le malheur éternel ? À quoi bon, d’avoir réussi dans la vie, en divers domaines, si à la fin nous entendons le Juge Suprême nous annoncer : « Retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité » Luc 13:27* ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 20

      Actes 2

      Actes 3

      19 Dans ce texte, l’absolue nécessité de se repentir est citée solennellement à tous ceux qui désirent que leurs péchés soient effacés, afin qu'ils puissent bénéficier du « rafraîchissement spirituel » que rien d’autre que l'Amour du Rédempteur, ne peut offrir. Bénis soient ceux qui sont conscients de cette vérité !

      Il n'était pas nécessaire pour le Saint-Esprit de faire connaître les temps des promesses des dispensations futures. Ces sujets restent encore obscurs... Mais lorsque les pécheurs sont convaincus de leur culpabilité, ils s’adressent au Seigneur pour obtenir Son pardon ; l’âme perdue qui se convertit et qui croit à la rédemption offerte par Christ, reçoit, par Sa présence spirituelle, un rafraîchissement de Sa part. Au temps de l'épreuve, le Rédempteur peut demeurer « invisible spirituellement » : nous devons alors vivre par la foi, en Lui !

      Actes 8

      Actes 10

      Actes 11

      Actes 13

      38 Que tous ceux qui entendent l'Évangile de Christ soient bien conscients des deux points suivants : - Au travers de cet « Homme », qui est mort et ressuscité, vous est prêché le pardon des péchés. Ces derniers, bien que graves et nombreux, peuvent être pardonnés, sans que Dieu en reste offensé : Il les oubliera complètement, ce qui L'honore. - C'est par Christ, qu’uniquement ceux qui croient en lui, sont justifiés de toutes leurs fautes ; ils sont lavés de toute la culpabilité et de toute souillure du péché, ce qui ne pouvait être opéré par la loi de Moïse.

      La grande inquiétude des pécheurs convaincus de leur état, est de trouver la justification, d'être acquittés de toute leur culpabilité, et considérés comme « vertueux » aux yeux de Dieu : si la moindre charge subsiste sur l’homme inique, tout est fini pour lui. Par Jésus-Christ nous obtenons une justification complète ! Il a totalement expié notre péché. Il nous a justifiés, non seulement en tant que Juge, mais en tant que Seigneur de Justice. Ce que la loi n’a pu faire pour nous, et qui révèle son insuffisance, l'évangile de Christ l’a accompli !

      De cette bénédiction, qui est un passage nécessaire pour accéder au salut, découlent toutes les autres. Les menaces annoncées dans la Parole sont en fait des avertissements : elles frapperont les pécheurs impénitents pour engendrer de la crainte en leur cœur. Beaucoup, en méprisant la piété, courent à la ruine. Ceux qui ne veulent pas se laisser interpeler par l’évangile et bénéficier ainsi du salut, finiront par périr...

      Actes 16

      Actes 17

      Actes 18

      Actes 19

      Actes 20

      Actes 24

      Actes 26

      Actes 28

      23 Paul voulait persuader les Juifs de la véracité de tout ce qui concernait Jésus. Certains étaient « travaillés » par la Parole, alors que d'autres restaient endurcis dans leur refus de croire ; certains admiraient cette Lumière spirituelle, alors que d'autres fermaient leurs yeux. Le même genre de réaction a toujours existé lorsque l'Évangile a été prêché...

      Paul se sépara alors de ces Juifs, observant que le Saint-Esprit avait bien décrit leur incrédulité. Tous ceux qui entendent l'Évangile sans y porter une sérieuse attention, devraient trembler devant la ruine spirituelle qui les guette ; en effet, qui pourra les « guérir du péché », si Dieu n’intervient ?

      Ces Juifs eurent ensuite beaucoup de discussions entre eux. De nombreuses personnes font de grands raisonnements, tout en restant néanmoins dans l’erreur. Elles sont parfois en désaccord avec leur entourage, mais ne veulent pas cependant céder à l’évidence de la Vérité. En fait, elles ne peuvent être convaincues par le message de l’Évangile qu’elles entendent, sans que la Grâce de Dieu n’ouvre leur esprit.

      Si nous pouvons éprouver de la tristesse devant l’attitude de tels contempteurs, nous devons néanmoins nous réjouir que le salut de Dieu soit envoyé à d'autres, qui eux, le recevront ! Si nous faisons partie de cette dernière catégorie, nous devons être reconnaissants envers Celui qui nous a apporté ce salut.

      L'apôtre est resté fidèle à son principe faire connaître et ne prêcher rien d'autre que Christ, Christ crucifié. Les chrétiens qui sont tentés de s'écarter de leur « devoir », doivent reconsidérer leur situation en se posant ces questions : ma nouvelle orientation concerne-t-elle le Seigneur Jésus ? Que va-t-elle réellement m’apporter, quels en seront les impacts dans ma marche spirituelle avec Lui ?

      Paul n'a pas vanté ses propres mérites, mais il a prêché Christ, sans éprouver aucune honte pour l'Évangile. Bien que l’opportunité de son témoignage ait été relativement courte, il put prêcher sans être dérangé. Même si cette « ouverture spirituelle », (son témoignage), fut éphémère, personne ne put la fermer ; pour beaucoup ce fut une prédication efficace, puisqu'il est dit qu'il y avait des saints, même dans la maison de César, Philippiens 4:22.

      Nous apprenons aussi dans Philippiens 1:13, comment la Providence divine dirigea, par l’emprisonnement de Paul, la diffusion de l'Évangile. Non seulement les Romains, mais toute l'église de Christ encore aujourd’hui, même dans les endroits les plus reculés du globe, ont une véritable raison de bénir le Seigneur, pour le fait que Paul, au plus fort de sa maturité et de son expérience spirituelle, ait été détenu prisonnier et qu’il ait pu ainsi annoncer l’Évangile. C'était de sa prison, de sa main probablement enchaînée à celle du soldat qui le gardait, que l'apôtre écrivit ses épîtres aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, et peut-être aux Hébreux ; ces lettres témoignaient peut-être plus que toutes les autres, de l'amour chrétien dont son cœur débordait, et l'expérience spirituelle qui animait son âme.

      Le croyant du temps présent peut ressentir éventuellement moins de joie céleste que l'apôtre Paul, mais chaque partisan du Sauveur est également sûr de pouvoir jouir jusqu’au terme de sa vie, de la sécurité et de la paix spirituelles. Cherchons à vivre de plus en plus dans l'Amour du Sauveur ; œuvrons de façon à Le glorifier dans tous nos faits et gestes ; nous serons alors avec certitude, par Sa force et dès à présent, parmi le nombre des « vainqueurs » ; par Sa Miséricorde et Sa Grâce, nous serons bientôt dans la compagnie bénie de ceux qui seront assis auprès de Christ sur Son trône ; Il est Lui-même vainqueur et est assis sur le trône de Son Père, à la droite de Dieu, pour l'éternité !

      Romains 1

      16 Dans ces versets, l'apôtre aborde le thème de toute l'épître aux Romains, dans laquelle il montre l’accusation et la culpabilité de toute chair ; il déclare que la seule méthode qui délivre de la condamnation divine est basée sur la foi dans la Miséricorde de Dieu, à travers Jésus-Christ ; Paul érige sur cette foi, la pureté de cœur, l'obéissance reconnaissante au Seigneur, et un fervent désir de faire croître en tous points la fraternité chrétienne, que rien d'autre qu'une vie « en » Christ ne peut apporter.

      Dieu est un Dieu juste et saint ; nous sommes, quant à nous, des pécheurs coupables. Il est essentiel que nous nous soumettions à cette Justice pour paraître devant Lui : cette dernière est apportée par le Messie et révélée dans l'Évangile ; nous devons accepter cette Justice, tout comme la Grâce, malgré notre culpabilité et nos péchés. Cette Justice est celle de Christ, le Fils, Celui que Dieu nous a donné ; elle a une valeur infinie.

      La foi est la base omniprésente de la vie chrétienne, à la fois lors de la nouvelle naissance comme dans le progrès de la vie spirituelle. Nous ne sommes pas sauvés par les œuvres, mais par la foi ; elle nous donne le moyen d’être justifiés, alors que les œuvres nous permettent de nous affermir spirituellement en elle ; la foi nous pousse à aller de l’avant, c’est elle qui obtient la victoire sur l'incrédulité !

      Romains 2

      Romains 3

      Romains 4

      Romains 5

      1

      Les heureux effets de la justification, par le biais de la foi en la Justice de Christ. (Romains 5:1-5)
      Nous sommes réconciliés par Son sang. (Romains 5:6-11)
      La chute d'Adam a conduit toute l'espèce humaine dans le péché et la mort. (Romains 5:12-14)
      La Grâce de Dieu, à travers la Justice de Christ, est capable d’apporter le salut, plus que le péché d'Adam ne l’était pour apporter la misère, (Romains 5:15-19)
      La Grâce a surabondé. (Romains 5:20,21)

      Un changement béni prend place dans le cœur du pécheur, au moment où il devient un véritable croyant, quel que soit son passé. Étant justifié par la foi il a la paix avec Dieu. Ce Dieu saint, vertueux, ne peut pas être en paix avec un pécheur, qui demeure sous la culpabilité du péché. La Justification par notre Seigneur Jésus-Christ enlève toute notre culpabilité, et ouvre donc la voie de la paix du cœur. Il est le grand Pacificateur, le Médiateur entre Dieu et l'homme.

      Heureux les saints qui se trouvent justifiés par la Grâce ! Le fait de devenir des « Justifiés », nous apprend que nous n’étions pas ainsi, lors de notre naissance. Nous ne pouvons pas être justifiés par nous-mêmes, mais quand nous sommes bénéficiaires du salut, nos offenses sont pardonnées. Cette situation de « rachetés » dénote la persévérance : nous tenons fermes, en sécurité, étant soutenus par la Puissance divine, ayant un fondement spirituel solide, résistant au pouvoir de l'ennemi de notre âme.

      Et ceux qui espèrent en la Gloire de Dieu, ont suffisamment de quoi se réjouir, dés maintenant ! La tribulation forge la patience, par la Grâce de Dieu toute puissante et agissante. Ceux qui souffrent avec patience reçoivent des consolations divines, qui surabondent lorsque les détresses abondent.

      Les épreuves sont pour nous une expérience nécessaire. Notre espérance ne sera jamais déçue, car elle est « scellée » par le Saint-Esprit, par l’Amour divin. La Grâce et l'Esprit béni répandent l'Amour de Dieu dans le cœur de tous les saints. Une perception correcte de cet Amour ne nous fera jamais éprouver de honte, quant à notre espérance, ou notre éventuelle souffrance, à cause de Son Nom !

      Romains 10

      1 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 7

      Galates 2

      20 L'apôtre décrit dans ce texte la vie spirituelle (ou cachée) d'un croyant. Le « vieil homme » est crucifié, Romains 6:6, alors que le « nouvel homme » est vivant ; le péché est mortifié et la Grâce est vivifiée.

      Paul dispose du réconfort et de la puissance victorieuse de la Grâce ; cette Grâce n'émane pas de sa personne, mais d’une autre source : Christ !

      Les croyants sont pleinement conscients de vivre dans un état de dépendance envers Christ. Ceci provient de ce que, bien qu’ils soient charnels, ils ne vivent pas cependant DE la chair. Ceux qui possèdent une véritable foi, vivent selon celle-ci, celle qui est attachée à Christ, Celui qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous. Il m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi. C'est un peu comme si l'apôtre s’exprimait ainsi : « Le Seigneur m'a vu m'éloigner de Lui de plus en plus. J’étais animé d’une telle méchanceté et d’une telle ignorance spirituelle, que j’étais convaincu qu'il était impossible que je puisse être sauvé, même par une rançon d’une très grande valeur ».

      Considérons bien le prix d’un tel salut ! Remarquons au passage la piètre foi de beaucoup de personnes ; on peut en voir, par leur témoignage, les tristes conséquences : elles ont la forme de la piété sans en avoir la puissance... Elles estiment être dans la Vérité, spirituellement, alors qu’elles sont en fait complètement dans l’erreur.

      Pour croire en Christ, il n'est pas suffisant de penser qu'Il a été crucifié, mais je dois croire également que je le suis AVEC Lui. C'est cela « connaître Christ crucifié ». De là, nous apprenons ce qu'est la nature de la Grâce. La Grâce de Dieu, ne peut dépendre du mérite de l'homme. Elle n’existe plus, en tant que telle, si Elle n'est pas donnée librement, dans tous les cas.

      Plus le croyant compte en toute simplicité sur Christ, pour chaque détail de sa vie, plus il marche en Sa compagnie avec dévotion, dans toutes Ses ordonnances et selon Ses commandements. Christ vit et règne alors en son âme : le racheté vit ici-bas, par la foi dans le Fils de Dieu, Celui qui agit par amour, crée l'obéissance et opère les changements en son âme, selon sa sainte image. Ainsi, la Grâce de Dieu prend toute sa valeur, elle n'est pas rendue vaine !

      Galates 3

      Ephésiens 1

      15 Dieu nous a accordé de nombreuses bénédictions spirituelles en Son Fils, le Seigneur Jésus ; mais Il exige que nous les Lui demandions par la prière. Même les chrétiens les plus fervents ont besoin de prier dans ce sens : nous devons nous soucier du bien-être de nos frères dans le Seigneur et prier pour eux.

      Même les véritables croyants ont grandement besoin de la Sagesse céleste. Même le chrétien le plus fervent hésite parfois à se placer sous le joug du Seigneur, alors qu'il n'y aurait pas d'autre solution pour son âme, pour trouver le repos. Pour un modeste plaisir, ne renonçons-nous pas souvent à la Paix que Jésus nous offre ? Si nous nous disputions moins, si nous cherchions à prier davantage avec les autres et pour les autres, nous devrions voir quotidiennement l'espérance de notre vocation spirituelle et la richesse de la gloire Divine de notre héritage céleste !

      Nous devons désirer avec ardeur la puissance de la Grâce de Dieu, afin que « l'œuvre de la foi » puisse croître en notre âme. Il est difficile d'amener une personne à croire totalement en Christ, à tout « miser » sur Lui, et à baser son espérance de vie éternelle sur Sa justice. Nul autre pouvoir que celui du Tout-puissant ne peut initier cette œuvre en nous.

      Il est signifié dans ce texte que Christ est le Sauveur, Celui qui pourvoit aux nécessités de ceux qui placent leur confiance en Lui. Il accorde toutes Ses bénédictions, dans une grande abondance. En étant « participants » de Christ, nous sommes remplis de la plénitude de la Grâce et de Sa Gloire. Comment peut-on chercher la justice hors de Jésus-Christ ?

      Ce texte nous enseigne à venir à Christ. Si nous connaissions le résultat de notre « appel », et toutes les bénédictions que nous pouvons trouver en Lui, nous nous approcherions certainement plus rapidement pour en bénéficier !

      Lorsque nous ressentons notre faiblesse et le pouvoir de nos ennemis, nous percevons davantage la grandeur et la puissance qui résident dans chez le croyant qui est engagé dans la voie da la sanctification. Cette pensée nous contraindra, par amour pour notre Rédempteur, à vivre à Sa Gloire !

      Colossiens 2

      2 Timothée 2

      Philémon 1

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, étant également de bonnes « règles à observer » pour la liberté et la joie spirituelle, ceux qui sont « nés de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pénibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le désintéressement de soi ; les véritables chrétiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois à l’origine d’un conflit intérieur acerbe, et que l’enfant de Dieu régénéré puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec résolution.

      Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attiré que par le monde. Le véritable chrétien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les différents exemples de la conduite du Seigneur Jésus ici-bas, qu'il faut renoncer à ce monde et qu'il faut chercher à le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delà, ne cherchant qu’à accéder au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera à la ruine...

      13 D’après toutes les évidences de ce texte, il est clair qu’il n’y a rien de plus profitable que de croire au Nom du Fils de Dieu.

      Aujourd’hui, sous la Nouvelle Alliance de l'Évangile, les croyants bénéficient de la vie éternelle. Recevons donc avec reconnaissance ce que nous enseigne l'Écriture. Nous devons toujours abonder dans l'œuvre du Seigneur, sachant que cette tâche ne sera jamais vaine !

      Le Seigneur Jésus-Christ nous invite à nous approcher de Lui, en toutes circonstances, avec nos supplications et nos requêtes, malgré le péché qui peut nous obséder. Nos prières doivent toujours être offertes à Dieu, en toute soumission à Sa volonté. Si dans certains cas elles sont rapidement exaucées, dans d'autres, elles sont satisfaites de la meilleure manière, même si cela ne correspond pas tout à fait à ce que nous avons demandé. Nous devons intercéder pour les autres, comme pour nous-même.

      Il y a des péchés qui pratiquent une « guerre spirituelle » à l'âme. Nous ne pouvons pas prier pour que les péchés de l'impénitent et de l'incrédule invétéré leur soient pardonnés, ni que la Miséricorde divine leur soit accordée, s’ils continuent délibérément à suivre leurs mauvaises voies. Mais nous pouvons toutefois prier pour leur repentir, pour qu'ils soient enrichis dans leur foi en Christ et dans toute Sa Miséricorde bénéfique.

      Nous devons intercéder pour les autres, aussi bien que pour nous-même, suppliant le Seigneur de pardonner, de relever et de soulager celui qui a chuté, qui est tenté, voire affligé. Soyons vraiment reconnaissants du fait qu'aucun des péchés, de l’homme qui se repent réellement, ne mène à la mort.

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