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Apocalypse 1.4

De la part de Jean, aux sept Églises de la province d’Asie : Que la grâce et la paix vous soient accordées de la part de Dieu qui est, qui était et qui vient, de la part des sept esprits qui sont devant son trône,

Il ne peut pas y avoir de paix authentique, là où il n'y a pas la Grâce véritable ; et là où la Grâce arrive, la paix ne tarde pas ! Cette bénédiction est inhérente au nom de Dieu, à la Sainte trinité, c'est d’ailleurs un sujet d'adoration !

Dans ce texte, le Père est nommé en premier lieu ; il est décrit comme Celui qui est, et qui était, et qui vient, qui est éternel, qui ne change pas. Le Saint-Esprit est appelé « les sept esprits », le parfait Esprit de Dieu, en qui il y a une diversité de dons et d'opérations.

Le Seigneur Jésus-Christ est de toute éternité, un Témoin de tous les conseils divins. Il est le Premier-né d’entre les morts, qui par Son propre pouvoir, ressuscite Son peuple. Il est le Prince des rois de la terre ; c'est par Lui que leurs délibérations sont dirigées, et c'est à Lui qu'ils doivent rendre des comptes.

Le péché laisse une « tache » de culpabilité et de pollution sur l'âme. Rien ne peut effacer cette tache, si ce n'est le sang de Christ ; et Christ a versé Son propre sang pour satisfaire la justice divine, et acheter le pardon et la pureté pour Son peuple.

Des croyants, Christ a fait des « rois » et des « sacrificateurs », pour Dieu son Père. En tant que tels, ils sont vainqueurs du monde, mortifient le péché, gouvernent leur propre esprit, résistent à Satan, communient avec Dieu dans la prière, et jugeront le monde. Christ a fait d'eux, des sacrificateurs, leur donnant accès à Dieu, Il leur a permis d'offrir des sacrifices spirituels et acceptables ; ces faveurs destinent Ses enfants à Lui attribuer l'autorité et la gloire qui lui sont dues, pour toujours !

Christ jugera le monde. L'attention est attirée sur ce grand jour, où tous verront la sagesse et le bonheur des « amis » de Christ, et la folie et la misère de Ses ennemis.

Puissions-nous penser fréquemment à la seconde venue de Christ ! Il viendra, pour la terreur de ceux qui Le blessent et Le crucifient par leur apostasie : Il viendra, à la surprise de l’ensemble des impies. Il est le Commencement et la Fin ; toutes choses sont de Lui et pour Lui ; Il est le Tout-puissant ; Il est le même, Celui qui est éternel et immuable !

Si nous voulons être comptés parmi Ses saints, dans Sa gloire éternelle, nous devons maintenant nous soumettre volontairement à Lui, Le recevoir, et L'honorer comme un Sauveur, nous qui croyons qu'Il viendra pour être notre Juge.

Ils doivent être nombreux hélas, ceux qui souhaiteraient ne jamais mourir, et ne jamais connaître le jour du jugement !

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      Exode 3

      Psaumes 90

      Psaumes 102

      Esaïe 11

      Esaïe 41

      Esaïe 57

      Michée 5

      Zacharie 3

      Zacharie 4

      Zacharie 6

      Jean 1

      1

      L'apôtre et évangéliste, Jean, semble avoir été le plus jeune des douze. Il était particulièrement estimé par notre Seigneur et bénéficiait vraiment de Sa confiance, d’où cette expression : « il était le disciple que Jésus aimait ».

      Jean était très sincèrement attaché à son Maître. Il exerçait avec beaucoup de zèle son ministère à Jérusalem ; il survécut à la destruction de cette ville, conformément à la prédiction de Christ, en (Jean 21:22).

      La tradition raconte qu'après la mort de la mère de Jésus, Jean résida principalement à Éphèse. Vers la fin du règne de Domitien, il fut banni à l'île de Patmos, où il écrivit l’Apocalypse. À l'accession au pouvoir de Nerva, il fut remis en liberté, et retourna à Éphèse, où l'on pense qu'il écrivit son Évangile et ses Épîtres, aux environs de 97 après J.C ; il mourut aussitôt après.

      Le but de cet Évangile semble être celui d'apporter au monde chrétien de justes notions sur la véritable nature, la fonction, et le caractère du « Professeur Divin », Celui qui vint pour enseigner et racheter l'humanité.

      Dans ce but, Jean fut conduit à choisir pour son récit, les passages de la vie de notre Sauveur qui exposaient le plus clairement Sa puissance et Son autorité divines ; l’apôtre mentionne également les propos de Jésus, dans lesquels Il parle très clairement de Sa propre nature et de la puissance de Sa mort, en tant qu’expiation des péchés du monde.

      En citant, ou en soulignant brièvement les événements rapportés par les autres évangélistes, Jean témoigna ainsi que leurs récits étaient véridiques ; il a seulement repris quelques points doctrinaux déjà mentionnés, ainsi que certaines particularités importantes, omises dans les autres évangiles.

      * La Divinité de Christ. (Jean 1:1-5) Sa nature divine et humaine. (Jean 1:6-14) Le témoignage de Jean-Baptiste concernant Christ. (Jean 1:15-18) Le témoignage public de Jean concernant Christ. (Jean 1:19-28) Autres témoignages de Jean concernant Christ. (Jean 1:29-36) André et un autre disciple suivent Jésus. (Jean 1:37-42) Philippe et Nathanaël sont appelés par Jésus. (Jean 1:43-51)

      Jean 1:1-5 Dans ce texte, le Fils de Dieu est appelé « la Parole ». Nos propos révèlent nos pensées aux autres et il semble évident qu’il en soit ainsi pour le Fils de Dieu, envoyé ici bas pour révéler l'Esprit de Son Père au monde.

      Ce texte de l'évangéliste, relatif à Christ, prouve que ce Dernier est véritablement Dieu ! Jean affirme d’ailleurs Sa coexistence avec le Père, dès le commencement : « la Parole était avec Dieu ». Toutes choses ont été faites par Christ. Sans Lui rien n'aurait pu être fait, depuis le plus élevé des anges, jusqu'au moindre vermisseau. Tout ceci montre combien Il était qualifié pour l'œuvre de notre rédemption et de notre salut !

      La lumière et la vie viennent de Christ, et dépendent de Lui. Cette Parole est éternelle, cette Lumière véritable brille, mais hélas, les ténèbres ne la comprennent pas. Prions sans cesse, pour que nos yeux puissent rester ouverts, afin de contempler cette Lumière, et de pouvoir marcher avec Elle, pour devenir spirituellement sages, par notre à salut, par la foi en Jésus-Christ !

      Actes 19

      Romains 1

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 12

      12 Christ et Son église forment un « corps » ; Lui en est la Tête, elle en constitue les membres. Par le baptême, institution divine, les chrétiens deviennent membres de ce corps : ils témoignent ainsi de leur « nouvelle naissance » ; il s’agit du baptême de la régénération, Tite 3:5.

      Mais c'est uniquement par le renouvellement du Saint-Esprit, que nous devenons membres du corps de Christ. Par la communion avec Christ, lors du repas du Seigneur, nous sommes fortifiés : non par la consommation du vin, mais en « buvant » d’un même Esprit.

      Chaque membre possède ses caractéristiques, sa place, son rôle. Même le moindre des membres fait partie du corps. Il doit y avoir une distinction entre chaque membre. Ceux du corps de Christ possèdent des capacités particulières avec des responsabilités différentes. Nous devons accomplir les devoirs afférents à notre propre place, sans murmurer ni nous quereller avec les autres.

      Tous les membres du corps sont indispensables pour la vie communautaire : aucun d’entre eux n’est inutile. Comme dans le corps humain, les membres de l’assemblée doivent être unis fermement, par les liens les plus solides de l'amour ; tous doivent rechercher le bien de l'ensemble du corps de Christ.

      Tous les chrétiens sont dépendants les uns des autres ; chacun est en droit d'attendre et de recevoir l'aide du reste du corps de Christ. Soyons donc vraiment unis dans la piété commune qui nous anime !

      2 Corinthiens 1

      Hébreux 1

      Hébreux 13

      Jacques 1

      1 Pierre 1

      1

      Nous trouvons dans ces épîtres de Pierre les mêmes grandes doctrines que dans celles de l’apôtre Paul ; elles s’appliquent aux mêmes buts pratiques.

      Ces épîtres sont remarquables par la douceur, la gentillesse, et l'humble amour qui s’en dégagent. Elles résument clairement et succinctement les éléments suivants : des consolations et des directives nécessaires à l'encouragement et la conduite d'un chrétien dans son cheminement vers la patrie céleste, élevant ses pensées et ses désirs vers cette félicité qui l’attend, en le fortifiant contre toute opposition, corruption, tentation et affliction qui le guettent.

      * L'apôtre Pierre bénit Dieu pour ses bienfaits, à travers Christ. (1 Pierre 1:1-9) Le salut par Christ a été prédit dès les premières prophéties. (1 Pierre 1:10-12) Tous sont exhortés à suivre une sainte conduite ; (1 Pierre 1:13-16) Que la Sainteté se retrouve dans leur cheminement, leurs privilèges, et leurs obligations. (1 Pierre 1:17-25)

      1 Pierre 1:1-9 Cette épître de Pierre s’adresse en principe aux croyants, étant généralement de véritables « étrangers » en chaque ville ou pays, disséminés dans toutes les nations.

      Ces chrétiens doivent attribuer leur salut à l'Amour du Père envers Ses « élus », à la Rédemption du Fils, et à la Sanctification du Saint-Esprit ; ils peuvent ainsi rendre gloire à un Dieu trinitaire, en lequel ils ont été baptisés.

      L'espoir, selon l’esprit du monde, se réfère seulement à ce qui est incertain : tous les espoirs ici-bas sont en effet chancelants, bâtis sur le sable ; l'espérance céleste, aux yeux du monde, est une conjecture aveugle et sans fondement. Mais l'espérance des enfants de Dieu est vivante ! Non seulement dans son essence, mais également quant à ses effets. Cette espérance anime et console dans toutes les détresses, permettant de franchir toutes les difficultés.

      La Miséricorde divine est à l’origine de toute espérance céleste, une Miséricorde sans limites. La solide conviction du salut est un principe actif et vivant dans l'âme du croyant.

      La joie qui anime tout chrétien, provient de la connaissance de la félicité céleste qui lui est réservée. Cette joie est incorruptible et ne peut disparaître. Ne pouvant être souillée, elle reste pure et parfaite. Elle ne peut se flétrir, elle demeure constante, malgré tous les aléas possibles.

      Tous les biens ici-bas sont entachés de défauts et perfectibles ; les propriétaires de belles demeures sont en perpétuel souci de se faire dérober ce qu’ils possèdent ; le luxe et le confort sont trop souvent à l’origine de troubles de santé. Les riches propriétés sont souvent entachées par le péché, à la fois pour les obtenir, comme pour les habiter.

      Sommes-nous prêts à nous détourner de ce que nous possédons, étant persuadés qu’il s’agit parfois d’objets sans utilité réelle, qui peuvent, par leur emploi, nous priver de certaines libertés ou de joie... Les possessions du monde sont incertaines et éphémères, semblables aux fleurs des champs. Ce qui est conservé dans le ciel a infiniment plus de valeur.

      Bienheureux ceux dont le cœur est assuré, par le Saint-Esprit, de recevoir un « héritage céleste » ! Dieu n’accorde pas seulement la Grâce à Son peuple, mais Il préserve ce dernier, pour qu’il connaisse Sa gloire.

      Chaque croyant a toujours un sujet pour lequel il peut grandement se réjouir ; il doit témoigner de son appartenance spirituelle par sa conduite. Le Seigneur n'afflige pas par plaisir, mais cependant, Son amour et Sa Sagesse permettent que Ses enfants subissent des épreuves « tranchantes », pour leur bien final.

      La qualité de l'or n'augmente pas par l'épreuve du feu, en fait, elle diminue ; la foi, quant à elle, est affermie par l’épreuve, et les afflictions. L'or finira par disparaître, et ne peut permettre d’acquérir que ce qui est périssable, alors que l'épreuve de la foi permettra de louer, d'honorer, et de glorifier le Seigneur !

      Que ces pensées nous aident à supporter les présentes afflictions ! Portons notre regard vers l'excellence de Christ, et vers Son amour pour nous ; cela vivifiera en notre cœur le « feu spirituel », qui s'élèvera dans un sacrifice d'amour envers Lui ! La gloire de Dieu et notre bonheur spirituel sont tellement unis, que la recherche sincère d’un de ces éléments, nous conduira à l’autre, quand notre âme, par notre nature, ne sera plus assujettie au mal. La certitude d’une telle espérance est perçue par les croyants, comme déjà acquise !

      Apocalypse 1

      1

      Le Livre de l'Apocalypse de Jean est constitué principalement de deux parties.

      1. Il relate « les choses qui sont », c'est-à-dire l'état de l'église au temps présent : il contient les lettres de Jean aux sept églises, son récit de l'apparition du Seigneur Jésus, et les directives de ce Dernier, adressées à l'apôtre, pour qu’il mentionne ce qu'il a reçu, Apocalypse 1:9-20. L’Apocalypse contient également des messages (des lettres) adressés aux sept églises d'Asie. Cela fait indubitablement référence à l'état des églises respectives de cette époque, mais on y trouve aussi d’excellents préceptes, des exhortations, des recommandations, des reproches, des promesses et des menaces, tous nécessaires à l’instruction de l'église chrétienne de toute époque.

      2. Ce livre contient ensuite une prophétie sur « les choses qui seront après », et décrit l'état futur de l'église, à partir du temps où l'apôtre a reçu les visions qu'il a ici enregistrées.

      Le rôle de l’Apocalypse est d’améliorer notre spiritualité : il prévient le pécheur insouciant, il indique le chemin du salut à celui qui le recherche avec ferveur, il revivifie le croyant affaibli, il console l'affligé et le chrétien tenté ; de plus, nous pouvons également affirmer qu’il fortifie le martyr pour la cause de Christ, subissant les cruelles persécutions et les souffrances infligées par Satan et ses partisans.

      * L'origine divine, le concept, et l'importance de ce livre. (Apocalypse 1:1-3) L'apôtre Jean salue les sept églises d'Asie. (Apocalypse 1:4-8) Il déclare quand, où et comment, cette « révélation » lui a été donnée. (Apocalypse 1:9-11) La vision, dans laquelle il a vu apparaître Christ. (Apocalypse 1:12-20)

      Apocalypse 1:1-3 Ce livre est la Révélation de Jésus-Christ ; il en est ainsi pour toute la Bible, car en fait, toute révélation provient de Christ, et se rattache à Lui !

      Le principal objet de l’Apocalypse est de nous faire découvrir les desseins divins, en ce qui concerne l'église, avec les nations qui y sont liées, et ce, jusqu'à la fin du monde. Ces événements décrits, auront lieu inéluctablement ; ils doivent d’ailleurs commencer à se dérouler très prochainement !

      Bien que Christ soit Dieu Lui-même, et qu'Il ait la lumière et la vie en Lui, Il se trouve cependant placé, en tant que Médiateur, entre Dieu et l'homme, recevant ainsi des directives du Père. C'est à Lui que nous devons la connaissance de ce que nous pouvons attendre de Dieu, et de ce qu'Il attend de nous.

      Le sujet de cette révélation concerne « les choses qui doivent arriver bientôt ». Sur tous ceux qui lisent ou entendent les paroles de la prophétie, une bénédiction est prononcée. Ceux qui étudient sérieusement la Bible occupent très bien leur temps ! Il n'est pas suffisant que nous la lisions et que nous en entendions la lecture, mais nous devons « garder » ce qui est écrit : dans nos mémoires, dans nos esprits, nos affections et dans la pratique ; nous serons ainsi bénis dans tout ce que nous entreprenons.

      Les mystères et les difficultés inhérents à ce livre sont associés aux découvertes des attributs divins : toutes ces choses sont nécessaires pour sensibiliser l’esprit du lecteur, dans la crainte du Seigneur, et purifier son âme, bien qu'il ne puisse pas discerner immédiatement l’ensemble de la signification prophétique.

      Aucune autre partie de l'Écriture n'énonce plus complètement l'évangile, et ne prévient aussi bien contre le mal du péché.

      4 Il ne peut pas y avoir de paix authentique, là où il n'y a pas la Grâce véritable ; et là où la Grâce arrive, la paix ne tarde pas ! Cette bénédiction est inhérente au nom de Dieu, à la Sainte trinité, c'est d’ailleurs un sujet d'adoration !

      Dans ce texte, le Père est nommé en premier lieu ; il est décrit comme Celui qui est, et qui était, et qui vient, qui est éternel, qui ne change pas. Le Saint-Esprit est appelé « les sept esprits », le parfait Esprit de Dieu, en qui il y a une diversité de dons et d'opérations.

      Le Seigneur Jésus-Christ est de toute éternité, un Témoin de tous les conseils divins. Il est le Premier-né d’entre les morts, qui par Son propre pouvoir, ressuscite Son peuple. Il est le Prince des rois de la terre ; c'est par Lui que leurs délibérations sont dirigées, et c'est à Lui qu'ils doivent rendre des comptes.

      Le péché laisse une « tache » de culpabilité et de pollution sur l'âme. Rien ne peut effacer cette tache, si ce n'est le sang de Christ ; et Christ a versé Son propre sang pour satisfaire la justice divine, et acheter le pardon et la pureté pour Son peuple.

      Des croyants, Christ a fait des « rois » et des « sacrificateurs », pour Dieu son Père. En tant que tels, ils sont vainqueurs du monde, mortifient le péché, gouvernent leur propre esprit, résistent à Satan, communient avec Dieu dans la prière, et jugeront le monde. Christ a fait d'eux, des sacrificateurs, leur donnant accès à Dieu, Il leur a permis d'offrir des sacrifices spirituels et acceptables ; ces faveurs destinent Ses enfants à Lui attribuer l'autorité et la gloire qui lui sont dues, pour toujours !

      Christ jugera le monde. L'attention est attirée sur ce grand jour, où tous verront la sagesse et le bonheur des « amis » de Christ, et la folie et la misère de Ses ennemis.

      Puissions-nous penser fréquemment à la seconde venue de Christ ! Il viendra, pour la terreur de ceux qui Le blessent et Le crucifient par leur apostasie : Il viendra, à la surprise de l’ensemble des impies. Il est le Commencement et la Fin ; toutes choses sont de Lui et pour Lui ; Il est le Tout-puissant ; Il est le même, Celui qui est éternel et immuable !

      Si nous voulons être comptés parmi Ses saints, dans Sa gloire éternelle, nous devons maintenant nous soumettre volontairement à Lui, Le recevoir, et L'honorer comme un Sauveur, nous qui croyons qu'Il viendra pour être notre Juge.

      Ils doivent être nombreux hélas, ceux qui souhaiteraient ne jamais mourir, et ne jamais connaître le jour du jugement !

      Apocalypse 2

      1

      Lettres aux églises d’Asie, comportant des avertissements et des encouragements : à l'église d'Éphèse ; (Apocalypse 2:1-7)
      à l’église de Smyrne ; (Apocalypse 2:8-11)
      à l’église de Pergame ; (Apocalypse 2:12-17)
      à l’église de Thyatire. (Apocalypse 2:18-29)

      Ces assemblées étaient dans des états si différents, quant à la pureté de la doctrine et la ferveur de la piété, que les paroles qui leur sont adressées par Christ, peuvent tout à fait convenir à toutes les autres églises, ainsi qu’à leurs dirigeants.

      Christ connaît et observe l’état de ces assemblées d’Asie : bien qu’étant au ciel, Il est cependant au milieu de Ses églises, ici-bas, observant leurs défauts et leurs besoins.

      L'église d'Éphèse est complimentée pour son assiduité à son devoir. Christ mémorise chaque heure passée par Ses serviteurs, dans l’exercice de leur tâche : ce travail « pour le Seigneur », ne sera pas vain. Il ne suffit pas d’être assidu dans ce ministère : il faut aussi avoir de la patience, à la fois de « supporter », mais aussi « d’attendre ». Bien que nous devions montrer de la douceur de caractère envers tous les hommes, nous devons cependant afficher un certain zèle à condamner leurs iniquités.

      Le péché que reproche Christ à cette église d’Éphèse, n'est pas d'avoir laissé et abandonné l’objet de son amour, mais d'avoir perdu la ferveur qu'elle avait d'abord manifestée. Tel est le reproche que Christ adresse à Son peuple, le voyant devenir négligent et froid envers Lui. Il est certain que cette mention relative à l'abandon, par les chrétiens, de leur premier amour, est un blâme pour ceux qui éprouvent le même sentiment, en toute insouciance, tentant d'excuser leur indifférence et leur manque de zèle à cet égard ; notre Sauveur culpabilise cette insouciance : ces âmes doivent s'en repentir ; elles doivent éprouver de la peine et de la honte, quant à leur déclin spirituel et coupable et le confesser humblement devant Dieu. Ces chrétiens doivent s'efforcer de retrouver leur zèle initial, leur tendresse et leur sérieux dans leur piété ; ils doivent prier avec ferveur, veiller aussi, avec diligence, de la même manière que lorsqu'ils firent leurs « premiers pas » vers Dieu. Si la présence de la Grâce de Christ et l'Esprit sont offensés, ils doivent s’attendre à être attristés.

      Une mention encourageante est néanmoins adressée à l’église d’Éphèse, au sujet de ses qualités. L'indifférence pour la vérité comme pour l'erreur, pour le bien comme pour le mal, peut être faussement appelée de la charité et de la douceur de caractère : c’est une erreur, et cela déplait à Christ.

      La vie chrétienne est une guerre contre le péché, contre Satan, contre le monde et la chair. Nous ne devons jamais céder à nos ennemis spirituels : nous connaîtrons alors un glorieux triomphe et une récompense dans le ciel. Tous ceux qui persévèrent « trouveront » tout en Christ : l'Arbre de vie, la perfection et la confirmation dans la sainteté et le bonheur, non pas ici-bas, mais dans le paradis céleste ! Ces termes ne sont pas fictifs, mais ils proviennent du récit du jardin d'Éden, dénotant les joies pures, satisfaisantes, et éternelles du ciel : nous pouvons les attendre en ce monde, par la foi, dans la communion avec Christ, avec les consolations du Saint-Esprit !

      Croyants, que votre « séjour » ici-bas, soit une véritable lutte : une vie de quiétude vous attend plus tard ; mais dans l’immédiat, la Parole de Dieu ne nous promet aucune tranquillité ni absence de conflits sur cette terre !

      8 Notre Seigneur Jésus est « le Premier », car c'est par Lui que toutes choses ont été faites ; Il était avant toutes choses, avec Dieu, et Il est Dieu lui-même. Il est aussi « le Dernier », car Il sera le Juge de tous. En tant que Premier et Dernier, Celui qui était mort et qui maintenant est vivant, est le Frère et l'Ami du croyant ; Il est riche dans la pauvreté la plus profonde, honorable dans l'humiliation la plus basse, et heureux sous la tribulation la plus lourde, comme l’était l'église de Smyrne.

      Beaucoup de riches ici-bas sont en fait des « pauvres » devant Dieu ; d’autres sont pauvres extérieurement, mais sont riches intérieurement : riches en la foi, en bonnes œuvres, libéraux pour octroyer des privilèges et des dons, et enfin, riches en espérance.

      Quand une âme jouit d’une spiritualité fervente, toute pauvreté extérieure éventuelle peut être très bien supportée ; quand le peuple de Dieu est pauvre en ce monde, mais qu’il dispose d’une bonne conscience envers Christ, ce Dernier fait abonder en eux la richesse spirituelle. Christ nous protège dans les difficultés que nous pouvons devoir subir. Il ne faut pas les appréhender ! Ne vous contentez pas « d'étouffer » toute crainte servile, mais subjuguez-la, en fortifiant votre âme, avec vigueur et courage ! Les problèmes surviennent pour nous éprouver, non pour nous détruire.

      Observez l’authenticité de la récompense, promise au verset Apocalypse 2:10* : « Je te donnerai » ; ces âmes recevront leur récompense de la propre main de Christ. On peut voir également ce qui lui est associé : « une couronne de vie » ; une existence passée au service du Seigneur, ou consacrée pour Sa cause, sera récompensée par une vie bien meilleure, une vie qui sera éternelle !

      La seconde mort est infiniment pire que la première : d’une part dans l’agonie, mais aussi parce qu’elle est éternelle ; il est déjà affreux de mourir, mais rester perpétuellement dans cet état...

      Si un homme est préservé de la seconde mort et de la colère divine, il peut patiemment endurer tout ce qu'il subira ici-bas !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      12 La parole de Dieu est une « épée », capable de tuer à la fois le péché et les pécheurs. Elle est capable de sévir en tous lieux ; le croyant, cependant, ne doit pas avoir peur de cette épée : il ne peut toutefois se placer sous sa protection, sans une entière obéissance à la Parole.

      Du fait que notre Seigneur remarque tous les avantages et les opportunités que nous pouvons avoir dans l’accomplissement de notre devoir, là où nous nous trouvons, Il est parfaitement capable de voir également nos tentations et nos découragements.

      Malgré cette situation d’épreuve, l'église de Pergame n'avait pas renié sa foi, ni par une apostasie manifeste, ni par un rejet du salut offert à la croix. Christ recommande aux membres de cette assemblée, une certaine fermeté, tout en réprouvant leurs échecs et leur culpabilité. Une mauvaise perception de la doctrine de l'évangile et de la liberté chrétienne était à l’origine de l'amertume qui avait provoqué les mauvaises pratiques de cette église.

      Le repentir est un devoir, au sein des assemblées, comme dans le cœur de chacun ; ceux qui ont commis un péché ensemble, doivent se repentir en commun. Nous trouvons dans ce texte une promesse, en faveur de ceux qui sont « vainqueurs ». Les influences et les consolations de l'Esprit de Christ descendent du ciel vers l'âme, en vue de réconforter cette dernière. Tout cela reste caché aux yeux du monde. Le nouveau nom, mentionné au verset Apocalypse 2:17*, est le nom d'adoption de la personne citée : quand le Saint-Esprit révèle Son action dans l'âme du croyant, le nouveau nom de ce dernier et son rôle véritable ici-bas sont alors parfaitement compris !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      18 Même si le Seigneur sait que les œuvres de Son peuple sont faites dans l'amour, la foi, le zèle, et la patience, si Ses yeux, tels une flamme de feu, voient les Siens s'engager dans une mauvaise direction, Il les réprimandera, les corrigera, ou les punira. Nous voyons, dans ce texte, la louange du ministère et du peuple de Thyatire, par Celui qui connaissait les principes par lesquels il agit. Les membres de cette église devinrent plus sages et meilleurs.

      Tous les chrétiens doivent désirer avec ferveur que leurs dernières œuvres puissent être les meilleures. Cependant, cette église de Thyatire « fermait les yeux » sur l’œuvre de certains séducteurs, de mauvaise réputation...

      Dieu est sage dans les jugements qu'Il exécute ; quand Il juge les « séducteurs », Il révèle à quel point Il connaît bien le cœur des hommes, leurs principes, leurs diverses conceptions et leur tempérament. Un encouragement est donné dans ce texte, à ceux qui veillent à rester purs et non souillés.

      Il est dangereux de mépriser le « mystère » de Dieu, et tout aussi périlleux d’adopter celui de Satan. Méfions-nous des profondeurs de Satan : celui qui en connaît le moins est le plus heureux. Combien Christ est tendre envers Ses fidèles serviteurs ! Il ne leur impose aucun joug, si ce n'est pour leur bien.

      Une grande récompense est promise au croyant persévérant et victorieux ; il bénéficiera de la connaissance et de la sagesse, nécessaires à l’exercice de son pouvoir et de son autorité dans le futur.

      Christ, par Sa venue, par Sa présence, apporte la Lumière dans l'âme : Lumière de la Grâce et de la Gloire ; quel bonheur de Le connaître en tant que Seigneur et Sauveur ! Après chaque victoire sur « l’ennemi », sachons garder notre avantage sur lui, pour que nous puissions le vaincre de nouveau éventuellement et garder les œuvres de Christ jusqu'à la fin !

      Apocalypse 3

      1

      Lettres à l'église de Sardes ; (Apocalypse 3:1-6)
      de Philadelphie ; (Apocalypse 3:7-13)
      et Laodicée. (Apocalypse 3:14-22)

      Le Seigneur Jésus est Celui qui a le Saint-Esprit, avec tous Ses pouvoirs et Ses grâces. L'hypocrisie, et la triste déchéance de la piété, sont des péchés reprochés à Sardes, par Celui qui connaissait bien cette église et toute son œuvre.

      Les apparences extérieures de cette église paraissaient bonnes aux yeux des hommes, mais en fait, il n’y avait qu’une forme de piété, sans aucune réelle puissance : cette assemblée avait un nom, mais aucun principe de vie. Les âmes et le service de cette communauté étaient véritablement « engourdis » ; beaucoup de membres étaient vraiment hypocrites, d'autres étaient dans un état désordonné, sans vie spirituelle.

      Notre Seigneur a appelé ces chrétiens : - À rester vigilants à l’encontre de leurs ennemis ; - À être actifs et sérieux quant à leur devoir ; - À s'efforcer, sous la dépendance de la Grâce du Saint-Esprit, de « ressusciter », de fortifier la foi et les affections spirituelles de ceux qui, bien que vivant pour Dieu, connaissaient néanmoins, un réel déclin.

      Toutes les fois que nous ne « veillons plus », nous perdons notre fondement spirituel. « Je connais tes œuvres », (verset Apocalypse 3:1)* : les prières ne sont pas remplies de saints désirs, les aumônes ne sont pas données avec une véritable charité, les sabbats ne sont plus suivis avec toute la dévotion de l'âme qui est due à Dieu... Aucun sentiment intérieur ne produit des actions et expressions extérieures ; quand l'Esprit est manquant, la ferveur spirituelle ne peut subsister bien longtemps.

      Dans la recherche d’un réveil, qu’il s’agisse de notre âme, ou de celle des autres, il est nécessaire de comparer ce que nous professons, avec la manière par laquelle nous avançons, afin que nous puissions être humbles et poussés à tenir fermement notre acquis spirituel.

      Christ renforce son conseil par une terrible menace envers cette église, si elle continuait d’emprunter la même voie, celle du non respect de Ses préceptes. Cependant notre Seigneur béni ne laisse pas ces chrétiens coupables, sans encouragements : Il mentionne honorablement ceux qui sont restés fidèles dans Sardes, Il leur adresse une promesse merveilleuse : celui qui vaincra sera vêtu d'un vêtement blanc ; la pureté de la Grâce sera récompensée avec la parfaite pureté de la Gloire ! Christ a Son livre de vie, le registre de tous ceux qui hériteront de la vie éternelle ; le livre des œuvres de tous ceux qui vivent pour Dieu, et qui entretiennent la vie et la puissance de la piété au temps de l’épreuve.

      Au grand jour du Jugement, Christ apportera ce livre de vie, et dévoilera les noms des fidèles, devant Dieu et tous les anges !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      7 Le Seigneur Jésus, « Le même » que Celui des chapitres précédents, a la clef du gouvernement et de l'autorité, « dans » et « sur » l'assemblée.

      Il ouvre différentes portes : - L'opportunité à Ses églises ; - L'expression à Ses serviteurs ; - La porte « d'entrée », Il ouvre le cœur.

      Il ferme également la porte : - Du ciel aux insensés, ceux qui sommeillent, bien loin de la Grâce ; - Des ouvriers d'iniquité, quel que soit leur degré de vanité et de vaine confiance.

      L'église de Philadelphie est complimentée, bien qu’un léger reproche lui soit adressé. Bien que Christ accepte ceux qui ne disposent que d'une force modeste, les croyants ne doivent pas se reposer pour autant, en se satisfaisant « de peu » ; ils doivent, au contraire, lutter, pour grandir dans la Grâce, en étant fermes dans la foi, en rendant gloire à Dieu !

      Christ est capable d’afficher Sa faveur envers Son peuple, afin que les ennemis de ce dernier soient forcés de Le reconnaître. Finalement, par la Grâce de Christ, ces personnes hostiles finiront par être moins menaçantes, ce qui peut les inciter à être admises dans la communion avec Son peuple.

      Christ promet de laisser Sa Grâce toujours disponible, à titre de récompense, pour la fidélité des Siens, même en période d’épreuve : « à quiconque a, il sera donné », Matthieu 13:12*.

      Ceux qui professent l'évangile en temps de paix, seront gardés par Christ à l’heure de tentation ; même la Grâce divine, qui les a rendus « fructueux » en temps de paix, les rendra fidèles au temps de la persécution. Christ promet une récompense glorieuse au croyant victorieux. Il sera un pilier monumental dans le temple de Dieu ; un monument de la Grâce divine, à la fois, libre et puissante ; ce racheté sera un « monument », qui ne pourra être détruit, ni ôté. Sur ce pilier sera écrit le « nouveau nom », celui de Christ !

      Toutes ces réalités révèleront que le croyant a mené « le bon combat », et qu'il a été victorieux !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      14 Laodicée était la dernière et la plus fautive des sept églises d'Asie. Dans ce texte, notre Seigneur Jésus se nomme lui-même « l'Amen », Celui qui est immuable et qui accomplit inéluctablement Ses desseins et Ses promesses. Christ attend des hommes qu'ils soient également immuables quant à leur conduite : combien de professeurs de la doctrine de l'évangile sont en effet ni froids, ni bouillants ; parfois, peut-être, restent-ils indifférents, face aux affaires importantes, et cependant, ardents et fervents dans les moindres !

      Une sévère punition est prononcée à l’encontre de cette église : ses membres donnent une fausse opinion de la chrétienté, laissant penser qu’il s’agit d’une religion profane ; par ce témoignage, certains pourraient conclure que le christianisme ne peut offrir de réelle satisfaction, sinon ses dirigeants n'auraient pas été si intransigeants, ou si prompts à rechercher le plaisir ou le bonheur dans le monde.

      L'autosuffisance est une des causes de cette tiédeur et de cette inconsistance de la religion : « parce que tu dis ». Quelle différence entre l’opinion de ces chrétiens sur eux-mêmes, et ce que pensait Christ à leur égard !

      Combien devrions-nous être prudents, afin de ne pas « abuser » notre âme ! En enfer, beaucoup de personnes pensaient être pourtant bien avancées sur le chemin du ciel... Implorons Dieu pour que nous ne puissions pas être séduits ni trompés par nous-mêmes ! Ceux qui enseignent la religion tombent facilement dans l'orgueil, devenant par là même charnels et conformistes.

      Dans cette église de Laodicée, les dirigeants étaient vraiment dans un état misérable : ils étaient pauvres, vraiment pauvres, alors qu'ils pensaient être riches ! Ils étaient incapables de discerner leur propre état, ni leur chemin, ni le danger qu’il pouvait encourir, cependant ils pensaient « voir ». Ils n'étaient pas parés de la justification, ni de la sanctification : ils étaient exposés au péché et à la honte ; leurs « haillons » les souillaient. Ils étaient pratiquement nus, sans maison ni abri, parce qu'ils étaient « sans Dieu », le Seul qui puisse donner repos et sécurité à l'âme.

      Christ donna une bonne recommandation à ces chrétiens coupables : heureux ceux qui suivent ce conseil, car tous les autres périront dans leurs péchés. Christ leur permet de savoir où se trouvent les vraies richesses, et comment ils peuvent les posséder. En fait, dans cette église, certaines valeurs, non capitales, devaient être abandonnées, afin de « faire place » aux véritables richesses : elle devait renoncer au péché et à sa confiance en elle-même, afin de pouvoir être remplie du « trésor caché » de Christ. Elle devait recevoir de ce Dernier, le vêtement blanc qu'Il avait acheté et qu'Il tenait à sa disposition, Sa propre Justice pour la justification, et Ses vêtements de sainteté pour la sanctification. L’assemblée de Laodicée devait se référer à la Parole de Dieu et à l’Esprit, afin que ses yeux puissent s’ouvrir et discerner le chemin qu’elle devait emprunter, et la fin qui lui était réservée.

      Examinons-nous nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, et prions avec ferveur pour connaître l'enseignement du Saint-Esprit, afin que disparaissent notre fierté, nos préjugés, et nos convoitises du monde. Les pécheurs doivent prendre les réprimandes de la Parole de Dieu et Sa verge, comme les signes révélateurs de Son amour envers nos âmes.

      Christ se tient à la porte : Il frappe, par les bienfaits de Sa Providence, par les avertissements et l'enseignement de Sa Parole, et par l’influence de Son Esprit. Christ, dans Sa Grâce, se tient à la « porte » du cœur des pécheurs, par Sa Parole et Son Esprit. Ceux qui Lui ouvrent auront le bonheur de pouvoir jouir de Sa présence. Si ce qu'Il trouve chez cette âme, ne peut constituer qu'un maigre repas, ce qu'Il apporte, en revanche, sera l’objet d’un riche festin ! Le Seigneur apportera la fraîcheur de Sa Grâce et de Sa Consolation.

      Dans la conclusion de cette lettre à Laodicée, nous trouvons une promesse pour le croyant, celui qui est « vainqueur ». Christ subit Lui-même des tentations et des conflits : Il les a tous vaincus, devenant ainsi plus qu'un Conquérant ! Ceux qui sont rendus semblables à Christ, dans Ses épreuves, seront rendus semblables à Lui, en Gloire !

      Le chapitre se termine par un appel à la vigilance : ces différents conseils, convenant parfaitement aux églises auxquelles ils ont été adressés, sont très instructifs pour nous tous !

      Apocalypse 4

      Apocalypse 5

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