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Deutéronome 31.14

L’Éternel dit à Moïse : Voici que le jour où tu vas mourir approche. Appelle Josué, et tenez-vous debout dans la tente de la Rencontre. Je lui donnerai mes ordres. Moïse et Josué allèrent se tenir debout dans la tente de la Rencontre.

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    • Exode 34

      Nombres 27

      Deutéronome 31

      14 Moïse et Josué se présentent à la porte du Tabernacle, afin de connaître ce que l'Éternel désirait leur communiquer. Il est à nouveau annoncé au patriarche, qu'il devait bientôt mourir.

      Même ceux qui sont convaincus de quitter ce monde dans un avenir proche, ont souvent besoin qu'on leur rappelle cette étape à franchir. Dieu dit à Moïse, qu'après sa mort, l'Alliance qu'Il avait eu tant de peine à faire avec Israël, serait rompue : Le peuple abandonnerait l'Éternel, et réciproquement.

      Dieu rejette en toute justice, ceux qui l'abandonnent. Il est ordonné à Moïse de donner au peuple un cantique, rappelant le danger qu'il y avait à négliger l'Alliance établie préalablement entre Dieu et Israël.

      La Parole de Dieu discerne les pensées et les intentions du cœur, par le biais de reproches et de corrections. Les serviteurs de Dieu qui prêchent la Parole, ne soupçonnent pas toujours à quel point les hommes ont de l'imagination ! Le Seigneur, quant à Lui, connaît parfaitement toutes choses.

      23 Ce passage décrit comment Moïse donna solennellement le livre de la loi aux Lévites, afin qu'ils le placent à côté de l'arche. Le patriarche donna ensuite au peuple, un cantique qui figure au chapitre suivant. Il le rédigea d'abord, inspiré par le Saint-Esprit, puis le communiqua ensuite au peuple.

      Moïse annonça clairement qu'il savait qu'après sa mort, Israël se corromprait totalement. Cet homme, qui avait tant fait pour le peuple, devait être accablé de tristesse ; mais il pouvait se réconforter en estimant avoir accompli son devoir, sachant que Dieu serait finalement glorifié, à la fin de la dispersion d'Israël : si, dans le futur, ce dernier n'était plus en Canaan, les promesses divines à son égard, n'en seraient pas moins immuables.

      Deutéronome 32

      Deutéronome 34

      5 Moïse accepte ce dernier commandement, assez particulier, comme il l'avait fait pour les autres, reçus jusqu'à présent. Dans son attitude, il ressemblait à notre Seigneur Jésus-Christ. Mais le patriarche mourut en tout honneur et en paix, de la manière la plus simple, à l'inverse de notre Sauveur, qui connut la honte et la torture de la croix. Moïse mourut assez facilement ; il mourut selon « la Parole de l'Éternel », selon Sa volonté. Les serviteurs de Dieu, arrivés au terme de leur vie de travail, peuvent alors rejoindre enfin le ciel ; ils désirent retrouver leur maison céleste, après avoir été envoyés par le Seigneur dans les différents champs de mission, Actes 21:13.

      L'endroit où Moïse fut enterré est inconnu. Si, lors de la mort, l'âme peut se reposer auprès de Dieu, peu importe où se trouve alors le corps. Les forces du patriarche n'étaient pas affaiblies, ni sa vigueur, ni sa vivacité d'esprit ; ses facultés intellectuelles et sa mémoire étaient intactes. Tous ces agréments n'étaient que la récompense de ses services et de son extraordinaire humilité. Il y eut un deuil solennel à l'occasion de son décès. Les différents handicaps que nous pouvons rencontrer avec l'âge, ne doivent pas nous faire déprimer. Si nous espérons nous réjouir plus tard, dans les cieux, pourquoi irions-nous dans la tombe en nous lamentant ?

      Josué 23

      Josué 24

      1

      Les bénédictions divines à l'égard des anciens d'Israël. (Josué 24:1-14)
      Josué rappelle l'alliance entre Dieu et peuple. (Josué 24:15-28)
      La mort de Josué, inhumation des os de Joseph, l'état d'Israël. (Josué 24:29-33)

      Nous ne devons jamais penser que l'œuvre que Dieu nous a confiée est terminée, tant que nous ne sommes pas arrivés au terme de notre vie. Si le Seigneur prolonge nos jours au delà de ce que nous pourrions espérer, comme ce fut le cas pour Josué, c'est qu'Il a encore des services à nous confier. Le croyant qui vise à avoir le même esprit que celui qui animait Jésus Christ, finira par glorifier Sa bonté, en témoignant à son entourage, de toutes les bénédictions imméritées que Dieu lui a accordées.

      Le peuple d'Israël se rassembla de manière pieuse et solennelle. Josué s'adressa aux Hébreux. Son discours émanant directement de l'Éternel, reposait sur la doctrine, et tout ce qui en découle : la partie spirituelle consistait à récapituler toutes les grandes bénédictions reçues par le peuple et les patriarches. En remerciement à cette miséricorde divine, Josué rappela aux enfants d'Israël qu'il fallait craindre l'Éternel et continuer à Le servir.

      1 Samuel 10

      2 Rois 1

      Job 1

      6 Les afflictions de Job ont commencé à cause de la méchanceté de Satan ; elles ont été permises par le Seigneur, dans le but de nous amener, par le récit de ce texte, à avoir davantage de sagesse et de sainteté. « L'ennemi » a un esprit mauvais, cherchant continuellement à affliger, dérouter, et, si possible, détruire ceux qui aiment Dieu. Il est difficile de dire jusqu'où cette emprise peut nuire ; il est probable que la majorité des désarrois et des tristesses qui assaillent les chrétiens peut être attribuée au diable. Tant que nous sommes sur cette terre il est capable de nous atteindre. Il nous faut par conséquent rester sobres et vigilants, 1Pierre 5:8.

      Remarquez à quel point Satan condamne Job. Il arrive fréquemment que les calomniateurs répandent des idées fausses. De même qu'il n'y a rien de plus horrible que d'être vraiment hypocrite, il n'y a rien de pire que d'être accusé sans cause.

      Il n'y a aucun mal à espérer une récompense éternelle, grâce à notre obéissance ; il est par contre mauvais de rechercher les avantages de ce monde dans la pratique de notre religion. Le peuple de Dieu est spécifiquement au bénéfice de Sa protection ; tous les Siens Lui appartiennent. La bénédiction du Seigneur nous rend riches ; Satan lui-même, malgré tout, en bénéficie.

      Dieu a permis que Job soit éprouvé, comme Il a d'ailleurs laissé Pierre chuter, lors de son reniement. Il est réconfortant de savoir que Dieu a enchaîné le diable, Apocalypse 20:1, qui n'a aucune puissance pour forcer les hommes à commettre le péché : ces derniers le font de leur propre gré ; le diable ne peut affliger les hommes sans que ce ne lui soit permis par Dieu. Toute l'histoire ici décrite nous révèle le comportement des hommes. L'Écriture nous parle ainsi afin de nous enseigner que Dieu dirige les affaires du monde.

      Job 2

      1

      Satan obtient la permission d'éprouver Job. (Job 2:1-6)
      Les souffrances de Job. (Job 2:7-10)
      Ses amis viennent le réconforter. (Job 2:11-13)

      Qu'il est réconfortant de savoir qu'au jugement dernier, ni les hommes ni les forces diaboliques ne seront finalement nos juges ! Toute justice sera effectuée par le Seigneur, qui Lui, ne se trompe jamais. Job, dans son épreuve, reste intègre, ce qui fait sa force. Dieu mentionne la puissance de Sa grâce. L'égoïsme et l'instinct de conservation sont des sentiments intenses dans le cœur des hommes. Mais Satan accuse Job, le traitant d'égoïste, en disant qu'il ne recherche que son propre intérêt et sa sécurité. Il en est souvent ainsi pour le peuple de Dieu, souvent blâmé à tort par le diable et ses sujets. Satan est autorisé à dispenser l'épreuve, mais dans certaines limites. Si Dieu n'avait pas enchaîné ce lion hurlant, nous aurions été bien vite dévorés !

      Job, ainsi diffamé par Satan, était une image de Christ, dont la prophétie annonçait, au début des temps, que Satan devait blesser Son talon et être finalement écrasé par le Roi des rois.

      Ecclésiaste 9

      Esaïe 38

      1

      La maladie d'Ézéchias, son rétablissement. (Esaïe 38:1-8)
      Sa reconnaissance. (Esaïe 38:9-22)

      Quand, atteints par la maladie, nous prions Dieu pour être guéris, ce Dernier ne nous répond pas comme Il l'a fait pour Ézéchias, dans ce texte ; malgré tout, si par Son Esprit, Il nous fortifie, Il nous assure également que nos péchés sont pardonnés, quand nous nous approchons de Lui.

      Que nous soyons en vie ou dans l'au-delà, nous serons les Siens : nos prières ne seront jamais vaines !

      Voir 2Rois 20:1-11.

      Actes 20

      28 Si le Saint-Esprit a établi des serviteurs de Dieu, en tant que surveillants et bergers du troupeau (l’assemblée), ils doivent servir le Seigneur en toute confiance. De leur côté, ces ministres de l’Évangile doivent bien considérer à quel point leur Maître s’est soucié de bien constituer ce troupeau, qui est maintenant à leur charge. Christ a construit l'église avec Son propre sang. Bien qu’ayant revêtu l’apparence humaine, Il a, par ce sang, scellé de manière intime, l'union entre les deux natures : la corruptible et la divine ; c’était en fait véritablement le sang de Dieu car il provenait de Celui qui est Dieu Lui-même ! Cet état de fait a revêtu Christ d’une dignité et d’une valeur permettant de payer la rançon pour les iniquités des croyants, tout en les conduisant sur le chemin de la sanctification.

      Paul rappelle aux anciens d’Éphèse, toute l’affection et toute l’inquiétude qu’il ressentait pour eux. En fait, ils étaient soucieux pour leur avenir spirituel. L’apôtre les invite ensuite à lever les yeux vers Dieu, avec foi, il les recommande à la Parole de Sa Grâce, qui allait être, non seulement le fondement de leur espérance et la source de leur joie, mais aussi leur règle de conduite.

      Les chrétiens les plus avancés spirituellement sont vraiment capables de progresser, en se basant sur la Parole et la Grâce. Ceux qui ne se sont pas repentis de leurs fautes et ne sont donc pas sanctifiés par le Seigneur, ne peuvent être les bienvenus devant le Dieu trois fois Saint, et ne peuvent pas bénéficier des avantages célestes, à l’inverse de tous ceux qui sont nés de nouveau, et sur qui l'Image de Dieu est renouvelée, par Son pouvoir tout-puissant et par la Vérité éternelle.

      Paul recommande aux frères qu’il allait quitter, de ne pas rechercher à tout prix les attraits de ce monde ; ils devaient savoir compter sur l'aide du Seigneur pour les conduire ici-bas. En annonçant qu’il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, l’apôtre voulait montrer que même sous une apparente difficulté de mise en pratique, cette vérité, annoncée par le Maître, était vraiment actuelle : ces paroles allaient souvent être appliquées par les disciples.

      L'opinion des « enfants de ce monde » est contraire à l’enseignement de ce dernier texte : ils ne cherchent pas à donner, sauf s'ils comptent obtenir du profit en retour ; seul l’appât du gain les motive. Christ nous annonce le bonheur qui résulte du don de soi, un bonheur excellent ! Cette attitude nous rapproche de l’image divine : Dieu donne à tous et n’a besoin de personne ; le Seigneur Jésus, est venu ici-bas pour faire le bien. Puisse cet état d’esprit, qui était en Lui, demeurer en nous également !

      Lorsque des amis se séparent, il est bon qu’ils prient ensemble. Ceux qui s'exhortent de la sorte et qui prient les uns pour les autres, peuvent connaître des moments de tristesse, mais ils doivent se réconforter par l’assurance qu’ils se rencontreront un jour devant le trône divin, pour ne plus jamais se quitter ! Quelle consolation pour ces disciples, de savoir que Christ allait d’une part accompagner Paul, tout en restant avec eux !

      Romains 12

      1

      Les croyants doivent se consacrer à Dieu. (Romains 12:1,2)
      Ils doivent être humbles, et utiliser fidèlement leurs dons spirituels, à leur place respective. (Romains 12:3-8)
      Exhortations à divers devoirs. (Romains 12:9-16)
      Exhortations à une conduite paisible envers tous les hommes, avec indulgence et bienveillance. (Romains 12:17-21)

      L'apôtre, ayant terminé la partie de son épître, dans laquelle il exposait et expliquait diverses doctrines couramment appliquées, insiste, dans ce texte, sur les devoirs importants dictés par l'Évangile.

      Il a imploré les Romains, ses frères en Christ, par la miséricorde divine, à présenter à Dieu, leur corps, comme un sacrifice vivant. C’est en fait un appel puissant. Nous recevons tous les jours du Seigneur les fruits de Sa Miséricorde ! Offrons-Lui tout notre être en retour, tout ce que nous avons, tout ce que nous pouvons faire : d’ailleurs, que cela peut-il représenter, par rapport à toutes les grandes richesses spirituelles qu’Il nous accorde ?

      Que peut accepter Dieu, de notre part ? Un culte raisonnable, (un service intelligent) verset Romains 12:2*, auquel nous sommes capables de donner une raison, par la foi. La conversion et la sanctification sont le renouvellement de l'esprit ; elles consistent en un changement, non pas de la nature, mais des qualités de l'âme. Les progrès de la sanctification, conduisent de plus en plus à « la mort au péché », à une vie droite, éléments qui sont opérés dans un renouvellement spirituel, jusqu'à ce que tout cela soit parachevé dans la Gloire céleste.

      Le grand ennemi de ce renouvellement est l’attirance de notre être vers les attraits de ce monde. Soyons prudents, lorsque nous élaborons des plans, même soi disant positifs : veillons à ce que ces projets ne reposent pas sur les fondements éphémères de ce monde. Ne tombons pas dans les habitudes de ceux qui marchent selon les convoitises de la chair, et qui ont leur esprit braqué sur les désirs terrestres.

      L'œuvre du Saint Esprit commence d'abord par l’ouverture de la compréhension, puis elle opère sur la volonté, les affections et les conversations qui nous animent, jusqu'à ce qu'il y ait un changement dans l'ensemble de notre être, dans la recherche de la ressemblance avec Dieu, dans Sa connaissance, Sa justice et Sa véritable sainteté. Être pieux, c'est nous abandonner à Dieu !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      2 Timothée 4

      1 L'apôtre Paul recommande solennellement à Timothée de s’appliquer, dans l’exercice de son ministère, bien que beaucoup, dit-il, ne supporteront pas la saine doctrine. (2 Timothée 4:1-5) Il renforce cette recommandation, à l’approche de son propre martyre. (2 Timothée 4:6-8) Paul désire que Timothée vienne le voir rapidement. (2 Timothée 4:9-13) Paul avertit ceux qui l'ont abandonné ; il exprime sa foi, quant à son départ vers le royaume céleste. (2 Timothée 4:14-18) Salutations amicales et bénédiction habituelle. (2 Timothée 4:19-22)

      2 Timothée 4:1-5 Il viendra un temps où les hommes se détourneront de la Vérité : ils se lasseront d’entendre l’Évangile de Christ, en se tournant avec plaisir vers les « fables » du monde.

      Ces personnes prendront de telles voies, qu’elles ne supporteront plus toute prédication qui puisse les déranger.

      Ceux qui éprouvent de la compassion pour les âmes doivent toujours rester très vigilants, ils doivent supporter toutes les douloureuses épreuves inhérentes à leur fidélité, et saisir toutes les occasions de faire connaître l’Évangile !

      Jude 1

      24 Dieu est capable, et également disposé, de nous garder de tomber, et de nous présenter sans défaut devant Sa Gloire : non pas, comme des personnes n’ayant jamais commis de faute, mais qui, sans la Miséricorde divine, les souffrances et les mérites d'un Sauveur, auraient pu être en toute justice, condamnées depuis longtemps.

      Tous les croyants sincères ont été « donnés » à Christ, par le Père ; et de tous ceux qui lui ont été ainsi donnés, Il n'en a perdu aucun, et il n'en perdra jamais un seul !

      Aujourd’hui, nos fautes nous remplissent de craintes, de doutes, et de tristesse ; mais le Rédempteur a entrepris la tâche de présenter au Père Son peuple, sans aucun défaut.

      S’il n'y a pas « péché », il n'y aura pas de tristesse ; où il y a la perfection de la sainteté, il y aura la perfection de la joie.

      Levons plus souvent nos yeux vers Celui qui est capable d'améliorer et de maintenir l'œuvre qu'Il a accomplie en nous, et de nous préserver de tomber, jusqu'au jour où nous serons présentés « innocents » devant Sa Gloire. Nos cœurs connaîtront alors une joie au-delà de tout ce que la terre peut offrir ; Dieu se réjouira en nous, et la joie de notre Sauveur compatissant sera complète. À Celui qui a élaboré un tel dessein, et qui veut fidèlement et parfaitement l'accomplir, soient gloire, majesté, autorité et pouvoir, à la fois maintenant et pour toujours ! Amen.

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