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1
Le Seigneur apparut à Abram et lui dit : « N’aie pas peur, Abram ! Je suis ton protecteur et je te donnerai une grande récompense. »
20
Moi, j’ai accepté de bénir ce peuple, le Seigneur l’a béni, je n’y changerai rien !
21
Le Seigneur ne discerne aucun mal, aucune injustice dans le peuple d’Israël. Il est leur Dieu, il habite au milieu d’eux, il reçoit leur ovation royale.
22
C’est lui qui les a fait sortir d’Égypte avec une force irrésistible, comme celle du buffle.
23
La divination et ses pratiques ne sont pas en usage parmi les Israélites ; en temps voulu, ils apprennent tout ce que Dieu accomplit.
24
Ce peuple se lève comme un lion : il dévore la chair de sa proie, il boit le sang de sa victime, et ensuite seulement il se recouche. »
5
Peuple d’Israël, vous les descendants de Jacob, combien sont belles les tentes que vous habitez !
7
En effet, existe-t-il une autre nation, même parmi les plus grandes, qui ait des dieux aussi proches d’elle que le Seigneur notre Dieu l’est pour nous chaque fois que nous l’appelons à l’aide ?
8
Existe-t-il une autre nation, même parmi les plus grandes, qui possède des lois et des règles aussi justes que celles contenues dans le code de la loi que je vous présente aujourd’hui ?
13
Il les a installés dans la région des collines et les a nourris des produits des champs ; pour eux, il a fait couler le miel parmi les rochers et pousser les oliviers sur des sols rocailleux.
29
Heureux êtes-vous, Israélites ! Vous êtes le seul peuple que le Seigneur a sauvé ; le Seigneur est pour vous un bouclier protecteur, une épée qui vous donne la victoire. Quand vos ennemis viendront vous demander grâce, vous piétinerez leur orgueil. »
24
Dès que ceux-ci furent devant lui, Josué convoqua les Israélites et dit aux chefs des troupes qui s’étaient battus à ses côtés : « Venez poser le pied sur le cou de ces rois. » Les chefs obéirent
25
et Josué leur déclara : « N’ayez aucune crainte et ne vous laissez pas abattre ! Soyez courageux et forts ! Le Seigneur traitera de la même manière tous les ennemis que vous aurez à combattre. »
20
Les deux autres groupes en firent autant. Ils saisirent tous les torches de la main gauche et les trompettes de la main droite, et ils crièrent : « A l’assaut, pour le Seigneur et pour Gédéon ! »
23
De même, aucun peuple sur terre n’est semblable à Israël. Tu es venu le libérer, lui seul, de l’oppression des Égyptiens et de leurs dieux, pour en faire ton peuple. Tu l’as rendu célèbre, en accomplissant pour lui des choses merveilleuses ou effrayantes dans ton pays.
45
des étrangers viennent me flatter, au moindre mot ils m’obéissent,
12
Dieu est un juste juge, mais il reste chaque jour un Dieu sévère.
44
Tu me mets à l’abri d’un peuple révolté, tu me places à la tête des nations. Des gens inconnus se soumettent à moi,
12
Heureuse la nation qui a le Seigneur comme Dieu ; heureux le peuple qu’il a choisi comme son bien personnel !
20
Quant à nous, nous comptons sur le Seigneur ; notre secours et notre bouclier, c’est lui.
3
Tu surpasses tout le monde en beauté, tu t’exprimes avec élégance. On voit bien que Dieu t’a béni pour toujours.
3
Dites à Dieu : « Combien ce que tu fais est impressionnant ! Face à ton immense puissance, tes ennemis abandonnent toute fierté.
15
bientôt je ferais plier ses ennemis, je dirigerais mes coups sur ses adversaires !
11
Oui, un seul jour dans les cours de ton temple vaut mieux que mille autres passés ailleurs. Plutôt rester au seuil de ta maison, mon Dieu, que vivre avec les gens sans foi ni loi !
9
– Vous, les tribus d’Israël, faites confiance au Seigneur. – C’est lui leur secours et leur bouclier.
10
– Vous les prêtres, descendants d’Aaron, faites confiance au Seigneur. – C’est lui leur secours et leur bouclier.
11
– Vous les nouveaux fidèles, faites confiance au Seigneur. – C’est lui leur secours et leur bouclier.
15
Heureux le peuple à qui tout cela est donné, heureux le peuple qui a pour Dieu le Seigneur !
2
Voici le Dieu qui m’a sauvé ; je me sens en sécurité, je n’ai plus peur. Ma grande force, c’est le Seigneur ; il est mon sauveur. »
1
Ce jour-là, le Seigneur prendra sa grande, sa terrible, sa puissante épée, pour intervenir contre le monstre Léviatan, le serpent tortueux, insaisissable ; et il tuera ce dragon des mers.
5
L’épée du Seigneur apparaît dans le ciel. La voilà qui s’abat sur les Édomites, ce peuple que le Seigneur a condamné à l’extermination.
6
L’épée du Seigneur est pleine de sang, couverte de graisse comme du sang des béliers et des boucs, comme de la graisse de leurs reins. A Bosra, la capitale, le Seigneur fait un sacrifice ; dans le pays d’Édom, c’est un terrible massacre.
17
Mais le peuple d’Israël a reçu du Seigneur un salut éternel. Il n’y aura jamais pour lui ni honte ni déshonneur.
12
Dans les régions inhabitées, sur les hauteurs dénudées apparaissent des pillards. L’arme du Seigneur ravage tout d’un bout à l’autre du pays, elle n’épargne personne.
6
Vous dites : “Hélas, épée du Seigneur, ne prendras-tu jamais du repos ? Rentre dans ton fourreau, reste tranquille, arrête.”
19
Le Seigneur Dieu est ma force : il me rend aussi agile que les biches, il me fait marcher sur les hauteurs.
10
En effet, si nous peinons et luttons, c’est parce que nous avons mis notre espérance dans le Dieu vivant qui est le Sauveur de tous les humains, et surtout de ceux qui croient.
16
Il tenait sept étoiles dans sa main droite, et une épée aiguë à deux tranchants sortait de sa bouche. Son visage resplendissait comme le soleil à midi.
21
Tous leurs soldats furent tués par l’épée qui sort de la bouche de celui qui monte le cheval, et tous les oiseaux se nourrirent de leur chair.
Qui est comme toi ? Le peuple d'Israël est aussi unique en son genre que l'est son Dieu (verset 26).
Te flatter : en raison de la crainte qu'ils ont de toi (Psaumes 18.45).
Leurs lieux élevés ; leurs forteresses.
Sur la bénédiction de Moïse.
La date de la composition de ce morceau est difficile à déterminer. Si le contenu en est attribué à Moïse, notre texte ne lui en attribue pas la rédaction. Le verset 4, où il est parlé de Moïse à la troisième personne, les détails donnés dans les versets 18 et 19 sur le commerce maritime de Zabulon, les richesses qu'il lui procurera et l'influence religieuse exercée par lui sur ses voisins, au verset 23 sur la position de Nephthali près de la mer de Galilée. semblent. supposer la conquête accomplie. D'autre part, le peuple est envisagé comme formant encore un tout parfaitement uni. L'indice du schisme entre les deux royaumes, que l'on a cru trouver dans la bénédiction de Juda, est entièrement illusoire, comme nous l'avons constaté ; la preuve que l'on a trouvée, dans la bénédiction de Benjamin, d'une date postérieure à la construction du temple, est pour le moins incertaine. En échange, le souvenir si vivement exprimé de l'établissement de Gad dans son territoire à l'est du Jourdain et de son empressement à s'associer au reste du peuple pour la conquête de Canaan, et l'éloge donné à la vaillance déployée par Juda dans l'achèvement de la conquête, paraissent placer la composition dans un temps très rapproché de l'établissement du peuple dans la Terre promise. On peut même envisager cette bénédiction comme l'inauguration solennelle de ce grand fait de l'histoire nationale du peuple, et, si elle n'a pas été rédigée par Moïse, elle peut bien être la libre reproduction d'un dernier adieu du législateur à son peuple. C'est ce que nous paraît indiquer le verset 4.