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Ecclésiaste 7.2

Mieux vaut se rendre dans la maison où l’on pleure un mort que dans celle où se tient un banquet. La mort est la fin de tout homme et il est bon que chacun s’en souvienne.
Mieux vaut se rendre dans une maison de deuil que dans une maison de festin, car telle est la fin de tout homme, et celui qui est en vie peut ainsi se mettre à réfléchir.
It is better to go to the house of mourning than to go to the house of feasting: for that is the end of all men, and the living should take this to heart.
Il vaut mieux aller dans une maison en deuil que là où on fait un bon repas. En effet, tous les humains finissent par mourir, et il faut que les vivants s’en souviennent.
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      Genèse 48

      1

      Joseph visite son père, mourant. (Genèse 48:1-7)
      Jacob bénit les fils de Joseph. (Genèse 48:8-22)

      Il est très impressionnant pour des jeunes, en pleine force de l'âge, de voir les croyants sur leur lit de mort, et d'écouter leurs prières et leurs conseils : nous ferions bien de faire assister les enfants en de telles occasions, quand cela peut être fait en toute décence. Si le Seigneur est magnifié, il est très souhaitable d'apporter le dernier témoignage de notre vie, en toute vérité et fidélité, en soulignant les diverses joies qu'Il nous a accordées. Et celui qui a ainsi vécu, devrait garder ses dernières forces pour ces exhortations finales.

      Tous les véritables croyants sont bénis à leur mort, mais tous ne quittent pas cette terre avec le même lot de consolations spirituelles. Jacob a adopté les deux fils de Joseph. Ces derniers n'ont pas réussi à atteindre la puissance et la grandeur de leur père, en Égypte ; par contre, ils ont hérité de la promesse faite à Abraham. Ainsi le patriarche mourant conseille à ces jeunes de côtoyer les personnes qui marchent avec Dieu. Il désigne chacun de ses enfants pour être le père d'une tribu distincte. Ces derniers reçoivent un double honneur : par la grâce de Dieu, ils sont préservés de la tentation des richesses de ce monde et ils peuvent ainsi pratiquer la religion dans l'humilité et la pauvreté. Jacob aura pu aussi connaître Éphraïm et Manassé ; il vaut mieux être dans une situation modeste au sein de l'église, que haut placé, hors d'elle.

      8 Les deux patriarches, Joseph et Jacob, placent leur confiance en Dieu. Joseph a annoncé : « voici les fils que Dieu m'a donnés ». Jacob a alors répondu : « Dieu m'a même montré ta descendance » ! Les réconforts sont deux fois plus agréables quand nous les voyons venir de la main de Dieu. Ils nous délivrent non seulement de nos craintes, mais ils nous apportent également de nombreux espoirs. Jacob mentionne la protection que la Providence divine lui a assurée tous les jours de sa vie. Il a rencontré beaucoup de difficultés, mais Dieu l'a gardé de tout mal pendant les épreuves. Maintenant, au jour de sa mort, il considère qu'il est gracié de tous ses péchés, pour toujours. Christ, l'Ange de l'Alliance, rachète tous les péchés. Les délivrances de la misère et des dangers, par la Puissance divine, se réalisant par la rançon du sang de Christ, s'appellent souvent dans les Écritures, « la Rédemption ». Dans la bénédiction des fils de Joseph, Jacob a inversé ses mains. Joseph avait une préférence pour son fils premier-né, et voulait l'enlever des mains de son père. Mais Jacob n'a agi ni par erreur, ni par affection particulière pour un de ses petits enfants ; mais il l'a fait avec un esprit de prophétie, et selon la Volonté divine.

      Dieu, dans les bénédictions qu'Il accorde à Son peuple, donne plus à certains, qu'à d'autres : plus de faveurs, de grâces, de réconforts et de bonnes choses en cette vie. Il donne souvent davantage à ceux à qui nous aurions donné en dernier. Il choisit les choses faibles du monde ; il tire les pauvres de l'oubli. La grâce ne respecte pas l'ordre de la nature et Dieu ne préfère pas forcément ceux que nous pensons être les plus méritants ; Il fait tout selon Son bon plaisir.

      Qu'ils sont pauvres ceux qui n'ont d'autres richesses que celles de ce monde ! Quelle tristesse de voir un homme sur son lit de mort sans aucun espoir fondé, rempli de redoutables et viles appréhensions, entouré par le mal, à jamais !

      Genèse 49

      3 Ruben était le premier-né ; par une négligence coupable, il a renoncé à son droit d'aînesse. Le caractère de Ruben est aussi instable que l'eau.

      Les hommes ne prospèrent pas, quand ils n'ont pas une conduite intègre. Le péché de Ruben a laissé une infamie durable dans sa famille. Ne pratiquons jamais le mal, afin de ne prendre aucun risque qu'il soit relaté par la suite. Siméon et Lévi étaient passionnés et désiraient la vengeance. Le meurtre de Sichem en est une preuve. Jacob avait protesté, suite à cet acte barbare.

      Notre âme est notre honneur ; par sa puissance nous sommes supérieurs aux bêtes qui périssent. Nous devons, en nos cœurs, abhorrer tous les hommes sanguinaires et malfaisants. Maudite soit leur colère ! Jacob ne maudit pas leur personne, mais leurs convoitises.

      Le patriarche s'est écrié : « je les séparerai ». Cette phrase, qui concerne Lévi a été transformée en bénédiction. Cette tribu a assuré un service remarquable par le zèle manifesté contre les adorateurs du veau d'or en, Exode 32. Étant mis à part pour Dieu, en tant que prêtres, ils étaient de ce fait, dispersés parmi la nation d'Israël.

      8 Le nom de Juda signifie « louange ». Dieu a été loué à cause de ce nom, chap. Genèse 29:35, Il a été loué par lui, et en Lui ; en conséquence, ses frères seront amenés à lui rendre gloire. Juda sera une tribu forte et courageuse. Juda est comparé à un lion, non pas errant et rageur, mais plutôt appréciant avec satisfaction sa puissance et ses succès, sans dédaigner pour autant les autres ; c'est vraiment un excellent sentiment. Juda a été la tribu royale, la tribu d'où le Messie, le Prince devait venir. « Le Chef »*, cette Semence Promise, par qui la terre doit être bénie, « Celui qui procure la Paix et la Prospérité », le « Sauveur » : Il viendra de la tribu de Juda.

      En cette promesse, Jacob a « vu », de loin, l'avènement de Christ, ce qui l'a encouragé, sur son lit de mort. Jusqu'à cette venue du Sauveur, Juda a usé d'autorité, mais après la Crucifixion, conformément à la prophétie annoncée par Christ, Jérusalem a été détruite, et le restant des pauvres juifs fut harcelé et confondu. Beaucoup de ce qui est dit ici, au sujet de Juda, peut s'appliquer à notre Seigneur Jésus. En Lui il y a abondance de tout ce qui nourrit et régénère l'âme, ce qui maintient et encourage toute vie spirituelle. Il est le Vigneron ; le vin symbolise Son sang, qui est véritablement une boisson, et qui a été répandu pour les pécheurs qui en bénéficient, par la foi ; toutes les bénédictions de l'Évangile sont, pour ainsi dire, du vin et du lait, acquis sans argent et sans prix, par lesquels chaque âme assoiffée est désaltérée. Isa 55:1.

      * Note du traducteur : Au verset 10, le mot « Chef » a été, selon les versions bibliques, traduit ou laissé en Hébreu : Shiloh, Schilo, etc. Voir les notes de BFC à ce sujet. L'original MHCC mentionne le mot « Shiloh » ; pour une compréhension plus aisée, il a été traduit par « Chef ».

      13 En ce qui concerne Zabulon : si la prophétie indique que Zabulon sera un asile pour les bateaux, il est sûr que la Providence dirigera toutes choses en ce sens. Dieu établit les limites de notre lieu d'habitation. Ce n'est pour nous que sagesse et devoir, de nous adapter à notre sort, pour améliorer notre situation ; si la destinée de Zabulon est d'être un port, qu'il soit asile pour les navires. Pour Issacar : il a vu que le lieu où il séjournait, était non seulement agréable, mais qu'il était également rempli de merveilleux fruits, récompensant son dur labeur.

      Contemplons, avec le regard de la foi, le repos céleste merveilleux qui nous attend, cette terre de la Promesse ; cela rendra plus facile notre service ici-bas.

      Dan devrait, par la technique, la politique, et la surprise, tirer avantage sur ses ennemis, tel un serpent mordant le talon du voyageur. Jacob, presque usé par la vie, et se préparant à s'éteindre, se réconforte par ces mots, « j'espère en Ton secours, Ô Éternel » ! Ce salut qu'il attendait était Christ, la Semence promise ; maintenant que le patriarche allait être recueilli auprès de ses pères, il a placé sa confiance en Celui qui a rassemblé toute sa famille. Il a déclaré simplement qu'il recherchait le ciel, le « meilleur pays », Heb 11:13,14. Maintenant qu'il va pouvoir jouir du salut céleste, il se réjouit de cette espérance qui l'a conduit durant toute sa vie.

      Christ, notre Chemin vers le ciel, doit être notre attente ; le ciel, notre repos en Christ, doit être aussi l'objet de notre espérance. C'est le réconfort d'un homme pieux qui, au moment de sa mort, a attendu le salut de Dieu ; il aura alors devant lui ce qu'il a attendu, toute sa vie durant !

      19 En ce qui concerne Gad, Jacob fait référence à son nom, qui signifie « une troupe », ce qui préfigure le caractère de cette tribu. La cause de Dieu et de Son peuple, qui semble pendant un certain temps décliner, sera finalement victorieuse.

      Cela représente le conflit du chrétien. La grâce divine, présente dans l'âme, est souvent contrecarrée à cause des conflits ; les armes de la corruption sont souvent accablantes, mais la cause de Dieu et la grâce finiront par avoir le dessus, quel que puisse être l'adversaire, Romains 8:37.

      Aser devrait être une tribu riche : elle a hérité de la contrée qui longe le Carmel, de renommée proverbialement fructueuse.

      Nephtali, est une biche en liberté. Nous pouvons considérer cette situation comme une véritable description de cette tribu : elle est vraiment différente du bœuf et de l'âne, laborieux, désirant eux-mêmes jouir d'une certaine liberté ; mais Nephtali est une tribu active, qui se fait remarquer davantage par la rapidité d'exécution de ses tâches, que par la persévérance dans son travail. Elle implore la pitié, avec des mots persuasifs.

      Que les différents caractères ou dons acquis, ne nous empêchent pas d'aspirer à d'autres, meilleurs !

      22 La bénédiction de Joseph est complète. Ce que Jacob indique à son sujet, se situe autant dans l'histoire que dans la prophétie. Jacob rappelle les difficultés et les traits ardents contre lesquels il a lutté, lors des tentations qu'il avait autrefois endurées. Sa foi n'a pas failli, mais au travers de ses épreuves, il a pu supporter tous ses fardeaux avec fermeté et n'a rien fait d'inconvenant.

      Toute notre force pour lutter contre les tentations et supporter les afflictions, vient de Dieu ; Sa grâce est suffisante.

      Joseph est devenu le berger d'Israël, il a pris soin de son père et de sa famille ; il est également le rocher d'Israël, une base et un appui solides. Par ces faits accomplis, comme par beaucoup d'autres choses, Joseph était une image remarquable du Bon Berger, la Pierre angulaire de toute l'église de Dieu.

      Des bénédictions sont promises à la postérité de Joseph, identiques aux éternelles bénédictions spirituelles destinées à ceux qui sont en Christ. Jacob a béni tous ses fils, mais particulièrement Joseph, « qui a été séparé de ses frères ».

      Il a non seulement été exilé en Égypte, mais « séparé » aussi, par son éminente dignité, et par sa consécration à Dieu. Le texte parle de Benjamin comme d'un loup qui déchire. Jacob a été guidé dans ses propos, par esprit de prophétie et non par affection naturelle ; sinon, il aurait mentionné avec plus de tendresse, Benjamin, son fils bien-aimé. Le patriarche a prévu et prédit seulement que Benjamin devait être une tribu guerrière, forte et audacieuse, et qu'elle devait s'enrichir avec le butin acquis sur ses ennemis ; cette tribu devait être très active. L'apôtre Paul était lui-même de cette tribu, Romains 11:1; Philippiens 3:5 ; au début de sa vie, il « dévorait sa proie » en persécuteur, mais à la fin, il a « conquis son butin » par la prédication ; il a partagé les bénédictions du Lion de la tribu de Juda, étant soutenu par Christ dans ses victoires !

      28 Jacob a béni chacun des siens, selon les bénédictions prévues par Dieu. Il a donné ses instructions quant à l'endroit où il voulait être enseveli ; il a parlé par la foi, selon la promesse de Dieu : Canaan devrait être l'héritage pour sa descendance, au temps marqué. Quand sa bénédiction, ses directives et son testament furent donnés, il sentit que la mort approchait. Il retira ses pieds dans le lit, non pas avec un sentiment de crainte, mais dans la paix, en prévision du repos qui l'attendait. Il a librement remis son esprit dans la main de Dieu, son Père spirituel.

      Si nous faisons partie du peuple de Dieu, la mort finira par nous rassembler, tous ensemble, là où nous serons recueillis. Sous la protection du Berger d'Israël, nous ne manquerons de rien, que ce soit pour le corps ou l'âme. Nous resterons ici-bas jusqu'à ce que notre tâche soit accomplie ; puis, remettant notre âme entre Ses mains, par le biais du salut qui était notre espérance, nous partirons en paix, et laissant une bénédiction pour nos enfants, après nous !

      Genèse 50

      15 De nombreux motifs auraient pu pousser les fils de Jacob à rester en Égypte, malgré la vision prophétique qu'Abraham a eue, au sujet de leur servitude. Ils pensaient que Joseph aurait réagi comme tout homme, c'est à dire qu'il se vengerait maintenant sur ceux qui l'ont détesté et l'ont blessé sans prétexte valable. Ne pouvant pas résister ni fuir bien loin, ils ont essayé de l'attendrir en s'humiliant devant lui. Ils ont plaidé leur cause, en prétendant qu'ils étaient les serviteurs du Dieu de Jacob. Joseph était vraiment très affecté en voyant l'accomplissement complet de ses songes d'autrefois. Il leur a ordonné ne pas avoir peur, mais plutôt de craindre Dieu en s'humiliant devant le Seigneur, en cherchant la Volonté divine. Il les a rassurés, quant à ses intentions à leur égard.

      Il faut remarquer quel excellent esprit avait Joseph : prenons son exemple, en rendant le bien pour le mal. Il les a réconfortés, et pour bannir toutes leurs craintes, il leur parla gentiment. Les âmes brisées doivent être entourées et encouragées. Ceux que nous aimons et à qui nous pardonnons, ne doivent pas seulement recevoir le bien que nous pouvons leur prodiguer, mais aussi nos paroles de bienveillance.

      Nombres 23

      Deutéronome 32

      Job 1

      Psaumes 90

      12 Ceux qui se tournent vers la véritable sagesse doivent prier pour connaître la volonté divine et implorer le Saint-Esprit qu'il les éclaire ; ils en retireront en retour tout le réconfort et la joie qui proviennent de l'approbation divine. Ils prient pour obtenir la miséricorde divine car ils prétendent ne rien mériter de par eux-mêmes.

      Les faveurs de l'Éternel doivent être une fontaine jaillissante de joies futures. Elles apaiseront notre tristesse et notre chagrin. Que la Grâce divine produise en nous la lumière qui découle des bonnes ouvres, que les consolations divines placent la joie, dans notre cœur et sur notre visage. « Établis sur nous l'œuvre de nos mains ; affermis-nous dans tout cela ». Au lieu de gaspiller nos précieux jours à la poursuite de fantaisies, qui finissent d'ailleurs toujours dans un sentiment de tristesse, recherchons plutôt le pardon des péchés et l'héritage des cieux. Prions pour que l'œuvre du Saint-Esprit se manifeste dans la conversion de notre cœur et que la beauté de la sainteté puisse se discerner dans notre conduite !

      Ecclésiaste 7

      Esaïe 5

      Esaïe 22

      Esaïe 47

      7 Soyons bien vigilants afin de ne pas agir ni parler comme le faisait Babylone : cette ville ne comptait que sur la puissance de sa tyrannie et de son oppression ; ne nous fions pas à nos propres capacités, nos différents succès éventuels, notre soi-disant sagesse ou prudence, sinon nous devrons nous attendre à subir le même sort que Babylone. Ceux qui connaissent la prospérité éprouvent une certaine facilité à se vanter, quelle que soit l'adversité qui peut les atteindre. Il est également fréquent de rencontrer des pécheurs trop sûrs d'eux-mêmes, persuadés que leur mauvaise conduite restera cachée aux yeux de tous ! Cette fausse sécurité ne les amènera en fait qu'à la ruine.

      Sachons tirer de ce passage, ainsi que des suivants, des leçons d'humilité et d'assurance dans la salut céleste. Si nous plaçons notre confiance en la Parole de Dieu, nous pourrons connaître alors ce qu'Il réserve éternellement pour Son peuple justifié, comme pour les pécheurs. Si nous lisons la Bible, nous pouvons apprendre comment échapper à la colère divine, comment glorifier Dieu, comment vivre le cœur en paix, sans crainte de la mort, dans l'espérance de la félicité éternelle.

      Sachons donc fuir toute désillusion personnelle !

      Amos 6

      Aggée 1

      Malachie 2

      Matthieu 5

      Matthieu 14

      Romains 6

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

      Philippiens 3

      Hébreux 9

      1 Pierre 4

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