Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Galates 2.19

car c'est par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu.
Moi, c’est à cause de la loi que j’ai cessé de vivre pour la loi. Tout ceci est arrivé afin que je vive pour Dieu. Avec le Christ, je suis mort sur la croix.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.

      Romains 4

      Romains 5

      20 Avec Christ et Sa Justice, nous disposons de privilèges plus nombreux et plus grands que ceux que nous avons perdus, par le péché originel d'Adam.

      La loi morale a montré que beaucoup de pensées, de paroles et d'actions, étaient coupables : c’est ainsi que les transgressions se sont multipliées. La loi n'a pas fait surabonder le péché, mais elle a révélé sa culpabilité, tel un rayon de lumière qui, dans une pièce obscure, fait découvrir la poussière en suspension, invisible jusqu’alors.

      Le péché originel d'Adam et l'effet de sa corruption en nous-même, révèlent l'importance de cette offense, révélée lors de l'instauration de la loi. Les châtiments rigoureux de cette loi montrent que l’espérance apportée par l'Évangile est comparativement plus clémente. Ainsi Dieu, par le Saint-Esprit, et le biais de l’apôtre, nous a révélé une Vérité très importante, pleine de consolation, convenant à notre besoin, pécheurs que nous sommes. Quelle que soit la position sociale d’un homme, il est un pécheur, contre Dieu, il reste condamné par la loi divine, et a besoin de pardon. La Justice divine ne peut être constituée d'un mélange de péché et de sainteté. On ne peut bénéficier de la vie éternelle que par le biais d’une Justice pure et sans tache : recherchons cette Justice, c'est celle de Christ !

      Romains 6

      11 Nous trouvons dans ce texte les raisons les plus valables pour lutter contre le péché et pour nous consacrer à l’affermissement de notre sainteté. Étant, par la Grâce, libérés du règne du péché, vivant pour Dieu, et ayant la perspective de la vie éternelle, il convient aux croyants d’avancer avec ferveur vers ce but. Les convoitises de « l’ancienne nature » du croyant n’étant pas tout à fait étouffées, ce dernier doit vigoureusement leur résister, en luttant sérieusement, avec l’aide de la Grâce divine, afin de ne point se laisser dériver dans cet état mortel. Le fait de savoir que l’état de cette ancienne nature aura bientôt une fin, encourage le véritable chrétien, en particulier dans sa lutte contre les tentations, les convoitises, éléments qui l'embarrassent si souvent et l'affligent...

      Plaçons-nous à la disposition de Dieu, tels des « armes » ou des « outils », prêts pour le combat et l'œuvre de la Justice, à Son service. Nous disposons de la Puissance de la Grâce divines. Le péché ne dominera plus sur nous. Les promesses que Dieu nous a adressées sont plus puissantes et plus efficaces, pour anéantir le péché, que celles que nous pourrions lui faire.

      Le péché peut troubler le véritable croyant, mais en fin de compte, ce dernier ne sera pas dominé ; il pourra être blessé par ses chutes éventuelles, mais celles-ci ne domineront pas en lui !

      Quelqu'un pourrait-il prétexter cette doctrine pour se permettre de pratiquer délibérément le péché ? Que de telles pensées abominables, si contraires aux perfections de Dieu, et à la conception de l’Évangile, si opposées à l'existence de la Grâce, soient rejetées ! Qu’est-ce qui pourrait vaincre plus efficacement le péché, que l'Amour de Christ ? Continuerions-nous délibérément à pécher contre une telle Bonté et un tel Amour ?

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      Romains 8

      Romains 10

      5 Le pécheur, condamné par ses fautes, n'a pas à rechercher dans la perplexité, le moyen de trouver la Justice divine.

      Quand nous parlons de « regarder à Christ », de Le recevoir, de nous en nourrir spirituellement, il ne s’agit pas de Christ dans le ciel, mais de Christ dans la Promesse, exposé dans la Parole. La justification par la foi en Christ est une doctrine claire. L’Écriture la révèle à l’esprit et au cœur de chacun, laissant ainsi chaque individu sans excuse, quant à son incrédulité.

      Si un homme a confessé sa foi en Jésus, en tant que Seigneur et Sauveur des pécheurs perdus, croyant vraiment que Dieu L'a ressuscité des morts, montrant par là qu'Il a accepté d’expier les fautes des pécheurs, cet homme est sauvé par la Justice de Christ, qui lui est imputée à travers la foi. Mais aucune foi ne peut justifier si elle n'a pas la puissance pour sanctifier le cœur et gouverner toutes ses affections, par amour pour Christ.

      Nous devons consacrer et abandonner notre âme et notre corps à Dieu : notre âme, en croyant avec le cœur, et notre corps en confessant Christ de notre bouche. Le croyant n’a jamais à regretter d’avoir placé sa pleine confiance dans le Seigneur Jésus. Avec une telle foi, aucun pécheur ne sera honteux devant Dieu : il doit s'en glorifier devant les hommes !

      Romains 14

      7 Bien que certains soient faibles, et d'autres, plus vigoureux, tous cependant doivent consentir à ne pas vivre pour eux-mêmes.

      Ceux qui ont donné leur vie à Christ ne doivent pas être égoïstes : c'est contraire au véritable christianisme. Le but de notre vie n'est pas de satisfaire toutes nos convoitises, mais de plaire à Dieu ! Voilà ce que représente le véritable christianisme : Christ en toutes choses.

      Bien que les chrétiens soient différents, en termes de vigueur morale, de capacités, de dons personnels, tous appartiennent cependant au Seigneur ; ils portent leur regard vers Christ et Le servent, dans le but de Lui plaire. Christ est le Seigneur de ceux qui vivent pour Lui, Il les gouverne ; quant à ceux qui sont morts spirituellement, Il les ranime et les relève.

      Les chrétiens ne doivent pas se juger ni se mépriser mutuellement, car tous devront bientôt rendre des comptes. Le simple fait d’imaginer ce que sera le grand jour du Jugement devrait étouffer toute pensée irréfléchie. Que chacun examine son cœur ; celui qui se juge personnellement avec rigueur et qui s'humilie, ne cherchera pas à juger et à mépriser son frère.

      Veillons à ne pas dire ni commettre ce qui pourrait être pour d'autres une occasion de chute. Sachons nous abaisser devant notre frère, cherchons à lui éviter toute peine ou toute culpabilité par nos propos.

      1 Corinthiens 10

      2 Corinthiens 5

      Galates 2

      20 L'apôtre décrit dans ce texte la vie spirituelle (ou cachée) d'un croyant. Le « vieil homme » est crucifié, Romains 6:6, alors que le « nouvel homme » est vivant ; le péché est mortifié et la Grâce est vivifiée.

      Paul dispose du réconfort et de la puissance victorieuse de la Grâce ; cette Grâce n'émane pas de sa personne, mais d’une autre source : Christ !

      Les croyants sont pleinement conscients de vivre dans un état de dépendance envers Christ. Ceci provient de ce que, bien qu’ils soient charnels, ils ne vivent pas cependant DE la chair. Ceux qui possèdent une véritable foi, vivent selon celle-ci, celle qui est attachée à Christ, Celui qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous. Il m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi. C'est un peu comme si l'apôtre s’exprimait ainsi : « Le Seigneur m'a vu m'éloigner de Lui de plus en plus. J’étais animé d’une telle méchanceté et d’une telle ignorance spirituelle, que j’étais convaincu qu'il était impossible que je puisse être sauvé, même par une rançon d’une très grande valeur ».

      Considérons bien le prix d’un tel salut ! Remarquons au passage la piètre foi de beaucoup de personnes ; on peut en voir, par leur témoignage, les tristes conséquences : elles ont la forme de la piété sans en avoir la puissance... Elles estiment être dans la Vérité, spirituellement, alors qu’elles sont en fait complètement dans l’erreur.

      Pour croire en Christ, il n'est pas suffisant de penser qu'Il a été crucifié, mais je dois croire également que je le suis AVEC Lui. C'est cela « connaître Christ crucifié ». De là, nous apprenons ce qu'est la nature de la Grâce. La Grâce de Dieu, ne peut dépendre du mérite de l'homme. Elle n’existe plus, en tant que telle, si Elle n'est pas donnée librement, dans tous les cas.

      Plus le croyant compte en toute simplicité sur Christ, pour chaque détail de sa vie, plus il marche en Sa compagnie avec dévotion, dans toutes Ses ordonnances et selon Ses commandements. Christ vit et règne alors en son âme : le racheté vit ici-bas, par la foi dans le Fils de Dieu, Celui qui agit par amour, crée l'obéissance et opère les changements en son âme, selon sa sainte image. Ainsi, la Grâce de Dieu prend toute sa valeur, elle n'est pas rendue vaine !

      Galates 3

      Colossiens 2

      Colossiens 3

      1 Thessaloniciens 5

      Tite 2

      Hébreux 9

      1 Pierre 2

      1 Pierre 4

      1

      Il est vivement recommandé de bien considérer les souffrances de Christ, en vue de notre pureté et de notre sanctification. (1 Pierre 4:1-6)
      La fin imminente de l'état juif de l’époque, devait engager les chrétiens à la sobriété, la vigilance, et la prière. (1 Pierre 4:7-11)
      Les croyants sont encouragés à se réjouir et se glorifier dans les outrages et les souffrances subis, à cause de Christ ; leur engagement au service d'un Dieu fidèle. (1 Pierre 4:12-19)

      Christ, par Ses souffrances, a été le modèle parfait de lutte contre le péché : Il est mort pour détruire ce dernier ; bien qu'Il ait été soumis aux pires souffrances, Il n'a cependant jamais donné prise à la moindre iniquité.

      Les tentations ne peuvent prédominer un homme si elles ne sont pas destinées à sa propre corruption ; les véritables chrétiens cherchent à accomplir la Volonté de Dieu, au lieu de satisfaire leurs actes et leurs propres désirs.

      Une conversion authentique opère un changement merveilleux dans le cœur et dans la vie d’un homme. Elle change l'esprit, le jugement, les affections, et les divers propos d’un individu. Un véritable converti éprouve une grande tristesse à remémorer la vaine manière dont il a vécu précédemment.

      Un péché en attire un autre. Six péchés sont mentionnés dans ce texte : ils sont tous interdépendants. Un chrétien doit non seulement se garder de toute méchanceté, mais aussi de tout ce qui conduit au péché, ou vers le mal.

      L'Évangile a été autrefois prêché à ceux qui allaient devenir des martyrs : ils ont été jugés et condamnés par des orgueilleux et des impies ; quelques-uns ont même été mis à mort... Mais ayant été ressuscités spirituellement à la vie divine, par le Saint-Esprit, ils vivent désormais pour Dieu, comme de dévoués serviteurs !

      Que les croyants ne soient pas en souci, malgré le mépris et les reproches que leur adresse le monde !

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.