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Galates 5.7

Vous couriez bien : qui est-ce [donc] qui vous a empêchés d'obéir à la vérité ?
Vous couriez bien, qui est-ce qui vous a arrêtés pur que vous n'obéissiez pas à la vérité ?
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      Matthieu 13

      Actes 6

      Romains 2

      Romains 6

      Romains 10

      Romains 15

      Romains 16

      1 Corinthiens 9

      24 L'apôtre se compare lui-même aux coureurs et aux combattants des jeux du stade, bien connus à l’époque des Corinthiens.

      Dans la « course chrétienne », chacun peut courir pour obtenir le prix. Nous sommes donc fortement encouragés à persévérer avec toute notre force dans cette voie.

      À l’époque, ceux qui couraient dans ces jeux étaient soumis à un régime spécial ; ils se livraient à un entraînement très dur et pratiquaient toutes sorte d’exercices physiques.

      Ceux qui recherchent les intérêts de leur âme doivent combattre durement contre les convoitises charnelles. Les attraits relatifs au corps ne doivent pas prendre le dessus. L'apôtre insiste sur ces différents conseils, adressés aux Corinthiens. Il souligne le danger de céder aux désirs charnels, de choyer le corps, sa convoitise et ses appétits.

      Le désir de sainteté est nécessaire pour garder un serviteur de Dieu dans la fidélité de son ministère ; combien doit-il l’être davantage pour nous préserver de toute chute ! Retenons de ce texte, l'humilité et la prudence de Paul ; veillons aux dangers moraux qui nous entourent ici-bas !

      2 Corinthiens 10

      Galates 3

      1

      Les Galates sont blâmés par l’apôtre, pour s'être écartés de la grande doctrine de la seule justification par la foi en Christ. (Galates 3:1-5)
      Cette doctrine est établie par l'exemple d'Abraham. (Galates 3:6-9)
      La teneur de la loi et la sévérité de sa malédiction. (Galates 3:10-14)
      L'alliance des promesses, que la loi ne pouvait annuler. (Galates 3:15-18)
      La loi enseignait les Galates, pour les amener ensuite à Christ. (Galates 3:19-25)
      Sous la dispensation de l'Évangile, les véritables croyants sont « un », en Christ. (Galates 3:26-29)

      Plusieurs éléments aggravèrent la folie des chrétiens des Galates. Ils avaient reçu la doctrine de la croix, qui leur avait été prêchée auparavant, ainsi que l’ordonnance du repas du Seigneur ; ils avaient également reçu l’enseignement de « Christ crucifié », et la nature de Ses souffrances leur avait été complètement et clairement exposée. Avaient-ils pour autant été rendus participants du Saint-Esprit par le ministère de la loi, ou par leurs œuvres réalisées en obéissant à cette dernière ? N'était-ce pas parce qu'ils avaient entendu et accepté la doctrine de la foi, en Christ uniquement, pour leur justification ? Comment Dieu pouvait-Il accepter ces âmes, face à toutes ces « dérives » ? Seule la justification en Christ est efficace !

      Les Galates étaient en fait très imprudents de s’être ainsi détournés du ministère et de la doctrine qu’ils avaient reçue, alors qu'ils auraient pu être vraiment bénis spirituellement...

      Hélas, il est triste de constater que certaines personnes peuvent ainsi se détourner de la doctrine si importante de « Christ crucifié », pour suivre des discours inutiles, de vaines prédications, ou des fantaisies de tout genre ! Le prince de ce monde (Satan), par divers moyens et diverses personnes, aveugle les hommes, de peur qu'ils placent leur confiance dans le Sauveur crucifié.

      Nous pouvons parfois nous demander où les fruits du Saint-Esprit sont encore le plus manifeste : est-ce parmi ceux qui prêchent la justification par les œuvres de la loi, ou ceux qui prêchent la doctrine de la foi ? Assurément, c'est parmi ces derniers !

      Galates 5

      7 La vie d'un chrétien est une véritable « course », dans laquelle il doit courir avec persévérance, s'il veut remporter le prix. Il n'est pas suffisant que nous professions le Christianisme, nous devons aussi « courir » convenablement, pour être dignes de ce que nous professons.

      Beaucoup de personnes, parmi celles qui progressent vraiment spirituellement, sont entravées dans leur « croissance », ou bien sortent du chemin de la piété. Il convient à celui qui commence à s’écarter de cette voie spirituelle, ou qui s’en lasse, d’investiguer sérieusement sur ce qui l’entrave. La dérive mentionnée au verset Galates 5:8, consistait, sans nul doute, à mélanger les œuvres de la loi avec la foi en Christ, sur le sujet de la justification.

      L'apôtre laisse les Galates trouver eux-mêmes l’origine de leurs différents problèmes ; il leur expose toutefois clairement qu'ils ne peuvent les devoir qu’à Satan.

      Il est dangereux pour les églises d'encourager ceux qui suivent de telles idées erronées et destructrices. Tout en blâmant le péché et l'erreur, nous devons toujours distinguer les meneurs, et ceux qui sont menés.

      Les Juifs ont été offensés, en constatant que Christ a été prêché en tant qu’unique moyen, pour les pécheurs, de parvenir au salut.

      Si Paul et les frères qui l’entouraient, avaient admis que l'observation de la loi de Moïse devait être associée à la foi en Christ, élément essentiel au salut, de nombreux croyants auraient pu éviter les souffrances qu'ils ont subies.

      Les premiers effets d'un tel « levain » destructeur doivent être immédiatement combattus. Il est certain que ceux qui persistent à faire dévier l'église de Christ, subiront tôt ou tard un jugement céleste...

      2 Thessaloniciens 1

      Hébreux 5

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

      Hébreux 12

      1

      Exhortation à être constant dans nos voies et à persévérer. L'exemple de Christ ; le dessein de la Grâce de Dieu dans toutes les souffrances que les croyants ont endurées. (Hébreux 12:1-11)
      La paix et la sainteté sont recommandées, avec des mises en garde contre le mépris des bénédictions spirituelles. (Hébreux 12:12-17)
      La dispensation du Nouveau Testament est bien plus excellente que celle de l'Ancien. (Hébreux 12:18-29)

      L'obéissance et la persévérance dans la foi en Christ, voilà « la course » que devaient effectuer les Hébreux, course par laquelle il est possible de gagner la « couronne de gloire », ou la misère éternelle, en cas d’échec ; cette course nous concerne également.

      Dans l’expression, « le péché qui nous enveloppe si facilement », (premier verset de ce texte), nous devons comprendre : un péché auquel beaucoup d'entre nous sont prompts à succomber, ou à celui auquel nous sommes le plus exposés, que ce soit par habitude, par notre âge, ou suivant les circonstances. Ce texte nous adresse une exhortation très importante : tant qu’un péché reste enraciné dans le cœur d’un homme, sans être combattu ni subjugué, il empêchera celui-ci de « courir » dans sa course spirituelle chrétienne, en lui ôtant toute motivation pour vaincre, et en laissant place à tout découragement.

      Que ceux qui sont fatigués et faibles spirituellement, puissent se rappeler que Jésus, Celui qui est Saint, a souffert, pour les sauver de la ruine éternelle. Si de telles personnes portaient vraiment leur regard par Jésus, elles seraient fortifiées spirituellement, en toute sainteté, elles seraient gardées de toute chute provoquée leurs désirs charnels.

      Recherchons le plus fréquemment possible la présence de Jésus. Que sont nos petites épreuves par rapport à Son agonie à la croix ? Que sont nos « déserts spirituels », face à Ses souffrances ? Que représentent nos peines par rapport à celles de beaucoup d'autres personnes ? On rencontre parfois chez les croyants une tendance à défaillir dans leurs faiblesses, à succomber facilement sous les épreuves et les afflictions ; ceci est dû à l'imperfection de la grâce qui est en leur cœur et aux restes de la corruption qui subsistent en eux.

      Les chrétiens ne doivent pas faiblir, face à l’épreuve. Bien que leurs ennemis et leurs persécuteurs puissent leur infliger de dures souffrances, il s'agit cependant de châtiments que Dieu permet de leur voir supporter ; leur Père céleste « supervise » tout, et Sa Sagesse aura réponse à tout. Face à leurs afflictions, ces âmes ne doivent pas faillir, ni perdre courage, car elles demeurent, malgré leurs péchés, dans « la main de Dieu et sous Sa houlette ». Elles ne doivent pas se décourager ni « crouler » sous les épreuves, ni se tourmenter, mais doivent les supporter, avec foi et patience.

      Dieu peut permettre aux impies de rester dans l’iniquité, mais Il corrigera le péché de Ses propres enfants. En tant que tel, Il agit comme un Père. Nos parents ici-bas peuvent parfois nous châtier pour satisfaire un sentiment personnel plutôt que pour réformer nos manières. Mais notre Père céleste ne veut jamais nous faire souffrir par plaisir, ni affliger en vain Ses enfants : Il le fait toujours pour notre bien.

      Notre vie entière est en quelque sorte un long apprentissage, il reste bien imparfait quant à notre exercice spirituel ; à cause de notre état pécheur, nous devons donc nous soumettre à la discipline céleste. Quand nous serons parvenus à la perfection, nous serons alors complètement réconciliés avec le ciel et le châtiment que Dieu peut parfois nous faire encore endurer, disparaîtra. Le châtiment de Dieu n'est pas synonyme de condamnation ; il peut être supporté avec patience, pour nous conduire vers une sainteté croissante.

      Apprenons bien à considérer les afflictions que nous supportons ici-bas ; si elles semblent provenir des hommes, elles sont en fait des corrections envoyées par notre Père, plein de Grâce et de Sagesse, pour notre bien spirituel !

      1 Pierre 1

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