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Habacuc 3.2

O Eternel, j’ai entendu ce que tu viens de proclamer, et je suis effrayé devant ton œuvre, ô Eternel. Dans le cours des années, accomplis-la ! Dans le cours des années, fais-la connaître ! Dans ton indignation, rappelle-toi d’être clément !
SEIGNEUR, j’ai entendu parler de tes grandes actions. SEIGNEUR, je tremble devant elles. Pendant notre vie, montre des actions semblables, pendant notre vie, fais-les connaître. Même si tu es en colère, souviens-toi de ta tendresse.
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      Exode 9

      Exode 32

      Nombres 14

      11 Moïse intercède humblement auprès de Dieu, en faveur d'Israël. C'est en quelque sorte, une image de Christ, qui intercède également auprès du Père, pour ceux qui s'écartent du droit chemin. Si le péché d'une nation est pardonné, cette dernière sera délivrée de la punition céleste promise ; c'est pour cette raison que Moïse est si fervent dans son dialogue avec Dieu : le patriarche insiste auprès de l'Éternel, pour que Celui-ci, dans Sa Grâce, pardonne le péché du peuple d'Israël.
      20 L'Éternel tient compte de la prière de Moïse, Il renonce à détruire la tribu d'Israël. Mais l'incrédulité du peuple, face aux promesses divines, le prive de toute bénédiction. Ceux qui méprisent la « terre promise » par Dieu, seront retranchés et n'y parviendront jamais. La promesse divine s'accomplira en fait sur la génération suivante du peuple d'Israël. Ce dernier s'écria bien : « Que ne sommes-nous morts dans le désert » ! À cause de ce manque de confiance, Dieu les mena à la ruine, en les prenant au mot : leurs dépouilles tombèrent dans le désert. Le peuple gémit sous le poids de son propre péché, incapable de le supporter.

      Si les promesses de Dieu à notre égard ne s'accomplissent pas, c'est à cause de notre péché ; Dieu ne nous délaissera jamais, à moins que nous ne L'abandonnions en premier ; les conséquences d'une telle situation ne conduisent qu'à la ruine. La génération suivante du peuple, (ceux qui n'avaient pas encore vingt ans et qui étaient les plus vulnérables), sera celle qui entrera dans le pays promis. Dieu voulait ainsi bien différencier les fautifs des innocents : il fit périr le peuple dans le désert, sans toutefois toucher à ses enfants.

      Un tel Dieu, dans Son Amour merveilleux, n'aurait jamais pu retrancher totalement Son peuple !

      Nombres 16

      2 Samuel 24

      10 Il est bon, pour un homme qui a péché, d'avoir le cœur contrit. Si nous confessons nos péchés, nous pouvons prier avec foi, que Dieu nous les pardonne ; ce Dernier, dans Sa grande Miséricorde, nous encouragera alors à rejeter notre faute et à nous en éloigner, dans un repentir sincère. Soyons toujours encouragés de constater que Dieu prend toujours soin de nous, même quand Il nous envoie une épreuve amère ou un châtiment.

      Dans ce texte, nous pouvons constater qu'il s'agissait d'une punition terrible, pour laquelle le peuple avait une grande part de responsabilité, car bien que ce dénombrement, ordonné par David, fût à l'origine de la colère divine, l'iniquité du peuple contribua aussi à provoquer ce châtiment. Face à ces trois épreuves redoutables, David dut faire un choix, déclenchant ainsi, immédiatement, le jugement divin ; le roi savait que cette décision divine, avec la grande Miséricorde qui l'entoure, était de toute façon préférable à celle qu'auraient pu prendre ses hommes, qui avaient triomphé jusqu'à présent dans les différentes batailles avec les ennemis d'Israël, ayant de ce fait, le cœur endurci par leur idolâtrie.

      David choisit donc la peste ; lui-même et sa famille étaient autant exposés à ce fléau, que le plus pauvre Israélite ; le roi devait donc subir aussi la réprimande divine, dans toute sa sévérité. La destruction rapide du peuple par la peste, montre combien il est facile pour Dieu de réduire à néant les pécheurs les plus orgueilleux, et à quel point nous devons nous soumettre journellement à Sa Patience !

      16 Peut-être y avait-il plus de méchanceté, voire plus d'arrogance, à Jérusalem qu'ailleurs, pour que le péché, mentionné dans le texte précédent, soit à ce point châtié, pour que la main de l'ange destructeur soit ainsi étendue sur toute la ville ; mais l'Éternel se repentit du mal qui était envoyé : Il ne regretta pas Sa décision, mais, la manière dont elle était exécutée par l'ange. À l'endroit même, où Abraham fut arrêté, lorsqu'il était sur le point de sacrifier son fils, il fut ordonné à l'ange exterminateur, de cesser de détruire Jérusalem.

      C'est à cause du grand Sacrifice accompli par Jésus, que nos vies ont été préservées de la destruction. En David, nous pouvons discerner l'esprit d'un vrai berger du peuple, s'offrant en sacrifice à Dieu, pour le salut de ses sujets !

      2 Chroniques 34

      Esdras 9

      Job 4

      12 Éliphaz relate une vision. Quand notre cœur est en communion intime avec Dieu Psaume 4:4, vient alors le moment où le Saint Esprit s'adresse à nous. Cette vision a mis le personnage de ce texte dans un état de grande crainte.

      Depuis que l'homme a péché, recevoir des communications célestes le remplit d'épouvante, car il est conscient qu'il ne peut attendre aucune bonne nouvelle du ciel. Homme pécheur ! Peut-il prétendre être plus juste, plus pur, que Dieu, son créateur, son Seigneur et Celui à qui il appartient ? Qu’elles sont dangereuses cette fierté et cette arrogance humaines ! Par contre, quelle grandeur dans la patience de Dieu ! Considérez l'homme dans sa vie ! Les fondations de la piètre maison d'argile où il demeure, ne sont que poussière, et tout s'affaissera de son propre poids. Nous ne faisons que séjourner sur de la poussière. Certains se tiennent sur un « monceau de poussière » plus haut que d'autres, mais en final, c'est la terre qui supporte le tout, et c'est elle qui nous engloutira sous peu. L'homme est bien vite anéanti ; quand il est victime d'une longue maladie, qui le ronge telle une mite, il ne peut pas résister, son corps est détruit inexorablement. Une telle créature peut-elle prétendre blâmer les ordonnances divines ?

      Observez le constat de l'homme, à l'heure de sa mort : sa vie est courte et en peu de temps, il est éliminé. La beauté, la force, les études, non seulement ne peuvent pas nous faire éviter la mort, mais de plus, toutes ces « avantages » disparaissent en même temps ; aucune splendeur, aucune richesse ni puissance, ne persiste après la mort. Est-ce qu'une faible créature pécheresse peut prétendre être plus juste que Dieu, être plus pure que son Créateur ? Non : au lieu de maudire ses afflictions, l'homme doit se demander s'il peut échapper à l'enfer. Peut-il être lavé de son péché, sans l'aide de son Créateur ? Est-ce que Dieu peut innocenter les pécheurs mortels et ignorer leur culpabilité ? Peut-Il pardonner ainsi, sans glorifier le Rédempteur promis, alors que les anges, accomplissant leur ministère spirituel devant Son trône, reçoivent quant à eux, la juste rétribution de leurs péchés ?

      Malgré l'impunité apparente des hommes pendant leur court séjour ici-bas, alors qu'ils vivent sans Dieu, leur triste sort est aussi inéluctable que celui des anges déchus, et il les poursuit sans cesse. Bien que les pécheurs négligents se soucient bien peu de ces choses et ne s'attendent à aucune rétribution de leurs actes, le sage, quant à lui, considère la fin qui les attend.

      Psaumes 6

      1 * Le psalmiste désapprouve la colère divine et implore sa clémence (Psaumes 6:1-7)

      Psaumes 6:1-7 Ces versets emploient le langage d'un cœur réellement humble, d'un esprit meurtri et contrit par de grandes afflictions avec une conscience à la fois humble et attentive.

      La maladie fait penser au péché et peut être considérée comme un signe de désapprobation divine à l'égard de la personne malade. L'affliction corporelle peut être tolérable si l'âme est réconfortée. La complainte de Christ, au fort de ses souffrances, montrait bien la douleur de son âme, et le désir de réconfort de la part de son Père. Chaque page de l'écriture proclame le fait que le salut ne peut venir que du Seigneur.

      L'homme est un pécheur, sa cause ne peut être rachetée que par grâce ; jamais cette grâce ne sera mieux mise en évidence que par le rachat des impies. C'est avec de bonnes raisons que nous pouvons prier que si nous sommes dans le cadre de la volonté divine, et il y a toujours beaucoup d'ouvrage à faire pour nous ou pour nos amis, Il nous prédispose à le servir. Déloger et être avec Christ est la meilleure chose pour les saints ; mais, en ce qui les concerne, leur fidélité ici-bas est plus profitable pour l'église.

      Psaumes 38

      1

      Dieu hait le péché. (Psaumes 38:1-11)
      Les souffrances du psalmiste et sa prière. (Psaumes 38:12-22)

      Rien ne peut troubler davantage le cœur d'un homme bon que la perception de la colère de Dieu. La manière de garder un cœur paisible est de rester au sein de l'amour divin. Mais un sentiment de culpabilité est trop lourd à supporter ; il devrait conduire les hommes vers le désespoir et la ruine, à moins qu'ils ne soient transformés par le pardon miséricordieux de Dieu. S'il n'y avait pas de péchés dans nos âmes, il n'y aurait ni douleurs ni maladies dans nos corps. La conséquence du péché est un fardeau pour toute la création, il fait naître un réel gémissement. C'est un véritable poids qui écrase les pécheurs eux-mêmes, un fardeau qui les ruine et les mène en enfer. Quand nous sommes conscients de notre condition réelle, alors nous pouvons mesurer la valeur du bon Maître, nous pouvons Le discerner et Lui obéir. Certains restent dans une certaine rancœur car ils tardent à s'approcher de l'Ami miséricordieux. À chaque fois que nous sommes désemparés dans nos corps, nous devrions nous rappeler combien Dieu a été déshonoré dans le sien, par notre faute. Les gémissements que nous pouvons émettre ne sont pas cachés à Ses yeux ; Il sonde les cœurs et connaît toutes nos pensées, par l'Esprit. David, dans ses peines, était une image de Christ lors de son agonie, une image de Christ sur la croix, abandonné dans la souffrance.

      Psaumes 44

      1

      Une prière pour le secours et le soulagement.

      Les expériences d'autrefois qui ont démontré la puissance et la bonté de Dieu sont de réels encouragements pour la foi et aussi de puissants arguments de prière lors de l'épreuve. Les nombreuses victoires qu'Israël a remportées ne furent pas obtenues par la force ni le mérite, mais uniquement par la faveur et la grâce de Dieu. La moindre prière adressée à Dieu nous réconforte beaucoup et nous pouvons par là nous rendre compte que tout provient de Sa Grâce. Il a combattu pour Israël, car autrement les Israélites auraient combattu en vain.

      Cela est applicable à l'implantation de l'église dans le monde qui s'est déroulée sans le secours ou la puissance humaine. Christ, par Son Esprit, est venu en tant que conquérant et il a vaincu ; et Celui, qui a fondé l'église dans le monde, la soutiendra par la même puissance et avec la même bonté.

      Israël a triomphé en Lui et par Lui. Il Lui a rendu gloire à ce sujet. Si nous sommes réconfortés en Son nom, rendons-Lui également toute la gloire qui Lui est due !

      Psaumes 78

      Psaumes 85

      Psaumes 90

      Psaumes 119

      Psaumes 138

      Esaïe 51

      9 Ceux qui ont été rachetés par le sang de Christ, par Sa Puissance, sauront trouver une merveilleuse délivrance, quand leurs ennemis les attaqueront. Celui qui a éprouvé tant d'Amour et de compassion à notre égard, ne saurait-il pas nous secourir au temps voulu ? En ce monde de changements, ce qui sépare la joie de la douleur est bien mince; les épreuves sont d'ailleurs bien imprévisibles !

      Les enfants d'Israël prièrent l'Éternel pour qu'Il leur dispense sa Puissance ; ce Dernier leur répondit par les consolations qu'offre Sa Grâce.

      Si nous cherchons à éviter de commettre le péché, nous ne craindrons pas les menaces que pourraient proférer les hommes. à notre intention. Heureux celui qui craint Dieu en permanence ! L'église de Christ saura toujours apprécier la sécurité trouvée dans la Puissance et la Providence du Tout-Puissant !

      Esaïe 53

      1

      La Personne, (Esaïe 53:1-3)
      Les souffrances, (Esaïe 53:4-9)
      L'humiliation et la glorification de Christ, sont décrites avec précision ; les bénédictions résultant de Sa mort. (Esaïe 53:10-12)

      On ne trouve nulle part ailleurs, dans tout l'Ancien Testament, une prophétie aussi claire et complète, relative aux souffrances de Christ et à Son entrée en Gloire. Mais aujourd'hui, bien peu discernent, ou reconnaissent cette Puissance divine, si bien décrite dans la Parole. Le plus authentique et important message du salut des pécheurs, par l'intermédiaire du Fils de Dieu, est toujours méprisé. La condition misérable à laquelle Il s'est soumis, ainsi que Son humble aspect ici-bas, n'étaient pas « conformes » aux idées que les Juifs se faisaient du Messie. Ils s'attendaient à Le voir arriver en grand apparat ; au lieu de cela, Il grandit comme une « simple plante », silencieusement, sans manifestation particulière. Il n'avait rien de la Gloire que l'on supposait contempler en Le rencontrant. Sa vie entière fut l'objet, non seulement, d'une grande humilité extérieure, mais également de souffrance. Ayant été fait « péché » pour nous, Il a subi à notre place, la sentence que nous méritions. Les cœurs charnels ne voient rien dans le Seigneur Jésus qui puisse susciter un quelconque intérêt !

      Hélas, encore de nos jours, combien Il est souvent méprisé par les Siens, et rejeté quant à Sa doctrine et Son autorité !

      Esaïe 54

      Esaïe 63

      15 Les enfants d'Israël sollicitent l'Éternel, afin qu'Il constate le triste état dans lequel la nation « élue » se trouve. En ôtant le voile de leur cœur et en les faisant retourner dans leur pays « d'héritage », Son Nom ne pouvait-il pas qu'être glorifié ? La captivité des Juifs à Babylone, et leur affranchissement, n'étaient que des signes précurseurs des événements prévus à leur égard.

      Le Seigneur porte Ses regards sur nous, ici-bas, avec tendresse et miséricorde. Les jugements spirituels doivent être plus redoutés que tout autre calamité ; nous devrions faire tout notre possible pour éviter de commettre les péchés qui provoquent Le seigneur : Il nous laissera alors livrés à nous-mêmes.

      « Notre Rédempteur est éternel » : Tel est Ton Nom ; Ton peuple T'a toujours considéré comme le Dieu qu'il pouvait solliciter.

      Le Seigneur entend les prières de ceux qui Lui appartiennent, Il les délivre de ceux qui outragent Son Nom !

      Esaïe 64

      1

      L'église prie afin que la Puissance divine puisse se manifester. (Esaïe 64:1-5)
      La confession du péché, les afflictions sont déplorées. (Esaïe 64:6-12)

      Ceux qui appartiennent à la famille de Dieu, désirent qu'Il Se manifeste en toute occasion, de sorte que tous puissent voir Son œuvre. Ce texte peut s'appliquer à la seconde venue de Christ, quand le Seigneur en Personne descendra du ciel.

      Ces personnes rappellent à Dieu Ses « habitudes », et Ses Promesses à leur sujet. Ils n'ont aucune crainte à avoir, quant à Ses desseins, car ils Lui font une entière confiance : il est certain qu'Il ne décevra jamais Ses enfants. Le bonheur des Siens est en fait lié au destin que Dieu leur a préparé, en tout ce qu'Il a déjà accompli ou fera.

      Pouvons-nous vraiment croire en cette vérité, estimant qu'aucune œuvre ne puisse être impossible à Sa Puissance et Son amour ? Dieu est avant tout spirituel, Il ne peut être « compris » directement par la raison humaine. Cet état de fait est indéniable.

      Remarquez la communion particulière qui se crée entre ce Dieu plein de Grâce et une âme qui Le recherche. Nous devons nous évertuer à faire notre devoir conformément à tout ce que le Seigneur, notre Dieu, exige.

      « Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice » ; ce texte souligne la liberté et la rapidité divines, envers celui qui s'évertue à accomplir le bien. Bien que Dieu soit offensé à cause de nos péchés, en toute justice, Son courroux s'est cependant apaisé : Sa Grâce représente pour nous la vie éternelle. De là, dépend tout notre salut !

      Esaïe 66

      Jérémie 10

      Jérémie 25

      Jérémie 29

      Jérémie 36

      Jérémie 52

      31 Voir l’histoire du Roi Jéhoïakin, retracée en 2Rois 25:27-30.

      Ceux qui vivent sous l'oppression, se rendent vraiment compte qu’il n'est pas vain de placer son espérance dans le Seigneur, en s’attendant patiemment à Son salut.

      Le temps que nous vivons est dans la « main » de Dieu : Il dirige en effet le cœur de tous ceux que nous côtoyons.

      Serons-nous de plus en plus capables de nous reposer sur le Seigneur, « le Rocher » qui demeure d’âge en âge, et de regarder en avant, parés d’une sainte foi, quand Il reviendra en Sion, et renversera tous les ennemis de l'église ?

      Lamentations 3

      Daniel 8

      Daniel 9

      Osée 6

      Habacuc 1

      Habacuc 3

      16 Quand nous voyons le jour de malheur approcher, nous prenons soin de nous y préparer. La véritable espérance qui découle de la Grâce est basée sur la crainte du Seigneur.

      Le prophète se souvient des expériences spirituelles passées et se remémore les œuvres merveilleuses accomplies par Dieu envers Son peuple, non seulement pour que ce dernier se ressaisisse mais pour qu’il soit rempli de joie, en l'Éternel. Habacuc se réjouit dans le Seigneur ; quand tout aura disparu ici-bas, son Dieu, restera toujours présent !

      Détruisez « la vigne et le figuier » et toute l'allégresse d'un cœur qui ne se base que sur les attraits de ce monde disparaîtra. Mais ceux qui sont comblés par toutes les grâces divines, surtout lors de l’épreuve, louent le Seigneur. Ils méprisent peu à peu leur confort matériel et glorifient Dieu, l’Auteur du salut de leur âme, ils se réjouissent en Lui, même dans la détresse la plus profonde.

      La joie en notre Seigneur est particulièrement pertinente lorsque nous devons faire face aux aléas et aux misères de ce monde. Même lorsque le nécessaire vient à manquer, quand le Seigneur estime utile de nous rappeler que nous ne devons pas vivre de pain seulement, Il nous « inonde » de Grâce et de réconfort spirituel. C’est alors que nous sommes forts et bien armés dans notre bataille spirituelle avec l’ennemi, et ce, dans toutes nos tâches ; courrons de tout cœur dans les voies que le Seigneur nous a tracées et nous remporterons toute victoire sur l’ennemi.

      Le prophète Habacuc a commencé son livre dans la prière et la crainte de l’Éternel ; il le termine dans la joie et le triomphe spirituel. La foi en Christ nous prépare pour chaque événement de la vie.

      Lorsque nous cheminons ici-bas, au Nom de Jésus, nous disposons d’un baume sur chaque blessure qui peut nous atteindre, et d’un soutient parfait, pour chacun de nos soucis. La communion avec Christ est un véritable « onguent », qui diffuse Ses merveilleux parfums spirituels en notre âme.

      Dans l'espérance d’obtenir la couronne céleste qui nous est réservée, éloignons-nous des vains attraits de ce monde et « portons courageusement notre croix. » Encore un peu de temps et Celui qui doit venir apparaîtra ; Il ne tarde pas et où Il se trouve, nous y serons également !

      Zacharie 1

      Jean 10

      10 Christ est vraiment un bon Berger ; beaucoup, sans être véritablement des « voleurs » (verset Jean 10:10*), ont négligé cependant leur devoir au sein de l’église, et à cause de cette négligence, le « troupeau » s’est trouvé sérieusement affecté. Les mauvais principes sont à l’origine des mauvaises pratiques.

      Le Seigneur Jésus connaît ceux qu'Il a choisis, et leur accorde Sa confiance ; les Siens savent aussi en Qui ils ont cru, ils savent qu’ils peuvent compter sur Jésus.

      Remarquez, au verset Jean 10:18*), la Grâce de Christ : personne ne pouvant Lui ôter la vie, Il l'a offerte Lui-même, pour notre rédemption ! Il s'est offert Lui-même, Il est le Sauveur : « voici, Je viens ». Notre triste cas nécessite l’obtention de ce salut : Christ s'est donné Lui-même, en Sacrifice pour le péché. Il a été à la fois Sacrificateur et Offrande : en donnant Sa vie, Il s’est livré Lui-même.

      Il est clair par ce fait, qu'Il est mort en lieu et place des iniques, pour obtenir leur libération et le pardon de leurs péchés ; seule Sa mort pouvait provoquer ce pardon. Notre Seigneur n'a pas donné Sa vie à titre glorieux, mais directement pour Ses brebis !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 10

      Philippiens 1

      Hébreux 11

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