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1
Méditation de David. Heureux, bienheureux est l’homme dont la faute est enlevée,
Dont le péché est couvert.
2
Heureux, bienheureux est l’homme à qui le Seigneur fait grâce
En oubliant son offense et dont l’esprit est sans fraude.
3
Tant que je taisais ma faute, mes membres dépérissaient.
Je me rongeais en moi-même, sans arrêt, je gémissais.
4
Ta main s’appesantissait sur moi le jour et la nuit,
Ma force se desséchait comme l’herbe en plein été.
5
Je t’ai confessé ma faute, je n’ai plus caché mes torts,
J’ai dit : « J’avouerai à Dieu les péchés que j’ai commis ».
Alors, tu as effacé la peine de mon péché.
14
Tous les jours, je suis maltraité, je suis châtié chaque matin !
15
Si je disais : « Parlons comme eux », je trahirais tous tes enfants.
30
Je ferai durer toujours sa postérité,
Et son trône aussi longtemps que durent les cieux.
31
Toutefois si ses enfants délaissent ma loi,
S’ils ne se conduisent plus selon mes décrets,
32
S’ils venaient à profaner mes commandements,
Et s’ils n’obéissaient plus à ma volonté,
33
Je châtierais leur péché avec le bâton,
Je sévirais par des coups contre leur révolte.
34
Mais je ne renierai pas mon amour pour lui.
Je ne démentirai pas ma fidélité,
12
Bienheureux est l’homme que tu corriges, Seigneur,
Et que tu instruis en lui expliquant ta loi,
71
Il m’était bon d’être humilié afin d’apprendre
À mieux connaître tes volontés.
75
Je sais, Seigneur, que tes décrets sont justes :
Si tu m’as humilié, c’est par fidélité.
6
Car le Seigneur prend sous sa discipline celui qu’il aime :
il corrige tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils.
7
Les « corrections » que vous avez à endurer servent à votre éducation. Supportez-les donc ! Elles prouvent que Dieu vous traite en « fils ». Quel est le fils que son père ne corrige pas ?
8
Si vous étiez dispensés de la correction qui est le lot de tous les vrais fils, vous ne seriez pas des enfants légitimes, mais des bâtards.
12
« Heureux celui qui tient bon dans l’épreuve » et la supporte patiemment, car une fois qu’il aura fait ses preuves, sa couronne de vainqueur sera la vie éternelle promise par Dieu à ceux qui l’aiment.
11
Rappelez-vous ce que nous affirmons : bienheureux ceux qui ont tenu bon ! Vous avez entendu parler de la constance de Job ; vous savez quel était le dessein du Seigneur et quel dénouement il lui a réservé. Oui, « le Seigneur est plein de bonté et de compassion ».
19
Ceux que j’aime, je les reprends et je les éduque sévèrement. Secoue donc ton indifférence, ranime ton zèle, et change !
Il y a dans l'hébreu : "Car celui que l'Eternel aime, il le frappe, et cela comme un père le fils qu'il chérit." Comparer Apocalypse 3.19.
- Ces paroles présentent les afflictions sous leur jour le plus consolant. (Comparer Romains 5.3 ; 8.28)
Sans doute, la souffrance est dans notre humanité un effet du péché, un châtiment que Dieu inflige dans sa justice ; mais pour ceux qui, en Christ, sont devenus des fils de Dieu, elle se transforme en un signe de l'amour du Père. (Hébreux 12.7-10)
Le sentiment de cet amour ôte à la souffrance son aiguillon, l'amertume et la malédiction du péché. La croix que nous portons avec Christ, et qui nous rend semblables à lui, (Philippiens 3.10) est une preuve spéciale de la grâce. Par elle, Dieu consomme ses enfants de la manière dont Jésus fut consommé. (Comparer Hébreux 2.10 ; 5.9)
Tel est le sens de cette image d'un père qui corrige son fils, tout en l'aimant, et parce qu il l'aime.
Nous traduisons par corriger et correction, les termes que d'autres rendent par châtier et châtiment, parce qu'ils impliquent l'idée d'une action pédagogique exercée par Dieu.